Sabine, esthéticienne-gérante irréprochable du salon « Voyage Éternel »

- Par l'auteur HDS Sabine Edwarda -
Auteur .
  • • 2 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Sabine Edwarda ont reçu un total de 7 357 visites.
Récit libertin : Sabine, esthéticienne-gérante irréprochable du salon « Voyage Éternel » Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2024 dans la catégorie Fétichisme
Cette histoire de sexe a été affichée 2 640 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Sabine, esthéticienne-gérante irréprochable du salon « Voyage Éternel »
Je suis esthéticienne, 50 ans, je vis seule avec Vesna, 19 ans, obtenue par un amant d'une nuit, elle est apprentie au salon. Nous sommes très complices voire « fusionnelles » : on est toujours ensemble, on lit les mêmes revues, on se prête certains de nos dessous, nos objets. Dans la rue, on se tient par la main, bras dessus bras dessous, ou encore enlacées par la taille. J'ai Patrice, 51 ans, mari de la voisine d'en face sur le palier. Il passe le matin pour prendre un café/croissant avec nous, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. C'est en fait un « sexfriend », plutôt qu'un amant. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner. Le matin, dans la pénombre, j'entends le lit de Vesna qui commence à couiner lentement, puis de plus en plus régulièrement. J'arrive aussi, malgré le peu de luminosité, à distinguer la forme de son corps à travers le rideau plastifié (nos chambres sont séparées par un rideau plastifié translucide en guise de cloison). Elle est allongée sur le ventre, les cuisses écartées, son bassin se cambre légèrement et retombe de façon régulière. Petit à petit, ce couinement se transforme en grincements du matelas de plus en plus forts et saccadés. Puis, les lattes en bois de son lit se mettent à craquer violemment. Les craquements se font de plus en plus rapidement jusqu'à ce que tout s'arrête brutalement. A ce moment-là, je me dis « depuis 10 bonnes minutes que ça commence, voilà enfin l'orgasme ».

Souvent, en me levant, je croise Vesna, sortant de la salle de bains, elle n'a pas encore eu le temps de s'habiller. Toute nue, tout en mettant précipitamment ses talons hauts noirs vernis, elle se saisit du seul vêtement disponible au porte-manteau, un tablier blanc « serveuse de bar » pour venir en cuisine pour prendre le café. Elle a tout juste le temps de nouer rapidement son tablier dans le dos. Elle est donc en tenue minimaliste : petit tablier blanc très court ne couvrant que le haut de ses cuisses qu'elle porte uniquement avec ses talons, donc sans slip, sans culotte, sans rien et « topless ». Quand elle va ouvrir la porte, elle ne laisse personne indifférent : pour qui sonne et qui n'a pas l'habitude, cela surprend ! Et pour ceux qui ont l'habitude ou qu'ils l'ont déjà vue ainsi, l'effet est toujours garanti avec une très forte émotion palpable. Disons même que l'effet qu'elle produit est dévastateur. Ce tablier, porté topless, sans slip, sans culotte, est un « objet de tentation », c'est vraiment ravageur. On a envie de passer la main dessus pour sentir la texture particulièrement sensuelle et tout ce qu'il suggère : à la fois attirance et repoussoir, invitation et refus, douceur et fermeté, femme au foyer et femme de service d'un grand hôtel, protection et tenue d'intérieur, salissure et netteté, nettoyage et propreté, etc. Il ne laisse pas indifférent, loin de là. C'est un tablier dangereux par sa blancheur, sa matière, sa longueur, surtout par sa charge érotique. Très court, ça laisse perplexe, car habituellement un tablier de protection couvre beaucoup en principe.

