Zoey. Ep.3 -- Retour mouvementé. Partie Une.
Récit érotique écrit par Dame Noémi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Zoey. Ep.3 -- Retour mouvementé. Partie Une.
La porte se ferme, il me pousse dans l'entrée, sa main se referme sur mon épaule.
« _ Léa est une peste, elle aurait pu te faire très mal.
Le sujet est clos. Sa paume glisse le long de mon dos, s'appuie sur mon fessier, le malaxe. Je me cambre, il s'approche de moi, son visage se niche dans mon cou, qu'il aspire jusqu'à le marquer. Il me plaque fermement contre le mur, ses mains glissent sur mes épaules, dézippe le dos de ma robe, elle chute doucement jusqu'à mes reins. Mes tétons tendus frottent le papier-peint froid. Il n'est pas cérémonieux, je sens dans chacun de ses touchers sur ma peau qu'il désire me baiser, s'apaiser aussi simplement que sauvagement. Son souffle est rauque contre mon oreille. Il tire sur ma robe d'un coup sec, l'envoie au sol, je lève les pieds un à un, il l'envoie glisser plus loin. Tandis que je me détache du mur il glisse une main sur ma hanche, ses doigts effleurent mon sexe dégoulinant de stupre. Je gémis. Son doigt pousse entre mes lèvres intimes. Je gémis encore. Il appuie lentement, invariablement, tirant mes chaires en mon intérieur. Je gémis davantage.
_ Putain... J'aime comment tu cries ma salope...
Il rassemble mes cheveux, plonge ses doigts dedans, tire ma nuque en arrière.
_ Viens on va...
Son index entre en contact avec la boucle de mon collier, l'effet est immédiat, il ressort ma laisse de sa poche et l'attache. Sans me laisser souffler, il m'entraîne au salon, me bouscule pour que je tombe à quatre pattes devant la table. Il noue ma laisse à la chaise, crache sur mon dos pendant qu'il baisse son jean, il étale sa bave sur mon cul, frotte son pieu entre mes fesses. Une vive fessée s'abat. Je crie de surprise, son gland presse l'entrée de ma rondelle, une deuxième claque fuse...
_ On va jouer...
Sa queue tendue me pénètre, presque à sec, je crie, mon maître m'enfonce ses doigts dans la bouche, tire ma tête en arrière ainsi. Réduite à un silence verbal, ma gorge gargouille des gémissements étranglés, il s'enfonce dans mon cul. Je le sens, il m'arrache de l'intérieur. Il y est déjà passé, par là, pourtant... Son autre main écarte une de mes fesses, son regard est fixé sur mon postérieur. Il se regarde me baiser, il ricane. Son mandrin est entré en entier, ses couilles frottent ma fente. Ses hanches s'activent très vite, je m'accroche aux pieds de la chaise, m’efforce de ne pas mordre sa main, par moment mon menton bute contre le bois. Il se défoule frénétiquement. Des bruits de baise obscènes se font entendre. Il n'en finit plus de me démonter, mes genoux rappent sol, ils me brûlent, comme ma gorge à force de tenter d'exprimer mon plaisir mêlé de douleur.
Il se penche un peu, retire ses doigts de ma gueule, plante ses paumes puissantes sur mes épaules, me redresse un peu, mon cou est tiré par la laisse. Ses coups de butoirs reprennent, plus fort, je ne cesse de gémir, mon corps est parcouru de frissons. Je n'ai pas honte de me faire baiser ainsi et d'aimer ça. Je me sens faite pour ça. Faite pour sentir sa verge écarter mon anus à grande vitesse. Mais là, je ne pense qu'à cet orgasme qui monte. Trop occupé par son propre plaisir il me laisse imploser. Sans cesser de râler tout près de mon ouïe, sans cesser de me pourfendre. Je n'en peux plus, mon corps est secoué, je suis sa poupée, rien que son jouet.
_ Nhn.. Grosse salope à moi..
Son foutre se déverse à moitié dans mon fion, et le reste sur mon dos. Il se redresse et souffle. Me donne encore une fessée. Son téléphone sonne, il referme sa ceinture et se précipite au porte-manteau, il y a un blanc durant lequel la sonnerie continue alors que les bruissements de vestes ont cessés. Il hésite. La sonnerie se termine. Il n'a pas raccroché et revient vers moi.
_ Ma pute ? Tourne la tête.
