SERAPHIN...PAS SI ANGE QUE CA

- Par l'auteur HDS Claudy2316 -
Récit érotique écrit par Claudy2316 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : SERAPHIN...PAS SI ANGE QUE CA Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2022 dans la catégorie Plus on est
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SERAPHIN...PAS SI ANGE QUE CA
SERAPHIN…Pas si Ange que ça !
(Elle)
J’ai connu Séraphin, que j’appelais Séraph, dans le cadre du travail. Il n’appartenait pas au service que je dirigeais, mais de nombreuses réunions de travail, me permettait de le croiser assez souvent. Il n’avait pas de grosses responsabilités au sein de l’entreprise, mais sa présence était souhaitée pour des apports techniques particuliers qu’il maîtrisait parfaitement.
Il possédait à fond son sujet et s’exprimait avec brio quand il avait la parole. Par contre, en ma présence il était complètement tétanisé, bredouillait, bafouillait. Il souffrait vraiment d’une sorte de complexe d’infériorité Pourtant durant les réunions, je sentais que j’étais loin de lui être indifférente. Nos regards se croisaient souvent avec de petits clins d’œil complices. Etait-ce ma condition de « Cheffe » qui l’impressionnait ou une timidité maladive ? Je le trouvais sexy et sa jeunesse, (dix ans de moins que moi), me flattaient. Je dois avouer également que son type basané, un peu macho (il était d’origine Portugaise), m’attirait.
J’avais envisagé ainsi une aventure éphémère et décidé de faire les premiers pas. Je n’en eu pas besoin !!!
L’un et l’autre, ne travaillant pas le vendredi après-midi, le jeudi précèdent, jour de réunion habituel, il se décida et m’invita à prendre un thé (ou un café, bredouilla t’il) le lendemain.
Je comptais bien profiter de cette invitation pour un bon moment de plaisir. Craignant qu’en tête à tête, sa timidité maladive, ne prenne le dessus, j’avais décidé de « mettre le paquet ».
Quand mon mari fut parti, emmenant mes filles à l’école, je me préparais. Dans ce genre de situation, on sait très bien ce que l’on attend de l’autre et il s’agit d’être efficace, de provoquer et de bien faire comprendre pourquoi on est là. J’optais donc pour une « Tenue de pute » : soutien-gorge balconnet, chemisier en soie transparent, jupe noire serrée, string rouge très minimaliste, bas noirs, porte-jarretelles. J’avais hésité sur les chaussures mais opté pour du classique, plutôt que des hauts talons (je travaillais le matin et mes collègues, se seraient posés des questions devant une tenue si différente de mes habitudes). Les talons resteraient dans la voiture et je les prendrais avant de le rejoindre. Je passais une matinée assez désagréable, le string me rentrant désagréablement dans la raie des fesses, et surtout, j’étais dans la hantise de voit un bas se détacher de la jarretelle.

