RÊVE OU MAGIE 2
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2013 dans la catégorie A dormir debout
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RÊVE OU MAGIE 2
Chapitre 2
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles, je suis a poil dans mon lit sans me souvenir comment je m’y suis rendu, il n’y avait personne d’autre dans la maison. Est-ce que j’avais rêvé ma soirée avec elle ? Suis-je rentré tellement bourré hier soir que je ne sais pas comment je me suis couché ? Assez de questions, une douche rapide pour essayer de reprendre mes esprits. J’ai toujours très mal a la tète, un comprimé pendant que passe le café. Je suis en retard, il va falloir que je fasse davantage attention samedi prochain et ne pas boire autant.
Ça y est toutes les bêtes sont soignées il est environ dix heures, j’ai toujours mal a la tète, le comprimé n’a pas eut d’effets, je rentre a la maison pour en prendre un autre
En ouvrant la porte, je suis assailli par un nuage de fumée parfumée, que ce passe-il ?
J’entre, la maison est sombre, juste éclairée par des bougies, l’interrupteur ne fonctionne pas, la fumée est entêtante. Je m’avance et la vois, debout dans l’encadrement de la porte du salon, habillée comme dans mon rêve, elle portait un bustier en cuir noir qui lui moulais sa belle poitrine, un porte jarretelle noir qui encadrait son pubis complètement lisse, et les bottes noires qui remontaient jusqu’aux genoux qui finissaient sa panoplie. Par contre elle n’était pas brune mais blonde et semblait beaucoup plus jeune que Lisa. Elle s’est approché de moi, m’a poussé vers une chaise, m’a attaché les poignets sous la chaise puis a poussé sur mes épaules et je suis tombé a la renverse me heurtant fortement la tète sur le sol. Elle est venue au dessus de moi et s’est accroupie pour me coller sa moule sur le visage. Je l’ai léché du mieux que j’ai pu, elle se déplaçait régulièrement pour que ma langue aille ou elle avait le plus de plaisir puis elle s’est contractée, a poussé un cri très strident et saccadé pendant que sa mouille m’inondait le visage.
Elle s’est relevé et a disparue. Après cinq bonnes minutes, j’ai à nouveau entendu des pas, et c’est une belle touffe rousse qui s’est collé sur ma bouche. Je n’y comprenais rien mais j’ai léché, le gout était différent plus fort, plus musqué, rapidement elle aussi a abondamment jouis sur mon visage puis est partie me laissant couché par terre bandant comme un fou.
A nouveau des bruits de pas, c’est Lisa, elle passe derrière moi, attrape ma tète et me relève puis vient devant moi, ouvre ma braguette, en sort mon chibre et se met à le sucer en le branlant. Rapidement je me soulage dans sa bouche, elle se relève attrape un verre et crache dedans tout le jus que je venais de lui offrir puis elle revient vers moi et me colle sa toison sur le visage. Son odeur est comme un aphrodisiaque, je la suce un peu et bande a nouveau, elle se remet à me branler en me suçant jusqu'à ce que je jouisse une nouvelle foi dans sa bouche.
Le cirque a recommencé encore et encore jusqu'à ce que le verre soit a moitié plein de mon jus puis sans un mot, elle est partie avec son verre à la main me laissant a moitié comateux sur ma chaise les poignets toujours attachés.
J’entendais des bruits étranges venant de la pièce d’à coté, des gémissements, des chants bizarres, épuisé par mes jouissances a répétition, je me suis endormi.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles, je suis a poil dans mon lit sans me souvenir comment je m’y suis rendu, elles n’étaient pas la. Est-ce que j’ai à nouveau rêvé ? Comment je me suis couché ? Assez de questions, une douche rapide pour essayer de reprendre mes esprits. J’ai toujours très mal a la tète, deux comprimés pendant que passe le café. Je suis en retard il me faut soigner les bêtes.
