RÊVE OU MAGIE 7
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2013 dans la catégorie A dormir debout
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RÊVE OU MAGIE 7
Chapitre 7
Je les ai installés, chacune dans une chambre puis pendant qu’elles rangeaient leurs affaires, j’ai préparé le repas. Après manger je les ai accompagné jusqu’aux ruines envahies par la végétation puis je les ai quitté pour vaquer a mes occupations.
Le soir venu, elles sont arrivées très excitées, je leur ai demandé pourquoi. Lisa m’a répondu :
- Je pense que nous avons trouvé l’entrée secrète d’une chapelle qui n’a pas été détruite, demain nous essaierons d’y entrer
- Une chapelle pas détruite, ça m’étonnerais, je connais ce coin depuis que je suis tout petit, j’ai souvent visité ces ruines, il n’y a pas un bâtiment qui ne soit ou entièrement détruit ou brulé.
- Non, ce n’est pas un bâtiment, je pense que c’est une cave qui a résisté au tremblement de terre, pour l’instant elle est inaccessible a cause des éboulis qui sont devant l’entrée, nous avons commencé à déblayer pour y voir plus clair.
La soirée fut courte après le repas les filles épuisées par leur travail aux ruines se sont couché et très vite endormies. Le lendemain, après avoir déjeuné, juste avant de partir vaquer à mes occupations, j’ai réveillé Lisa.
A midi quand je suis rentré elles n’étaient pas la, j’ai mangé tout seul, fait une petite sieste puis je suis reparti travailler. A dix neuf heure quand je suis rentré elles étaient toutes la, pomponnées, le repas était prêt, Lisa m’a proposé un apéritif, en me rappelant ce que m’avais conseillé le docteur, j’ai accepté en lui disant
- Oui, je veux bien, mais un tout petit, l’alcool m’est quasiment interdit.
Elle m’a servi un truc que je ne connaissais pas en me disant :
- Goute a ce truc, ça ne peu pas te faire de mal, ce ne sont que des plantes.
- Ce n’est pas à moi, ça ?
- Non, c’est une vieille dame qui passait par la à la recherche de plantes qui nous l’a donné ce matin dans les ruines.
- Une vieille dame, ce matin, dans les ruines ?
- Oui, c’est elle qui fabrique cette liqueur avec les plantes qu’elle ramasse.
- Mais je ne connais pas de vieille dame qui fabrique de la liqueur dans la région.
- Ah bon pourtant elle nous a dit qu’elle te connaissait.
Je ne comprenais rien, je ne connaissais pas de vieille dame, encore moins qui fabriquent de la liqueur. J’ai goutté au breuvage qu’elle m’avait servie, j’ai reconnu tout de suite le gout, c’étais la même boisson que celle qui m’avait mis dans tous mes états pendant mon coma. Le gout en était plus agréable et surtout beaucoup moins fort mai c’étais la même que dans mes souvenirs.
- Vous avez déjà goutté a ce truc Lisa ?
- Oui, juste un peu quand la dame nous l’a donné, c’est très bon.
- Oui, c’est très bon, il ne vous est rien arrivé après ?
- Non, pourquoi ?
- Pour rien, qu’est-ce que vous avez préparé ?
- Une salade de « ripountous » et du fromage, j’espère que ça ira ?
- Vous connaissez les « ripountous »
- Non, c’est la vieille dame qui nous en a donné un peu et qui nous a montré ou en trouver d’autre et qui nous a indiqué comment les préparer.
- Ah !, je comprends mieux, les « ripountous », c’est une salade magique de la région, nous n’en préparons pas souvent c’est très pénible de les ramasser. Par contre c’est très bon, vous en avez déjà mangé ?
- Non, jamais, c’est une première.