A 12h30, je garais ma Golf, sur le parking de la résidence où il logeait. Il n’avait pas travaillé du matin et avait apparemment fait un ménage rigoureux et surtout « parfumé » l’appartement, avec une substance douteuse, plutôt désagréable, aux fortes effluves musquées. Bonne poire, je ne voulus pas le troubler et ne lui en fit pas la remarque.
Je m’assis dans un canapé, un peu fatigué, pendant qu’il préparait le thé. Le double effet de la jupe serrée et du sofa écrasé, me découvrait largement les cuisses. Sans doute plus largement que je ne l’imaginais, à la vue de la rougeur qui éclaira son visage quand, après avoir posé le plateau sur la table basse, il s’assit en face de moi. Ses tremblements quand il versa le thé, me laissa présager que le plaisir sexuel attendu, n’allait pas arriver facilement. Je donnais du mien cependant. A chaque fois que je me rasseyais après avoir bu une gorgée, la jupe remontait. J’en profitais pour écarter les cuisses et bien lui montrer ce que j’attendais et lui offrait.
A un moment, sous un prétexte dont je n’ai plus le souvenir, il se leva. Craignant que trop excité, il parte se masturber dans les toilettes, je le rattrapai par l’épaule, lui faisant faire demi-tour et lui roulait la pelle du siècle, enfonçant ma langue, le plus profondément possible au fond de sa bouche. J’en profitais aussitôt pour estimer l’objet du désir, en plongeant ma main dans son entrejambe. Sa bite était intéressante, pas énorme, mais semblait assez longue et surtout d’une dureté exceptionnelle. Bref il bandait comme un taureau.
A ma grande surprise, il essayait lui aussi de me caresser. Ne pouvant pas atteindre son but à cause de la jupe serrée, et n’arrivant pas à la dégrafer, je dus l’aider. Après quelques contorsions, Il réussit enfin à glisser sa main sous mon string et à caresser ma chatte déjà bien mouillée. Sans hésiter, je dégageais ceinture et pantalon et baissait son caleçon. Sa bite jaillit de son sous vêtement, comme un diable d’une boîte. J’avais vu juste, pas très grosse, mais longue et raide. Je la prenais à pleine main et après quelques rapides allers-retours, je m’apprêtais à le sucer. Hélas, Je n’eus pas le temps de m’agenouiller, je vis son gland devenir turgescent, se gonfler et envoyer trois grosses giclées de sperme. La première atteignit le haut des cuisses, les deux autres finirent sur mes bas
Devant ma mine déconfite et déçue, Séraph se confondit en excuses. Un peu contrariée malgré tout, je quittais mes bas pour les laver. Et essayai de le rassurer en lui disant :-« Ne t’en fait pas, ça arrive souvent, la première fois avec une femme …Ca va vite revenir et je compte bien en profiter.
- » Ne t’inquiète pas, j’ai prévu des collants dans mon sac à main lui criai je de la salle de bains.
J’en profitais pour me mettre complètement à poil afin de l’exciter un peu plus et de voir s’il était capable de rebander rapidement.
Je l’appelais- »Où puis je mettre mes bas à sécher, je ne vois pas de sèche-linge ?
Quand il entra dans la salle de bains, je fus estomaquée. Alors qu’il venait d’éjaculer à peine cinq minutes plus tôt, sa queue était encore à l’horizontale. Je le félicitais chaleureusement et m’approchais. la vision devait être torride, car il eut comme un mouvement de recul. Il faut dire qu’à l’époque j’étais encore bien foutue. Le matin j’avais finement retaillé ma chatte en ticket de métro et les petits poils blonds laissaient entrevoir (du moins je l’espérais, une fente prometteuse.). Avant de l’appeler, j’avais titillé mes pointes de seins pour qu’elles soient bien dures et dressées. Ce devait être efficace, car il était rouge comme une pivoine, et au lieu de me sauter dessus comme je l’espérais, il restait désespérément agrippé au chambranle de la porte. Sa timidité maladive reprenait le dessus et nécessitait, de ma part, une intervention décisive.