La matinée passe très vite, déjà 11h il me faut faire des courses je file vite au village, mes courses faites, comme j’ai toujours mal a la tète, je passe a la pharmacie reprendre des comprimés pour le mal au crane, je demande au pharmacien un truc très efficace lui expliquant que j’avais pris du Dol….. Et que ça na m’avais rien fait, que j’avais encore très mal. Pendant qu’il cherchait dans son arrière boutique le produit miracle pour mon mal au crane, je vois passer dans la rue Lisa et deux autres filles, une blonde et une rousse. Je n’en reviens pas, je n’ai donc pas rêvé, ces filles existent vraiment. Le pharmacien me tire de mes pensées
- Voila de celui-ci vous pouvez prendre au maximum trois comprimés par jours par contre celui la, un seul maximum de préférence le soir, il contient de l’opium, il ne faut surtout pas conduire après il a des effets soporifiques.
Je le remercie, paye et rentre chez moi rapidement pensant trouver les filles sur la route.
Non, je ne les ai pas vu, j’avale deux comprimés et retourne travailler. Le soir arrive, je mange un bout, regarde un peu la télé puis comme mon mal au crane bien qu’atténué est toujours la, j’avale le comprimé le plus fort et part me coucher.
Mon réveil a sonné, 6 heures je me lève en pleine forme, plus mal a la tète, je me douche déjeune, tien le café a un drôle de gout. Je travaille toute la journée sans le moindre problème le soir c’est Christian de la ferme voisine qui est venu me voir
- Salut, comment tu vas, je t’ai vu sortir de la pharmacie l’autre jour, t’es pas malade au moins ?
- Non, c’étais juste un petit mal de tète, tout baigne.
- Tu sais que tu as des campeurs a la limite du bois ?
- Oui, je sais, ils font des études sur les pierres.
- Dit leur de bien refermer la clôture, hier, j’ai retrouvé ton bouc et deux de tes chevres dans ma friche, j’ai mis plus d’une heure pour les faire rentrer dans ton champ.
- Bien, je leur dirais. Je pense qu’ils passent par chez toi pour faire leurs courses c’est beaucoup plus court que par la route.
- Oui, je sais mai qu’ils ferment bien la clôture, si je retrouve a nouveau tes bêtes chez moi , je leur interdit de passer.
- Sur, j’irais leur dire demain.
- Don allez salut, il faut que je rentre.
- Salut, a samedi à la boite ?
- Peut être, je ne sais pas trop, tu sais avec le travail cet an ci, je suis assez fatigué.
Après son départ, j’ai mangé un bout puis j’ai pris un comprimé et je suis parti me coucher.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles, je suis a poil dans mon lit sans me souvenir comment je m’y suis rendu, il n’y avait personne d’autre dans la maison. Est-ce que j’avais rêvé ma soirée avec elle ? Suis-je rentré tellement bourré hier soir que je ne sais pas comment je me suis couché ? Assez de questions, une douche rapide pour essayer de reprendre mes esprits. J’ai toujours très mal a la tète, un comprimé pendant que passe le café. Je suis en retard, il va falloir que je fasse davantage attention samedi prochain et ne pas boire autant.
Ça y est toutes les bêtes sont soignées il est environ dix heures, j’ai toujours mal a la tète, le comprimé n’a pas eut d’effets, je rentre a la maison pour en prendre un autre
En ouvrant la porte, je suis assailli par un nuage de fumée parfumée, que ce passe-il ?
J’entre, la maison est sombre, juste éclairée par des bougies, l’interrupteur ne fonctionne pas, la fumée est entêtante. Je m’avance et la vois, debout dans l’encadrement de la porte du salon, habillée comme dans mon rêve, elle portait un bustier en cuir noir qui lui moulais sa belle poitrine, un porte jarretelle noir qui encadrait son pubis complètement lisse, et les bottes noires qui remontaient jusqu’aux genoux qui finissaient sa panoplie. Par contre elle n’était pas brune mais blonde et semblait beaucoup plus jeune que Lisa. Elle s’est approché de moi, m’a poussé vers une chaise, m’a attaché les poignets sous la chaise puis a poussé sur mes épaules et je suis tombé a la renverse me heurtant fortement la tète sur le sol. Elle est venue au dessus de moi et s’est accroupie pour me coller sa moule sur le visage. Je l’ai léché du mieux que j’ai pu, elle se déplaçait régulièrement pour que ma langue aille ou elle avait le plus de plaisir puis elle s’est contractée, a poussé un cri très strident et saccadé pendant que sa mouille m’inondait le visage.