Nous avons mangé puis les filles ne semblant pas trop fatigué, nous avons joué aux cartes en buvant comme digestif de la liqueur de la vieille. Nous nous sommes couchés très tard.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles. J’ai les mêmes sensations que quand j’étais dans le coma, je me lève, prépare le café, dans la boite a médicaments, je prends un comprimé et en regardant je vois une autre boite, je la prends, li la notice, c’est l’anti douleur que m’a donné le pharmacien l’autre jour. Je réfléchi, ce n’est pas possible, j’étais a la clinique. Il faut que je comprenne pourquoi cette boite est la, comment elle est arrivé. Je la mets dans ma poche et pars soigner mes bêtes. Vers dix heures, je repasse a la maison, les filles dorment toujours, je tape a la porte de Lisa pour la réveiller, pas de réponses, j’entre, elle est la et dors profondément. Son odeur aphrodisiaque qui emplie la chambre me fait bander, je m’approche d’elle, la secoue un peu, elle ne réagit pas, je tire la couverture, elle est entièrement nue, comme dans mes souvenirs a part son ventre gonflé, distendu, et sa poitrine plus opulente.
Je la caresse doucement, elle gémis, ma main descend sur son ventre vers sa touffe noire, elle frissonne et écarte les jambes, mes doigts entrent en elle et la caresse doucement, elle râle de plaisir et ouvre les yeux. Je m’immobilise comme un enfant pris en faute, Elle me regarde et dans un râle me dit :
- Continue, fait moi jouir.
Je recommence a activer mes doigts en elle, son orgasme la saisi très vite, ses yeux se révulsent, elle retient son cri, se relève, se met a quatre pates et me dit :
- Prends-moi, j’en ai très envie.
Sans un mot, je baisse mon pantalon, passe derrière elle et la pénètre doucement. Elle feule tout le temps puis je sens son vagin se contracter sur moi, elle crie son plaisir la tète dans le coussin pour étouffer le bruit. Puis ses mains partent sous elle pour m’attraper les couilles et elle les malaxe doucement. Je ne résiste pas longtemps et jouis au plus profond de son ventre.
Nous nous écroulons l’un a coté de l’autre sur le lit. Un petit moment après, elle me dit :
- Que fais-tu dans ma chambre ?
- Je suis venu te réveiller comme tous les matins et comme tu ne répondais pas je suis entré.
- Ah oui, c’étais merveilleux, je pense que Marie aimerais bien avoir un réveil aussi doux tu crois que tu pourrais lui faire le même réveil, elle ne sait pas ce que c’est que se faire baiser, elle s’est retrouvée en cloque alors qu’elle était vierge et elle se souvient de rien.
- Oui, je peux, tu veux tout de suite ?
- Oui, je viens avec toi, j’aime bien regarder et je pourrais participer aussi.
- Allons-y.
Doucement nous sommes entré dans la chambre de Marie, Lisa l’a découverte en la caressant, elle était elle aussi comme dans mes souvenirs, magnifique, je me suis mis entre ses jambes et j’ai léché sa fente pendant que Lisa lui caressait la poitrine, très vite, elle s’est mise à jouir et a ouvert les yeux.
- C’est très bon ce que tu me fais Lisa, c’est un réveil merveilleux. Mais qui est avec toi ?
- C’est Marc, il va te faire connaitre le vrai plaisir, retourne toi, a quartes pattes
Sans un mot elle s’est mise en position, je lui ai pistonné un petit moment le vagin avec mes doigts et quand j’ai vu les premières gouttes de mouille s’écouler, je l’ai prise tout doucement, comme si je pénétrais une vierge, elle a adoré cette pénétration et s’est agité pour faire monter son plaisir. Lisa lui caressait la poitrine et l’embrassait, moi, je la possédais bien a fond, elle a jouis bruyamment trois foi avant que je la remplisse de mon plaisir. Quand je me suis retiré, Lisa a plongé sur mon sexe et s’est mise à le sucer avidement. Sous ce traitement je n’ai pas débandé et elle m’a dit :
- Comme tu es toujours en forme nous allons faire découvrir ce plaisir a Christine, elle nom plus ne connais pas le plaisir de se faire prendre par un homme.
