Sabine, esthéticienne, quinquagénaire qui aime les adolescents du quartier
Récit érotique écrit par Sabine Edwarda [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Sabine, esthéticienne, quinquagénaire qui aime les adolescents du quartier
RAPPEL et INTRODUCTION : Je vis seule avec Vesna, 19 ans, que j'ai eue d'un amant d'une nuit que je n'ai jamais revu, elle est apprentie-esthéticienne à mon salon. Nous sommes toutes les deux très « fusionnelles ». Ma relation avec Vesna est à la fois très belle et très émouvante. C'est une relation « totale » aussi bien affective que physique. Cette relation mère/fille doit être pour nous deux une vraie source de bonheur. Je raconte ici un autre aspect de ma personnalité, mon côté « salope »/exhibitionniste. Je vais expliquer mon plaisir à me faire salope, en particulier à attirer chez moi des jeunes du quartier.
Nous vivons dans un immeuble d'une résidence dans laquelle il y a des jeunes, de nombreux jeunes. J’ai des relations avec Richard, un adolescent d'environ 18, fils d'une amie de l'immeuble ainsi qu'avec ses copains. Je prends du bon temps avec lui malgré la différence d'âge puisqu'il pourrait être mon fils. Quand je suis avec un jeune de son âge, je porte toujours une jupe, des bas, des talons hauts ou vertigineux, un chemisier blanc. Ma jupe est toujours une jupe en cuir noire ou rouge, assez courte (mi-cuisses, voire le plus souvent à peine mi-cuisses), de forme « trapèze », c'est-à-dire légèrement évasée tout en moulant bien mes fesses. Cette jupe se balance légèrement de droite à gauche en marchant me donnant une allure très désirable.Voir la photo de mon profil avec cette jupe. En montant les escaliers derrière moi on peut apercevoir ma « raie culière » car je suis sans slip, sans culotte, sans rien.
Imaginons l'atmosphère. Vous êtes chez moi un matin, c'est Vesna qui a déclenché l'ouverture de la porte quand vous avez sonné, vous poussez la porte, la porte s'ouvre d'elle-même, pas complètement mais suffisamment pour que vous aperceviez au fond du couloir Vesna qui arrrive. Sortant de la salle de bains, elle n'a pas encore eu le temps de s'habiller. Toute nue, tout en mettant précipitamment ses talons hauts noirs vernis, elle se saisit du seul vêtement disponible au porte-manteau, un tablier blanc « serveuse de bar » pour venir en cuisine pour prendre le café. Elle a eu tout juste le temps de nouer rapidement son tablier dans le dos. Elle est donc en petit tablier blanc très court ne couvrant que le haut de ses cuisses qu'elle portait uniquement avec ses talons, donc sans slip, sans culotte, sans rien et « topless ». Les cheveux longs, sa poitrine libre trahit une poitrine bien gonflée, son petit tablier blanc très court confirme la rumeur de jambes délicates mais fermes. Sa peau bronzée et ses mains semblent d'une douceur parfaite. Vous êtes stupéfait par cette vision. Vous fermez la porte d'entrée, de la cuisine, je dis d'une voix forte « entrez... ». Vous entrez dans la cuisine, vous me découvrez devant l'évier, semble-t-il en train de m'occuper des affaires pour le petit déjeuner. Je vous dis « bonjour » sans retourner la tête. Mais une chose provoque en vous une puissante excitation : je suis nue, vêtue seulement d'un tablier à bavette en plastique translucide. Le tablier fait que vous voyez mes fesses et mon dos nus, le plastique donne un aspect très particulier, sensuel à ma tenue. Vous êtes excité en réponse à une stimulation qui implique vos organes sexuels, répond à la stimulation physique de vos organes sexuels. Vous voyez mon magnifique cul qui ondule au gré de mes mouvements. Je me déplace à droite vers le bord de l'évier, là je me hisse sur la pointe des pieds pour accéder à un placard du haut. Le haut de mon entrecuisses se trouve à la hauteur de la pointe l'évier et s'enfonce sous l'effet de l'appui exercé. A ce niveau la pointe de l'évier pénètre dans mon tablier, le plastique fait des plis en se creusant dans l'intérieur de mes cuisses, et en essayant d'attraper les affaires du petit déjeuner le mouvement de haut en bas provoquent la pénétration de la pointe de l'évier dans mon tablier suggérant ainsi une quasi-masturbation avec la pointe de l'évier comme objet sexuel. L'effet est dévastateur, vous êtes sous l'emprise d'une puissante sensation érotique. J'en ai terminé avec les affaires du placard, un pivotement d'un quart sur moi-même suffit à me remettre en place devant l'évier. Mais le « mal » est fait si je puis dire, vous n'en pouvez plus. Sans avertissement, vous venez vers moi