Retrouvailles avec ma cousine
Récit érotique écrit par Ling79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Retrouvailles avec ma cousine
Ma cousine
Cela fait presque quarante ans que nous ne nous étions pas revus, en dehors d’une ou deux rencontres lors de décès dans la famille ; après plusieurs appels, j’ai réussi à la décider de passer quelques jours à la maison et nous y sommes.
Marie Thérèse est ma cousine germaine et nous avons passé une grande partie de nos vacances ensembles, ses parents tenant un joli café à Cabourg ; pour moi c’était de grands moments, pêche à pied, baignades, sortie avec ses amis ; mais aussi et peut-être surtout la découverte des jeux entre cousins du même âge ; avant de perdre notre pucelage ensemble lors d’un anniversaire chez un copain. L’aventure a duré pendant deux ans, moment où nous avons découvert les méandres de la sexualité, pour notre plus grand plaisir. Les études, à Paris pour moi, puis mon installation nous ont séparé, et le temps passant nous nous sommes perdus de vue, et je le regrette encore.
Passées les effusions de rencontre, et la connaissance de Marie avec ma compagne, de longues conversations nous remémorent le passé et c’est ainsi que Nini apprend nos jeux et notre plaisir. Il faut reconnaitre que Marie avait un sacré tempérament, ne repoussant pas les conquêtes, qu’elles soient masculines ou féminines. Après deux jours de promenade, dans notre beau Marais Poitevin, nous profitons du beau soleil pour nous détendre en prenant un Jacuzzi.
Quand elle nous rejoint, je peux constater qu’elle a encore de belles formes, malgré ses 60 ans ; son mini maillot cache à peine de jolis seins, dont les auréoles débordent du tissu et dont les pointes sont visibles ; manifestement elle a entretenu son corps et son fessier est encore bien tendu. Cependant, en principe, nous prenons ce bain totalement nu ; pour la circonstance, nini a simplement quitté le haut. Quand Marie le découvre, en riant, elle nous dit : « je suppose que le maillot est de trop ! » et aussitôt elle quitte l’ensemble et sans complexe, elle nous rejoint, totalement nue, découvrant ainsi un pubis totalement rasé. Aussitôt nous en faisons de même, et quand je retire mon slip, il est facile de voir que le tableau de Marie nue m’a beaucoup plu. Je plonge aussitôt sous l’eau, sous le rire des deux femmes ; rien ensuite jusqu’au lendemain.
7h ; nini est déjà partie au travail, et la maison est silencieuse ; tranquillement, je me lève pour le petit déjeuner, selon mon habitude, totalement à poil ; alors que je rentre dans la salle de bain, je constate que j’ai oublié la présence de Marie ; elle vient de prendre sa douche, et elle s’essuie tranquillement. Trop tard pour m’esquiver, elle m’a vu et cela ne semble pas la gêner, car me tendant sa serviette elle me dit « puisque tu es là profite s’en pour m’essuyer le dos, et se tournant, elle me présente, non seulement son dos, mais surtout son fessier, dodu, provoquant. Pour moi la situation devient dangereuse, car si je m’applique pour lui sécher le dos, mon appendice a pris du volume et je n’ose pas trop m’approcher d’elle. Mais il semble qu’elle n’est pas perdue ses envies, car me faisant face soudainement, elle me dit en souriant : « je vois que je te fais toujours autant d’effet ; cela me rappelle le bon temps, et si j’en crois mes yeux, toi aussi ». Il faut dire que pour la deuxième fois, j’ai une pleine vue sur sa poitrine, les tétons tendus, et son mont de vénus ; elle a légèrement écarté ses cuisses, et ses petites lèvres entourent la fente rosée.