Je décidais donc de prendre les choses en main, (si l’on peut dire). Après tout il n’attendait peut être que cela et la différence d’âge et sans doute d’expérience, le tétanisait. Je l’attrapais par la bite et l’attirais vers moi. J’approchais mes lèvres, lui murmurais :- « laisse-moi faire, tu ne vas pas le regretterAprès un baiser aussi baveux et lubrique que je pouvais, je commençais à lui caresser les couilles et me frottais contre sa queue que j’avais relevée à la verticale - » tu bandes comme un dieu, c’est génial- » Ne t’en fait pas, ça va bien se passer, décontracte toi et laisse-moi faire.
- » Passe ta main sur ma chatte, regarde comme tu me fais mouiller. Tu aimes ?
- » Tu sens mon clito ? N’ai pas peur, rentre ton doigt, caresse le !!!!
Il répondait par des borborygmes, mais s’exécutait avec douceur.
Je me mis alors à descendre le long de son corps, léchant ses tétons, son torse, son ventre. Quand mes lèvres touchèrent sa queue, je l’engloutis doucement. . Sa bite était tellement dressée que je n’avais pas besoin de mes mains pour la sucer. Ma langue, léchait doucement son gland, je lui caressais l’intérieur des cuisses, partant des genoux, remontant lentement et effleurant légèrement ses couilles. Je procédais doucement, craignant une récidive de son éjaculation précoce. Mais il était plus calme et plus détendu, ses mains caressaient doucement mes cheveux et mes épaules. Je tentais donc une vraie pipe en l’engloutissant le plus profondément possible, jusqu’à sentir son gland, effleurer mon arrière gorge. Tout semblant bien se passer, je remontais en aspirant et en massant ses couilles. Une vraie pipe qui dura jusqu’ à avoir des crampes dans les machoires. Me relevant , je l’attirais- « allons dans la chambre tu vas me baiser….depuis le temps que tu as envie !!!!
Je m’étais allongée sur le dos, cuisses ouvertes, légérement relevées pour lui montrer mon sexe en feu.
- Viens, prends moi, baise moi bienJe mouillais tellement qu’il me pénétra sans effort . il commença à me ramoner avec douceur. J’accompagnais ses coups de bire , en poussant bien avec mon ventre. Peu à peu la chaleur envahit mon vagin.
- Lève moi les jambes tu iras plus profond Pour la première fois de l’après midi, je prenais du plaisir, j’en profitais un long moment. Est-ce la frustration précédente, l’excitation de ce premier coup ? toujours est ‘il que, rapidement, j’étais prête . Sentant sa bite gonfler encore, je décidais d’accélérer les choses et d’en profiter un maximum., je l’excitais avec des encouragements qui je l’espérais, devait le valoriser.
- Va y baise moi bien !
- Accélère fait moi jouir !!
Je le sentis , se crisper , sa bite s’enfonça au fond de moi et soudain il donna trois ou quatre coups de reins . Je sentis son sperme chaud inonder mon vagin, je n’en revenais pas d’une t’elle réserve de foutre. J’en profitais pour me titiller le clitoris et aussitôt les contractions et le plaisir m’envahirent, me laissant échapper quelques petits cris, à son grand plaisir.