par derrière, vous m'enlacez, je sens votre sexe dans votre caleçon contre mes fesses, vos bras m'enlacent et vos mains viennent peloter mes seins à travers la bavette du tablier. Au fait, qu'est-ce qui vous excite le plus : le tablier en tant que fonction qu'il symbolise ? Le plastique à cause de sa sensualité ? Mes seins que vous malaxez, triturez à pleine mains ? Puis, vous me plaquez contre vous pour prendre mes seins en main. Vous jouez avec avant de saisir ce téton qui darde sous votre main. Vous glissez votre autre main entre mes fesses pour rendre visite à l'intérieur de mes fesses. Vous prenez tout votre temps pour savoureux avec délice mes si beaux atours. Vous voulez que l'on profite ensemble et vous vous frottez contre mon cul pour me montrer combien je vous fais de l'effet. Vous m'embrassez dans le cou, vous léchez ma peau, vous mordillez mon oreille. Je sens que vous n'en avez pas fini avec moi. Vous partez rendre visite à mon superbe postérieur que vous caressez longuement avant de venir explorer mon petit trou qui vous fait bander. On a tout le temps pour apprécier. Votre autre main veut investir mon joli minou pour pouvoir récolter mon jus et vous investissez avec deux doigts en vous fouillant la vulve avec ferveur. Ici, c'est plua compliqué et en même temps plus sensuel car faut passer par dessous mon tablier. Vous me prenez par-devant et par-derrière avec vos doigts. Vous bandez parce que Vesna est là. Le problème qui se pose est le tablier car il interdit l'accès à mon sexe. Plein d'idées vous viennent à l'esprit : Mon tablier exprime la « protection », la « mise à distance », contre les agressions ou les inconvenances extérieures qui est assurée pour les manipulations salissantes ou à ou « à risques ». Mais il est aussi « invitation », « désir d’accessibilité » : les entrebaillements de la bavette suggèrent des accès sur les côtés, le bas du tablier plus lâche qu’une jupe possède une liberté de mouvement qui nécessite des remises en forme, des ajustements, réajustements lors des déplacements et changements de positions. Il est aussi invitation à découvrir l’habillement. De forme droite, sa taille n’est marquée que par la façon dont le noeud est fait, ce qui permet de le serrer différemment au gré de l’humeur, selon le style que désire se donner celle qui le porte. Il donne de l’aisance à certains mouvements et en contrarie d’autres: le lever les bras en l’air (pour remettre les cheveux en place par exemple) ne le contrarie en rien et fait découvrir la surface entière qu’il occupe, alors que la position assise le déforme, le pencher en avant le détache du corps lui faisant perdre momentanément sa fonction de protection. Son ourlet au niveau du genou glisse doucement au niveau des cuisses, lors des déplacements il se plisse et se creuse à l’intérieur des cuisses. Cintré à la taille, le tablier se noue avec les deux lanières qu’on rejoint en noeud dans le dos. Dans le cas présent, la toile cirée assure l’étanchéité, la contrainte réelle est toujours compensée par l’idée d’une accessibilité, par derrière, tout aussi réelle.
J'aime bien l'expression de « "chasse" aux jeunots » car c'est exactement ce que je fais. J'ai des garçons du quartier comme « délice physique et psychique ». Ils ont 25 / 30 ans de moins. Je peux dire qu'avec eux je suis heureuse. J'arrive à avoir de vraies relations avec un grand écart d'âge, ça m'épanouit et j'en suis ravie. Ma vie a de nombreux rebondissements en amour. En ce moment Patrice, mari de la voisine d'en face sur le palier, passe le matin pour prendre un café, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner. Chaque fois que je sors de chez moi, je croise Richard, un ado d'environ 18, dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours pour être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçues. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon. Ce matin encore une voisine m'a fait un léger sourire de celle qui a comprit ce qui se passe chez moi, en se croisant dans l'escalier, tout cela parce que je descendais en suivant d'un demi-étage un jeunot. Ce manège fait exactement penser à un client qui sort de chez moi après une passe. Le garçon en question est lycéen, nous avons eu un très bon moment ensemble. Il a sonné chez moi sous prétexte qu'il n'y a pas d'eau chez lui, donc impossible de prendre une douche. Je j'ai fait entrer dans la salle de bains tout en défaisant la ceinture de mon peignoir. Aussitôt entrés j'ai attrapé son pénis dans ma main pour une caresse voluptueuse.