Tendant le bras, elle entoure ma queue, puis me regardant fixement elle me dit « hier soir, j’ai dit à ta femme que j’avais envie de faire l’amour avec vous, car lors de notre conversation dans le jacuzzi, j’ai vite compris que vous étiez libertins ; et comme elle m’a donné son accord, j’ai hâte que tu me prennes, comme autrefois ». Se retournant, elle se penche sur le meuble de toilette, et écartant ses fesses, elle m’offre la vue de sa chatte, les lèvres gonflées, d’où perle des gouttes de cyprines ; l’offre est trop criante, et sans préliminaires, je frotte mon gland à l’orée de la grotte et lui agrippant les hanches, je m’enfonce d’une poussée dans la vulve dilatée par l’envie ; la pénétration est totale et elle ne peut retenir un petit cri, de surpris ou de plaisir , mais alors que je commence à la posséder avec force, elle recule son bassin à la rencontre de ma tige ;il est rare que je ne m’occupe pas du plaisir de ma compagne, mais là je la besogne à la hussarde, percutant son fessier à chaque fois, ma queue s’enfonçant sans aucune difficulté dans l’antre offerte ; il est facile de comprendre que sa chatte accueille assez souvent un membre car elle se dilate très facilement, et ses encouragements pour que je la défonce, prouve qu’elle aime cela. Finalement, elle jouit assez vite, m’incrustant ses ongles sur mes cuisses ; alors que je me sens près à jouir moi aussi, je veux me retirer, mais elle s’accroche à moi « vas-y jutes en moi, fécondes moi comme avant, remplies ta salope de cousine de ta semence « et quand mon sperme se répand en elle, un long cri traduit son plaisir.
Notre jouissance a été pratiquement synchro, et quand elle se redresse , ses yeux sont brillants ; m’embrassant à pleine bouche, sa langue luttant contre la mienne, elle m’entraine vers sa chambre ; s’allongeant sur le dos, elle écarte ses cuisses, découvrant une vulve d’où s’écoule la semence qu’elle vient de recevoir ; m’attirant , elle dirige ma tête vers son antre d’amour ; je sais ce que cela veut dire car déjà , autrefois, elle aimait que je lui nettoie la moule après que nous ayons copulé et c’est le cas maintenant. Cela ne me gêne pas, bien au contraire, j’aime laper une chatte gluante qui vient de jouir et quand ma bouche se pose sur son bouton, avant de se coller sur ses lèvres gonflées, un long gémissement s’échappe de sa bouche, écrasant mon visage sur sa chatte. Un « oh oui » vient concrétiser son plaisir ; quand je me retire, si sa chatte est toute propre, par contre, j’ai le visage barbouillé par le mélange de nos sécrétions ; sans aucune hésitation, elle se redresse et vient m’embrasser lapant, elle aussi les traces de notre jouissance.
Nous restons un long moment entrelacé, nous rappelant certains moments de notre jeunesse, de nos amis, de nos jeux, souvent très sexuels. C’est ainsi que je découvre, qu’après le décès de son mari, assez jeune, et semble-t-il peu porté vers les coquineries, elle s’est inscrite sur des sites de rencontre, et qu’elle a rattrapé le temps de disette, participant selon ses dires à plusieurs soirées plutôt chaudes, ayant de nombreux amants, parfois plusieurs en même temps. Je comprends vite que c’est une sacrée coquine et qu’elle a, pardon, qu’elle profite pleinement de ses envies, ce en quoi, je la suis. La discussion a vite fait son effet et j’ai retrouvé toute ma vigueur et mes envies ; je ne suis pas le seul, car Marie se penche sur mon mandrin e commence alors une sucette de rêve ; alternant une pointe de sa langue sur mon méat, pour ensuite gober la totalité de ma tige, pendant de longues minutes, elle joue avec, s’arrêtant de temps en temps pour venir m’embrasser, avant de replonger entre mes cuisses. Finalement c’est moi qui l’écarte ne voulant pas jouir trop vite.