Je les ai installés, chacune dans une chambre puis pendant qu’elles rangeaient leurs affaires, j’ai préparé le repas. Après manger je les ai accompagné jusqu’aux ruines envahies par la végétation puis je les ai quitté pour vaquer a mes occupations.
Le soir venu, elles sont arrivées très excitées, je leur ai demandé pourquoi. Lisa m’a répondu :
- Je pense que nous avons trouvé l’entrée secrète d’une chapelle qui n’a pas été détruite, demain nous essaierons d’y entrer
- Une chapelle pas détruite, ça m’étonnerais, je connais ce coin depuis que je suis tout petit, j’ai souvent visité ces ruines, il n’y a pas un bâtiment qui ne soit ou entièrement détruit ou brulé.
- Non, ce n’est pas un bâtiment, je pense que c’est une cave qui a résisté au tremblement de terre, pour l’instant elle est inaccessible a cause des éboulis qui sont devant l’entrée, nous avons commencé à déblayer pour y voir plus clair.
La soirée fut courte après le repas les filles épuisées par leur travail aux ruines se sont couché et très vite endormies. Le lendemain, après avoir déjeuné, juste avant de partir vaquer à mes occupations, j’ai réveillé Lisa.
A midi quand je suis rentré elles n’étaient pas la, j’ai mangé tout seul, fait une petite sieste puis je suis reparti travailler. A dix neuf heure quand je suis rentré elles étaient toutes la, pomponnées, le repas était prêt, Lisa m’a proposé un apéritif, en me rappelant ce que m’avais conseillé le docteur, j’ai accepté en lui disant
- Oui, je veux bien, mais un tout petit, l’alcool m’est quasiment interdit.
Elle m’a servi un truc que je ne connaissais pas en me disant :
- Goute a ce truc, ça ne peu pas te faire de mal, ce ne sont que des plantes.
- Ce n’est pas à moi, ça ?
- Non, c’est une vieille dame qui passait par la à la recherche de plantes qui nous l’a donné ce matin dans les ruines.
- Une vieille dame, ce matin, dans les ruines ?
- Oui, c’est elle qui fabrique cette liqueur avec les plantes qu’elle ramasse.
- Mais je ne connais pas de vieille dame qui fabrique de la liqueur dans la région.
- Ah bon pourtant elle nous a dit qu’elle te connaissait.
Je ne comprenais rien, je ne connaissais pas de vieille dame, encore moins qui fabriquent de la liqueur. J’ai goutté au breuvage qu’elle m’avait servie, j’ai reconnu tout de suite le gout, c’étais la même boisson que celle qui m’avait mis dans tous mes états pendant mon coma. Le gout en était plus agréable et surtout beaucoup moins fort mai c’étais la même que dans mes souvenirs.
- Vous avez déjà goutté a ce truc Lisa ?
- Oui, juste un peu quand la dame nous l’a donné, c’est très bon.
- Oui, c’est très bon, il ne vous est rien arrivé après ?
- Non, pourquoi ?
- Pour rien, qu’est-ce que vous avez préparé ?
- Une salade de « ripountous » et du fromage, j’espère que ça ira ?
- Vous connaissez les « ripountous »
- Non, c’est la vieille dame qui nous en a donné un peu et qui nous a montré ou en trouver d’autre et qui nous a indiqué comment les préparer.
- Ah !, je comprends mieux, les « ripountous », c’est une salade magique de la région, nous n’en préparons pas souvent c’est très pénible de les ramasser. Par contre c’est très bon, vous en avez déjà mangé ?
- Non, jamais, c’est une première.