Pour draguer des jeunes du quartier, je me fais bourgeoise, c’est-à-dire reine de l’artifice qui veut se faire passer pour naturel et plus authentique que la vérité-même, par le biais de la sincérité. Pour appâter les ados, j'ai une jupe en cuir rouge est déjà assez courte sans être hyper courte, mais juste de la bonne longueur pour donner des envies. On devine que je suis sans culotte quand on me suit en montant les escaliers. Cette jupe moule particulièrement bien mes fesses. Elle est tout le contraire de l'indécence ou de la vulgarité. Rien d’étonnant, donc, que je sois autant source d’identification et de fantasmes chez les adolescents, les tenants de l’amour artificiel sincérisé. Ma prétention au naturel, femme-objet ultra-sophistiquée, prétention à la base naïve chez la coquine pin-up, mais qui avec le temps s’est mutée en agression et en stratégie conquérante à travers l’actrice jouant des rôles de putain de luxe, despotique et courtisane – est à la fois risible tant je suis grotesque, et violente tant elle est en partie inconsciente mais calculée. À l'extérieur, il m'arrive souvent d'être sans culotte, pour me sentir nue et risquer que ça se remarque, pour sentir passer la fraicheur entre les jambes sous ma jupe (ce qui me fait mouiller), pour le plaisir d'un garçon de l'immeuble qui peut me tripoter à volonté. Ce matin, je suis descendue au rez-de-chaussée pour chercher mon courrier. En bas, deux jeunes discutent près des boîtes à lettres, on se dit « bonjour » et on discute un moment ensemble. Je suis envahie de sensations spéciales causées par Richard, lycéen. Pour se dire bonjour. Je lui fait une première bise sur sa joue gauche puis la deuxième sur sa joue droite a « dérapé », ma bouche s'est posée sur la commissure de ses lèvres. N'ayant aucune réaction de retrait, j'ai aussitôt eu la présence d'esprit de poser ma main sur sa braguette pour lui proposer d'entrer dans la cage d'escalier de l'immeuble. Au moment où il passe la porte de l'immeuble, je simule une bousculade à cause de la porte juste entr'ouverte. En passant, mes seins se s'appuient sur son torse. L'endroit étant assez étriqué, je me retrouve proche des garçons. Au bout d'un moment j'ai senti une main s'égarer sur mes fesses à travers ma jupe (jupe en cuir, donc très sensuelle). Aussitôt j'ai réagi de façon appropriée, c'est-à-dire ne pas y faire attention. Le geste de cette main s'est transformée en caresse de mon cul lentement mais sûrement, de façon insistante. Le garçon doit avoir autour de 18 ans. Pour nous, femmes quinqua, c'est très agréable. Puis, de dos, on aperçoit la naissance de mon entrefesses en montant les escaliers. Tout de suite, on imagine me suivre. En montant les escaliers, j'ai senti sa main, il a tout juste commencé de façon hésitante à passer la main par dessous ma jupe. Cela m'a procuré une sensation formidable de bien être.
Dans l'escalier, derrière moi, l'évasement de ma jupe est juste suffisant pour apercevoir mon « entrefesses », c'est-à-dire ma raie « culière », à l'odeur et au goût musqué.
J’ai donc des relations avec Richard, fils de cette amie de l'immeuble. Je prends du bon temps avec lui malgré la différence d'âge puisqu'il pourrait être mon fils. Quand je suis avec un jeune de son âge, je porte toujours une jupe, des bas, des talons hauts ou vertigineux, un chemisier blanc. Ma jupe est toujours une jupe en cuir noire ou rouge, assez courte (mi-cuisses, voire le plus souvent à peine mi-cuisses), de forme « trapèze », c'est-à-dire légèrement évasée tout en moulant bien mes fesses. Cette jupe se balance légèrement de droite à gauche en marchant.
Dans l'escalier, derrière moi, l'évasement de ma jupe est juste suffisant pour apercevoir mon « entrefesses », c'est-à-dire ma raie « culière », à l'odeur et au goût musqué. Évidemment, dire qu'on aperçoit mon « entrefesses » signifie qu'il est à l'air libre, donc je suis sans culotte, sans slip. Chaque fois que je sors de chez moi, je le croise dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours par être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçue. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon — A ce sujet, je porte soit un collant, soit des bas et très souvent, même tous les jours, car depuis que je suis gamine, j'adore collant et bas, faut pas me demander pourquoi, j'aime, je suis accro, complètement pour les collants, en majorité avec un gousset que je découpe, et sans slip, avoir ma fente disponible pour un garçon est vraiment mon phantasme et bien sûr le sien pour les bas, j'adore évidemment les serre-taille, la bande est plus large que le porte-jarretelle "ficelle" et j'essaie d'en trouver à 6 jarretelles, devant, sur le côté et surtout derrière, avec un slip en dentelle ou en tulle, très transparent pour les jeunes, je flâne dans les magasins genre Galeries Lafayette, je repère un jeune, je fais un semblant de rien, je passe très près de lui, j'ose espérer que mon parfum va l'attirer, puis pour une raison inventée, je dois m'accroupir en écartant les cuisses, là je ferre mon poisson, puis je m'éloigne, destination rayon lingerie, ensuite cabine d'essayage, rideau pas suffisamment tiré, je suis en lingerie, et j'attends. si le garçon est trop sûr de lui, je n'apprécie pas vraiment, je préfère le timide, je sors la tête, l'interpelle, et lui demande doucement s'il peut m'aider là la jeune est vraiment surpris, j'adore, je lui demande d'aller me chercher un autre soutien, de telle taille, puis avec discrétion, je lui demande ce qu'il en pense bien souvent, le petit jeune est tellement rouge que je dois le calmer, puis lorsque je quitte la cabine, je n'achète rien, mais je le prends par le bras avec moi, nous sortons, je l'emmène ailleurs, en discutant calmement, dans la voiture dans un parking de sous sol, je l'embrasse, le caresse, le suce et il est tellement excité qu'il vient très vite, je me suis régalée, certains je revois ensuite, d'autres, non j'ai aussi d'autres techniques, — Avec un jeune, j'ai toujours un « sexy détail » qui attire l'attention.