À mon tour, je plonge entre ses cuisses qu’elle écarte, dévoilant sa chatte brulante de désir, ses petites lèvres rouges et gonflées, l’entrée de son antre d’où s’écoule encore des semences accumulées. Son bouton, saillant, est bientôt entre mes lèvres et je l’aspire, le triture, le faisant gonfler entre mes lèvres ; quand ma langue se faufile dans le conduit déjà bien ouvert, elle m’emprisonne ma tête et ses gémissements traduisent son envie ; pendant de longues minutes, je lui broute le minou, aspirant souvent son bouton hyper gonflé, le mordillant. Sa cyprine se déverse sur mes lèvres et c’est avec un grand bonheur que je la bois ; bonheur partagé, car elle m’encourage à lui dévorer sa chatte brulante.
Alors qu’elle vient de jouir pour la énième fois, elle me renverse sur le lit et me plaquant les épaules, elle vient se planter sur ma tige dressée ; la pénétration est complète, c’est elle qui mène le jeu, claquant son fessier sur mes cuisses, elle se fait plaisir ; je n’ai qu’à tendre mon bassin à la rencontre du sien ; quand elle se penche sur ma poitrine pour me donner un fougueux baiser, j’en profite pour glisser un doigt jusqu’à son sillon et utilisant la jute qui s’écoule de sa chatte, je lui perfore l’œillet ; surprise tout d’abord, elle tortille ensuite son bassin, acceptant cette intrusion dans son fondement, puis se redressant c’est elle qui présente mon gland au contact de son petit trou.
J’ai décidé de prendre le jeu en main, et lui agrippant les épaules pour la maintenir, je donne un grand coup de rein ; ma queue lui perfore alors l’anneau et elle ne peut retenir un cri de douleur, me traitant de salop, mais m’embrassant aussitôt après. Finalement là aussi, elle se démène et je n’ai aucun mal à l’amener à la jouissance, avant moi aussi de succomber, éjaculant en elle de longs et chauds jets de sperme. Alors que nous récupérons, elle m’avoue qu’elle en avait très envie, ses derniers amants ne lui ayant pas donné ce plaisir.
Un long moment après une douche réparatrice, nous nous retrouvons sur le canapé, sans aucun gène de part et d’autre, bien au contraire. c’est elle qui revient sur le sujet de notre libertinage ; je lui confirme alors que j’aime voir Nicole avec soit un homme , soit une femme et que moi-même je suis bi ; elle m’écoute avec attention, mais ses rares questions sont très portées sur notre plaisir et sur nos envies, avant de m’avouer « j’aimerais beaucoup faire l’amour avec ta femme ; tu te souviens sans aucun doute notre jeu à trois avec ma copine ; je lui ai appartenu très souvent ensuite, pour moi, j’étais la dominatrice et j’ai eu deux ou trois fois l’occasion plus tard de m’offrir à une femme, et pour l’une d’entre elle cela a durer deux ans, pour mon plus grand plaisir » sans aucune difficulté, je lui avoue que cela me plairait beaucoup et que Nicole étant très bi, et partiellement au courant de nos jeux entre cousins, je pense que cela ne posera pas de difficulté ; à elle de la provoquer.
Alors que nos mains sont à nouveau occupées, elle me regarde et me demande « et toi, tu as des relations avec des hommes ? » après lui avoir déposer un baiser sur les lèvres , je lui raconte quelques-unes de mes sorties, mais aussi les fois où les amants de Nicole m’ont possédés devant elle, ainsi que les sodomies que me donnent parfois ma petite femme ; « oh super, tu me donnes envie de te le faire, si Nicole est d’accord » « je pense qu’elle sera ok pour m’offrir à tes envies ; je pense même qu’elle voudra que je m’habille en femme » alors qu’elle avait commencé à me caresser la queue, elle s’arrête et me fixant elle demande « tu aimes être soumis et être une femme, réellement ? uniquement pour elle ? » Petit moment de silence et j’avoue « non j’aime qu’elle m’offre à d’autres hommes, les accueillant travesti, et me comportant en véritable femelle devant et pour eux.
