Samir le pilonneur - histoire érotique

Vous ne connaissez pas Samir le Pilonneur ?

Certains si bien sûr, les adeptes des films de certains réseaux, il est à l'affiche de bon nombre.
Pour ceux qui ne l'ont pas vu à l'œuvre, imaginez le rebeu de cité dans toute sa splendeur. Arrogant, sûr de lui, macho mais putain de beau rebeu. Je l'ai vu à poil avant de le voir habillé et faut voir la carrure du mec. Ce n'est pas le rebeu body bulgué qui se regarde dans une glace, les abdos ne sont pas apparents, il a même de belles poignées d'amour mais il est massif, des cuisses fermes, une gueule qui ne sourit pas, sûr de ce qu'il a entre les jambes et il sait s'en servir le lascar. Aucun cul ne lui résiste, en position et ça rentre et les mecs couinent comme les salopes qu'ils sont! Le gros et long zob fait son office!

J'ai eu la chance de le voir un week-end de passage à Paris où j'avais été me dévergonder dans une boîte gay et il se trouvait là avec des potes pour fêter un anniversaire.
C'est le serveur, qui devait mouiller du cul qui m'avait précisé qui il était, car je n'avais pas fait attention vraiment à lui. Certains de ses potes que je trouvais plus beaux avaient capté mon regard.

Ils faisaient les andouilles au milieu de la boîte et bon nombre de mecs en rut s'agglutinaient autour d'eux, essayant de capter leur attention, mais ils n'étaient pas là pour ça et se faisaient rabrouer vertement par les rebeus.

J'avais pourtant vu deux rebeus emmener deux mecs dans les toilettes et ne pas revenir, mais Samir faisait sa diva et restait avec ses potes.
Moi j'étais assis au comptoir et je matais le mec, essayant de me rappeler comment il était à poils, et je me souvenais de son coup de reins, il portait bien son surnom de pilonneur avec surtout sa belle paire de fesses musclées qui se contractaient à chaque mouvement. Moi ça me faisait bander.
Les rebeux picolaient et les bouteilles se vidaient.

Lorsque Samir est venu au comptoir pour régler les consommations, il m'a regardé et j'ai retrouvé le regard dur qu'il avait lors de ses vidéos. J'ai souri, il m'a regardé moi le blond souriant :
-t'aimes pas les rebeus ? t'es pas avec la meute de salopes ?
Putain de voix rauque de mâle rebeu, ses yeux noirs plantés dans les miens.
Mais il en faut plus pour me démonter.
-peut-être que justement j'suis pas une salope! j'ai répondu doucement en soutenant son regard.

Il a éclaté de rire et m'a pris dans ses bras en me faisant la bise!
-putain mec! toi au moins t'as de la répartie! Alors t'aimes bien les rebeus quand même ?
-oui bien sûr, mais toi j't'ai vu à l'œuvre dans tes vidéos...
-et t'as peur pour ton petit cul de blond ?
-oh mon p'tit cul est accueillant mais il lui faut de la douceur!
-tu trouves que je nique trop fort ?
-ben c'est bien ce qu'on voit dans les films ? et les mecs couinent, gueulent vachement!

Il rigole encore, sa main se pose sur mon épaule, remonte dans mon cou et il me prend la nuque, se penche à mon oreille :
-mais tu sais dans la vraie vie je suis un tendre!
Il repart à rigoler.
-c'est une invite ? dis je doucement en me penchant sur lui, le respirer, m'emplir les poumons de son odeur de rebeu, de mâle comme j'aime.

Sa main me malaxe doucement la nuque, me donnant des frissons.
Il est debout devant moi, assis sur un tabouret les jambes écartées. Il pose son entrejambe sur mon genou, je sens la chaleur se communiquer à mon genou.
-en fait tu sais, j'aime la douceur, j'aime niquer un mec le plus doucement possible, qu'il sente bien mon gros zob le remplir, l'ouvrir !

Ma main vient caresser son flanc côté bar et personne ne voit cela, car bon nombre de pairs d'yeux nous matent. Je caresse le côté, et j'ose passer ma main sous le tee-shirt, toucher sa peau douce, brûlante, j'en profite.
Il rigole encore à mon oreille.
-tu sais que c'est dangereux de faire ça ?
-oh t'as dit que tu aimais la douceur!
Il rigole encore doucement et sa joue se frotte à la mienne, ma main s'affermit sur son corps, essayant de le rapprocher de moi.

J'aime sa main sur ma nuque, l'autre main touche ma cuisse, il bouge un peu son corps pour la masquer et vient me toucher la queue!
-oh mais ça bande bien un blond.
-et un rebeu quand il tripote un blond, c'est comment ?
-ben touche, tu verras bien!

Alors j'ai passé ma main sur l'entrejambe et le morceau de choix était bien là. C'était dur, chaud. Je sentais son souffle sur mon oreille, il s'écarte un peu pour que je puisse mieux le tripoter, le caresser, mais j'ai bien envie de toucher son zob moi! Putain je bande comme un ouf, j'ai mal à la queue et ses doigts la pincent à travers mon jean!
-t'es chaud le blond!