Pour les adolescents les plus expérimentés, je consens sans envie, avec la nette impression que mon consentement n’est, de toute façon, pas requis. Le garçon qui ose me tripoter n’a pas l’air d’avoir besoin d’une partenaire. Pour lui, je ne suis qu’une poupée, une chose à posséder. Il me touche pour s’exciter, sans se soucier de savoir s’il me fait du mal ou s’il me fait du bien. Je me tiens donc là, debout, docile et inerte, le regard fixé sur son sexe pendant qu'il finit par me pénétrer. Il ne lui faut pas longtemps pour jouir. Sitôt terminé, je lui retire la capote, je la tiens par l'ouverture pour lui montrer la quantité de sperme qu'il a déversé. Je lui montre le niveau, ce que permet la transparence du préservatif.
Voici ce qu'est l'« orgasme ruiné », technique que je pratique avec mes adolescents. L'« orgasme ruiné » allie plaisir et torture et fait le bonheur de centaines de tous les jeunes à travers le monde. un orgasme masculin où la stimulation est stoppée net juste avant l’éjaculation. Cette méthode de masturbation consiste à ne plus toucher les zones érogènes du corps (pénis, testicules, jambes, mamelons, prostate…) lorsque le « point de non retour » est atteint. L’objectif premier de l’orgasme ruiné est de résister le plus longtemps à l’éjaculation et d’empêcher tout plaisir ou sensation agréable qui lui sont liés. C’est une vraie torture. Avec elle, le garçon soumis peut accéder à l’orgasme multiple. Orgasme qui va engendrer un maximum de frustration, chose que recherche avant tout le dominé. Avec l’orgasme ruiné, l’éjaculation n’est pas giclante mais plutôt fuyante. Le sperme s’écoule le long du pénis et peut être récupéré dans la main de la dominatrice qui peut en faire ce qu’elle veut. La bestialité de cette situation est celle qui peut s’emparer de nous (homme ou femme) quand on s’abandonne, qu’on lâche prise. Elle peut s’exprimer par un regain de puissance lors d’une levrette ou d’une sodomie, une gourmandise accrue lors d’une fellation où l’attrait de ce sexe en bouche va influencer le cerveau reptilien qui va faire temporairement qu’une femme va se laisser aller à une envie exacerbée de sentir le mélange de salive et de sperme dans sa bouche, se sentir en même temps, maîtresse du plaisir de son mâle et esclave sexuel de ce dernier et en tirer un plaisir insoupçonné. Cette bestialité peut se réveiller lors d’un cunnilingus qui voit l’apparition de deux doigts venant seconder une douce langue par soit une stimulation plus vigoureuse du point G ou pourquoi pas d’un petit doigt inquisiteur qui viendra stimuler la dame par derrière. Cette bestialité qui peut venir, rajoute ainsi une dimension animale. La sensualité, la tendresse, les préliminaires sont essentiels dans un amour « courtois » et ils peuvent, à mon sens, être enrichis par ce que nous sommes à la base, des êtres de chairs et de sang mais aussi d’émotions fortes qu’il me semble bon parfois de laisser s’exprimer. Enfin, cette « animalité » n’est pas l’apanage du mâle. La femme peut également redevenir la femelle qu’elle a toujours été et se laisser aller à vivre ses propres instincts. L’amour, faire l’amour, faire du sexe ne serait-il pas le parfait moment que nous choisissons pour s’abandonner, lâcher prise ? Et donc pour laisser une petite place à cette bestialité, cette animalité que notre société d’aujourd’hui veut brider par la moralité, la bienséance, la routine anesthésiante du train train quotidien.
Nous vivons dans un immeuble d'une résidence dans laquelle il y a des jeunes, de nombreux jeunes. J’ai des relations avec Richard, un adolescent d'environ 18, fils d'une amie de l'immeuble ainsi qu'avec ses copains. Je prends du bon temps avec lui malgré la différence d'âge puisqu'il pourrait être mon fils. Quand je suis avec un jeune de son âge, je porte toujours une jupe, des bas, des talons hauts ou vertigineux, un chemisier blanc. Ma jupe est toujours une jupe en cuir noire ou rouge, assez courte (mi-cuisses, voire le plus souvent à peine mi-cuisses), de forme « trapèze », c'est-à-dire légèrement évasée tout en moulant bien mes fesses. Cette jupe se balance légèrement de droite à gauche en marchant me donnant une allure très désirable.Voir la photo de mon profil avec cette jupe. En montant les escaliers derrière moi on peut apercevoir ma « raie culière » car je suis sans slip, sans culotte, sans rien.