J’avoue que cette conversation m’a redonné des envies ; ma queue est bien tendue dans mon short ; pas pour longtemps car sa main s’infiltre et vient me branler doucement « dis donc cela t’excite vachement, cela me donne envie à mon tour de te soumettre ; vas te travestir, et montres-moi les jouets de Nicole, dépêche-toi ! ». Dans ma tête c’est la tourmente ; moi qui ai été dominant du temps de nos jeux autrefois, je vais devoir être soumis, d’autant plus qu’il ressort de son attitude, une certaine dureté, auquel je ne suis pas habitué ; de plus vue l’heure, Nicole ne va pas tarder à rentrer. Quand je lui fais remarquer le fait, un rictus au coin des lèvres, puis un regard dur « je t’ai donné un ordre, obéit et tant mieux si Nicole arrive à temps ; tu devras te soumettre à nous deux, et si j’en crois tes dires, elle ne va pas refuser ; de plus ensuite tu pourras nous entendre faire l’amour ensemble, sans que tu puisses participer ; maintenant dépêche-toi, sinon tu auras droit à quelques sanctions, je suis sur qu’elle a un fouet »Finalement, Nicole est arrivée avant que marie ai eu le temps de s’occuper de moi ; d’autant plus qu’à peine est-elle dans la maison, Marie s’est approchée d’elle et a prouvé ses envies, en l’embrassant sur la bouche ; d’abord surprise, nini a vite répondu à la fougue de ma cousine et c’est sur le canapé qu’elles ont continué à s’enlacer. Nini s’est vite aperçue de ma tenue et s’adressant à marie « si je comprends, tu avais prévu soumettre mon homme ; je suis d’accord, mais avant, il va devoir assister, sans bouger, à nos ébats, car moi aussi j’ai très envie de toi ; je sais que jeune tu as déjà eu des relations amoureuses avec une amie, donc profitons-en ; fais- moi l’amour comme tu en as envie, je suis à toi »à suivre.
Cela fait presque quarante ans que nous ne nous étions pas revus, en dehors d’une ou deux rencontres lors de décès dans la famille ; après plusieurs appels, j’ai réussi à la décider de passer quelques jours à la maison et nous y sommes.
Marie Thérèse est ma cousine germaine et nous avons passé une grande partie de nos vacances ensembles, ses parents tenant un joli café à Cabourg ; pour moi c’était de grands moments, pêche à pied, baignades, sortie avec ses amis ; mais aussi et peut-être surtout la découverte des jeux entre cousins du même âge ; avant de perdre notre pucelage ensemble lors d’un anniversaire chez un copain. L’aventure a duré pendant deux ans, moment où nous avons découvert les méandres de la sexualité, pour notre plus grand plaisir. Les études, à Paris pour moi, puis mon installation nous ont séparé, et le temps passant nous nous sommes perdus de vue, et je le regrette encore.
Passées les effusions de rencontre, et la connaissance de Marie avec ma compagne, de longues conversations nous remémorent le passé et c’est ainsi que Nini apprend nos jeux et notre plaisir. Il faut reconnaitre que Marie avait un sacré tempérament, ne repoussant pas les conquêtes, qu’elles soient masculines ou féminines. Après deux jours de promenade, dans notre beau Marais Poitevin, nous profitons du beau soleil pour nous détendre en prenant un Jacuzzi.
Quand elle nous rejoint, je peux constater qu’elle a encore de belles formes, malgré ses 60 ans ; son mini maillot cache à peine de jolis seins, dont les auréoles débordent du tissu et dont les pointes sont visibles ; manifestement elle a entretenu son corps et son fessier est encore bien tendu. Cependant, en principe, nous prenons ce bain totalement nu ; pour la circonstance, nini a simplement quitté le haut. Quand Marie le découvre, en riant, elle nous dit : « je suppose que le maillot est de trop ! » et aussitôt elle quitte l’ensemble et sans complexe, elle nous rejoint, totalement nue, découvrant ainsi un pubis totalement rasé. Aussitôt nous en faisons de même, et quand je retire mon slip, il est facile de voir que le tableau de Marie nue m’a beaucoup plu. Je plonge aussitôt sous l’eau, sous le rire des deux femmes ; rien ensuite jusqu’au lendemain.