En arrivant dans la cuisine elle a une habitude qui tient de la manie, du tic : elle se gratte le sexe à travers son tablier comme pour se calmer d'une démangeaison. Ce geste involontaire attise la libido de Patrice qui vient vers elle, il lui fait la bise puis passe son bras autour de son cou. Il s'avance vers elle pour un baiser « pleine bouche ». Comme il la serre dans son bras, ses lèvres se trouvent plaquées contre les siennes. Le mouvement, la torsion des lèvres provoquées par l'interpénétration des lèvres est remarquable. Vesna est obligée d'entrouvrir la bouche pour prendre un peu d'air, Patrice en profite pour faire entrer sa langue à l'intérieur de la bouche de Vesna.
Pendant ce temps, Patrice vient placer son autre main sur le tablier de Vesna. L'image qu'il doit avoir dans la tête de la serveuse de bar docile, aimable, serviable est certainement présente. Patrice vient placer sa main et ses doigts sur son tablier dans le creux du haut de ses cuisses. Il commence à caresser Vesna à cet endroit disons-le dans son sexe. Son tablier se plisse. Vesna commence à être un peu gênée de cette intrusion mais elle ne s'en offusque pas. Elle est d'une nature réservée, attentive, réceptive à l'excès. Le geste de Patrice se transforme rapidement en geste masturbatoire. On entend des « mmmmmuuhhhh.... mmmmuuuhhhh.... mmmmmmuuuhhhh.... » de la fille qui veut maintenant se libérer d'une emprise gênante. Au bout de cinq minutes environ Vesna se débat, les « mmmmmuuhhhh.... » étouffés deviennent des « aaaahhh... aaaahhh... » hurlants. Les lèvres de Vesna sont toujours mélangées à celles dePatrice. Mais tout à coup, Vesna se cabre violemment.

Je viens vers Patrice en adossant mes fesses contre l'évier, Patrice soulève ma nuisette pour s'introduire en moi. Très souvent Patrice a envie de me sauter après qu'il ait terminé son café-croissant. On peut faire cela dans la cuisine, il me prend, nous sommes tous les deux debout, moi contre l'évier, je me laisse pénétrer. Pendant ce temps Vesna s'occupe de ranger les affaires sans être gênée. Je considère que ce serait malpoli d'aller se cacher. S'il veut un endroit plus confortable, plus exactement si on a un peu plus de temps, on va dans ma chambre, la porte-rideau plastifiée reste ouverte, Vesna va et vient, on la voit passer, elle nous voit, mais il arrive même qu'elle ait un objet ou un vêtement à prendre, dans ce cas elle vient dans la chambre alors que Patrice me saute. C'est peut être osé de se faire prendre devant sa fille mais pas pour nous car on est tellement habituées toutes les deux à se confier sur tout que ce n'est en rien choquant. Du fait de notre relation fusionnelle, c'est venu très naturellement. La première fois, Vesna est entrée dans la cuisine alors que j'avais ma main dans le caleçon de Patrice et que je le masturbais. En fait l'arrivée de Vesna a provoqué instantanément l'éjaculation, j'ai sorti ma main de son short complètement engluée de son foutre.

Après le petit-déjeuner, nous nous préparons pour aller au salon qui se trouve tout près, de sorte que le trajet n'est pas long. Nous avons toujours une tenue assez classique sans oublier le « sexy détail », en particulier adeptes de la jupe en cuir mi-cuisses, forme « trapèze » donc qui se balance de droite à gauche à chaque pas. A cause de la longueur, lorsqu'on monte un escalier ou qu'on se tient dans un escalator on a une vue imprenable sur nos jambes et même nos cuisses. Au comptoir d'une brasserie, elle remonte assez haut pour découvrir quasiment la totalité de mes cuisses, j'ai alors un geste caractéristique consistant à tirer sur ma jupe avec une moue à la Justine Putet qui s'agace de cette mode des jupes courtes (Justine Putet dans Clochemerle est la vieille demoiselle stricte qui exerce une surveillance étroite). Mon chemisier est blanc, un rien transparent, les deux boutons du haut sont défaits. Je porte toujours des bas couture ou résilles avec des porte-jarretelles. Assise sur un tabouret haut du comptoir, ma jupe remonte d'elle-même toujours assez haut pour découvrir la fixation de mes porte-jarretelles. Les garçons ne peuvent pas s'empêcher de fixer leur regard sur mes cuisses un rien « jamboneuses ». Nous faisons une halte dans le café en face de notre salon où l'on retrouve des habitués que nous connaissons bien : travailleurs style cadres en costume-cravate et aussi des lycéens. Avec eux, je m'arrange pour me tenir au comptoir à côté, tout près. On discute un moment ensemble. L'endroit étant assez étriqué, je me retrouve proche des garçons. Je suis envahie de sensations spéciales causées par Richard, lycéen. Je lui dit bonjour avec une première bise sur sa joue gauche puis la deuxième sur sa joue droite « dérape », ma bouche se pose sur la commissure de ses lèvres. N'ayant aucune réaction de retrait, j'ai aussitôt la présence d'esprit de poser ma main sur sa braguette pour lui proposer de boire son chocolat. En me plaçant à côté de lui au comptoir je simule une bousculade à cause de l'exiguïté des lieux. En passant, mes seins s'appuient sur son torse. Au bout d'un moment je sens une main s'égarer sur mes fesses à travers ma jupe (jupe en cuir, donc très sensuelle). Aussitôt je réagis de façon appropriée, c'est-à-dire ne pas y faire attention. Le geste de cette main se transforme en caresse de mon cul lentement mais sûrement, de façon insistante. Le garçon doit être assez jeune. Pour nous, femmes quinqua, c'est très agréable. Au comptoir les gestes avec les clients de la brasserie se multiplient tout en restant très discrets. Plusieurs ont pris l'habitude d'embrasser Vesna sur la bouche et de lui faire une caresse. Elle se laisse faire volontiers.