Imaginons l'atmosphère. Vous êtes chez moi un matin, c'est Vesna qui a déclenché l'ouverture de la porte quand vous avez sonné, vous poussez la porte, la porte s'ouvre d'elle-même, pas complètement mais suffisamment pour que vous aperceviez au fond du couloir Vesna qui arrrive. Sortant de la salle de bains, elle n'a pas encore eu le temps de s'habiller. Toute nue, tout en mettant précipitamment ses talons hauts noirs vernis, elle se saisit du seul vêtement disponible au porte-manteau, un tablier blanc « serveuse de bar » pour venir en cuisine pour prendre le café. Elle a eu tout juste le temps de nouer rapidement son tablier dans le dos. Elle est donc en petit tablier blanc très court ne couvrant que le haut de ses cuisses qu'elle portait uniquement avec ses talons, donc sans slip, sans culotte, sans rien et « topless ». Les cheveux longs, sa poitrine libre trahit une poitrine bien gonflée, son petit tablier blanc très court confirme la rumeur de jambes délicates mais fermes. Sa peau bronzée et ses mains semblent d'une douceur parfaite. Vous êtes stupéfait par cette vision. Vous fermez la porte d'entrée, de la cuisine, je dis d'une voix forte « entrez... ». Vous entrez dans la cuisine, vous me découvrez devant l'évier, semble-t-il en train de m'occuper des affaires pour le petit déjeuner. Je vous dis « bonjour » sans retourner la tête. Mais une chose provoque en vous une puissante excitation : je suis nue, vêtue seulement d'un tablier à bavette en plastique translucide. Le tablier fait que vous voyez mes fesses et mon dos nus, le plastique donne un aspect très particulier, sensuel à ma tenue. Vous êtes excité en réponse à une stimulation qui implique vos organes sexuels, répond à la stimulation physique de vos organes sexuels. Vous voyez mon magnifique cul qui ondule au gré de mes mouvements. Je me déplace à droite vers le bord de l'évier, là je me hisse sur la pointe des pieds pour accéder à un placard du haut. Le haut de mon entrecuisses se trouve à la hauteur de la pointe l'évier et s'enfonce sous l'effet de l'appui exercé. A ce niveau la pointe de l'évier pénètre dans mon tablier, le plastique fait des plis en se creusant dans l'intérieur de mes cuisses, et en essayant d'attraper les affaires du petit déjeuner le mouvement de haut en bas provoquent la pénétration de la pointe de l'évier dans mon tablier suggérant ainsi une quasi-masturbation avec la pointe de l'évier comme objet sexuel. L'effet est dévastateur, vous êtes sous l'emprise d'une puissante sensation érotique. J'en ai terminé avec les affaires du placard, un pivotement d'un quart sur moi-même suffit à me remettre en place devant l'évier. Mais le « mal » est fait si je puis dire, vous n'en pouvez plus. Sans avertissement, vous venez vers moi par derrière, vous m'enlacez, je sens votre sexe dans votre caleçon contre mes fesses, vos bras m'enlacent et vos mains viennent peloter mes seins à travers la bavette du tablier. Au fait, qu'est-ce qui vous excite le plus : le tablier en tant que fonction qu'il symbolise ? Le plastique à cause de sa sensualité ? Mes seins que vous malaxez, triturez à pleine mains ? Puis, vous me plaquez contre vous pour prendre mes seins en main. Vous jouez avec avant de saisir ce téton qui darde sous votre main. Vous glissez votre autre main entre mes fesses pour rendre visite à l'intérieur de mes fesses. Vous prenez tout votre temps pour savoureux avec délice mes si beaux atours. Vous voulez que l'on profite ensemble et vous vous frottez contre mon cul pour me montrer combien je vous fais de l'effet. Vous m'embrassez dans le cou, vous léchez ma peau, vous mordillez mon oreille. Je sens que vous n'en avez pas fini avec moi. Vous partez rendre visite à mon superbe postérieur que vous caressez longuement avant de venir explorer mon petit trou qui vous fait bander. On a tout le temps pour apprécier. Votre autre main veut investir mon joli minou pour pouvoir récolter mon jus et vous investissez avec deux doigts en vous fouillant la vulve avec ferveur. Ici, c'est plua compliqué et en même temps plus sensuel car faut passer par dessous mon tablier. Vous me prenez par-devant et par-derrière avec vos doigts. Vous bandez parce que Vesna est là. Le problème qui se pose est le tablier car il interdit l'accès à mon sexe. Plein d'idées vous viennent à l'esprit : Mon tablier exprime la « protection », la « mise à distance », contre les agressions ou les inconvenances extérieures qui est assurée pour les manipulations salissantes ou à ou « à risques ». Mais il est aussi « invitation », « désir d’accessibilité » : les entrebaillements de la bavette suggèrent des accès sur les côtés, le bas du tablier plus lâche qu’une jupe possède une liberté de mouvement qui nécessite des remises en forme, des ajustements, réajustements lors des déplacements et changements de positions. Il est aussi invitation à découvrir l’habillement. De forme droite, sa taille n’est marquée que par la façon dont le noeud est fait, ce qui permet de le serrer différemment au gré de l’humeur, selon le style que désire se donner celle qui le porte. Il donne de l’aisance à certains mouvements et en contrarie d’autres: le lever les bras en l’air (pour remettre les cheveux en place par exemple) ne le contrarie en rien et fait découvrir la surface entière qu’il occupe, alors que la position assise le déforme, le pencher en avant le détache du corps lui faisant perdre momentanément sa fonction de protection. Son ourlet au niveau du genou glisse doucement au niveau des cuisses, lors des déplacements il se plisse et se creuse à l’intérieur des cuisses. Cintré à la taille, le tablier se noue avec les deux lanières qu’on rejoint en noeud dans le dos. Dans le cas présent, la toile cirée assure l’étanchéité, la contrainte réelle est toujours compensée par l’idée d’une accessibilité, par derrière, tout aussi réelle.
