SADO MASO SOFT

- Par l'auteur HDS Claudy2316 -
Récit érotique écrit par Claudy2316 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : SADO MASO SOFT Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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SADO MASO SOFT
SADO MASO
Viviane est une belle fille. Elle n'est pas jolie au sens restrictif du terme, mais elle a un charme fou. C'est dans un petit cercle d'amis que nous nous sommes connus. Dès les premières rencontres je sentis qu'il allait se passer quelque chose entre nous. C' est donc tout naturellement , que sous un prétexte futile, elle me propose de venir chez elle, effectuer une petite réparation. J'arrive donc avec ma caisse à outil, car il s'agit de travaux électriques et réussit à effectuer la réparation sans m'électrocuter, malgré le trouble et l'excitation qui m'a vite gagné. Je n'imagine pas autre chose, après le café, qu'une fin d'après-midi sexuelle et c'est effectivement ce qui arrive.

Les "premières fois", laissent rarement (tout au moins en ce qui me concerne) de très bon souvenirs. La méconnaissance des corps, des goûts et des attentes de chacun sont des obstacles à un accouplement harmonieux et jouissif. Je ne fus donc pas étonné que, malgré de longs préliminaires, Viviane ne puissent arriver à l'orgasme, malgré des coups de boutoirs , que j'imaginais pourtant irrésistibles. Beau perdant, épuisé, je renonçai donc et retirais un piston for irrité mais d'une grande inefficacité. Elle me consola, m'expliquant qu'elle avait énormément de mal à jouir , tout en me terminant obligeamment à la main.
Les deux rencontres suivantes se passèrent de la même façon et je commençais a avoir de sérieux doutes sur mes compétences de maître queue!

En cette fin de troisième "séance", les abdominaux bloqués, le dos en feu, je m' effondrai sur le côté , comptant reprendre mon souple pour repartir au combat . Elle m'expliqua alors qu'elle n'avais jamais eu d'orgasme grâce à un sexe masculin et que par contre , elle pouvait jouir si je sollicitais avec mon doigt un point bien précis de son anatomie interne, qu'elle même avait l'habitude de caresser avec son godemiché. Cette nouvelle me rassura et je m'empressai de partir en exploration à la recherche de ce point . On n'allait pas jouer "à la recherche du temps perdu" mais "à la recherche du point G".

Je partis donc quérir mon graal. Elle me guidait , sollicitant mes caresses!

- Plus haut, plus à gauche - Oui là, appuie bien - Non tu n'y es plus!!!!!!
- Remonte un tout petit peu et appuie bien - Tu y es presque!!

Quelqu'un qui n'aurait pas vu la scène aurait pensé à n'importe quelle séquence de bricolage et non à une recherche d'orgasme.

L'inconvénient, c'est que le dit point était profond, ,m'obligeant à "étirer" mon doigt (parfois j'en mettez deux pour agrandir la surface d'exploration) .Si on rajoute à cela que c'était situé vers le haut, nécessitant un repli "en crochet" et que la surface était limitée , vous comprendrez l'ampleur de la tâche. Cette recherche quasi chirurgicale, demandait une telle concentration que ma libido en disparaissait. Quand j'avais trouvé le bon angle d'attaque et que la belle m'expliquait que "c'était bon" "que ça allait venir" , il ne fallait surtout pas se relâcher car tout dérapage aurait été fatal et demandé un nouveau départ . C'était épuisant car , en outre , on aurait pu classer Viviane dans la catégorie des "longues à démarrer" mais aussi des "longues à finir". On aurait dit ces gens sur la plage qui courent pour faire monter leur cerf volant: Ils courent, ils courent, le cerf volant décolle et brusquement il s'affaisse et il faut recommencer. C'était exactement pareil, je la sentais s'exciter, s'approcher de l'extase et puis patatras, une légère erreur de doigté et tout s'effondrait. Cela durait parfois une heure pour qu'enfin elle jouisse. Je sentais son ventre se crisper, sa voix devenait rauque et soudain c'était l'explosion ....vocale. Je n'ais jamais entendu quelqu'un jouir si bruyamment. c'était une sorte de grognement bestial, à mi chemin entre le brame du cerf et un meuglement taurin, d'une puissance incroyable, qui devait franchir toutes les cloisons de son appartement, mais aussi des appartements voisins. je lui disais : arrête, arrête, on va croire que je t'égorge, mais rien n'y faisait. Tout s'arrêtait d'un coup, trempée de sueur , elle s'effondrait à mes côtés pendant que je massais mon doigt tétanisé par les crampes.
Nos "accouplements" étaient donc très spéciaux . Quand je la quittais, je m'attendais chaque fois à être interpellé par des policiers, alertés par des voisins apeurés par ses cris.