Nous quittons le café pour aller au salon « Voyage Éternel ». On entre dans la pièce qui sert de hall d'accueil. La pièce d'accueil au salon est un vestibule très étriqué entièrement en plexiglas, donc totalement transparent : bureau haut avec un tabouret haut pour s'assoir. Il faut se hisser pour être assise, ce qui a pour effet de retrousser la blouse d'elle-même, de provoquer une vue imprenable sur la quasi-totalité de nos cuisses. En se levant il faut absolument tirer la blouse vers le bas car elle reste « collée » à cause du nylon électrostatique. La première chose que nous faisons est de se mettre en tenue : blouse blanche nylon fin à effets électrostatiques, dont la longueur est juste en dessous des fesses, boutonnage entièrement dans le dos, col officier, et sabots à talons compensés modèle médical en bois. Cette blouse nous donne une allure « fermée », empaquetée, bouclée, voire camisolée. Ce qui contraste avec la longueur, car elle ne couvre que les fesses. Ceci fait que dès qu'on lève légèrement les bras ou même tout juste en se penchant légèrement on aperçoit par devant la naissance du pubis, par derrière le bas de la raie culière. Sous la blouse, slip, culotte, tanga, string sont proscrits pour des raisons d'esthétique et des raisons d'hygiène. De même notre sexe doit être totalement lisse, comme un savon. Cette première chose à faire, passer la blouse est presqu'une épreuve surtout pour nos stagiaires qui n'ont pas l'habitude. Certaines arrivent à passer les mains dans le dos et à procéder au boutonnage elles-mêmes. C'est rare. Mais la plupart du temps il faut faire autrement avec de l'aide. Vesna ou nos stagiaires enfilent les manches que je leur présente puis je passe mes bras autour d'elles de façon à effectuer le boutonnage. Dans ce moment là mes seins, ma poitrine s'appuient sur l'apprentie-esthéticienne, nos nichons se frôlent d'eux-mêmes à travers la blouse. La deuxième chose préparatoire que nous faisons est la vérification de la lisse de l'entrecuisses. Celui-ci ne doit offrir aucune aspérité au toucher. Je m'approche de Vesna, je passe ma main et mes doigts sous sa blouse, ce qui est très aisé à cause de la longueur très courte. Je fais glisser mes doigts pour sentir la moindre aspérité, la moindre pousse. Étant donné que ce soin est quotidien il n'y a quasiment rien à faire chaque jour. C'est l'occasion de m'attarder dans cette opération qui se transforme donc en caresse à caractère sexuelle. Très souvent j'en viens à introduire mon doigt dans l'intimité de Vesna. C'est un moment délicieux pour lequel je prévois préalablement de tremper mon doigt dans un pot de vaseline.