J'aime bien l'expression de « "chasse" aux jeunots » car c'est exactement ce que je fais. J'ai des garçons du quartier comme « délice physique et psychique ». Ils ont 25 / 30 ans de moins. Je peux dire qu'avec eux je suis heureuse. J'arrive à avoir de vraies relations avec un grand écart d'âge, ça m'épanouit et j'en suis ravie. Ma vie a de nombreux rebondissements en amour. En ce moment Patrice, mari de la voisine d'en face sur le palier, passe le matin pour prendre un café, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner. Chaque fois que je sors de chez moi, je croise Richard, un ado d'environ 18, dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours pour être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçues. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon. Ce matin encore une voisine m'a fait un léger sourire de celle qui a comprit ce qui se passe chez moi, en se croisant dans l'escalier, tout cela parce que je descendais en suivant d'un demi-étage un jeunot. Ce manège fait exactement penser à un client qui sort de chez moi après une passe. Le garçon en question est lycéen, nous avons eu un très bon moment ensemble. Il a sonné chez moi sous prétexte qu'il n'y a pas d'eau chez lui, donc impossible de prendre une douche. Je j'ai fait entrer dans la salle de bains tout en défaisant la ceinture de mon peignoir. Aussitôt entrés j'ai attrapé son pénis dans ma main pour une caresse voluptueuse.
Pour draguer des jeunes du quartier, je me fais bourgeoise, c’est-à-dire reine de l’artifice qui veut se faire passer pour naturel et plus authentique que la vérité-même, par le biais de la sincérité. Pour appâter les ados, j'ai une jupe en cuir rouge est déjà assez courte sans être hyper courte, mais juste de la bonne longueur pour donner des envies. On devine que je suis sans culotte quand on me suit en montant les escaliers. Cette jupe moule particulièrement bien mes fesses. Elle est tout le contraire de l'indécence ou de la vulgarité. Rien d’étonnant, donc, que je sois autant source d’identification et de fantasmes chez les adolescents, les tenants de l’amour artificiel sincérisé. Ma prétention au naturel, femme-objet ultra-sophistiquée, prétention à la base naïve chez la coquine pin-up, mais qui avec le temps s’est mutée en agression et en stratégie conquérante à travers l’actrice jouant des rôles de putain de luxe, despotique et courtisane – est à la fois risible tant je suis grotesque, et violente tant elle est en partie inconsciente mais calculée. À l'extérieur, il m'arrive souvent d'être sans culotte, pour me sentir nue et risquer que ça se remarque, pour sentir passer la fraicheur entre les jambes sous ma jupe (ce qui me fait mouiller), pour le plaisir d'un garçon de l'immeuble qui peut me tripoter à volonté. Ce matin, je suis descendue au rez-de-chaussée pour chercher mon courrier. En bas, deux jeunes discutent près des boîtes à lettres, on se dit « bonjour » et on discute un moment ensemble. Je suis envahie de sensations spéciales causées par Richard, lycéen. Pour se dire bonjour. Je lui fait une première bise sur sa joue gauche puis la deuxième sur sa joue droite a « dérapé », ma bouche s'est posée sur la commissure de ses lèvres. N'ayant aucune réaction de retrait, j'ai aussitôt eu la présence d'esprit de poser ma main sur sa braguette pour lui proposer d'entrer dans la cage d'escalier de l'immeuble. Au moment où il passe la porte de l'immeuble, je simule une bousculade à cause de la porte juste entr'ouverte. En passant, mes seins se s'appuient sur son torse. L'endroit étant assez étriqué, je me retrouve proche des garçons. Au bout d'un moment j'ai senti une main s'égarer sur mes fesses à travers ma jupe (jupe en cuir, donc très sensuelle). Aussitôt j'ai réagi de façon appropriée, c'est-à-dire ne pas y faire attention. Le geste de cette main s'est transformée en caresse de mon cul lentement mais sûrement, de façon insistante. Le garçon doit avoir autour de 18 ans. Pour nous, femmes quinqua, c'est très agréable. Puis, de dos, on aperçoit la naissance de mon entrefesses en montant les escaliers. Tout de suite, on imagine me suivre. En montant les escaliers, j'ai senti sa main, il a tout juste commencé de façon hésitante à passer la main par dessous ma jupe. Cela m'a procuré une sensation formidable de bien être.
