RÊVE OU MAGIE 5
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2013 dans la catégorie A dormir debout
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RÊVE OU MAGIE 5
Chapitre 5
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles, je suis a poil dans mon lit sans me souvenir comment je m’y suis rendu, personne avec moi. Est-ce que j’avais rêvé cette folle soirée ? je regarde a coté de moi, une belle tache humide, Je sens le drap taché, un parfum suave de femme en chaleur, des images m’envahissent des images de femmes jouissant sous mes caresses, il faut que je me ressaisisse, j’ai a nouveau trop mal a la tète, je prends deux comprimés et part soigner les bêtes. Pendant tout mon travail j’ai sans cesse les mêmes flashs qui me viennent en tète, des filles magnifiques qui se font prendre par mon bouc et qui jouissent comme des folles, c’est incroyable.
Je prends mon quad et part aux pierres. Personne, la tente est bien la, les pierres sont bien rangées comme la dernière foi que je les ai vu, tout est calme, dans le champ à coté, mon bouc et les chèvres paissent tranquillement. Je m’avance, appelle, pas de réponses, j’entre sous l’auvent de la grande tente, une odeur suave et agréable m’envahie, je m’avance, passe la tète dans une des chambres, Lisa dors paisiblement dans un grand sac de couchage, dans la chambre à coté deux duvets en boule l’un d’un coté l’autre de l’autre, je ne sais pas qui est qui.
Je retourne voir Lisa, l’odeur suave qui remplie la pièce me fait bander, je me déshabille et m’approche d’elle. Elle dort toujours. Je fais descendre la fermeture du sac pour l’ouvrir entièrement, elle est nue, je la caresse elle gémit et sans ouvrir les yeux écarte ses jambes mes doigts entrent en elle, c’est chaud, humide, ses gémissements s’amplifient, je passe sur elle et la pénètre doucement. Elle a toujours les yeux fermés mais son bassin se met en mouvement en même temps que les parois de son vagin se contractent par saccades sur mon chibre. C’est merveilleux, je suis sur elle, en elle, immobile et elle me fait l’amour en dormant. Je sens que je ne vais pas résister très longtemps à ce traitement et commence à me retirer pour faire baisser la pression, pour ne pas jouir tout de suite.
Elle ouvre les yeux et en m’emprisonnant entre ses cuisses tout en se cambrant pour que je m’enfonce au plus profond d’elle, elle murmure :
- Oh maitre offrez-moi votre semence comme a mes sœurs hier soir.
Ces mots me font disjoncter, je m’active comme un fou et dans un grand râle, je lui lâche tout mon foutre au plus profond de son ventre, tout contre la bouche de son utérus puis je m’écroule a coté d’elle. Nous restons un long moment ainsi puis elle se lève et nue part préparer son déjeuner.
Je la regarde s’activer et me remet à bander. Quand elle a fini ses préparatifs elle revient dans la chambre et voyant mon sexe elle s’exclame :
- Oh maitre vous désirez encore me confier votre progéniture, j’en suis ravie
Puis elle s’est avancée au dessus de moi pour s’accroupir sur mon chibre turgescent et l’a englouti d’un coup en gémissant puis elle s’est activée sur moi au rythme de son plaisir. Après avoir jouis bruyamment trois fois comme je n’avais pas encore éjaculé, elle a passé ses mains dans son dos et m’a attrapé les couilles pour les malaxer doucement. Je n’ai pas pu résister et j’ai à nouveau inondé le fond de son sexe si chaud. C’était tellement violent que j’ai perdu connaissance.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles, je suis a poil dans mon lit sans me souvenir comment je m’y suis rendu, personne avec moi. Est-ce que j’avais rêvé cette folle soirée ? je regarde a coté de moi, une belle tache humide, Je sens le drap taché, un parfum suave de femme en chaleur, des images m’envahissent des images de femmes jouissant sous mes caresses, il faut que je me ressaisisse, j’ai a nouveau trop mal a la tète, je prends deux comprimés et part soigner les bêtes. Pendant tout mon travail j’ai sans cesse les mêmes flashs qui me viennent en tète, des filles magnifiques qui se font prendre par mon bouc et qui jouissent comme des folles, c’est incroyable.
Je prends mon quad et part aux pierres. Personne, la tente est bien la, les pierres sont bien rangées comme la dernière foi que je les ai vu, tout est calme, dans le champ à coté, mon bouc et les chèvres paissent tranquillement. Je m’avance, appelle, pas de réponses, j’entre sous l’auvent de la grande tente, une odeur suave et agréable m’envahie, je m’avance, passe la tète dans une des chambres, Lisa dors paisiblement dans un grand sac de couchage, dans la chambre à coté deux duvets en boule l’un d’un coté l’autre de l’autre, je ne sais pas qui est qui.
Je retourne voir Lisa, l’odeur suave qui remplie la pièce me fait bander, je me déshabille et m’approche d’elle. Elle dort toujours. Je fais descendre la fermeture du sac pour l’ouvrir entièrement, elle est nue, je la caresse elle gémit et sans ouvrir les yeux écarte ses jambes mes doigts entrent en elle, c’est chaud, humide, ses gémissements s’amplifient, je passe sur elle et la pénètre doucement. Elle a toujours les yeux fermés mais son bassin se met en mouvement en même temps que les parois de son vagin se contractent par saccades sur mon chibre. C’est merveilleux, je suis sur elle, en elle, immobile et elle me fait l’amour en dormant. Je sens que je ne vais pas résister très longtemps à ce traitement et commence à me retirer pour faire baisser la pression, pour ne pas jouir tout de suite.
Elle ouvre les yeux et en m’emprisonnant entre ses cuisses tout en se cambrant pour que je m’enfonce au plus profond d’elle, elle murmure :
- Oh maitre offrez-moi votre semence comme a mes sœurs hier soir.
Ces mots me font disjoncter, je m’active comme un fou et dans un grand râle, je lui lâche tout mon foutre au plus profond de son ventre, tout contre la bouche de son utérus puis je m’écroule a coté d’elle. Nous restons un long moment ainsi puis elle se lève et nue part préparer son déjeuner.
Je la regarde s’activer et me remet à bander. Quand elle a fini ses préparatifs elle revient dans la chambre et voyant mon sexe elle s’exclame :
- Oh maitre vous désirez encore me confier votre progéniture, j’en suis ravie
Puis elle s’est avancée au dessus de moi pour s’accroupir sur mon chibre turgescent et l’a englouti d’un coup en gémissant puis elle s’est activée sur moi au rythme de son plaisir. Après avoir jouis bruyamment trois fois comme je n’avais pas encore éjaculé, elle a passé ses mains dans son dos et m’a attrapé les couilles pour les malaxer doucement. Je n’ai pas pu résister et j’ai à nouveau inondé le fond de son sexe si chaud. C’était tellement violent que j’ai perdu connaissance.
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