Je le fais. Un déclic retentit. Il s'accroupit à côté de mon visage et me présente l'écran de son smartphone.
_ Ma pute avec du sperme de son maître adoré plein le cul. T'es belle hein ?
Je rougis vivement, essayant de détourner mon regard de la photographie. Mais je n'y parviens pas, me trouve moi-même excitante. De sa main libre il vient de défaire le nœud qui me retenait au meuble.
A nouveau debout il me tire derrière lui, je le suis, les cuisses poisseuses de jus. Il s'arrête un instant, l'air perdu dans ses pensées.
_ A ou B, ma chienne ?
_ A, Maître.
Il hoche la tête, apparemment je viens de choisir de la suite des événements. D'un pas guilleret et impatient il me traîne jusqu'à la chambre, lâche ma laisse et se tient debout devant moi.
_ Déshabille-moi.
Je déboutonne sa chemise chic, mes doigts ripent sur les boutons, l’atmosphère est lourde de tension sexuelle. Nue et salie, je tire ses bras hors des manches, plie sa chemise sur le bord du lit. Mes doigts desserrent sa ceinture, sa braguette est déjà béante, je descends son pantalon en jean très foncé, et son boxer. Je m'agenouille et soulève ses pieds, retirant ses chaussettes au passage. A peine ceci fait il m'agrippe par les cheveux pour me remettre sur pieds et lèche mes lèvres, le regard brillant et joueur. Son pieu est à nouveau au garde à vous. Il s'allonge au-dessus du duvet, m'entraîne par ma laisse. Je me cale à califourchon sur ses cuisses, sa verge juste devant mon intimité. Son poignet enroulé autour de mon attache, j'ai le visage penché en avant, la position est inconfortable. Dans son autre main il a encore son téléphone. Il me montre un chronomètre.
_ Le temps que tu mettras à me faire gicler, juste avec ta chatte en me chevauchant, jouera un rôle pour plus tard.
Il donne de petits coups sur ma laisse, ça me fait mal au cou, ses pupilles brillent d'une lueur sadique.
_ Si tu me fais confiance, je te conseillerais d'y arriver assez vite. Bien sûr tu ne jouis pas, c'est le jeu.
Cela fait longtemps que nous ne mettons plus de préservatif, nous avons fait les tests nécessaires et je prends la pilule. Un petit bruit m'indique que le chrono a démarré. Je me redresse un peu, dirige son sexe avec le pouce, m'appuie dessus, il s'enfonce. Je ne sais pas ce qui m'attend. Des hypothèses défilent furieusement dans mon esprit. Je m’empale en geignant de bien-être. Je le sens tellement comme cela... J'adore ce trou là... Il garde emprise sur moi, toujours enchaînée à son poing. Je creuse mon dos, m'appuie sur son torse pour remonter. J'essaie de me concentrer sur autre-chose que cette sensation qui est l'une de mes favorites. Je me rabaisse, mon fessier claque sur ses bourses encore remplies. Je me mords la lèvre inférieure. Le rythme est régulier et profond, je désire l'oppresser sans fatiguer trop tôt. Il commence à râler. Il est plongé sur son écran tactile, il fait autre chose, c'est une provocation.
_ Six minutes.. Tic Tac.. Ma pute.. Tic Tac..
Sa voix est rauque et son regard moqueur, il chuchote. J'accélère la cadence. Silence. Mon entre-jambes ne cesse d'avaler et de recracher sa queue. Je n'en peux plus. Je veux qu'il vienne. Mes cuisses et les siennes sont enduites de ma cyprine. La pression sur ma nuque s'est relâchée, je balance la tête en arrière pour respirer bruyamment, les paumes sur ses jambes, mes seins tendus vers le ciel.
Il me tire brusquement en avant, il se tend et se déverse en moi en actionnant ses hanches. Il serre ma mâchoire dans sa main, tout sourire, et m'embrasse sans douceur.
_ Mhm... Je pense que tu peux mieux faire.
Il me montre le compteur.
_ 14minutes et 38 secondes.
Il clique sur une autre icône, la galerie. Une vidéo apparaît. Je reste de marbre. Il l'a prise quand il a lâché ma laisse, des gémissements que je ne m'étais pas entendue prononcer s'échappent du petit appareil. Il ne dit rien, ne me la montrée que pour m'informer de son existence. Il met le téléphone en veille. Et sort du lit, et de moi au passage. Il essuie son tuyau sur ma cuisse.