7h ; nini est déjà partie au travail, et la maison est silencieuse ; tranquillement, je me lève pour le petit déjeuner, selon mon habitude, totalement à poil ; alors que je rentre dans la salle de bain, je constate que j’ai oublié la présence de Marie ; elle vient de prendre sa douche, et elle s’essuie tranquillement. Trop tard pour m’esquiver, elle m’a vu et cela ne semble pas la gêner, car me tendant sa serviette elle me dit « puisque tu es là profite s’en pour m’essuyer le dos, et se tournant, elle me présente, non seulement son dos, mais surtout son fessier, dodu, provoquant. Pour moi la situation devient dangereuse, car si je m’applique pour lui sécher le dos, mon appendice a pris du volume et je n’ose pas trop m’approcher d’elle. Mais il semble qu’elle n’est pas perdue ses envies, car me faisant face soudainement, elle me dit en souriant : « je vois que je te fais toujours autant d’effet ; cela me rappelle le bon temps, et si j’en crois mes yeux, toi aussi ». Il faut dire que pour la deuxième fois, j’ai une pleine vue sur sa poitrine, les tétons tendus, et son mont de vénus ; elle a légèrement écarté ses cuisses, et ses petites lèvres entourent la fente rosée.
Tendant le bras, elle entoure ma queue, puis me regardant fixement elle me dit « hier soir, j’ai dit à ta femme que j’avais envie de faire l’amour avec vous, car lors de notre conversation dans le jacuzzi, j’ai vite compris que vous étiez libertins ; et comme elle m’a donné son accord, j’ai hâte que tu me prennes, comme autrefois ». Se retournant, elle se penche sur le meuble de toilette, et écartant ses fesses, elle m’offre la vue de sa chatte, les lèvres gonflées, d’où perle des gouttes de cyprines ; l’offre est trop criante, et sans préliminaires, je frotte mon gland à l’orée de la grotte et lui agrippant les hanches, je m’enfonce d’une poussée dans la vulve dilatée par l’envie ; la pénétration est totale et elle ne peut retenir un petit cri, de surpris ou de plaisir , mais alors que je commence à la posséder avec force, elle recule son bassin à la rencontre de ma tige ;il est rare que je ne m’occupe pas du plaisir de ma compagne, mais là je la besogne à la hussarde, percutant son fessier à chaque fois, ma queue s’enfonçant sans aucune difficulté dans l’antre offerte ; il est facile de comprendre que sa chatte accueille assez souvent un membre car elle se dilate très facilement, et ses encouragements pour que je la défonce, prouve qu’elle aime cela. Finalement, elle jouit assez vite, m’incrustant ses ongles sur mes cuisses ; alors que je me sens près à jouir moi aussi, je veux me retirer, mais elle s’accroche à moi « vas-y jutes en moi, fécondes moi comme avant, remplies ta salope de cousine de ta semence « et quand mon sperme se répand en elle, un long cri traduit son plaisir.