Dans l'escalier, derrière moi, l'évasement de ma jupe est juste suffisant pour apercevoir mon « entrefesses », c'est-à-dire ma raie « culière », à l'odeur et au goût musqué.
J’ai donc des relations avec Richard, fils de cette amie de l'immeuble. Je prends du bon temps avec lui malgré la différence d'âge puisqu'il pourrait être mon fils. Quand je suis avec un jeune de son âge, je porte toujours une jupe, des bas, des talons hauts ou vertigineux, un chemisier blanc. Ma jupe est toujours une jupe en cuir noire ou rouge, assez courte (mi-cuisses, voire le plus souvent à peine mi-cuisses), de forme « trapèze », c'est-à-dire légèrement évasée tout en moulant bien mes fesses. Cette jupe se balance légèrement de droite à gauche en marchant.
Dans l'escalier, derrière moi, l'évasement de ma jupe est juste suffisant pour apercevoir mon « entrefesses », c'est-à-dire ma raie « culière », à l'odeur et au goût musqué. Évidemment, dire qu'on aperçoit mon « entrefesses » signifie qu'il est à l'air libre, donc je suis sans culotte, sans slip. Chaque fois que je sors de chez moi, je le croise dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours par être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçue. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon — A ce sujet, je porte soit un collant, soit des bas et très souvent, même tous les jours, car depuis que je suis gamine, j'adore collant et bas, faut pas me demander pourquoi, j'aime, je suis accro, complètement pour les collants, en majorité avec un gousset que je découpe, et sans slip, avoir ma fente disponible pour un garçon est vraiment mon phantasme et bien sûr le sien pour les bas, j'adore évidemment les serre-taille, la bande est plus large que le porte-jarretelle "ficelle" et j'essaie d'en trouver à 6 jarretelles, devant, sur le côté et surtout derrière, avec un slip en dentelle ou en tulle, très transparent pour les jeunes, je flâne dans les magasins genre Galeries Lafayette, je repère un jeune, je fais un semblant de rien, je passe très près de lui, j'ose espérer que mon parfum va l'attirer, puis pour une raison inventée, je dois m'accroupir en écartant les cuisses, là je ferre mon poisson, puis je m'éloigne, destination rayon lingerie, ensuite cabine d'essayage, rideau pas suffisamment tiré, je suis en lingerie, et j'attends. si le garçon est trop sûr de lui, je n'apprécie pas vraiment, je préfère le timide, je sors la tête, l'interpelle, et lui demande doucement s'il peut m'aider là la jeune est vraiment surpris, j'adore, je lui demande d'aller me chercher un autre soutien, de telle taille, puis avec discrétion, je lui demande ce qu'il en pense bien souvent, le petit jeune est tellement rouge que je dois le calmer, puis lorsque je quitte la cabine, je n'achète rien, mais je le prends par le bras avec moi, nous sortons, je l'emmène ailleurs, en discutant calmement, dans la voiture dans un parking de sous sol, je l'embrasse, le caresse, le suce et il est tellement excité qu'il vient très vite, je me suis régalée, certains je revois ensuite, d'autres, non j'ai aussi d'autres techniques, — Avec un jeune, j'ai toujours un « sexy détail » qui attire l'attention.
Pour les adolescents les plus expérimentés, je consens sans envie, avec la nette impression que mon consentement n’est, de toute façon, pas requis. Le garçon qui ose me tripoter n’a pas l’air d’avoir besoin d’une partenaire. Pour lui, je ne suis qu’une poupée, une chose à posséder. Il me touche pour s’exciter, sans se soucier de savoir s’il me fait du mal ou s’il me fait du bien. Je me tiens donc là, debout, docile et inerte, le regard fixé sur son sexe pendant qu'il finit par me pénétrer. Il ne lui faut pas longtemps pour jouir. Sitôt terminé, je lui retire la capote, je la tiens par l'ouverture pour lui montrer la quantité de sperme qu'il a déversé. Je lui montre le niveau, ce que permet la transparence du préservatif.