Quand je fais un soin, je sens toujours la main et les doigts de la patiente qui commencent à triturer le bas de ma blouse, le nylon électrique est très sensuel. Ensuite elle commence à passer la main par dessus ma blouse pour caresser mes fesses. Étant très courte, elle a immédiatement accès à mes fesses qu'elle peut palper. En remontant un peu voilà qu'elle peut caresser mes fesses à travers le tissu. Ça lui procure de fortes sensations. Ensuite je sens sa main passer plus ou moins timidement sous ma blouse et insinuer ses doigts dans l'intérieur de mon cul, mon entrefesses. Je sens un index entrer et sortir de mon cul de façon régulière. Ensuite je propose à la patiente de venir s'assoir, en position inversée, sur mon visage, comme sur une selle de vélo. Étant très courte, elle a immédiatement accès à mes fesses qu'elle peut palper. En remontant un peu voilà qu'elle peut caresser mes fesses à travers le tissu. Ça lui procure de fortes sensations. Ensuite je sens sa main passer plus ou moins timidement sous ma blouse et insinuer ses doigts dans l'intérieur de mon cul, mon entrefesses. Je sens un index entrer et sortir de mon cul de façon régulière. Mon salon propose des massages en deux parties, d'abord allongée sur le ventre puis sur le dos. Dans la première partie, massage dos, jambes, épaules, aisselles, bras, on termine en faisant glisser discrètement les doigts entre les cuisses, tout en haut sous le bas-ventre. On observe attentivement la réaction du client. Pratiquement toujours il se cambre légèrement, on poursuit pour accentuer. Dans la deuxième partie, sur le dos, on revient sur l'endroit entre les cuisses, en introduisant un doigt dans l'intimité, le but étant de parvenir à l'orgasme.

Et voici notre spécialité : ce sont les soins que demandent des mamans pour leur fils. Le garçon arrive accompagné par sa maman qui me l'a présenté comme ayant des problèmes de peau : acné, boutons disgracieux, rougeurs, etc. Ils arrivent tous les deux à 9 heures pile. Au comptoir, entièrement en plexiglas, donc totalement transparent, se tient Vesna avec le cahier de rendez-vous.

A leur arrivée, Vesna se hisse sur le tabouret haut, ce qui a pour effet de retrousser sa blouse et de découvrir ses cuisses. Les cheveux longs, ses petits seins libres sous sa blouse trahissent une poitrine bien gonflée, la longueur de sa blouse très courte confirme la rumeur de jambes délicates mais fermes. Sa peau bronzée et ses mains semblent d'une douceur parfaite. Elle prend le cahier de rendez-vous pour procéder aux vérifications nécessaires. J'arrive à ce moment là. J'embrasse sa maman, que je connais bien, c'est une habituée du salon. Puis j'embrasse son fils Richard qui me voit pour la première fois : une première bise à gauche, pour la deuxième bise à droite, ma bouche dérape un peu et mes lèvres se posent sur la commissure des lèvres de Richard. Il reste de marbre, sans doute intimidé plutôt que sensible au côté sensuel de ce baiser un peu osé, inhabituel, surprenant.

Le regard de sa maman me montre une certaine complicité feinte, elle me signifie qu'elle a compris que son fils me plaît bien. Ce que ce baiser donne à penser, c'est que ma façon d'aborder Richard ne s'avoue pas explicitement sexuelle, mais que je ne m'interdis ni de penser ni d'agir d'une façon qui satisfait un immense appétit sexuel qui tire parti de ma façon de l'accueillir. C'est l'ambigüité de la situation qui en fait la saveur. C'est un peu comme lorsqu'on laisse notre main glisser très légèrement sur les lèvres de notre sexe, sans lui permettre d'être plus directement intrusive : une promesse bien plus qu'un vrai plaisir ; l'entretien d'un désir naissant plutôt que son assouvissement. Ce baiser « dérapant » est du même ordre. J'ajoute à cela qu'à mon âge, j'ai un look assez ou plutôt « bourgeoise stricte », habillée de façon classique mais toujours avec le « sexy détail » que constitue cette blouse nylon bouclée dans le dos, ce qui plaît pas mal. Ceci donne des idées aussi. Le genre de détail qui fait tout de suite comprendre à qui on a affaire. Le détail qui dit : « regardez moi, je m'assume ».

