Rêveries : Anna.
Récit érotique écrit par Dame Noémi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Rêveries : Anna.
Anna a 21 ans. Anna est jolie. Mais la beauté d'Anna n'est pas provocante, c'est une beauté douce qui se dévoile dans l'élégance de ses rondeurs souples et discrètes, tout en marquant sa digne féminité. La chevelure d'Anna est brune, sombre, aérienne, elle vole sur ses épaules, autour de son visage et de ses profonds yeux couleur chocolat. Tout en Anna lui donne l'air d'une sucrerie. Sa peau est douce, d'une chocolat clair et satiné. Anna s'exprime bien, est bien éduquée mais elle avait peur de ne pas plaire avec son allure de dessert sucré sous papillote. Anna est une femme calme et honnête, elle a la défaut de se sentir inférieure sans cesse, c'est pourquoi tout en restant belle elle ne porte pas de vêtements comme ceux des autres belles femmes dans la rue, avec leurs sacs Chanel et cette couche d'hypocrisie colorée étalée sur leurs visages. Anna est peut-être une personne un peu simple d'esprit, mais cela la rend adorable.
Elle travaille, comme beaucoup d'autres femmes, mais pour Anna le travail n'est qu'un lieu comme le supermarché. Elle ne cherche pas à s'y faire des amis, elle ne regarde pas vraiment ni les hommes ni les femmes. Car Anna pense déjà à deux êtres, un homme et une femme. Ces simples pensées suffisent à faire pulser le cœur tendre d'Anna durant toute la journée. Comme un homme et une femme, ailleurs, à plusieurs kilomètres d'elle, elle a hâte de rentrer à la maison. Parfois le smartphone d'Anna s'éclaire, ses pommettes rougissent , ses pupilles s'illuminent. Ses mains s'entortillent dans ses cheveux et elle met quelques minutes à taper soigneusement sa réponse.
Anna a peur de déplaire.
Vient enfin l'heure où elle peut rentrer. Elle se relève de son siège et fait attention à que sa jupe ne se relève pas. Car Anna ne porte pas de culotte, ni de soutien-gorge d'ailleurs. Elle salue ses collègues de son sourire au lait fondant, son sourire doux et spontané qui fait toujours tressaillir l'homme à qui elle pense. Elle monte dans sa petite voiture. La femme qu'Anna aime a toujours peur quand elle la voit sans aller dans ce tombeau à roues. Mais Anna conduit bien, elle est prudente, oui trop lente disent les chauffards dans son dos.
La voilà arrivée. Une maison de plein pied guère ostentatoire mais c'est le petit nid d'Anna. Elle rentre la première, mais bientôt l'homme sera la. Elle est impatiente. C'est toujours la même fièvre, comme celle du premier jour, qui enserre son bas-ventre dans cet instant où ses vêtements chutent autour d'elle. Toujours la même fièvre lorsqu'elle voit l'horloge analogique devant elle, qu'elle se penche et se redresse pour plier ses vêtements sur la table. Anna est nue mais à son cou trône encore un bijou. Elle se sert à boire et enfin la porte s'ouvre. La fièvre qu'elle portait s'est muée en lave. Anna se rue sur le nouveau venu, sa poitrine ronde aux tétons bruns rosés dressés s'écrase contre le torse de l'homme. Anna n'est pas très grande pour les femmes d'aujourd'hui, mais à côté de cet homme qui passe ses mains sur ses fesses en enroulant sa langue à la sienne, elle est heureuse de son mètre soixante-six. Son corps palpite contre la chemise violette que lui porte, un soupir lui échappe. Doucement, bien que d'une fermeté évidente, il repousse Anna sur le côté pour se diriger à sa chambre.
Sur le lit soigneusement fait, qu'il partage avec la femme qui n'est pas encore rentrée, il pose sa tenue de travail pour enfiler un t-shirt plus agréable. Il troque ses chaussures, après avoir retiré ses chaussettes, contre des pantoufles. Il se lavera plus tard, avant de s'assoupir. Ses songes vont à la femme qu'il aime profondément. La métisse qui l'a accueillie à son entrée vient plus tard, dans son cœur.