Afin de faciliter mes digitales opérations, j'avais coutume de lui proposer des thérapies préparatoires en visionnant des films pornographiques .Cela n'avait pas grand effet, il faut bien le dire, mais un après midi j'eu la révélation!!

j'avais décidé, ce jour là, d'utiliser un godemiché (j'avais bien noté que c'était ainsi qu'elle se "travaillait"). j'y voyais un instrument pratique capable de soulager un mode opératoire manuel très complexe devenant rapidement terriblement épuisant.. Ce n'était pas l'invention de la roue , mais ce pouvait être source de progrès pour l'humanité. En outre le god , permet des jeux sexuels multiples et excitants aussi bien pour la femelle que pour le mâle. Ne rechignant pas sur la dépense , j'avais profité d'un passage dans la capitale régionale, pour acquérir, dans un sex shop un instrument d'un tout autre calibre que la jolie petite chose dorée qu'elle utilisait.. Il représentait un sexe masculin à la perfection , rien ne manquait: la couleur rouge foncé, la consistance: souple mais raide sur la longueur, les veines en surépaisseur........J' avais choisi le modèle XL ( ça allait du S au XXXL). d'un diamètre de 4cm pour une longueur de 20. Il portait , en outre, à l'intérieur , deux piles qui animaient un petit moteur qui donnait au gland un mouvement à la fois rotatif et vibratoire. Une vraie bite à tête chercheuse, capable , telle une sonde lubrique, d'explorer toute la surface de son vagin.
Dés qu'elle fut à poil (nous ne nous embarrassions plus de préliminaires tant l'envie de baiser était forte) je lui "présentai" l'objet. Au moyen âge on "présentait" les instruments de torture au futur supplicié pour le faire parler instantanément,. là ce fut la même chose , elle parla pour dire:
-met le vite!!!

Et ouvrit instantanément les cuisses.

Le sexe animé fit rapidement son effet . D'après ses commentaires , je compris que dans sa rotation , le gland effleurait , peu ou prou, le fameux point en question . il suffisait de l'orienter plus ou moins en fonction de l'effet désiré. et cela permettait selon son expression de "faire durer"!!!
La machine , en libérant l'homme est source d'épanouissement . Je mettais aussitôt cette maxime en pratique en lui rentrant ma bite dans la bouche
- Maintenant tu vas pouvoir me sucer en même temps - Ne vas pas trop vite que tu puisse me pomper longtemps - Elle "borborygmisa" ce que je déchiffrais en: - Surtout pas!!!! c'est trop bon de sucer une bite!!!

j'étais terriblement excité , car je la sentais réagir aux "attouchements" du vibro. A chaque "passage", elle m'aspirait goulument, il suffisait de régler la vitesse du moteur pour avoir le même effet dans ses allers retours buccaux. En voulant plus , je me contorsionnai, faisant bien attention de ne pas déranger la bite chercheuse, je mouillai mon doigt, lui caressai la rondelle et essayai de lui enfoncer dans le cul. Je craignais un:
- Arrête ça fait mal!

mais à ma grande surprise se fut :
- Salaud!!!! tu veux m'enculer, met moi l'autre god!!!

Je ne niai pas l'évidence et , sortant difficilement ma queue de sa bouche , car elle aspirait comme une pompe à vide, j'ouvrai frénétiquement le tiroir de la table de nuit , en quête de l'objet espérant que mes mouvements n'interrompent pas l'exploration vaginale en cours. Je m'inquiétai pour rien car elle maitrisait parfaitement la technique du godage vibratoire . Elle avait même profité de cette interruption pour se mettre à genoux, m'offrant une vue splendide sur son cul et l'engin qui avait vite retrouvé sa niche. Alors que je me masturbais complaisamment devant ce spectacle elle me rappela à l'ordre:
- Qu'est ce que tu attends pour le mettre - Je vais te doigter un peu avant - Non met le direct - Mais ça va te faire mal - Non!!! direct!!! salaud enfonce moi le je lui crachai malgré tout dans l'anus avant de m'exécuter. J'hésitai quand même, de peur de lui faire mal , mais elle insistait lourdement.
- Défonce moi!!!!! - fais moi mal!!!

Elle avait retiré l'autre engin et a genoux ,fesses en l'air, m'exhortait de sa voix, soudainement devenue rauque, Celle que je connaissais bien
- Je suis ta pute!!!claque moi les fesses !!!!

Alors que j'y allais avec modération , elle insistait
- Fait moi mal, claque fort!!!!

Et soudain , perdant toute conscience, je lui claquai durement le fessier et retirant le good, lui enfonçai ma queue au plus profond de son anus.
son orgasme fut encore plus violent que d'habitude . j'étais abasourdi en l'écoutant et en regardant mon sperme couler de son rectum.
Cette fois c'était sur , les flics allaient m'interpeller.