Notre jouissance a été pratiquement synchro, et quand elle se redresse , ses yeux sont brillants ; m’embrassant à pleine bouche, sa langue luttant contre la mienne, elle m’entraine vers sa chambre ; s’allongeant sur le dos, elle écarte ses cuisses, découvrant une vulve d’où s’écoule la semence qu’elle vient de recevoir ; m’attirant , elle dirige ma tête vers son antre d’amour ; je sais ce que cela veut dire car déjà , autrefois, elle aimait que je lui nettoie la moule après que nous ayons copulé et c’est le cas maintenant. Cela ne me gêne pas, bien au contraire, j’aime laper une chatte gluante qui vient de jouir et quand ma bouche se pose sur son bouton, avant de se coller sur ses lèvres gonflées, un long gémissement s’échappe de sa bouche, écrasant mon visage sur sa chatte. Un « oh oui » vient concrétiser son plaisir ; quand je me retire, si sa chatte est toute propre, par contre, j’ai le visage barbouillé par le mélange de nos sécrétions ; sans aucune hésitation, elle se redresse et vient m’embrasser lapant, elle aussi les traces de notre jouissance.
Nous restons un long moment entrelacé, nous rappelant certains moments de notre jeunesse, de nos amis, de nos jeux, souvent très sexuels. C’est ainsi que je découvre, qu’après le décès de son mari, assez jeune, et semble-t-il peu porté vers les coquineries, elle s’est inscrite sur des sites de rencontre, et qu’elle a rattrapé le temps de disette, participant selon ses dires à plusieurs soirées plutôt chaudes, ayant de nombreux amants, parfois plusieurs en même temps. Je comprends vite que c’est une sacrée coquine et qu’elle a, pardon, qu’elle profite pleinement de ses envies, ce en quoi, je la suis. La discussion a vite fait son effet et j’ai retrouvé toute ma vigueur et mes envies ; je ne suis pas le seul, car Marie se penche sur mon mandrin e commence alors une sucette de rêve ; alternant une pointe de sa langue sur mon méat, pour ensuite gober la totalité de ma tige, pendant de longues minutes, elle joue avec, s’arrêtant de temps en temps pour venir m’embrasser, avant de replonger entre mes cuisses. Finalement c’est moi qui l’écarte ne voulant pas jouir trop vite.
À mon tour, je plonge entre ses cuisses qu’elle écarte, dévoilant sa chatte brulante de désir, ses petites lèvres rouges et gonflées, l’entrée de son antre d’où s’écoule encore des semences accumulées. Son bouton, saillant, est bientôt entre mes lèvres et je l’aspire, le triture, le faisant gonfler entre mes lèvres ; quand ma langue se faufile dans le conduit déjà bien ouvert, elle m’emprisonne ma tête et ses gémissements traduisent son envie ; pendant de longues minutes, je lui broute le minou, aspirant souvent son bouton hyper gonflé, le mordillant. Sa cyprine se déverse sur mes lèvres et c’est avec un grand bonheur que je la bois ; bonheur partagé, car elle m’encourage à lui dévorer sa chatte brulante.
Alors qu’elle vient de jouir pour la énième fois, elle me renverse sur le lit et me plaquant les épaules, elle vient se planter sur ma tige dressée ; la pénétration est complète, c’est elle qui mène le jeu, claquant son fessier sur mes cuisses, elle se fait plaisir ; je n’ai qu’à tendre mon bassin à la rencontre du sien ; quand elle se penche sur ma poitrine pour me donner un fougueux baiser, j’en profite pour glisser un doigt jusqu’à son sillon et utilisant la jute qui s’écoule de sa chatte, je lui perfore l’œillet ; surprise tout d’abord, elle tortille ensuite son bassin, acceptant cette intrusion dans son fondement, puis se redressant c’est elle qui présente mon gland au contact de son petit trou.
J’ai décidé de prendre le jeu en main, et lui agrippant les épaules pour la maintenir, je donne un grand coup de rein ; ma queue lui perfore alors l’anneau et elle ne peut retenir un cri de douleur, me traitant de salop, mais m’embrassant aussitôt après. Finalement là aussi, elle se démène et je n’ai aucun mal à l’amener à la jouissance, avant moi aussi de succomber, éjaculant en elle de longs et chauds jets de sperme. Alors que nous récupérons, elle m’avoue qu’elle en avait très envie, ses derniers amants ne lui ayant pas donné ce plaisir.