On était entouré d'une dizaine de mecs qui mataient nos mains en train de se tripoter et plus ça allait plus ils se rapprochaient comme des mouches, mais c'était sans compter Samir, qui a juste tourné la tête en disant :
-oh les mecs! vous ne connaissez pas les distances de sécurité!
Il m'a fait relever du tabouret et devant les mecs médusés, ses mains m'ont serré contre lui, parcourant mon dos, venant se poser sur mes fesses, les masser durement et ses lèvres sont venues se poser sur les miennes...
Je n'en revenais pas, jamais je n'avais le souvenir qu'il avait embrassé un mec dans ses vidéos!

Et je peux vous dire qu'il a une langue agile et bien juteuse. J'ai bu Samir, il soupirait et il rigolait de voir autour de nous, à une petite distance qui recommençait à diminuer, les mecs, la main dans le pantalon se caresser la queue. J'ai eu le temps de voir que ses potes arrivaient et faisaient leur marché. Ils n'ont pas fait dans la dentelle, une main au cul disant quelque chose au mec à l'oreille, pour le voir baisser son pantalon et se pencher en avant.
La partouze commençait partout en peu de temps.
Quand la voix de Samir m'a ramené à la réalité :
-si tu peux ouvrir mon jean je t'offre mon monstre dit il en me souriant.

Tu parles qu'un jean me fait peur! et j'avais en main le gros et long zob de Samir le pilonneur.
Il se repenche à mon oreille :
-branle moi doucement en serrant bien mon zob, et caresse mes couilles mec! j'te sors la queue également.
Et nous voilà comme des collégiens dans des chiottes à se tripoter en s'embrassant, un duel de langues et de salive et j'avais, je touchais le gros zob dur!
Lui me branlait aussi lentement que je lui faisais.

Plus personne ne faisait attention à nous! ça gueulait partout, les zobs étaient en action!
J'avais le jean ouvert, sa main passe entre mes jambes et son doigt vient se poser sur mon petit trou qui ne sert pas souvent! Il me regarde, sourit encore.
-j'm'en doutais t'es pas la salope habituelle qui vient se faire niquer en boîte!
-non pas vraiment, si tu savais ce que j'aime vraiment ! dis je faisant le mystérieux.
-eh bien le céfran va le dire à Samir dit il en me serrant contre lui.
Je le regarde et je vois bien qu'il est curieux de le savoir.
-je m'offre quand j'ai eu le cul ! Et je sais bien qu'avec toi je ne suis pas à la bonne adresse!

Il me regarde en me matant encore plus :
-je crois que j'avais compris ça en te branchant le céfran! J'aime les défis tu sais et j'avais bien compris que tu ne te fais pas niquer dans les toilettes comme toutes ces salopes, regarde ce qu'elles veulent, c'est un zob pour les ramoner!
-mais t'as pas envie d'y aller ?
-non et de toute façon je ne dois pas m'exhiber ni niquer en public.
-ah le contrat ?
-ouais tu comprends vite mec! Si je suis là ce soir c'est parce que c'est l'anniversaire de Kamel mon pote de la cité et il voulait à tout prix que je vienne. Et je t'ai vu!
-oh le macho rebeu fait sa midinette!

Il éclate de rire.
-t'es impayable mec! je crois que je t'adore.
-Pour l'instant c'est ma queue, tu la lâches pas!
-ben toi non plus!
On s'embrasse.
-j'peux la goûter ta queue Samir ?
-ici ?
-bah regarde plus personne ne nous voit, tourne le dos à la salle.

Il m'obéit et je tombe accroupi coincé entre Samir et le bar et j'ai le gros pilon devant les yeux et je ne me suis pas privé, touchant même les fesses de Samir. Je n'ai pas pu avaler tout son zob, déjà en épaisseur, faut l'ouvrir sa gueule!
J'ai su en me relevant que j'avais essayé d'avaler 24 cm!

Mais avant de me relever j'ai réussi à le faire cracher, cramponné au bar, il m'a offert sa liqueur rebeu.
Quand je me suis relevé, il m'a retourné contre lui, coinçant son zob sur mes fesses, m'a mordu dans le cou et s'est saisi de ma queue, me branlant avec force en me disant :
-jouit, jouit pour moi le blond, crache sur le comptoir!
Sa main passait sous mon tee-shirt et me caressait le torse. Et j'ai juté, juté à ne plus m'arrêter! Jouir dans les bras de Samir le pilonneur!

On a remis de l'ordre dans nos vêtements, il m'a offert un verre, on a trinqué et il avait l'air déçu que je ne sois pas de Paris. Je lui ai laissé mon numéro, il m'a donné le sien!
Et d'un seul coup il a décidé de partir, me faisant la bise en me caressant le cul.

Je n'en revenais pas de ce qui m'était arrivé et autour de moi ça continuait de baiser.
Je me suis fait draguer par un rebeu, mais je voulais garder Samir dans mes souvenirs, et je suis rentré.
Le lendemain j'ai essayé de le contacter en pensant que je me laisserais bien faire avec Samir dans un lit!
Mais c'était la douche froide... le numéro était inconnu!

Il me reste le souvenir, l'odeur de ce beau mâle, pas si macho que ça en fait!