J'avais quitté Viviane, abrutie de plaisir, l'anus et les fesses durement martyrisés. J'avais, après coup, un terrible sentiment de culpabilité, même si notre discussion "post accouplement" (on pourrait même appeler cela débriefing, tant l'aspect technique prenez le pas sur l'aspect sentimental de nos relations) avait confirmé les appétences extraordinaires de ma maitresse pour les pratiques sado-maso. Elle prétendait le découvrir , mais je comprenais bien, en l'écoutant , qu'elle n'était pas à son coup d'essai (à ses coups pourrait on dire...). Ses pratiques masturbatoires étaient enrichies , disait elle, d'auto flagellation et surtout de torsion et extension des tétons qui l'amenaient vers un plaisir intense. J'avais alors admis que l'utilisation de mon sexe, était quasiment une option qu'elle considérait comme facultative. Ce n'est pas Viviane qu'elle aurait du s'appeler mais Justine. Quant à moi malgré mes envies , j'avais du mal à me glisser moralement dans la peau du divin Marquis.
Je savais cependant que je ne retrouverais pas une occasion pareille ( je parle de la pratique, pas de la dame!!!) et j'envisageais donc quelques scénarios susceptibles de lui faire "atteindre l'extase suprême" dont elle disait rêver.
Dans la vie, je n'aime pas improviser et quand je ne maitrise pas, je me documente. Internet est parfait pour ouvrir les portes de l'inconnu , en tout cas beaucoup plus facile que de demander à son meilleur ami:- " He au fait! Claude, ma maitresse adore se faire fesser , comme ça me fait mal à la main au bout d'un moment , tu me conseillerais quoi: une cravache ou un fouet?"ou à mon amie psy:- " Dit donc Annie, Viviane, préfère se faire enculer à sec plutôt qu'après être lubrifiée. Pourtant ça lui fait mal, elle crie, tu trouves que c'est normal?" J'avais donc surfé. Facile: Après avoir tapé dans Google :"sado maso" , j'avais eu accès à une documentation littéraire, photographique , filmographique extrêmement dense et constamment remise à jour. Ah! c'était autre chose que lorsque je recherchais des exemples de "bonne gestion du personnel" pour mon travail!!!!!
je dus faire un tri sévère car les pratiques expliquées et illustrées étaient souvent violentes: percements, brulures, bondage extrêmes, fisting monstrueux.....on se seraient crus sous l'inquisition. (Tient au fait , est ce que les moines éjaculaient dans leurs robes de bure en torturant les belles cathares?)Je restai donc sur des basiques beaucoup plus soft. Elle risquait de me taxer de conformiste ou de ringard dans mon approche sexuelle, mais tant pis, j'assumerai mes choix techniques par quelques habiles pirouettes , expliquant par exemple que j'e ne pratiquais plus le fisting anal depuis que je trouvai plus de gants d' inséminateur. !!!! C'est donc , sans bouquet de fleurs, mais avec cordes, cravache , martinet, dissimulés dans un sac à dos que je me rendais au domicile de la possédée!!!!. ( j'avais abandonné l'idée d'apporter des orties, très piquantes en ce début de printemps .Leurs manipulation difficile me faisant craindre des dommages collatéraux dont je serais la probable victime ) Je m'étais muni, en outre, d'un grand foulard pour la bâillonner et ainsi étouffer un peu ses hurlements de louve en chaleur, dans la séquence finale. Cette précaution pouvait m' éviter une probable incarcération. après intervention du GIGN , ou un lynchage par des militants de la SPA se méprenant sur l'auteur des hurlements.
L'aspect matériel est assez facile a gérer. Ce qui l' est moins, c' est l'attitude pendant les ébats. Il fallait se glisser dans la peau du dominant , du maître devant la soumise . C'était un beau rôle de composition, mais je n'étais pas sur d'être un bon acteur et d'arriver au niveau de la Sarah Bernard de l'orgasme qui serait ma partenaire.
L'avantage de ces pratiques , c'est qu'il n'est nul besoin de préliminaires et après le café, je balançai ma première réplique, consciencieusement répétée dans les escaliers.

- Enlève ton jean et ton pull petite salope!!!, je vais m'occuper de toi!!!!

Bon ! je sais, c'est d'un grand classicisme !. J'avais envisager un instant de lui balancer une calotte dès qu'elle ouvrirait la porte de façon a affirmer mon autorité mais je craignais, connaissant le tempérament de la miss, qu'elle me décoche un coup de pied dans les couilles et que je fusse contraint de repartir la queue entre les jambes dans tous les sens de l'expressionCette petite tirade sans prétention , minimisait les risques Elle aurait pu me dire
- Ca va pas qu'est ce qui te prend !!!

Mais elle entra dans le jeu immédiatement. Voilà donc ma Viviane en culotte et soutien gorge noirs , campées devant moi car j'ai ordonné (espérant que la voix que je cherchais à rendre autoritaire allait dans le sens attendu par ma partenaire)
- Reste debout, immobile!!!
- Ferme les yeux!!!