Un long moment après une douche réparatrice, nous nous retrouvons sur le canapé, sans aucun gène de part et d’autre, bien au contraire. c’est elle qui revient sur le sujet de notre libertinage ; je lui confirme alors que j’aime voir Nicole avec soit un homme , soit une femme et que moi-même je suis bi ; elle m’écoute avec attention, mais ses rares questions sont très portées sur notre plaisir et sur nos envies, avant de m’avouer « j’aimerais beaucoup faire l’amour avec ta femme ; tu te souviens sans aucun doute notre jeu à trois avec ma copine ; je lui ai appartenu très souvent ensuite, pour moi, j’étais la dominatrice et j’ai eu deux ou trois fois l’occasion plus tard de m’offrir à une femme, et pour l’une d’entre elle cela a durer deux ans, pour mon plus grand plaisir » sans aucune difficulté, je lui avoue que cela me plairait beaucoup et que Nicole étant très bi, et partiellement au courant de nos jeux entre cousins, je pense que cela ne posera pas de difficulté ; à elle de la provoquer.
Alors que nos mains sont à nouveau occupées, elle me regarde et me demande « et toi, tu as des relations avec des hommes ? » après lui avoir déposer un baiser sur les lèvres , je lui raconte quelques-unes de mes sorties, mais aussi les fois où les amants de Nicole m’ont possédés devant elle, ainsi que les sodomies que me donnent parfois ma petite femme ; « oh super, tu me donnes envie de te le faire, si Nicole est d’accord » « je pense qu’elle sera ok pour m’offrir à tes envies ; je pense même qu’elle voudra que je m’habille en femme » alors qu’elle avait commencé à me caresser la queue, elle s’arrête et me fixant elle demande « tu aimes être soumis et être une femme, réellement ? uniquement pour elle ? » Petit moment de silence et j’avoue « non j’aime qu’elle m’offre à d’autres hommes, les accueillant travesti, et me comportant en véritable femelle devant et pour eux.
J’avoue que cette conversation m’a redonné des envies ; ma queue est bien tendue dans mon short ; pas pour longtemps car sa main s’infiltre et vient me branler doucement « dis donc cela t’excite vachement, cela me donne envie à mon tour de te soumettre ; vas te travestir, et montres-moi les jouets de Nicole, dépêche-toi ! ». Dans ma tête c’est la tourmente ; moi qui ai été dominant du temps de nos jeux autrefois, je vais devoir être soumis, d’autant plus qu’il ressort de son attitude, une certaine dureté, auquel je ne suis pas habitué ; de plus vue l’heure, Nicole ne va pas tarder à rentrer. Quand je lui fais remarquer le fait, un rictus au coin des lèvres, puis un regard dur « je t’ai donné un ordre, obéit et tant mieux si Nicole arrive à temps ; tu devras te soumettre à nous deux, et si j’en crois tes dires, elle ne va pas refuser ; de plus ensuite tu pourras nous entendre faire l’amour ensemble, sans que tu puisses participer ; maintenant dépêche-toi, sinon tu auras droit à quelques sanctions, je suis sur qu’elle a un fouet »Finalement, Nicole est arrivée avant que marie ai eu le temps de s’occuper de moi ; d’autant plus qu’à peine est-elle dans la maison, Marie s’est approchée d’elle et a prouvé ses envies, en l’embrassant sur la bouche ; d’abord surprise, nini a vite répondu à la fougue de ma cousine et c’est sur le canapé qu’elles ont continué à s’enlacer. Nini s’est vite aperçue de ma tenue et s’adressant à marie « si je comprends, tu avais prévu soumettre mon homme ; je suis d’accord, mais avant, il va devoir assister, sans bouger, à nos ébats, car moi aussi j’ai très envie de toi ; je sais que jeune tu as déjà eu des relations amoureuses avec une amie, donc profitons-en ; fais- moi l’amour comme tu en as envie, je suis à toi »à suivre.
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