_ Va me faire un café. Ensuite c'est ton tour.
« _ Léa est une peste, elle aurait pu te faire très mal.
Le sujet est clos. Sa paume glisse le long de mon dos, s'appuie sur mon fessier, le malaxe. Je me cambre, il s'approche de moi, son visage se niche dans mon cou, qu'il aspire jusqu'à le marquer. Il me plaque fermement contre le mur, ses mains glissent sur mes épaules, dézippe le dos de ma robe, elle chute doucement jusqu'à mes reins. Mes tétons tendus frottent le papier-peint froid. Il n'est pas cérémonieux, je sens dans chacun de ses touchers sur ma peau qu'il désire me baiser, s'apaiser aussi simplement que sauvagement. Son souffle est rauque contre mon oreille. Il tire sur ma robe d'un coup sec, l'envoie au sol, je lève les pieds un à un, il l'envoie glisser plus loin. Tandis que je me détache du mur il glisse une main sur ma hanche, ses doigts effleurent mon sexe dégoulinant de stupre. Je gémis. Son doigt pousse entre mes lèvres intimes. Je gémis encore. Il appuie lentement, invariablement, tirant mes chaires en mon intérieur. Je gémis davantage.
_ Putain... J'aime comment tu cries ma salope...
Il rassemble mes cheveux, plonge ses doigts dedans, tire ma nuque en arrière.
_ Viens on va...
Son index entre en contact avec la boucle de mon collier, l'effet est immédiat, il ressort ma laisse de sa poche et l'attache. Sans me laisser souffler, il m'entraîne au salon, me bouscule pour que je tombe à quatre pattes devant la table. Il noue ma laisse à la chaise, crache sur mon dos pendant qu'il baisse son jean, il étale sa bave sur mon cul, frotte son pieu entre mes fesses. Une vive fessée s'abat. Je crie de surprise, son gland presse l'entrée de ma rondelle, une deuxième claque fuse...
_ On va jouer...
Sa queue tendue me pénètre, presque à sec, je crie, mon maître m'enfonce ses doigts dans la bouche, tire ma tête en arrière ainsi. Réduite à un silence verbal, ma gorge gargouille des gémissements étranglés, il s'enfonce dans mon cul. Je le sens, il m'arrache de l'intérieur. Il y est déjà passé, par là, pourtant... Son autre main écarte une de mes fesses, son regard est fixé sur mon postérieur. Il se regarde me baiser, il ricane. Son mandrin est entré en entier, ses couilles frottent ma fente. Ses hanches s'activent très vite, je m'accroche aux pieds de la chaise, m’efforce de ne pas mordre sa main, par moment mon menton bute contre le bois. Il se défoule frénétiquement. Des bruits de baise obscènes se font entendre. Il n'en finit plus de me démonter, mes genoux rappent sol, ils me brûlent, comme ma gorge à force de tenter d'exprimer mon plaisir mêlé de douleur.
Il se penche un peu, retire ses doigts de ma gueule, plante ses paumes puissantes sur mes épaules, me redresse un peu, mon cou est tiré par la laisse. Ses coups de butoirs reprennent, plus fort, je ne cesse de gémir, mon corps est parcouru de frissons. Je n'ai pas honte de me faire baiser ainsi et d'aimer ça. Je me sens faite pour ça. Faite pour sentir sa verge écarter mon anus à grande vitesse. Mais là, je ne pense qu'à cet orgasme qui monte. Trop occupé par son propre plaisir il me laisse imploser. Sans cesser de râler tout près de mon ouïe, sans cesser de me pourfendre. Je n'en peux plus, mon corps est secoué, je suis sa poupée, rien que son jouet.
_ Nhn.. Grosse salope à moi..
Son foutre se déverse à moitié dans mon fion, et le reste sur mon dos. Il se redresse et souffle. Me donne encore une fessée. Son téléphone sonne, il referme sa ceinture et se précipite au porte-manteau, il y a un blanc durant lequel la sonnerie continue alors que les bruissements de vestes ont cessés. Il hésite. La sonnerie se termine. Il n'a pas raccroché et revient vers moi.
_ Ma pute ? Tourne la tête.
Je le fais. Un déclic retentit. Il s'accroupit à côté de mon visage et me présente l'écran de son smartphone.
