Samia - 32 Moi, impudique ?

- Par l'auteur HDS Mia-michael -
Auteur femme.
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Récit libertin : Samia - 32 Moi, impudique ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Samia - 32 Moi, impudique ?
On arrive aux cascades d'Ouzoud et on descend le sentier escarpé. En bas, j'aperçois des singes que je n'avais pas vus la première fois. Je dis : — Oh ! des singes, qu'est-ce qu'ils font là ?
Djibril répond : — Ils sont chez eux. Ce sont des macaques sauvages mais habitués aux touristes. Les mêmes qu'à Gibraltar, d’ailleurs.
J'aime bien les singes, je viendrai leur donner à manger. On arrive devant une très grande tente blanche. C'est là que se tiendra la réception. Il y a quelques hommes qui travaillent et puis, j'aperçois Malha. Aussitôt, je me précipite vers elle en disant : — Oh ! je suis contente de te voir.
Elle est en jean et tee-shirt avec des auréoles sous les bras. Il fait plus de 30°, aussi. Je veux l'embrasser sur la bouche, mais elle me tend sa joue en disant : — Bonjour Samia. C'est bien que vous soyez là.
— Tu ne m'embrasses pas ?
— Tu sais, je dois m'occuper de tout le monde, ici. Je ne peux pas être trop familière avec toi. D'ailleurs, ce serait bien que tu dises Mademoiselle et que tu me vouvoies. OK ?
— ... Oui...
Elle me dit comme son frère tout à l'heure : — Oui qui, Samia ?
— Oui Mademoiselle Malha.
— Bien... Tu vois cette petite tente, là-bas ? Va aider la cuisinière. D'accord ?
— Oui... Mademoiselle.
— Bonne petite.
Eh ! J'ai plus 8 ans ! Mais bon... je serai propriétaire d'une demi-maison et puis, ce soir, j'essaierai de...
— Allez Samia, vas-y !
— Oui Mademoiselle.
Elle parle à Josiane tandis que je me dirige vers la petite tente. Vous savez que je suis Comtesse ?? Si, si, rappelez-vous, Comtesse de Préville à la suite de mon mariage avec mon petit chien, enfin de Julien. Toute Comtesse que je sois, je dois dire crûment que Djibril et Malha nous ont bien fourrés à sec ! Et ça fait mal !
Sous la petite tente, il y a une cuisinière assez grosse, ce qui est la caractéristique de beaucoup de cuisinières. Elle doit avoir 40 ans et peser 80 kg. Je lui dis : — Bonjour Madame. Mademoiselle Malha m'a dit de venir vous aider.
Elle me regarde comme si j'étais... une salope d'infidèle à moitié à poil en public.
Elle me dit : — Tu n'as pas honte de te promener comme ça ?
— Mais, il fait chaud et...
— Et rien du tout. Monsieur Djibril m'a prévenue. Tiens, mets ça !
Elle me tend une djellaba. Je regarde la cuisinière. Elle a des mains deux fois comme les miennes. Bon, je ne vais pas l'envoyer se faire foutre... Je prends le vêtement et je vais dans le fond de la tente pour l'enfiler. Après ça, je fais glisser mon top et mon short que j'enlève par les pieds. Je planque mes vêtements pour qu'elle ne voie pas que je les ai enlevés. La djellaba est en tissu léger qui me caresse quand je bouge. La cuisinière me dit : — Mets la capuche. Une femme ne montre pas ses cheveux.
Elle a surgi du moyen âge par une déchirure temporelle !? Elle ajoute : — Je m'appelle Tifa, mais tu diras Madame et tu feras ce que je te dis.
On croirait entendre Djibril ou Malha ! Je réponds : — Oui Madame.
Imaginez que vous ayez un objet très lourd en main. Vous ne voulez pas qu'il tombe, vous le tenez de toutes vos forces. Jusqu'au moment où vous n'en pouvez plus et vous le lâchez. Moi, je suis comme ça. J'ai de la force et je tiens bon, mais quand je lâche, c'est fini.
Il faut comprendre que je suis dans un pays étranger, chez des Berbères dont le nom vient de Barbares et... ils sont plus forts que moi. Si on était en Roumanie ou en France je tiendrais bon. Enfin, je pense...