Nous avons mangé puis les filles ne semblant pas trop fatigué, nous avons joué aux cartes en buvant comme digestif de la liqueur de la vieille. Nous nous sommes couchés très tard.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, j’ai très mal a la tète et aux couilles. J’ai les mêmes sensations que quand j’étais dans le coma, je me lève, prépare le café, dans la boite a médicaments, je prends un comprimé et en regardant je vois une autre boite, je la prends, li la notice, c’est l’anti douleur que m’a donné le pharmacien l’autre jour. Je réfléchi, ce n’est pas possible, j’étais a la clinique. Il faut que je comprenne pourquoi cette boite est la, comment elle est arrivé. Je la mets dans ma poche et pars soigner mes bêtes. Vers dix heures, je repasse a la maison, les filles dorment toujours, je tape a la porte de Lisa pour la réveiller, pas de réponses, j’entre, elle est la et dors profondément. Son odeur aphrodisiaque qui emplie la chambre me fait bander, je m’approche d’elle, la secoue un peu, elle ne réagit pas, je tire la couverture, elle est entièrement nue, comme dans mes souvenirs a part son ventre gonflé, distendu, et sa poitrine plus opulente.
Je la caresse doucement, elle gémis, ma main descend sur son ventre vers sa touffe noire, elle frissonne et écarte les jambes, mes doigts entrent en elle et la caresse doucement, elle râle de plaisir et ouvre les yeux. Je m’immobilise comme un enfant pris en faute, Elle me regarde et dans un râle me dit :
- Continue, fait moi jouir.
Je recommence a activer mes doigts en elle, son orgasme la saisi très vite, ses yeux se révulsent, elle retient son cri, se relève, se met a quatre pates et me dit :
- Prends-moi, j’en ai très envie.
Sans un mot, je baisse mon pantalon, passe derrière elle et la pénètre doucement. Elle feule tout le temps puis je sens son vagin se contracter sur moi, elle crie son plaisir la tète dans le coussin pour étouffer le bruit. Puis ses mains partent sous elle pour m’attraper les couilles et elle les malaxe doucement. Je ne résiste pas longtemps et jouis au plus profond de son ventre.
Nous nous écroulons l’un a coté de l’autre sur le lit. Un petit moment après, elle me dit :
- Que fais-tu dans ma chambre ?
- Je suis venu te réveiller comme tous les matins et comme tu ne répondais pas je suis entré.
- Ah oui, c’étais merveilleux, je pense que Marie aimerais bien avoir un réveil aussi doux tu crois que tu pourrais lui faire le même réveil, elle ne sait pas ce que c’est que se faire baiser, elle s’est retrouvée en cloque alors qu’elle était vierge et elle se souvient de rien.
- Oui, je peux, tu veux tout de suite ?
- Oui, je viens avec toi, j’aime bien regarder et je pourrais participer aussi.
- Allons-y.
Doucement nous sommes entré dans la chambre de Marie, Lisa l’a découverte en la caressant, elle était elle aussi comme dans mes souvenirs, magnifique, je me suis mis entre ses jambes et j’ai léché sa fente pendant que Lisa lui caressait la poitrine, très vite, elle s’est mise à jouir et a ouvert les yeux.
- C’est très bon ce que tu me fais Lisa, c’est un réveil merveilleux. Mais qui est avec toi ?
- C’est Marc, il va te faire connaitre le vrai plaisir, retourne toi, a quartes pattes
Sans un mot elle s’est mise en position, je lui ai pistonné un petit moment le vagin avec mes doigts et quand j’ai vu les premières gouttes de mouille s’écouler, je l’ai prise tout doucement, comme si je pénétrais une vierge, elle a adoré cette pénétration et s’est agité pour faire monter son plaisir. Lisa lui caressait la poitrine et l’embrassait, moi, je la possédais bien a fond, elle a jouis bruyamment trois foi avant que je la remplisse de mon plaisir. Quand je me suis retiré, Lisa a plongé sur mon sexe et s’est mise à le sucer avidement. Sous ce traitement je n’ai pas débandé et elle m’a dit :
- Comme tu es toujours en forme nous allons faire découvrir ce plaisir a Christine, elle nom plus ne connais pas le plaisir de se faire prendre par un homme.
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