_ Ma pute avec du sperme de son maître adoré plein le cul. T'es belle hein ?
Je rougis vivement, essayant de détourner mon regard de la photographie. Mais je n'y parviens pas, me trouve moi-même excitante. De sa main libre il vient de défaire le nœud qui me retenait au meuble.
A nouveau debout il me tire derrière lui, je le suis, les cuisses poisseuses de jus. Il s'arrête un instant, l'air perdu dans ses pensées.
_ A ou B, ma chienne ?
_ A, Maître.
Il hoche la tête, apparemment je viens de choisir de la suite des événements. D'un pas guilleret et impatient il me traîne jusqu'à la chambre, lâche ma laisse et se tient debout devant moi.
_ Déshabille-moi.
Je déboutonne sa chemise chic, mes doigts ripent sur les boutons, l’atmosphère est lourde de tension sexuelle. Nue et salie, je tire ses bras hors des manches, plie sa chemise sur le bord du lit. Mes doigts desserrent sa ceinture, sa braguette est déjà béante, je descends son pantalon en jean très foncé, et son boxer. Je m'agenouille et soulève ses pieds, retirant ses chaussettes au passage. A peine ceci fait il m'agrippe par les cheveux pour me remettre sur pieds et lèche mes lèvres, le regard brillant et joueur. Son pieu est à nouveau au garde à vous. Il s'allonge au-dessus du duvet, m'entraîne par ma laisse. Je me cale à califourchon sur ses cuisses, sa verge juste devant mon intimité. Son poignet enroulé autour de mon attache, j'ai le visage penché en avant, la position est inconfortable. Dans son autre main il a encore son téléphone. Il me montre un chronomètre.
_ Le temps que tu mettras à me faire gicler, juste avec ta chatte en me chevauchant, jouera un rôle pour plus tard.
Il donne de petits coups sur ma laisse, ça me fait mal au cou, ses pupilles brillent d'une lueur sadique.
_ Si tu me fais confiance, je te conseillerais d'y arriver assez vite. Bien sûr tu ne jouis pas, c'est le jeu.
Cela fait longtemps que nous ne mettons plus de préservatif, nous avons fait les tests nécessaires et je prends la pilule. Un petit bruit m'indique que le chrono a démarré. Je me redresse un peu, dirige son sexe avec le pouce, m'appuie dessus, il s'enfonce. Je ne sais pas ce qui m'attend. Des hypothèses défilent furieusement dans mon esprit. Je m’empale en geignant de bien-être. Je le sens tellement comme cela... J'adore ce trou là... Il garde emprise sur moi, toujours enchaînée à son poing. Je creuse mon dos, m'appuie sur son torse pour remonter. J'essaie de me concentrer sur autre-chose que cette sensation qui est l'une de mes favorites. Je me rabaisse, mon fessier claque sur ses bourses encore remplies. Je me mords la lèvre inférieure. Le rythme est régulier et profond, je désire l'oppresser sans fatiguer trop tôt. Il commence à râler. Il est plongé sur son écran tactile, il fait autre chose, c'est une provocation.
_ Six minutes.. Tic Tac.. Ma pute.. Tic Tac..
Sa voix est rauque et son regard moqueur, il chuchote. J'accélère la cadence. Silence. Mon entre-jambes ne cesse d'avaler et de recracher sa queue. Je n'en peux plus. Je veux qu'il vienne. Mes cuisses et les siennes sont enduites de ma cyprine. La pression sur ma nuque s'est relâchée, je balance la tête en arrière pour respirer bruyamment, les paumes sur ses jambes, mes seins tendus vers le ciel.
Il me tire brusquement en avant, il se tend et se déverse en moi en actionnant ses hanches. Il serre ma mâchoire dans sa main, tout sourire, et m'embrasse sans douceur.
_ Mhm... Je pense que tu peux mieux faire.
Il me montre le compteur.
_ 14minutes et 38 secondes.
Il clique sur une autre icône, la galerie. Une vidéo apparaît. Je reste de marbre. Il l'a prise quand il a lâché ma laisse, des gémissements que je ne m'étais pas entendue prononcer s'échappent du petit appareil. Il ne dit rien, ne me la montrée que pour m'informer de son existence. Il met le téléphone en veille. Et sort du lit, et de moi au passage. Il essuie son tuyau sur ma cuisse.
_ Va me faire un café. Ensuite c'est ton tour.
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