J'en profite pour farfouiller dans mon sac à la recherche d'accessoires. Malgré mes tremblements d'excitation et d'émotion, je lui attache les mains derrière le dos et lui bande les yeux. Je l'entraine au milieu du grand salon accompagnant ce déplacement d'une bonne claque sur le fessier. Sans ménagement , je sors ses seins du soutien gorge . ses petits nichons sont bien mis en valeur ainsi et ses tétons déjà durs m'invitent a penser qu'elle apprécie. J' en profite pour fouiller brutalement son entre jambes avant de baisser sa culotte a mi cuisse . Comme je lui ais interdit de parler , elle se contente de gémir., mais par contre mouille abondamment. J'entre aussitôt dans le jeu:
- Tu mouille déjà espèce de cochonne!!!
- Tu n'a pas honte vicieuse!!!
- Je vais te traiter comme une pute!!!!

Chaque exclamation est entrecoupée de claques sévères, qui la font bondir en avant, et d'explorations violentes de ses orifices.

- Met toi à genoux espèce de chienne!!!! et ouvre la bouche !!!!

en un tour de main je suis nu et bite à la main . Après un dernier ordre
- ouvre plus grand que cela !!! et fait gaffe de ne pas me faire mal!!

Je lui enfonce sans précaution, tout mon sexe dans la bouche essayant d'atteindre le fond de la gorge en lui poussant bien la nuque avec ma main libre. Au bout de quelques secondes elle étouffe et je me retire. Alors qu'elle éructe , je lui balance une gifle sonore.

- Je ne veux plus de ça!!! applique toi ! sinon gare!!!
- Tu va me pomper et l'avaler jusqu'aux couilles quand je te l'ordonnerai!!!

A ce rythme et dans cette ambiance , je dois faire attention de ne pas abréger la séance par une éjaculation précoce qui risquerait fort de plomber l'ambiance Je m'en tire habilement!!!

- tu suces mal, ça ne vaut pas le coup , on va aller dans la chambre pour s'occuper sérieusement de toi et bien te travailler!!!

Ancien scout, je connais parfaitement tous les nœuds et grâce à ces compétences, transmises par le Père André lors des camps de vacances Bretons, je lui attache solidement les mains au montant du lit . Pauvre père André s'il avait imaginé a quoi servirait son enseignement. Serait il fâché ou fier de voir son élève préféré, celui a qui il prodiguait de si douces caresses pour le féliciter, appliquer avec tant de soin son savoir-faire?
Depuis ce début d'après midi , mon potentiel linguistique a très nettement régressé. Dans le dialogue je n'utilise plus qu'une douzaines de mots parmi lesquels: chienne, pute, pouffiasse, salope, reviennent le plus souvent. Mais la chérie apprécie visiblement cette lexicologie primaire .
Pour l'heure allongée les bras en croix elle attend avec délectation, semble t'il, la suite des évènements. Je dois avouer qu'elle est magnifique ainsi: des petits seins ronds aux aréoles très foncées et aux tétons volumineux et gonflés, un ventre plat , des hanches larges prolongés par des cuisses fuselées encadrant une toison bien fournie et très brune. L'espace d'un instant , je repense aux moines inquisiteurs , mais je chasse vite cette pensée !!!! je ne vais quand même pas la bruler vive dans la cour de l'immeuble.
Je m'éclipse donc vers le placard de l'entrée où je trouve enfin l'accessoire indispensable et intransportable dans mon sac à dos : un manche à balai démontable.
Amis lecteurs, vous allez être déçus, il n'est pas question de la violer avec cet instrument mais de l'écarteler pour qu'elle ait vraiment l'impression d'être soumise et humiliée. cette perspective me fait a nouveau bander tel Rocco Siffredi arrivant sur le plateau de " viols au dessus d'un nid de cocus"Sans un mot, mais frottant bien ma bite contre elle , j'entreprends de lui attacher les chevilles au manche. Sa culotte que je n'ai toujours pas entièrement retirée lui cisaille les cuisses .
Je lui lève les jambes très haut et attache le manche aux barreaux . je lui retire le bandeau pour qu'elle prenne conscience de sa situation totalement impudique . Elle ouvre de grands yeux , halète bruyamment au bord de l'orgasme. Je crains le pire!!!! mais le meilleur de mon rôle arrive et je veux absolument continuer mon cabotinage
- Maintenant je vais te violer espèce de pute!!!!!