Voici ce qu'est l'« orgasme ruiné », technique que je pratique avec mes adolescents. L'« orgasme ruiné » allie plaisir et torture et fait le bonheur de centaines de tous les jeunes à travers le monde. un orgasme masculin où la stimulation est stoppée net juste avant l’éjaculation. Cette méthode de masturbation consiste à ne plus toucher les zones érogènes du corps (pénis, testicules, jambes, mamelons, prostate…) lorsque le « point de non retour » est atteint. L’objectif premier de l’orgasme ruiné est de résister le plus longtemps à l’éjaculation et d’empêcher tout plaisir ou sensation agréable qui lui sont liés. C’est une vraie torture. Avec elle, le garçon soumis peut accéder à l’orgasme multiple. Orgasme qui va engendrer un maximum de frustration, chose que recherche avant tout le dominé. Avec l’orgasme ruiné, l’éjaculation n’est pas giclante mais plutôt fuyante. Le sperme s’écoule le long du pénis et peut être récupéré dans la main de la dominatrice qui peut en faire ce qu’elle veut. La bestialité de cette situation est celle qui peut s’emparer de nous (homme ou femme) quand on s’abandonne, qu’on lâche prise. Elle peut s’exprimer par un regain de puissance lors d’une levrette ou d’une sodomie, une gourmandise accrue lors d’une fellation où l’attrait de ce sexe en bouche va influencer le cerveau reptilien qui va faire temporairement qu’une femme va se laisser aller à une envie exacerbée de sentir le mélange de salive et de sperme dans sa bouche, se sentir en même temps, maîtresse du plaisir de son mâle et esclave sexuel de ce dernier et en tirer un plaisir insoupçonné. Cette bestialité peut se réveiller lors d’un cunnilingus qui voit l’apparition de deux doigts venant seconder une douce langue par soit une stimulation plus vigoureuse du point G ou pourquoi pas d’un petit doigt inquisiteur qui viendra stimuler la dame par derrière. Cette bestialité qui peut venir, rajoute ainsi une dimension animale. La sensualité, la tendresse, les préliminaires sont essentiels dans un amour « courtois » et ils peuvent, à mon sens, être enrichis par ce que nous sommes à la base, des êtres de chairs et de sang mais aussi d’émotions fortes qu’il me semble bon parfois de laisser s’exprimer. Enfin, cette « animalité » n’est pas l’apanage du mâle. La femme peut également redevenir la femelle qu’elle a toujours été et se laisser aller à vivre ses propres instincts. L’amour, faire l’amour, faire du sexe ne serait-il pas le parfait moment que nous choisissons pour s’abandonner, lâcher prise ? Et donc pour laisser une petite place à cette bestialité, cette animalité que notre société d’aujourd’hui veut brider par la moralité, la bienséance, la routine anesthésiante du train train quotidien.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Produire, comme vous dites des « sensations fortes que ce texte nous a offert !! » est mon but, surtout par des situations de la vie quotidienne. Vous vous êtes donc « Calmé par une pratique très virile !! », c’est ce que je recherche, savoir que mes lecteurs ont une pratique solitaire grâce à mes textes.
Merci à Franky_72 pour « T'imaginer c'est bien te voir serait encore mieux. C'est rare de trouver une belle salope comme toi »
Bonjour Sabine! Je suis le lecteur à qui tu as répondu! Je peux juste te dire que tu ne t'es pas trompée ! J'aurais tellement aimé t' avoir à mes côtés ( ou sur moi) pour me calmer!!! 🙂
Bonjour Sabine, un plaisir de te lire et comme tu dis ce plaisir passe par ma bite aussi. T'imaginer c'est bien te voir serait encore mieux. C'est rare de trouver une belle salope comme toi.
Magnifique histoire !! Ultra-torride ; très sensuel et très sexe !!
Merci pour les sensations fortes que ce texte nous a offert !! Calmé par une pratique très virile !!
Yass
Merci pour les sensations fortes que ce texte nous a offert !! Calmé par une pratique très virile !!
Yass
Ce n'est pas un mixte, il y a certaines choses très proches mais ce sont bien deux histoires vraies et différentes. En disant « Ton histoire ne m'a pas laissé indifférent », j'imagine que vous avez eu de fortes sensations au niveau du pénis que vous auriez été obligé de calmer.
Est-ce que je me trompe ?
Est-ce que je me trompe ?
Bonjour Sabine! Quel plaisir de te retrouver ! J'aurais tellement aimé être ton voisin de palier!!!! Ton histoire ne m'a pas laissé indifférent, mais on dirait un mixe de tes 2 histoires précédentes ! j'espère te relire bientôt pour de nouvelles aventures !
P.S: au plaisir de te voir ici, Charlotte
P.S: au plaisir de te voir ici, Charlotte
Beaucoup trop de répétition, comme si tu voulais allonger ton texte
Très jolis histoires bien excitantes
Ils ont tous de la chance de vous avoir toutes les 2 dans leur immeuble
Si jamais je passe pas loin j adorerais monter les escaliers après toi avant de te bai...
Ils ont tous de la chance de vous avoir toutes les 2 dans leur immeuble
Si jamais je passe pas loin j adorerais monter les escaliers après toi avant de te bai...