C'est comme avec Kristos ou la fille des Flots Bleus, dont j'ai oublié le nom. Avec la cuisinière, je lâche. J'ai mis la djellaba et la capuche et j'épluche des pommes ! Mon mécanisme de soumission est enclenché...
Elle le sent bien, Tifa. L'aider, ça signifie, qu'elle est assise peinarde et qu'elle me donne des ordres. Elle m'a même donné un coup sur les doigts avec le manche d'une cuiller en bois, parce que je faisais des épluchures trop épaisses. Ça fait mal, cette cuiller en bois. C'est juste bon pour le cul des hommes ! Je lui dis : — Vous savez, mon mari est très obéissant et il pourrait...
— Non ! C'est toi que je veux faire obéir. Toi qui montres ton corps sans honte ! Même si ça ne dure que deux jours, je vais t'apprendre la pudeur et la modestie.
Oulah ! C'est mission impossible, ça. Mais comme elle le dit, ça ne va durer que deux jours. Si j'osais, je lui répondrais : « Si vous réussissez à m'apprendre la pudeur demain, je ne baiserai pas avec les investisseurs et vous l'aurez dans votre gros cul pour le Parc Régional de l'Atlas ». Mais mes doigts me font encore mal, alors je la ferme !
Ah ! il va m'entendre, Djibril ! Je vais saboter sa soirée, je vais...
— ... Et alors tu dors ?
— Non Madame.
— Ça fait deux fois que je te dis de jeter l'eau qui est dans cette bassine.
Je prends le récipient et je sors de la tente pour le vider un peu plus loin. À mon retour, je vois qu'elle me regarde attentivement. Elle me dit : — Mais ma parole, tu es nue là-dessous ! Tu as enlevé tes vêtements sans que je le voie et cette djellaba est transparente, parce qu'elle doit se porter au-dessus des vêtements !
— Comment, je pourrais le savoir, moi ! Il fallait...
Elle m'attrape par le poignet et me bascule en travers de ses cuisses, en criant : — Tu as vraiment le diable au corps, toi ! Attends, je vais t'apprendre la pudeur !
Elle lève le bas de la djellaba jusqu'à mes reins ! C'est ça, la pudeur pour elle ? Et là, son énorme main me claque les fesses avec le bruit d'un pétard qui explose, ça fait : — PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe... noooonnn arrêtez... PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! Vous n'avez pas le droit... PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe — Tu vas voir si j'ai pas le droit !
— PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! Pardon, je serai... PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! pudiiique ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe !
Sa paume est dure comme du bois et un déluge de claques s'abat sur mes pauvres fesses !
— PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe !
Et là, j'entends la voix de Djibril : — Mais qu'est-ce que tu fais, Tifa ?
— PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe !
— J'apprends la pudeur à cette petite traînée.
— PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! Au secours Monsieur Djibril !
— Arrête Tifa !
— PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe !
En tournant la tête, je vois qu'il lui a saisi le poignet ! Il me prend par la taille et me remet debout. Je pleure, le derrière en feu. Il me demande : — Qui t'a dit de venir ici ?
— C'est Malha... sniiif...
— La conne ! Bon, viens. Je t'envoie quelqu'un d'autre, Tifa.
Elle lui répond : — Si c'est une du même genre, je lui tannerai les fesses, aussi !
On sort, entourés de jeunes qui ont assisté au spectacle !! On va vers la grande tente, moi toujours en larmes et frottant mes fesses. Dès qu'on voit Malha, Djibril se met à crier sur elle en berbère. Bien fait ! Quand il l'a bien engueulée, il me dit : — Viens, tu vas te reposer pour être en forme ce soir.
C’est tout ce qui lui importe ! Je réponds : — Je ne serai pas en forme et vous ne pouvez pas m'obliger...
— On retourne chez Tifa ?
— NON !
— Bon, tu as reçu une fessée, c'est pas la fin du monde.
Il me prend par le bras et on va devant un petit établissement, comme il y en a beaucoup. Sur la terrasse, il y a quatre hommes qui boivent un verre en discutant. Un des quatre est vraiment... beau : 35 ans, brun, costaud, souriant. Il est habillé à l'européenne, les 3 autres, je ne sais pas, car je ne les regarde pas ! Le beau mec lui dit : — Salut Djibril, qu'est-ce que tu nous amènes de beau ?