Je demande au garçon et à la maman de me suivre : escalier en colimaçon très raide, puis accès à un couloir très sombre éclairé par une lumière tamisée rougeâtre. La montée de cet escalier pour Richard doit être une torture. En effet, il me suit avec vue sur mon entrefesses nu. On arrive à la salle de soin, elle aussi éclairée par une lumière tamisée rougeâtre. Je demande à la maman de patienter au fond de la salle de soins derrière un rideau plastifié translucide. Elle a un tabouret haut sur lequel elle peut poser ses fesses tout en restant debout. Richard a été un peu impressionné lorsque je lui ai dit dès le début qu'il doit être nu pour la séance. Il commence à se déshabiller, chaussures, chaussettes, pantalon, chemise. A ce moment là, je m'approche de lui pour baisser son caleçon. Il ne s'y attendait pas du tout, la surprise a produit instantanément une érection. Alors, j'ai dû repousser son pénis pour le sortir de son caleçon et le baisser. Après avoir retiré son caleçon, je le donne à Vesna avec pour tâche de le pendre au porte-manteau.

Le massage proprement dit va commencer. Je demande à Richard de s'allonger sur le futon, sur le ventre. J'enduis mes mains de gel lubrifiant, je commence un massage par les épaules, les bras, le torse, les cuisses. Je poursuis en m'attardant sur le haut des cuisses, à l'intérieur jusqu'à faire passer mes doigts par dessous ses organes. A ce moment là, plus je vais en profondeur par dessous son entrecuisses, plus Richard se cambre. Je sais qu'à ce stade, sa maman s'aperçoit par transparence de ce qui se passe, car moi aussi j'arrive à distinguer quelques formes d'elle. Elle est dans le recoin, un espace très réduit, limité par un paravent plastifié translucide. Il y a un tabouret haut de bar, ce qui lui permet de soulager ses fesses en s'asseyant debout. Je demande maintenant à Richard de se retourner de sorte qu'il soit allongé sur le dos. Je reprends le massage « épaules / bras / torse / cuisses ». Je poursuis en m'attardant sur le haut des cuisses puis sur son pénis que je prends à pleine main. Richard bande un maximum. Il faut faire très attention à ce moment là. Je dois relâcher son pénis au moment où il est au bord de l'éjaculation, une fois au repos je peux reprendre le massage et continuer ainsi, pratiquant l'« orgasme ruiné », spécialité de notre salon. Je demande à Vesna de m'apporter un tablier de cuisine à bavette en toile cirée souple, je l'enfile rapidement et je le noue dans le dos. J'emmène Richard jusqu'au bord de l'éjaculation autant de fois possibles. Cette alternance, ça doit être terrible pour lui mais en même temps tellement bon. C'est un mélange ininterrompu de plaisir et de souffrance pour le jeune Richard. Il est vraiment chanceux le petit Richard. En fait, le traitement que je lui fais est assez spécial pour des problèmes d'acné qu'il doit avoir au visage. Quand je sens que Richard est de plus en plus dans une position, un état intenable, je m'adresse à Vesna « apporte moi le tablier s'il te plaît ». Il s'agit d'un tablier de cuisine à bavette en toile cirée souple qui s'avère très utile en cas d'émissions incontrôlées. Je passe la bretelle de la bavette autour du cou. Je poursuis l'« orgasme ruiné », qui a pour fonctionnement une sorte de frustration par un interdit de jouir. Je pourrais dire que je suis une spécialiste de l'« orgasme ruiné », que j'appelle aussi « étreinte réservée ». A ce stade, je fais en sorte d'avoir un objet à attraper tel que je dois me pencher sur Richard, alors son pénis entre au contact de mon tablier. La toile cirée unie laquée, souple, froide produit son effet : immédiatement Richard a une très forte érection. J'appuie un peu de sorte que son pénis semble me pénétrer à travers la toile cirée. A ce stade, il sait pourquoi j'ai ce vêtement. Je me protège d'émissions incontrôlées.