L’après-midi était bien avancé, je fonçais vers la salle de bains et après avoir remballé porte jaretelles et bas, je regagnais mon domicile.

Cette aventure aurait pu en rester là, si l’opportunité d’un stage à Paris, ne lui avait donné une deuxième chance. Le hasard d’une formation professionnelle, nous avait conduits, accompagnés de notre supérieur, Claude, dans les salons d’un hôtel parisien. Le séminaire, devant durer deux jours, l’entreprise avait fait des réservations en conséquence. Nous logions au 3ème étage, dans des chambres, donnant dans le même couloir. Après une harassante journée de travail, nous nous retrouvâmes à la même table que des collègues du pays basque, pour le dîner. A la fin du repas, beaucoup se dirigèrent vers le bar, pour discuter autour d’un digestif. Fatiguée et goûtant peu aux alcools forts, j’annonçais à la cantonade que j’allais dans ma chambre me coucher. A ma grande surprise, Mon chef émis les mêmes réserves et quitta la soirée. Cela me surprit, car, dragueur reconnu, j’imaginais que les alentours du bar et ses discrets salons attenants seraient le terrain de chasse idéal.
Arrivés dans l’ascenseur, je compris que je m’étais tout simplement trompée quant au gibier choisit . Nous n’avions pas atteint le 1er étage, qu’il me coinçait contre la paroi pour m’embrasser. Quand la sonnerie du 3ème arriva, il avait déjà glissé sa jambe entre les miennes, et alors qu’il me pétrissait les seins, je sentais nettement son envie sans qu’il eut besoin de parler. Sans un mot, il se dirigea vers sa chambre et échevelée et rouge, je le suivis.
A peine la porte refermée, les habits, volèrent dans tous les sens sans aide de l’un ou l’autre. Ses gestes précis, témoignaient d’une longue pratique du dégraffage de soutien-gorge d’une main et du baissé de culotte de l’autre. La dite culotte, n’était pas encore sur mes chevilles qu’il avait déjà sorti sa bite. Ses premiers gestes m’avaient montrés qu’il était d’une autre trempe que Séraphin, la taille de sa queue venait confirmer cette impression. On était là dans le domaine du professionnel.
Il m’allongea sur le lit et après un -« laisse-toi faire, impératifIl s’allongea sur moi dans un classique 69 et commença à me brouter furieusement la chatte. De mon côté, je n’avais d’autre choix que d’avaler sa bite, même si la taille rendait l’opération difficile voire dangereuse. Je me contentais donc de le branler pendant qu’il continuait de me lubrifier la moule à grand coup de langue et de salive. Il me retourna, écartant puis levant mes jambes et grâce à sa longue pratique, m’enfila sans l’aide de ses mains. Son pieu dilatait et touchait le fond de mon vagin, j’avais l’impression d’être empalée et j’étais obligée de le repousser un peu pour calmer ses ardeurs. J’attendais l’éjaculation avec une certaine impatience car la violence de l’accouplement ne me permettait pas de me concentrer pour prendre mon pied. Il sortit et, très crument me demanda- « Met toi à genoux salope !

Quand il m’écarta les fesses, je crains un instant qu’il essaie de m’enculer, mais non, j’étais chanceuse, il réintroduit sa grosse queue et commença à me ramoner plus calmement. J’en profitais pour passer ma main entre les cuisses et, la tête dans l’oreiller, je me masturbais. Quand son foutre m’inonda, j’accélérais. L’orgasme éclata presque aussitôt. Le spasme fit sortir sa bite. Il mit sa main sur ma bouche, pour m’empêcher de crier trop fort et je roulais épuisée sur le côté.

Quand j’eu repris mes esprits, je rassemblais rapidement mes habits, pour retourner le plus vite possible dans ma chambre prendre une douche. J’avais à peine refermé la porte de la chambre de Claude, que l’ascenseur s’arrêtait à l’étage et que mon Séraphin, un peu allumé et titubant en sortait. Il ne me fit aucune réflexion mais à son regard noir, je sentis bien sa colère et sa jalousie.
Le lendemain, au petit-déjeuner, il m’adressa une seule fois, discrètement, la parole :-« je vois que tu préfères les chefs.
Toute la journée, le soir, il fut d’un mutisme absolu, malgré mes quelques tentatives pour le dérider Le retour fut aussi maussade, a-t-elle point que notre chef, s’inquiéta et lui demanda s’il n’était pas malade.

La vie dans l’entreprise, reprit son cour habituel, avec les réunions de travail, la pause-café, les petits arrosages. Dans les premiers temps, Séraphin me fuyait, mais peu à peu, nous reprîmes notre complicité habituelle. Plusieurs fois, il fit allusion à mon aventure parisienne et je sentis bien qu’il en était jaloux. Je réussis peu à peu à lui faire entendre raison, en mettant cela sur le compte de l’abus d’alcool, du hasard, d’un moment d’égarement. Nos relations redevenues normales, nos discussions, lorsque les circonstances nous isolaient, tournaient souvent aux plaisanteries un peu graveleuses. Il me confiait sa gêne de ses éjaculations précoces, je lui confiais mes petits secrets, mes fantasmes : baiser dans mon bureau, sur un parking, avec deux hommes,…..tout cela dans une franche rigolade et une grande confiance.

