Retrouvailles avec Jackie (2) - histoire érotique

[Entre homme et femmes] [sodomie] [lingerie]

[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]

C’est ainsi que mon aventure avec Jackie a commencé. Elle s’est poursuivie pendant plus d’un 1 an avant de prendre fin il y a près de 2 ans. Mais pendant notre relation il s’est passé des évènements qui m’ont changé à tout jamais. Tout d’abord, j’ai appris à sucer une queue, elle aimait beaucoup que je suce la sienne, tout comme j’aimais le contraire. Le plus grand changement est qu’elle m’a féminisé. Attention, je suis resté un homme mais lorsque nous étions ensemble, je devenais sa copine. De manière tout à fait volontaire, je me suis prêté au jeu de la transformation et quand nous étions ensemble, je devenais Elodie. Il a fallu de longs mois de travail pour que je fasse une femme acceptable. Bien sûr, il restait ma voix, mon manque de poitrine et ma pomme d’Adam mais pour le reste c’était plutôt bluffant.

Cela me plaisait beaucoup de changer de rôle, je laissais derrière moi les soucis de Stéphane et je devenais l’insouciante Elodie. Je ne sais si nous avions alors des relations gays ou lesbiennes mais nous prenions énormément de plaisirs lors de nos ébats amoureux. Elle m’a initiée à la sodomie et à la fin de notre aventure c’était surtout elle qui me prenait, j’avais développé un gout immodéré pour cette pratique qui ne cessait de me procurer un plaisir que je ne connaissais pas.

Mais un jour tout à dérapé, est-ce pour cela qu’elle a rompu notre relation ? Ce jour-là, après une partie de jambes en l’air plutôt réussie, nous avons décidé d’aller en boite comme nous le faisions depuis quelques mois et que j’étais à l’aise dans ma peau d’Elodie. Nous nous étions faites belles et sexy mais pas trop non plus. Elle s’était habillée en jupe plissée en cuir bordeaux avec un chemisier en soie assorti. Dessous elle avait un ensemble porte-jarretelles, string et soutien-gorge bordeaux à dentelle et motifs noirs assortis, et des bas noirs avec des jarretières en dentelle noires et bordeaux. Pour ma part j’avais opté pour le blanc, une jupe portefeuille en cuir blanc et un chemiser blanc en soie. Dessous, une guêpière à jarretelles blanche avec des motifs floraux et de la dentelle crème et son string assorti. Des bas blancs avec des jarretières en dentelle blanche et crème.

Pour le maquillage, c’était plus long pour moi que pour elle, il y a la perruque bien sûr et il faut que je m’applique plus pour masquer mes traits qui restent masculins. Un serre cou en dentelle blanche pour moi puis nous nous parons de colliers et bracelets en fonction de notre humeur. Nous enfilons nos escarpins, passions nos manteaux et le taxi nous amène dans notre boite préférée. Ouverte à tous, il y a une communauté LGBT assez importante pour nous rassurer.

La soirée se passait bien, nous étions déchainées et avions pas mal dansé, bu et fait les folles dès que c’était possible. Nous dansions un slow, enlacées pour récupérer un peu lorsque deux mecs sont venus nous demander si nous accepterions de nous séparer pour danser avec eux. Nous les détaillâmes, plutôt beaux gosses, nos âges à peu près. J’allais répondre par la négative, je ne voulais pas quitter ma Jackie et encore moins danser avec un inconnu ; ma féminité je ne la partage qu’avec elle. Mais elle me devança en répondant par l’affirmative. Elle me fit un clin d’œil et m’annonça « La première qui se fait embrasser et peloter a gagné et on en restera là ».

Ni une ni deux je me retrouvais dans les bras du plus grand des deux mecs. J’appris qu’il s’appelait Hakim, qu’il venait souvent ici et qu’il m’avait déjà vue. Il me trouvait très belle et n’aurait jamais osé m’inviter s’il n’y avait pas eu son ami. Il me posa des questions et était très clairement en train de me draguer tandis son corps se rapprochait du mien. Je ne m’en rendis compte que lorsque je fus contre lui. C’était ma fois fort agréable et jouant le jeu je posais ma tête sur son épaule. Nous continuâmes à papoter tout en dansant et je sentis ses mains doucement glisser sur mes hanches et se poser sur mes fesses. Je relevais la tête pour lui dire qu’il allait vite en besogne mais ses lèvres se posèrent sur les miennes et sa langue trouva sans trop de peine une ouverture pour venir chercher ma langue et commencer à jouer avec. C’était électrisant de sentir une langue nouvelle m’envahir la bouche et je commençais à avoir des papillons dans le ventre.