A ce moment là, je suis passée derrière le rideau où est sa maman. Je lui demande « est-ce que tout va bien ? », puis « avez vous besoin de quelque chose ? », je l'informe que j'en suis à la phase finale avec son fils. Je repars, Vesna est près de lui avec une éponge et un torchon de cuisine. Je m'approche de Richard, Comme tous les jeunes, il raffole d'être pris en main par une femme d'expérience. Je saisis sa verge, je sens son excitation, je l'enduis d'un gel lubrifiant et je la fais coulisser dans la paume de ma main. Ça fait quand même quarante cinq minutes que le soin a commencé. En trente secondes cette fois-ci, ça gicle de toutes parts, prise par surprise j'ai eu à peine le temps de diriger la verge de Richard vers mon tablier. Vesna se rend compte que c'est de justesse. Richard a trois ou quatre soubresauts, mon tablier est complètement recouvert de son foutre. Je le laisse se reposer, c'est Vesna qui va s'occuper de l'essuyer. Je rejoins sa maman derrière le rideau, je la vois fixer son regard vers mon tablier gluant de ce liquide, comme une sorte de colle blanchâtre, mon tablier est maculé d'un liquide épais qui dégouline sur la toile cirée, ça dégouline en restant collé à la toile cirée, sa maman qui me dit « je ne comprenais pas pourquoi vous avez enfilé un tablier de cuisine mais maintenant je me rends compte que c'est ce qu'il y a de plus approprié ».

Je retourne rejoindre Richard qui a l'air de se reposer un peur. Je lui fais quelques chatouillis. Je monte sur lui dans ma position préférée pour lécher, sucer un pénis : Richard est toujours allongé sur le dos, je viens me mettre à califourchon en m'asseyant sur son visage, les jambes de part et d'autre de son visage. Dans cette position Richard a un accès à mon sexe avec sa bouche, il peut me lécher, pendant ce temps, en position inverse sur lui, j'ai accès à son membre pour le sucer. Son cul écrase ma bouche, à ce moment là, je peux lui lécher l'anus et son petit trou. Vesna a la bonne réaction vis-à-vis de Richard lorsqu'il essaye de passer la main sous sa blouse. Elle se laisse faire sans broncher, sans marquer aucune attitude de refus, de retrait, de recul. Bien au contraire, elle se fait « accueillante », disponible, obéissante, voire même soumise, docile. La force de Vesna dans cette situation c'est de rester totalement immobile, rigide, statufiée. Elle se fait « poupée gonflable ». Elle adopte même la moue de la fille qui vient d'avaler quelque chose d'indigeste. Vesna et moi sommes parfaitement interchangeables, totalement identiques, donc autant désirables l'une que l'autre. Richard est comblé, il vient de jouir dans ma bouche, j'en ai fini. Je retourne vers sa maman.

Pour remercier Richard, je lui fais un magnifique suçon. Je commence avec lui par des mots doux avec pour signature la marque de mes lèvres dans son cou et, surtout un suçon, ce qu'on appelle savamment la « morsure d'amour ». Je suis une spécialiste de la succion prolongée de la peau du cou par la bouche, avec moi le terme de morsure est approprié : j'aspire Richard le plus profondément possible sur la plus grande surface possible de la peau de son cou, ceci pendant le plus longtemps possible. Quand j'ai relâché Richard, on a entendu comme le bruit d'une chambre à air qui se dégonfle. Sur le coup Richard a éprouvé une douleur intense. Les jeunes du quartier à qui je fais cela considèrent le suçon comme une marque malvenue, une chose que l'on cherche à cacher le plus possible. Les miens sont d'une surface imposante et l'ecchymose que je crée demande au moins deux semaines pour disparaître.

Richard quitte notre salon Voyage Éternel marqué de ce long moment inoubliable.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour Sabine,
C'est avec grand plaisir que j'ai lu tes 2 histoires. Et pourquoi pas faire un mixe de tes histoires? Si tu es ok, je te lance un défit: toi et ta fille vous descendez les escaliers jusqu'aux boîtes aux lettres, uniquement vêtues d'un tablier. Puis tu y met la photo sur ton profil!!! A bientôt !😉

Histoire Erotique
Très excitantes toutes les deux! Je ne sais pas ce qui est le mieux: être voisin de palier ou client de l'institut 🤔
Vivement la prochaine histoire

Histoire Erotique
Super excitant ce salon



Texte coquin : Sabine, esthéticienne-gérante irréprochable du salon « Voyage Éternel »
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Sabine Edwarda

Sabine, esthéticienne-gérante irréprochable du salon « Voyage Éternel » - Récit érotique publié le 09-01-2024
Rencontre avec des ados - Récit érotique publié le 31-07-2023