J 'entreprends d'arracher son soutien gorge . Hélas c'est une catastrophe!!!! le nylon résiste , me cisaille les doigts. Je n'ose y mettre les dents , craignant d'y laisser une dent sur pivot, ce qui serait du plus mauvais effet. J'essaie de m'attaquer au slip mais c' est pire. Le drame , l'incident majeur, le grain de sable qui enraye la machine, bref la catastrophe .J'ai, heureusement, un éclair de lucidité dans cette déroute. Je fonce à la cuisine...... En me voyant revenir avec un couteau à pain, une lueur d'angoisse lui traverse le visage. Sans problème , je cisaille les bretelles et content de moi j'improvise avec délectation et brio Je lui caresse les tétons avec le dos de la lame , descend sur son ventre, le glisse entre ses lèvres , les écartant , cherchant prudemment son clito . je bande comme un furieux et m'apprête à cisailler la culotte quand soudain tout s'accélère : ses feulements se transforment en grognements , ses lascives ondulations en contorsions. Je n'ai que le temps de tout lâcher pour me précipiter bâillon à la main pour étouffer ses premiers cris . Ca dure bien 2 minutes, parfois je relâche la pression , craignant de l' étouffer. .Au bout d'un moment, enfin calmée, elle se détend, fermant les yeux , respirant normalement.

Je suis terriblement déçu. Heureusement que ce n'était pas mon examen final de "Maitre dominant", c'est sur , j'étais recalé. Je vois d'ici les appréciations: "Monsieur X Ne maitrise pas complètement les tenants et aboutissants de la discipline".....La séquence animée par Monsieur X a fort bien débutée , cependant des lacunes dans la gestion de l'orgasme féminin perdurent " "Monsieur X avait un sujet remarquable , il l'a très mal exploité, mes deux collègues ont du me retenir pour que je n'intervienne pas .....pour lui montrer la bonne stratégie. un tel gâchis est inadmissible...où sont les toilettes?" Je m'apprête donc à me finir à la main, quand je l'entends murmurer
- continue , ça va revenir, je veux que tu me punisse que tu me viole!!!!

J'ai du mal a redémarrer , mais ses yeux maintenant ouverts , écarquillés comme une possédée (je suis persuadé qu'elle a fumé avant) m'y incitent.

j'ai déchiré la culotte et maintenant c'est une cravache qui excite son clito. En tirant bien fort sur ses tétons , j'ai placé deux grosses pinces à linge toutes neuves et qui serrent terriblement. Parfois je donne un coup de badine dessus ou sur son clito bien offert . je lui ai enfoncé le manche de la cravache dans l'anus et surtout je lui ais cinglé plusieurs fois les fesses violemment. . Ses halètements, son regard toujours plus impressionnant me confirme qu'elle apprécie.

Il est temps d'en finir: car de mon côté je suis à la limite de l'explosionSans aucun préparatif ( mais elle mouille tellement qu'il n'en est nul besoin, j'enfonce brutalement mon sexe en elle et me met à la ramoner à grands coups, assortissant chacun d'eux d'un commentaire quand à sa moralité , dans le langage qui , pour l'heure est le mien:
- tu aimes te faire défoncer!!! salope!!!!
- ouvre ton garage a bites que je le remplisse- Putain tu es bonne!!!! je vais essayer ton cul maintenant
Et sans plus attendre lui rentrant un doigt , tirant sur les chairs, crachant dessus pour lubrifier, j'écarte sa rondelle, présente le bout de ma queue et pousse très fort!!
Elle crie quand le gros renflement du gland force le passage et d'un seul coup , je plonge en elle.

Elle se met à parler elle aussi et nos échanges tiennent plus du dialogue de charretiers avec des mules rétives qu'à celui d'amantsIl est question de grosse bite, de défonce, de pute pour arabes......etc.

nous sommes déchainés, elle tire sur ses liens , se tortille , m'invitant à en faire encore plus . Mais l'épilogue est proche, car je la sens "venir ", comme elle dit et je retiens difficilement mon éjaculation. Avant qu'il ne soit trop tard , je sors d'elle pour lui éjaculer dans la bouche . j'envoie le premier jet au plus profond de sa gorge , me disant que ce bâillon liquide atténuera les sons. je finis de me vider sur son visage quand elle démarre comme une formule un à Monaco. Un rugissement prodigieux qui n'en finit pas s'atténuant peu à peu puis reprenant en même temps qu'un spasme lui contracte le ventre . A ma grande surprise, elle les compte: 2, 3, 4 . Quand à moi, n'ayant plus la force de la bâillonner, abandonnant toute velléité de lutte, je la laisse lancer au ciel ses cris de bête en rut. ....

j'attendis le soir et la nuit tombante pour partir , autant pour récupérer que pour fuir les regards que j'imaginais outragés des voisins.