Son baiser s’intensifiât et ses caresses sur mes fesses aussi, je jetais un œil dans la salle pour savoir où en était Jackie, ne la voyant pas je m’abandonnais à Hakim. Hanches contre hanches, je sentis son excitation naitre et son sexe durcir entre nous. Il semblait de belle taille et mon excitation que je tentais de contenir se réveilla. Nous dansions maintenant sexe contre sexe. J’avais peur qu’en le découvrant il ne me repousse mais au contraire, il se recula pour me regarder et me fis un grand sourire avant de me reprendre la bouche. Nous dansâmes ainsi jusqu’à la fin de la série de slows.

La musique reprenant ses droits il me pris la main et m’entraina sur une banquette. Je ne vis toujours Frankie. Une fois à notre place j’envoyais un message à Jackie pour savoir où elle était. Hakim et moi sommes restés un moment sans rien dire, juste à nous regarder. Il me dit soudain « Elodie, tu es vraiment très jolie, encore plus que ce que je n’avais imaginé ». J’ai trouvé ça tellement mignon que je me suis penchée sur lui pour l’embrasser. Nos mains ne tardèrent pas à partir à la découverte de nos corps et bientôt l’une des siennes était montée haute sous ma jupe tandis qu’une des mienne avait trouver un passage dans son pantalon. Il me demanda alors si je voulais aller prendre un dernier verre chez lui. Je lui répondis que non, que j’étais venu avec ma copine et que je partirai avec elle.
Je regardais alors mon téléphone dans mon sac à main, je notais que celui de Jackie n’était plus là, et vis qu’elle m’avait laissé un message « Je suis partie avec Frédéric, amuse-toi bien avec Hakim. ». J’étais en colère, c’était une trahison, elle allait me tromper alors moi aussi. Je répondis donc à Hakim que c’était ok pour le dernier verre. Dans le taxi qui nous amena chez lui nous n’avons pas arrêté de nous embrasser tandis que nos mains avaient retrouvé leur place, lui sous ma jupe, moi dans son pantalon.

À peine arrivé chez lui je me rendis compte que j’avais faim de lui. Sans lâcher sa bouche je lui enlevais en un temps record sa chemise, son pantalon et son boxer et le dirigeais vers le canapé que j’avais aperçu. À peine fut-il assis que je me jetais sur sa queue et l’engloutis. Elle était belle, plus grosse et plus longue que celle de Jackie. Je la mangeais, la suçais, la léchais. Hakim n’avait rien dit, il n’en avait pas eu le temps mais au rythme de sa respiration et au petits bruits qu’il émettait de temps en temps je savais qu’il aimait. Mais ma colère contre Jackie n’était pas apaisée. Je remontais rapidement sur Hakim pour me placer à califourchon sur lui, lui pris le sexe, écartais mon string et m’empalais sur son sexe en l’embrassant farouchement. Il fallut forcer un peu, il était plus gros que ce que j’avais connu, et quand il passa ce fut d’un coup. Cela me coupa le souffle et m’électrisa tout le corps.

Je commençais sans attendre à onduler des hanches tout en montant et descendant sur ce menhir de chaire qui m’embrasait le ventre. Je le chevauchais sauvagement, le sentant coulisser entre mes reins, me fouiller les entrailles. Je ne pouvais contenir mes gémissements tandis que, toute à mon plaisir, je sentais des ondes de plaisir irradier mon corps depuis mon cul. Je me déchainais sur cette queue qui me donnait tant de plaisir, je reculais sur ses genoux, la faisant presque sortir, revenais me coller à lui pour la faire pénétrer, je me soulevais, m’asseyais sur ces genoux. Autant de sensations différentes qui m’allumaient toute entière. Finalement, tortillant des fesses pour tenter de le faire pénétrer au plus profond, tout mon corps fut parcouru d’une vague de plaisir et je fus submergée par un orgasme violent qui fut alimenté par son explosion dans mon ventre, m’envoyant une seconde décharge. J’ai crié de plaisir.

Reprenant mon souffle, j’ai quitté ses genoux et senti son sexe encore gonflé glisser et me quitter.