Six mois s’écoulèrent, quand un vendredi matin, il m’invita à nouveau à venir prendre le thé vers 16 heures. Je compris bien le sens de cette réconciliation et frémit d’excitation. C’était l’été, les tenues offriraient des facilités par rapport aux vêtements d’hiver et éviterait sans doute une éjaculation pendant le déshabillage. J’arrivais donc à l’heure dite avec des frissons dans le bas du ventre, en imaginant ce qui allait se passer. Je sonnais, il ouvrit immédiatement et me précéda dans le salon, où, surprise, était installé un de ses copains. L’espace d’un instant je crus avoir mal compris l’heure du rendez-vous, mais bien vite, j’imaginais ce qu’ils avaient « manigancé ». Je m’assis donc à côté du dénommé Aldo Beau brun ténébreux, espagnol ou portugais. Après avoir rempli les mugs, Séraphin vint s’asseoir de l’autre côté de moi le canapé étroit, obligeait nos jambes à se toucher. Après quelques banalités d’usage et deux gorgées de thé, Séraphin, me mit les bras autour du coup et commença à m’embrasser et me caresser les seins, ravi semble-t-il de l’absence de soutien-gorge que j’avais laissé dans la voiture. L’autre mec ne perdait pas son temps non plus, car sa main avait déjà glissée sous ma jupe et me caressait les cuisses. A ce petit jeu, il remonta rapidement jusqu’entre les jambes en me forçant à écarter les cuisses. Séraphin, ayant semble-t-il besoin de respirer me lâcha la bouche. Je n’eu qu’un instant pour prendre un bol d’air que les lèvres d’Aldo se collaient sur les miennes. Il était temps de vérifier si je leur faisais de l’effet. Les 2 bites étaient d’une raideur intéressante bien que compressées par les jeans.
Alors, je passais à l’offensive et réussit, après maintes contorsions à sortir les deux queues bien raides. Ils quittèrent leurs pantalons et en profitèrent pour enlever teeshirt et jupe. Debout entre les deux, en string, l’un devant, l’autre derrière, je n’avais que mes deux mains pour les branler alors que leurs quatre paluches me caressaient partout : seins, ventre fesses. Dans se déferlement d’érotisme, je ne sais pas qui commença, mais l’un d’eux ou les deux fit glisser mon string détrempé qui résistait car bien enserré dans le sillon des fesses. Tous les trois à poil, les caresses redoublèrent. Aldo, m’appuyait sur les épaules pour bien me faire comprendre ce qu’il attendait. Rapidement je me retrouvais accroupie cuisses écartées par leurs jambes, leur offrant la vue de ma chatte luisante de mouille, je suçais l’un et branlais l’autre puis changeait et revenais au premier.
Ils m’entrainèrent rapidement dans la chambre. J’étais curieuse de savoir qui aurait la primeur. Ce fut Séraphin, il m’écarta les cuisses, les releva sur ses épaules et rentra sa bite dans ma chatte en feu. Aldo quant a lui a genoux, à côté de moi, me présentait sa grosse queue que je suçais avidement. Très rapidement, comme à son habitude, hélas, Séraphin déchargea et me remplit de foutre à grands coups de reins. Il était à peine sorti qu’Aldo, se présentait. La pénétration fut malgré la belle taille de sa queue, facilitée, par ma mouille et le foutre de Séraph. Ce fut plus long mais, sous le regard de Séraphin, avec des grognements de bête, il me remplit à son tour Epuisée, je me retournais les bras et les jambes en croix. Debouts auprès du lit, ils me regardaient, se caressant la queue, espérant sans doute rebander immédiatement. Quand je me dirigeais vers la salle de bains, rincer le sperme qui commençait à dégouliner le long de mes cuisses, j’entendis derrière moi - Quel cul tu as salope, on aurait dû te le faire.