EPILOGUE
Nos rapports amoureux étaient, vous l'aurez compris, extrêmement compliqués. Il faut quand même dire qu'ils n'étaient pas constamment dans le registre ambigu de la domination a caractère sado maso. Dans la vie quotidienne, nos relations professionnelles et amicales étaient tout a fait dans la norme. Nous essayions même d'être le plus discrets possible. Dans l'intimité également, la majorité de nos rapports sexuels étaient "normaux", même si elle n'arrivait pas, dans ces conditions, a avoir de véritables orgasmes. Elle aimait donner du plaisir en oubliant le sien. C'était une spécialiste de la fellation. Elle aimait et savait accompagner cette pratique par des initiatives et des propos très crus qui accéléraient le processus érectile et éjaculationnel. En bref elle était très "cochonne".
Quand elle "sentait" qu'elle n'arriverait pas à l'orgasme, Elle le disait sans embage et abrégeait vite les pénétrations vaginales (la sodomie étant plutôt réservée à nos séances "hard") pour m'inviter à venir me "faire pomper la queue" Elle n'avait pas de tabous: " Je vais t'enculer avec ma langue!"Et savait ce qu'elle voulait " Je veux que tu vide tes couilles dans ma bouche"
Elle adorait avaler le sperme et n'en perdait pas une goutte. Quand, suite à quelques soubresauts de ma part, le foutre s'était répandu sur son visage, elle le récupérait de son index qu'elle suçait avec gourmandise. On aurait dit une vielle anglaise léchant la crème échappée de son muffin et comme elle savait que j'adorais quand elle parlait en anglais (non pas usuel ou classique mais pornographique), elle répétait: "I love to suck and swallow cum, I'm a slut sucking cock!!!!!!

Cela évidemment ne lui suffisait pas et au moins 2 fois par mois se déroulait une "séance" beaucoup plus chaude . Elle ne le demandait pas franchement , mais le suggérait par quelques habiles allusions -" Dit donc, il y a longtemps que tu ne m'as pas violée!
- "J'ai fait plein de bêtises cette semaine!!!!
-" Tu as déjà fait des partouzes ou des trucs à plusieurs??? ce doit être sympa!!!
-" Toi qui aime la chasse, tu n'aimerais pas me traiter comme une véritable chienne?....tu vois ce que je veux dire?

J'avais effectivement fait des "trucs à plusieurs" comme elle disait. Avec ma femme, par deux fois avec un autre couple et une autre fois avec un autre homme (dans des circonstances spéciales que je raconterai peut être un jour), nous avions vécu cette expérience érotique. J'avais d'ailleurs éprouvé un vif plaisir (a la fois trouble et intense) à la voir se faire prendre devant moi par un autre ..(elle aussi d'ailleurs). Mais nous avions déjà 20 ans de vie en couple avec quelques incartades réciproques et l'âge de vivre des fantasmes communs. Avec Viviane , la notion de jalousie amoureuse était encore trop forte pour tenter l'expérience de l'échangisme ou du multipartenarisme la dernière allusion quant a elle, me faisait un peu peur car j'étais convaincu qu'elle me faisait passer un message à prendre au premier degré.
Je n'allais quand même pas demander à mon copain "Gigi" Riva , éleveur d'épagneuls Bretons, à l'affixe connue dans la France entière de la faire saillir par un de ces étalonsJe me voyais bien, arrivant chez mon copain, Vivianne à poil, tenue en laisse, puis à 4 pattes prise par Hugo "de sous les viviers" qui, langue pendante et haletant, faisait son boulot pour justifier sa ration quotidienne de PAL tandis, que nous les observerions depuis la terrasse en sirotant une bière Elle est pas mal ta chienne, elle s'appelle comment?
Viviane "près du cher" Tu en es content?
Oui assez, au début ça été un peu difficile , mais maintenant elle est aux ordres, je l'ai bien en main.
"Tu l'as testé sur différents terrains?
"Je voulais la mettre dans un foyer d' imigrés cet été , mais j'ai vraiment pas eu le temps de m'en occuper.
" Tu as tort, tu devrais le faire... On est toujours gagnant par la suite. En tout cas elle est bien dans les standards: le cou est Long, légèrement roué, offrant une belle sortie, Le dos est droit, la croupe est bien cambrée.........c'est important pour les saillies!! ....Peut être le poil un peu foncé, mais il frisotte bien...c'est rare chez les femellesEt après l'avoir faite remonter en voiture d'une tape sur les fesses, entendre "Gigi" me dire: -"Si elle en a encore besoin, ramène moi là , on la mettra deux jours avec Hugo, Il la couvrira plusieurs fois par jour...je ne te referais pas payer!
-"Au fait Gigi, elle gueule vachement ! qu'est ce que tu conseille pour la calmer?
-"A part le collier électrique je vois pas !