Retourné au salon, il s'installe dans le canapé, et c'est un autre qui vient lui faire la fête. Un chien imposant et maintenant plus si jeune, mais encore débordant de vie, qui grimpe sur lui en glapissant de joie. Les mains de l'homme le couvrent de caresses. Anna est tout près, elle observe la scène, non sans une pointe d'envie. Ils conversent sur le repas du soir. Puis il l'invite à s'approcher. C'est au tour du canidé d'être repoussé, car entre les jambes du maître de maison, c'est la femme qui s'installe. A genoux, Anna frémit d'envie, ses fesses sur ses talons, elle ouvre le cocon qui couvre la verge qu'elle a habitude de servir de mille et unes façons. Anna se souvient qu'au début il semblait très réservé, voir intimidé par elle, malgré son attitude de lion puissant, il avait un cœur d'homme. Après avoir murmuré un remerciement pour ce moment proposé, quelle s'est elle-même donné ordre de toujours prononcer, Anna glisse les lèvres le long de la hampe. Ses paupières se ferment lentement, elle vogue par ses mouvements de nuque sur cette mer solide. Elle rêve de l'écume qui peut-être se déversera dans les abysses de sa gorge. Et Anna navigue encore et toujours, d'une régularité oppressante mais si apaisante, elle ne remarque pas que derrière elle s'écoule de délicats fluides échappés de son coquillage lisse tant elle est heureuse. Sa langue est une envoûtante méduse qui ne se lasse pas de se frotter à l'épaisse tige de chaleur enfermées entre ses pulpeuses lèvres.
Anna n'entend pas la porte s'ouvrir une troisième fois, elle n'a d'ouïe que pour les râles libérés de l'homme. Elle ne bronche pas quand les jambes d'un nouveau corps passe de chaque côté d'elle, qu'un bas-ventre plat se plaque contre le dos de sa tête, l'appuyant encore plus contre les deux bourses du mâle, le corps féminin est penché au-dessus d'elle, les gémissements rauques sont étouffés par la succion d'un baiser, puis les grognements d'une étreinte langoureuse. Deux soupirs. Au creux de l'oreille, un chuchotement qu'elle entend clairement.
"Julien... C'est injuste de commencer sans moi.."
Noémi se détache. Anna respire. Julien s'ébroue, son chibre couvert de bave est tendu vers l'azur. Un sourire illumine le visage de la jeune femme blanche comme neige, elle s'étire et ouvre ses jambes à son tour, tapote le cuir du long sofa. Sa voix est joueuse et son regard amoureux.
"Tu viens me satisfaire, ma chienne.. ?"
- - - -
Bonjour, bonsoir. Je vous remercie pour votre attention sur cette dernière ligne, en espérant que votre lecture vous fût agréable. Les "Rêveries" sont une série tout à fait indépendante à l'histoire de Zoey, et les textes -courts, et peut-être plus réfléchis que "Zoey"- sont eux-aussi autonomes entre eux. Ces "Rêveries" sont un fantasme personnel touchant de près ma vie de couple, donc plus réalistes que ma nouvelle inachevée ayant été inventée de toutes parts. J'espère qu'elles trouveront leur public. "Anna" est la première que je publie.
A bientôt, peut-être...
Dame Noémi.
Elle travaille, comme beaucoup d'autres femmes, mais pour Anna le travail n'est qu'un lieu comme le supermarché. Elle ne cherche pas à s'y faire des amis, elle ne regarde pas vraiment ni les hommes ni les femmes. Car Anna pense déjà à deux êtres, un homme et une femme. Ces simples pensées suffisent à faire pulser le cœur tendre d'Anna durant toute la journée. Comme un homme et une femme, ailleurs, à plusieurs kilomètres d'elle, elle a hâte de rentrer à la maison. Parfois le smartphone d'Anna s'éclaire, ses pommettes rougissent , ses pupilles s'illuminent. Ses mains s'entortillent dans ses cheveux et elle met quelques minutes à taper soigneusement sa réponse.
Anna a peur de déplaire.
Vient enfin l'heure où elle peut rentrer. Elle se relève de son siège et fait attention à que sa jupe ne se relève pas. Car Anna ne porte pas de culotte, ni de soutien-gorge d'ailleurs. Elle salue ses collègues de son sourire au lait fondant, son sourire doux et spontané qui fait toujours tressaillir l'homme à qui elle pense. Elle monte dans sa petite voiture. La femme qu'Anna aime a toujours peur quand elle la voit sans aller dans ce tombeau à roues. Mais Anna conduit bien, elle est prudente, oui trop lente disent les chauffards dans son dos.
