RÊVE OU MAGIE 3 - histoire érotique

Chapitre 3
Je me suis réveillé avant même que le réveil sonne, en pleine forme, j’ai fait rapidement mon travail puis j’ai pris mon quad pour voir commet avançait le travail aux pierres. Quand je suis arrivé, je ne reconnaissais plus le coin, elles avaient entièrement refait le cite comme il devait être il y a quelques siècles.
- Salut Lisa, vous avez fait un travail énorme ici.
- Oui, nous avons reconstruit comme c’était indiqué sur le parchemin, regarde, au centre l’hôtel pour les sacrifices, autour les pierres pour les adeptes en face la grosse pierre c’est celle du maitre et les trois plus petites juste devant sont celles des prêtresses.
- Oui, c’est très beau mai vous avez déplacé ces grosses pierres toutes seules ?
- Oui, bien sur. La plus dure à mettre en place ce fut celle de l’hôtel, on a du s’y reprendre une dizaine de foi pour la mettre exactement comme elle doit être.
- Mai je ne voie pas de matériel de levage ici !
- Nous n’en avons pas besoin, nous avons fait comme a l’époque. Avec beaucoup d’efforts et de prières.
- Oui, je vois. Au fait, j’ai rencontré mon voisin et il a trouvé mes bêtes chez lui, et n’étais pas content, n’oubliez pas de bien fermer les clôtures quand vous partez au village.
- Oui, c’est promis mais de toute manière nous ne resterons pas très longtemps. Demain c’est samedi, nous nous préparerons pour la fête puis dimanche si tu veux toujours tu pourras prendre la virginité de ma sœur et de sa copine et lundi ou mardi nous repartirons à moins que …….
- A moins que quoi ?
- Le site ne soit pas celui qu’on recherche mais un autre, avec ces croyances anciennes on a quelquefois des surprises. Ah tien en parlant de cérémonie, il te faut avaler cette poudre tous les jours trois foi par jour jusqu'à dimanche.
- Quesque c’est ?
- Des plantes réduites en poudre, elles proviennent toutes du coin.
- Ah bon et il faut que j’avale ça trois foi par jour ?
- Oui pour te purifier. Et samedi pas de sortie, nous te voulons en pleine forme dimanche soir. Si tu veux je viendrais te tenir compagnie.
- Ah oui, c’est une bonne idée. Tu peux venir avec ta sœur et sa copine.
- Non, elles, elles doivent se préparer pour la cérémonie.
- Ah bon, à samedi soir alors.
- A samedi.
Je suis remonté sur mon quad et je suis rentré à la ferme. Le soir j’ai avalé mon premier sachet de poudre, le gout n’était pas terrible, mais bon, la fleur de deux jeunes femmes mérite bien quelques sacrifices.
Le samedi soir a l’heure ou habituellement je partais faire la fête elle est arrivée avec un gros sac.
- bonjours, tu as mangé ?
- non, pas encore, je t’attendais.
- C’est parfait, j’ai tout le repas dans mon sac.
- Tous le repas ?
- Oui, pour ce soir et demain midi c’est pour que tu sois parfaitement pur pour la cérémonie.
- Ah bon et Qu’es ce que l’on mange pour être pur ?
- Tu verras, tu as déjà pris ta poudre ce soir ?
- Non pas encore, j’allais le faire.
- Je te la prépare, ce sera ton apéro. Pars au salon, je m’occupe de tout.
Dans le salon je me suis confortablement installé dans le canapé et j’ai attendu. Dix minutes plus tard elle arrivait avec un plateau et m’a tendu un verre.
- Voila ton apéro pour ce soir
J’ai gouté, c’étais très fort, un peu comme la première foi qu’elle m’avait fait boire un truc de sa composition, je me réjouissais de la soirée en y repensant. Rapidement j’ai fini mon verre, comme par magie, il s’est rempli quand je l’ai posé sur la table pour manger quelques petits trucs qu’elle avait apportés. La même scène s’est reproduite plusieurs foi à tel point que j’ai commencé à avoir les idées brouillées, subitement je me suis senti très fatigué, je pense m’être endormi sur le canapé.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai a nouveau très mal a la tète et aux couilles, je suis a poil dans mon lit mais un truc m’enserre la taille, je regarde, je porte une sorte de large slip en plastique assez rigide qui m’empêche de sortir mon chibre, il semble être fermé de manière a ce que je ne puisse pas le retirer. Elle est couchée à coté de moi et dort paisiblement, je tire le drap, elle est nue, sa toison noire sur sa peau très blanche m’attire, je tends la main pour la caresser. A mon contact elle frémi, et écarte les jambes, mes doigts entrent en elle, elle se réveille
- Oh oui, fait moi jouir.
Je m’active, elle crie son plaisir, je bande comme un fou dans ma prison de plastique. Son odeur m’enivre. Elle se dégage et entièrement nue quitte la pièce pour revenir quelques minutes plus tard avec un plateau sur lequel il y a un verre rempli d’un produit brun et mon bol de café fumant
- Avale vite ça et va soigner tes bêtes puis viens me retrouver, je t’attends
Après avoir bu le café et le verre je suis parti faire mon travail. Pendant que je travaillais j’ai réfléchi a la soirée je ne sais pas comment je me suis couché, est-ce qu’on a fait l’amour hier soir ? Pourquoi j’ai si mal aux couilles ? A quel moment elle m’a mis ce truc qui me gène. Quand je la retrouverais tout a l’heure il faudra que je lui demande.
Mon travail est fini, je rentre dans la maison, pas un bruit, je file dans la chambre, une forme sous les draps, c’est elle, doucement je me déshabille dans le noir et me couche a ses coté puis lui caresse doucement la poitrine, elle gémit, se retourne, m’embrasse. Mes mains descendent le long de son corps pour à nouveau la caresser et la surprise, elle est complètement lisse, pas un poil, Je n’y comprends rien, me retourne et allume la lampe de chevet, ce n’est pas Lisa, la belle brune mais une blonde magnifique qui est couchée nue a coté de moi.
- Fait moi jouir
Je réponds a sa demande et la caresse, la lèche du mieux que je peux, je bande comme un fou mais ne peux rien faire, a a cause de cette ceinture de chasteté qu’elles m’imposent, j’ai très mal aux couilles et lui demande de me soulager un peu sa réponse est sèche :
- Il faut te réserver pour ce soir.
Je l’ai faite jouir deux ou trois foi sous mes caresses sans rien en échange puis elle s’est levée, a éteins la lampe puis elle est partie pour revenir quelques secondes après. Dans le noir elle me tend un verre
- Bois ça et fait moi jouir.
La voix est légèrement différente, je rallume la lampe, c’est la belle rousse qui est dans mon lit maintenant.
- Éteins la lumière et fait moi jouir
Je me suis appliqué du mieux que j’ai pu, elle aussi s’est contentée de jouir sans rien faire en retours pour me calmer. J’ai fait ce que je pouvais pour la faire jouir sous mes caresses, après m’être fait asperger le visage et les doigts plusieurs fois par sa jouissance, je me suis endormi.