J'avais donc décidé de prendre la chose au second degré . Une opportunité , sous la forme d'un match en nocturne à Clermont, "m'obligeant" à m'absenter de 19h à minuit , se présenta assez vite . Je téléphonais donc à la belle de se tenir prête pour le jour dit , précisant que je lui réservai une drôle de surprise. Alléchée elle me questionna -" Quelle tenue veux tu?
-" Aucune, a poil, tu m'attends comme ça
A l'heure dite, elle m'accueillit, nue, lorgnant sur le petit sac que j'avais à la main, se doutant qu'il réservait quelques surprises. Je reprenais mon rôle de maitre (dans lequel j'étais meilleur chaque jour) et elle son rôle de soumise . Je la laissais dans cette tenue me servir le café (non sans avoir, au préalable, posé deux grosses pinces à linge sur ses mamelons). Nous discutâmes jusqu'à la tombée de la nuit.
Le soir venu , je sortis de mon sac , le collier et la laisse de ma pauvre Myre, ma fidele chienne de chasse , et j'en entourai le cou de Vivianne. Quand la chaine d'acier lui tomba entre les seins un spasme lui parcouru tout le corps. Il ne me manquait que la casquette en cuir, les poignets de force et quelques tatouages pour être tout à fait dans le ton.
" Tu es prête pour la promenade ma chienne adorée -" Comme ça? tu eux me faire sortir nue?
Je me demande encore si le ton de sa voix quand elle posa cette question, dénotait une crainte ou un espoir . Bon prince (surtout aventureux mais pas trop!) je l'autorisai a prendre une robe courte noire un peu serrée . C'était un peu surréaliste de la voir ainsi , les pinces à linges se dessinant sous la robe, la laisse dépassant dessous.
C'est dans cet équipage que nous nous prîmes ma voiture. Quelques minutes plus tard , je me garai sur le parking arrière du lycée où nous travaillions tous les deux. En sortant de la voiture , je constatai avec plaisir que la nuit était extrêmement claire , ce qui faciliterait grandement mes desseins, car dans certaines zones , il était hors de question d'allumer les néons. Le voisinage ne manquerait pas de s'en étonner. Par contre, je ne craignais pas Madame Le Garrec. La concierge, veuve et peureuse, à un an de la retraite, ne risquait pas d'être alertée. Lorsque je l'avais habilement questionnée sur son rôle de "gardienne" et ses éventuelles "rondes nocturnes", elle s'était confiée -" Le patron voudrait que je fasse un tour avant d'aller me coucher....Il peut se bomber, c'est pas mon travail!, je vérifie si les portes sont fermées après le départ des élèves et des profs et je m'enferme à double tour dans mon appart!!!" -" C'est sur c'est pas votre boulot!!!! C'est ça les patrons, plus vous en faite plus ils vous en demandent!!!! Allez pas vous exposer!!!!. Mais si vous entendez du bruit, vous êtes bien obligée de l'appeler?" -" Ma chambre et mon salon donne sur l'avant , je risque pas d'entendre....en plus avec la télé!!.
Je saluai avec enthousiasme cette sage décision. Et afin de la conforter dans ce choix de non interventionnisme, j'avais cité (inventés de toute pièce) deux, trois agressions sur des concierges par des visiteurs nocturnes de lycée. Le matin même , je l'avais encore prise à part - "Vous aviez raison , c'est dangereux votre travail, Vous avez vu! ....Un couple de gardiens d'un collège s'est fait agressé: l'homme a été tabassé pour avoir les passes des bureaux ...pour voler sans doutes le matériel informatique...Parait même que la femme s'est faite violer!!!!!
-" Vous êtes sur!!! , je l'ai pas écouté dire -" Vous risquez pas d'en entendre parler, ils étouffent ces affaires dans les Rectorats, Ils sont de mèche avec les flics!"
C 'est donc l'esprit tranquille, les sens cependant aux aguets, que nous entrâmes par l'arrière du bâtiment. J'enlevai immédiatement sa robe pour la glisser dans mon sac à dos et c'est, éclairé par les grandes verrières que nous traversâmes les ateliers pour nous diriger vers le grand hall central. Elle était belle ma chienne, avançant à mes côtés avec son collier autour du cou. Je regrettai un peu de n'avoir pas pris une laisse longue , pour la faire marcher devant et admirer son cul , mais , d'un autre côté, la laisse courte avec ses mailles d'acier, renforçait l'aspect sado maso.

Il était temps de monter dans les étages , rejoindre la salle de classe où elle travaillait 18 heures par semaine. Auparavant, cependant, je souhaitais expérimenter ce qui , dans certaines revues et films pornographiques semble beaucoup plaire. Je l'amenai dans le hall d'entrée ( les grandes baies vitrées éclairaient à merveille) et après lui avoir fait faire le tour de l'immense espace, faisant mine de consulter les panneaux d'affichage, je la fis rentrer dans les toilettes garçons et l'approchant de la rangée d'urinoirs, lui ordonnait: " Pisse maintenant , après, tu auras plus le temps!
Je l'arrêtai quand elle voulut s'accroupir -" Non , non, debout comme une vraie pute, écarte bien tes lèvres et regarde moi!!!
Elle s'exécuta sans mot dire, écartant bien les jambes pour ne pas être éclaboussée. Abandonnant la laisse, je me reculai pour admirer le tableau. C'était d'une grande puissance pornographique et assez humiliant et pervers pour lui plaire . Avant qu'elle ne termine, je reprenais la laisse et la tirai derrière moi. Comme elle essayait de "finir" , une claque sonore sur les fesses la fit avancer en même temps que les dernières gouttes d'urine lui coulaient sur les cuisses.
" Allez avance!!!!, on va maintenant vraiment commencer ton dressage!!!