Elle s’est relevé et a disparue. Après cinq bonnes minutes, j’ai à nouveau entendu des pas, et c’est une belle touffe rousse qui s’est collé sur ma bouche. Je n’y comprenais rien mais j’ai léché, le gout était différent plus fort, plus musqué, rapidement elle aussi a abondamment jouis sur mon visage puis est partie me laissant couché par terre bandant comme un fou.
A nouveau des bruits de pas, c’est Lisa, elle passe derrière moi, attrape ma tète et me relève puis vient devant moi, ouvre ma braguette, en sort mon chibre et se met à le sucer en le branlant. Rapidement je me soulage dans sa bouche, elle se relève attrape un verre et crache dedans tout le jus que je venais de lui offrir puis elle revient vers moi et me colle sa toison sur le visage. Son odeur est comme un aphrodisiaque, je la suce un peu et bande a nouveau, elle se remet à me branler en me suçant jusqu'à ce que je jouisse une nouvelle foi dans sa bouche.
Le cirque a recommencé encore et encore jusqu'à ce que le verre soit a moitié plein de mon jus puis sans un mot, elle est partie avec son verre à la main me laissant a moitié comateux sur ma chaise les poignets toujours attachés.
J’entendais des bruits étranges venant de la pièce d’à coté, des gémissements, des chants bizarres, épuisé par mes jouissances a répétition, je me suis endormi.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles, je suis a poil dans mon lit sans me souvenir comment je m’y suis rendu, elles n’étaient pas la. Est-ce que j’ai à nouveau rêvé ? Comment je me suis couché ? Assez de questions, une douche rapide pour essayer de reprendre mes esprits. J’ai toujours très mal a la tète, deux comprimés pendant que passe le café. Je suis en retard il me faut soigner les bêtes.
La matinée passe très vite, déjà 11h il me faut faire des courses je file vite au village, mes courses faites, comme j’ai toujours mal a la tète, je passe a la pharmacie reprendre des comprimés pour le mal au crane, je demande au pharmacien un truc très efficace lui expliquant que j’avais pris du Dol….. Et que ça na m’avais rien fait, que j’avais encore très mal. Pendant qu’il cherchait dans son arrière boutique le produit miracle pour mon mal au crane, je vois passer dans la rue Lisa et deux autres filles, une blonde et une rousse. Je n’en reviens pas, je n’ai donc pas rêvé, ces filles existent vraiment. Le pharmacien me tire de mes pensées
- Voila de celui-ci vous pouvez prendre au maximum trois comprimés par jours par contre celui la, un seul maximum de préférence le soir, il contient de l’opium, il ne faut surtout pas conduire après il a des effets soporifiques.
Je le remercie, paye et rentre chez moi rapidement pensant trouver les filles sur la route.
Non, je ne les ai pas vu, j’avale deux comprimés et retourne travailler. Le soir arrive, je mange un bout, regarde un peu la télé puis comme mon mal au crane bien qu’atténué est toujours la, j’avale le comprimé le plus fort et part me coucher.
Mon réveil a sonné, 6 heures je me lève en pleine forme, plus mal a la tète, je me douche déjeune, tien le café a un drôle de gout. Je travaille toute la journée sans le moindre problème le soir c’est Christian de la ferme voisine qui est venu me voir
- Salut, comment tu vas, je t’ai vu sortir de la pharmacie l’autre jour, t’es pas malade au moins ?
- Non, c’étais juste un petit mal de tète, tout baigne.
- Tu sais que tu as des campeurs a la limite du bois ?
- Oui, je sais, ils font des études sur les pierres.
- Dit leur de bien refermer la clôture, hier, j’ai retrouvé ton bouc et deux de tes chevres dans ma friche, j’ai mis plus d’une heure pour les faire rentrer dans ton champ.
- Bien, je leur dirais. Je pense qu’ils passent par chez toi pour faire leurs courses c’est beaucoup plus court que par la route.
- Oui, je sais mai qu’ils ferment bien la clôture, si je retrouve a nouveau tes bêtes chez moi , je leur interdit de passer.
- Sur, j’irais leur dire demain.
- Don allez salut, il faut que je rentre.
- Salut, a samedi à la boite ?
- Peut être, je ne sais pas trop, tu sais avec le travail cet an ci, je suis assez fatigué.
Après son départ, j’ai mangé un bout puis j’ai pris un comprimé et je suis parti me coucher.
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