Un peu rafraîchie par une douche revigorante, je les rejoignis dans la cuisine, où toujours à poil, ils sirotaient une bière. Je voulais me rhabiller, la soirée étant déjà bien avancée, mais ne trouvait pas mes vêtements. À leurs regards égrillards et leurs fous rires, je compris qu’ils les avaient cachés et que soit je repartais à poil soit je cédais à leur envies-« reste un peu, tu as bien le temps, j’ai des pizzasC’est ainsi que pour la première fois de ma vie, et la seule, je me retrouvais nue en compagnie de deux mecs, à manger une quatre fromages. Bien entendu la conversation était orientée « cul ». Séraphin, me charriait :- « tu as toujours dis que tu voudrais essayer avec deux mecs profites en-« il se fait tard et puis je viens d’en profiter- « oui mais après les pizzas, j’aimerai bien un sandwichAjouta finement AldoLa nuit était tombée, j’étais stressée de rentrer, mais trop tentée pour résister, et une fois de plus nous nous dirigeames vers la chambre.

Aldo était allongé sur le lit, la bite à nouveau bien raide. Il me suffit de m’accroupir et de l’enfoncer en moi. Il commença à me pilonner si fort que je sautais pratiquement en l’air. Il agrippa alors mes fesses pour me maintenir mais, surtout, en les écartant le plus possible pour bien montrer à Séraph où il devait rentrer sa queue. Je ne le voyais d’ailleurs pas et je supposais qu’il devait se branler pour avoir la raideur nécessaire à la sodomie attendue.
Quand il commença à rentrer son doigt, j’eu juste le temps de murmurer -« le gel….dans mon sac !
Car prévoyante, j’avais envisagé, une aventure de ce genre et trainait dans mon sac à main un gel anal lubrifiant aux propriétés aphrodisiaques.
Il commença à masser avec douceur la rondelle, avant d’insinuer un doigt dans l’anus, le ressortant pour mettre du gel, tournant doucement pour bien ouvrir. Al do avait dû s’arrêter de me pilonner pour faciliter le travail de son copain. Quand ses deux doigts rentrèrent facilement, il présenta sa queue. Aldo m’écartait les fesses, j’essayai de l’aider en poussant fort sur sa bite. Le gland rentra doucement et soudain il m’encula totalement, et commença aussitôt quelques aller-retours L’orgasme n’était pas loin mais je me retenais pour en profiter au maximum. Aldo avait repris son pilonnage, mais en douceur pour ne pas éjecter de mon cul, son copain. Il se contentait de commenter :-« elle doit aimer ça la salope, elle mouille de plus en plus-« Bourre la bien, on va la démonter !!!
L’impression était extraordinaire, je sentais les deux bites frotter l’une contre l’autre en moi. Séraphin avait arrêté de me ramoner car, il était déjà sorti une ou deux fois et c’est Aldo qui faisait tous le travail. Enfonçant et ressortant sa longue queue tout le long de mon vagin. J’avais de plus en plus de mal à me retenir. Mon cul se dilatait encore plus et quand je sentis les couilles de Séraph frotter sur mes fesses, je partis dans des convulsions monstrueuses en poussant des cris venus du fond de mes entrailles. J’expulsais littéralement Séraph de mon cul, sentit son sperme sur mes fesses, et me dégageait d’Aldo en roulant sur le côté-« donne ton cul, j’en veux aussi-« non je t’en prie je suis en feuAlors, sans hésiter il enfonça son pieu dans ma bouche, m’appuyant bien la tête avec ses mains au risque de m’étouffer. Il déchargea en criant-« avale bien tout espèce de chienne.

J’étais morte, Ayant vu l’heure, je m’habillais prestement et rentrais chez moi. En route, la crainte m’effleura, que mon mari attende mon retour de cette « sortie avec des collègues de bureau » pour me baiser. Il aurait été surpris et étonné de l’état de mon cul et de ma chatte.
Heureusement il dormait et c’est épuisée mais ravie que je m’ abandonnais dans les bras paisible de Morphée

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Texte coquin : SERAPHIN...PAS SI ANGE QUE CA
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