En pénétrant dans sa salle, un frisson lui parcouru le corps. Je le comprenais fort bien. Se retrouver dans un univers quotidien, dans lequel on exerce le pouvoir , en situation de soumise sexuelle doit avoir un fort potentiel de stimulation érotique.
-Mets toi face à tes élèves et attends les ordresA sa grande surprise, j'allumai les néons (la position de sa salle et les volets fermés occultaient totalement la lumière) et allai m'installer dans le fond de la salle.
-" écrit au tableau en anglais: " je suis une pute, je veux me faire baiser par toute la classe"Se retournant, elle prit une craie et écrivit:: I'M A BITCH, I WANT TO BE FUCKED BY ALL THE GUYS IN THE CLASS -"Montre nous que tu es une pute, branle toi devant nous !!!!!
J'avais baissé mon pantalon et assis sur une chaise dans l' allée centrale , moi aussi je m'activais énergiquement sur ma queue en la regardant faire. Elle était vraiment entré dans le jeu, y prenant visiblement un plaisir grandissant. elle obéissait à toutes mes demandes -"Plus profond, écarte bien ta chatte , rentre bien tes doigts -"Un de tes élèves veux que tu montre ton cul , tourne toi !! penche toi en avant!!!
-"Rentre tes doigts dans le trou , allez !!! fais bien la salope!!! oui tu les fais tous bander!!!!!
- Cherche dans le sac, prends la bouteille de coca , enfonce toi là dans la chatte !!!!

Pendant qu'elle s'activait, j'avais réuni deux tables de la première rangée -" Tu vas t'allonger sur les tables , cuisses bien écartées face à tes élèves, tu va mettre ta tête en arrière et tu vas me sucer Après quelques manœuvres d'ajustements qui ne ralentirent en rien notre excitation , elle était en position .jambes groupées, cuisses écartées , offrant bien sa fente à l'assistance , tête tombant de la table, bouche ouverte . j'y introduisis ma queue le plus profondément possible et, à l'aide la bouteille, commençai à la ramoner sérieusement . elle se dilatait incroyablement : la bouteille rentrait complètement dans son vagin et le goulot dans son anus sans aucun effort. Elle me pompait goulument, ne s'arrêtant que pour reprendre sa respiration. l''excitation était à son paroxysme , elle commençait a gémir et à se contorsionner. quant à moi, je ne pouvais plus me retenir : en 3 spasmes puissants , je me libérai en elle, lui maintenant bien la tête, presque violemment, pour l'obliger à tout avaler. Elle éructai , à la limite de l'étouffement, le corps secoué de hoquets.

Repus , mais bonne âme, voulant absolument qu'elle ait un orgasme. je l'attrapais par les cheveux , la barbouillant du sperme et de la sueur qui dégoulinait sur son visage et l'injuriant, l'obligeai à se mettre à genoux sur la table -" mets toi à genoux, sur la table salope , faits voir comme tu es une pute !!!!
je lui claquais les fesses , tirai les cheveux, envoyai des chiquenaudes sur les pinces à linge -" je vais te fister et après tous tes élèves t'enculeront à la chaine J'avais déjà tous les doigts dans son vagin et commençais a introduire ma paume quand elle démarra:. Connaissant bien maintenant ses réactions et capable de gérer la monter en puissance, je la laissai gémir de ses râles de fond de gorge, en essayant d'enfoncer ma main plus profondément .Mais le seuil d'alerte phonique arriva rapidement et je dus interrompre en urgence mon fisting pour la bâillonner et la serre contre moi pour que ses soubresauts ne la jette pas à terre. Cet orgasme d'une violence inouïe dura plusieurs minutes. Quand elle s'apaisait , il suffisait de remettre mes doigts en elle et de lui murmurer des insanités à l'oreille pour qu'elle "reparte"
On dit qu'après l'amour , l'homme est triste: C'est vrai, nous ne attardèrent pas et après l'avoir un peu nettoyée avec des mouchoirs en papier , nous quittâmes les lieux


Le lundi matin , alors qu'elle montait en classe , ses élèves la suivant, elle fut interpellée par l'agent de service (coutumier du fait et déjà bien imbibé): " Mlle B, faudra p' t' être dire à vos élèves de remettre les tables en place à la fin de la classe. du coup j'ai pas pu la faire!!!
A peine entrée , une jeune fille de la classe , lui dit poliment: -" Madame y avait ça par terre!
En lui tendant deux pinces à linge




3 semaines plus tard, dans les hurlements, la fureur , les coups et les insultes on se quittait à jamais

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Texte coquin : SADO MASO SOFT
Histoire sexe : Une rose rouge
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