— Une petite qui a eu un différend avec Tifa. Montre tes fesses, Samia.
Ah, tiens, maintenant il faut les montrer ? Je me retourne et relève ma djellaba. Aussitôt, il y a différents commentaires, genre « Quel beau cul ! » et « Il est bien rouge ! ». Djibril s'adresse au beau mec en disant : — Juan, sois gentil, occupe-toi d'elle, il faut qu'elle soit en forme pour ce soir.
Il s'en va. Juan se lève et me tend la main en disant : — Viens petite, je vais te soigner.
— Ça fait maaal !
— J’ai un truc, tu vas voir.
On traverse le petit bar pour aller dans la pièce du fond. Il me dit : — Couche-toi sur le ventre, je vais chercher ce qu’il faut.
Il revient avec une boîte de Nivea. C'est ça qui va me soulager ? Il s'assied à côté de moi, relève ma djellaba et commence à me masser. D'abord, je crie un peu, mais rapidement, je ronronne... Il me masse doucement les fesses et c'est vrai que la crème me soulage. Djibril n'est pas si mauvais que ça, après tout... D'accord, cette correction m’a fait vraiment mal, mais il y a aussi les soins "après-fessée". Je demande à mon masseur : — Dites, je peux vous rendre la pareille ?
— Quel appareil, petite ?
Il est con, mais beau...
— Je veux dire, vous masser.
— Ah oui, mais pas avec de la Nivea.
— Non. Enlevez vos vêtements et couchez-vous sur le dos.
Il se déshabille et... il bande... bien ! Passer de la Nivea sur mes fesses rouges, ça lui a fait de l'effet. Il se couche sur le lit, le mât dressé prêt à appareiller pour Cythère. Mais si, vous savez bien, là où Aphrodite avait sa villa de vacances, avec piscine.
Il a mis un bras derrière la tête. Je vous le décris : une masse de cheveux bruns, un beau visage et des poils s'échappant de l'aisselle. Il a aussi des poils sur la poitrine, le ventre le sexe, les jambes et, oui, j'aime les poils... Il sent l'eau de Cologne et la sueur d'homme. J'embrasse sa bouche, pas longtemps, je plonge le nez dans son aisselle. Il rit en disant : — Tu me chatouilles...
Et, vous savez ce qu'on dit : homme qui rit, bientôt dans votre lit. Euh... oui, il y est déjà. Je descends en suivant les poils qui ondulent comme des vagues vers son phare – c'est une image, je veux parler de son sexe. D'ailleurs, qu'est-ce que je ferais avec un phare ? Ah oui, m'asseoir dessus ?? C'est son sexe le phare et, à vue de nez, il fait un bon 20 cm. Comme Juan est sans doute espagnol, il n'est pas circoncis... J'embrasse la toison de son ventre, fais un détour par ses couilles gonflées de désir pour moi – comme on dit dans les romans d'amour pour jeunes filles – je les lèche, les mordille.. Puis, je m'attaque au sexe, je tire sur la peau qui recouvre la chair rose du gland... Le bout est très mouillé, je le promène sur ma bouche, puis sur mes joues pour envoyer le message aux autres femelles : ce mâle est à moi, je suis son territoire... Les hommes ne sont pas patients, vous avez déjà remarqué ? S'il y a une bite d'un côté et une bouche de l'autre ils veulent absolument que l'une entre dans l'autre... Bon, d'accord, je dégage complètement le gland et je le lèche. Son sexe et ses couilles, c'est comme une glace « trois boules » dans un cornet. Deux grosses boules de glace caramel en dessous et une boule à la framboise au-dessus. Il me prend par la nuque et, oui, j'ai compris, j'engloutis ma boule à la framboise d'un coup... J'apprécie son goût un peu salé, son odeur... Il me dit : — Tu dois me lécher le cul, aussi, petite. J'aime bien ça.

À suivre.

Si vous aimez mes histoires et que vous voulez me le dire, je suis ici mia.michael@hotmail.fr

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