La voilà arrivée. Une maison de plein pied guère ostentatoire mais c'est le petit nid d'Anna. Elle rentre la première, mais bientôt l'homme sera la. Elle est impatiente. C'est toujours la même fièvre, comme celle du premier jour, qui enserre son bas-ventre dans cet instant où ses vêtements chutent autour d'elle. Toujours la même fièvre lorsqu'elle voit l'horloge analogique devant elle, qu'elle se penche et se redresse pour plier ses vêtements sur la table. Anna est nue mais à son cou trône encore un bijou. Elle se sert à boire et enfin la porte s'ouvre. La fièvre qu'elle portait s'est muée en lave. Anna se rue sur le nouveau venu, sa poitrine ronde aux tétons bruns rosés dressés s'écrase contre le torse de l'homme. Anna n'est pas très grande pour les femmes d'aujourd'hui, mais à côté de cet homme qui passe ses mains sur ses fesses en enroulant sa langue à la sienne, elle est heureuse de son mètre soixante-six. Son corps palpite contre la chemise violette que lui porte, un soupir lui échappe. Doucement, bien que d'une fermeté évidente, il repousse Anna sur le côté pour se diriger à sa chambre.
Sur le lit soigneusement fait, qu'il partage avec la femme qui n'est pas encore rentrée, il pose sa tenue de travail pour enfiler un t-shirt plus agréable. Il troque ses chaussures, après avoir retiré ses chaussettes, contre des pantoufles. Il se lavera plus tard, avant de s'assoupir. Ses songes vont à la femme qu'il aime profondément. La métisse qui l'a accueillie à son entrée vient plus tard, dans son cœur.
Retourné au salon, il s'installe dans le canapé, et c'est un autre qui vient lui faire la fête. Un chien imposant et maintenant plus si jeune, mais encore débordant de vie, qui grimpe sur lui en glapissant de joie. Les mains de l'homme le couvrent de caresses. Anna est tout près, elle observe la scène, non sans une pointe d'envie. Ils conversent sur le repas du soir. Puis il l'invite à s'approcher. C'est au tour du canidé d'être repoussé, car entre les jambes du maître de maison, c'est la femme qui s'installe. A genoux, Anna frémit d'envie, ses fesses sur ses talons, elle ouvre le cocon qui couvre la verge qu'elle a habitude de servir de mille et unes façons. Anna se souvient qu'au début il semblait très réservé, voir intimidé par elle, malgré son attitude de lion puissant, il avait un cœur d'homme. Après avoir murmuré un remerciement pour ce moment proposé, quelle s'est elle-même donné ordre de toujours prononcer, Anna glisse les lèvres le long de la hampe. Ses paupières se ferment lentement, elle vogue par ses mouvements de nuque sur cette mer solide. Elle rêve de l'écume qui peut-être se déversera dans les abysses de sa gorge. Et Anna navigue encore et toujours, d'une régularité oppressante mais si apaisante, elle ne remarque pas que derrière elle s'écoule de délicats fluides échappés de son coquillage lisse tant elle est heureuse. Sa langue est une envoûtante méduse qui ne se lasse pas de se frotter à l'épaisse tige de chaleur enfermées entre ses pulpeuses lèvres.
Anna n'entend pas la porte s'ouvrir une troisième fois, elle n'a d'ouïe que pour les râles libérés de l'homme. Elle ne bronche pas quand les jambes d'un nouveau corps passe de chaque côté d'elle, qu'un bas-ventre plat se plaque contre le dos de sa tête, l'appuyant encore plus contre les deux bourses du mâle, le corps féminin est penché au-dessus d'elle, les gémissements rauques sont étouffés par la succion d'un baiser, puis les grognements d'une étreinte langoureuse. Deux soupirs. Au creux de l'oreille, un chuchotement qu'elle entend clairement.
"Julien... C'est injuste de commencer sans moi.."
Noémi se détache. Anna respire. Julien s'ébroue, son chibre couvert de bave est tendu vers l'azur. Un sourire illumine le visage de la jeune femme blanche comme neige, elle s'étire et ouvre ses jambes à son tour, tapote le cuir du long sofa. Sa voix est joueuse et son regard amoureux.
"Tu viens me satisfaire, ma chienne.. ?"
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Bonjour, bonsoir. Je vous remercie pour votre attention sur cette dernière ligne, en espérant que votre lecture vous fût agréable. Les "Rêveries" sont une série tout à fait indépendante à l'histoire de Zoey, et les textes -courts, et peut-être plus réfléchis que "Zoey"- sont eux-aussi autonomes entre eux. Ces "Rêveries" sont un fantasme personnel touchant de près ma vie de couple, donc plus réalistes que ma nouvelle inachevée ayant été inventée de toutes parts. J'espère qu'elles trouveront leur public. "Anna" est la première que je publie.
A bientôt, peut-être...
Dame Noémi.
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