Sandrine (3) suite : - histoire érotique

"Souhaites-tu prendre une douche ? Sandrine" disait Barnabé.
"Non merci, ça aurait été avec plaisir, mais il faut que je rentre, il se fait tard! Nicole est peut-être déjà rentrée. Si elle devait venir me voir, dans ma chambre, elle s'apercevra sûrement du stratagème que j'ai employé".
"Je comprends, alors rentre bien ! A demain... disait une fois encore, notre femme.
"Merci, Barnabé, je ne pourrais pas oublier ce moment magique, depuis que nous nous connaissons toi et moi, ma vie a pris un tournant, plutôt agréable, à demain."

Sandrine partit d'un pas rapide, la peur au ventre. Elle se sentait coupable et avait un sentiment d'inquiétude... qui grandissait rapidement et si Nicole était déjà rentré dans sa chambre... et si elle l'attendait assise sur le lit.
Heureusement, ce ne fut pas le cas. Elle était encore endormie sur les bras de Sylvain, elle n'avait pas changé d'endroit.
Rassuré, la peur s'évanouissait peu à peu, notre jeune femme ouvrit les volets et les referma au passage. Elle s'allongea sur le lit et ne mettait pas longtemps pour s'endormir. La soirée fut très fructueuse, pour elle.

Chapitre 5 : Nouvelles découvertes

A une heure matinale, notre jeune femme se réveillait, elle fit couler un bain et se glissa à l'intérieur. C'était agréable, la chaleur et l'eau lui faisait un bien fou. Elle ne put s'empêcher de penser à ce qu'elle avait fait la veille. A la belle et grosse queue de Léon, celle qui l'avait faite jouir comme jamais. Il y a encore une semaine de ça ! Elle commençait juste à découvrir le sexe de Sylvain... à sa première queue qu'elle voyait de sa vie, depuis elle avait fait du chemin dans ce domaine là.
Ne serait-ce que hier, où elle avait eu deux hommes, presque que pour elle seule. A la première sodomie qu'elle avait eu avec Louis. Comme avec Léon et son magnifique membre, qui ne la laisserait plus jamais indifférente. Notre jeune femme, se laissait envahir par des rêves humides et poussé par l'excitation, elle commençait à descendre ses mains à hauteur de sa fente et engouffrait ses deux doigts à l'intérieur... imaginant un sexe d'homme, elle se faisait du bien. L'effet du plaisir ne se fit pas attendre... elle jouissait en silence.
Quand, soudain, quelqu'un tapait à la porte de sa chambre. Surprise, gênée, elle sortie de son bain et mis un peignoir blanc pour couvrir sa nudité et l'attacha avec la ceinture. Ses longs cheveux blonds étaient couvert par une serviette qu'elle avait enroulé le long de sa tête. Sandrine ouvrit cette porte qui l'avait sortit brutalement de sa jouissance et de ses rêves...
C'était Nicole, qui était accompagné d'une femme qu'elle n'avait jamais vue. Elle était de taille moyenne, des cheveux bruns mi-longs avec de jolie yeux verts, elle portait sous son bras un petit colis, entouré d'un papier cadeau.
" Bonjour, Sandrine, je t'apporte ton petit déjeuné. Je te présente Clotilde, elle va parfaire ton apprentissage, car cette compétition approche à grand pas. Elle à été l'élève de Madame Barnabé, depuis elle est devenue une grande cavalière. Tu vas devoir, t'absenter sur une durée de trois jours. Clotilde va t'expliquer comment ça va se dérouler. Si je ne te vois pas d'ici là, je t'embrasse pour te dire à bientôt". Disait Nicole, les yeux à demi clos par la fatigue de cette nuit avec Sylvain.
Clotilde, ferma la porte et s'avança dans la chambre de notre jeune femme. "Ferme la porte à clé Sandrine et vient me voir après".
- "Assis toi là, tu vas bien toi ?" disait Clotilde.
- "Oui, merci... je ne t'ai jamais vu dans le coin!" dit Sandrine.
- "En effet, je ne suis plus du coin, suite à un déménagement... mais je connais bien la région, j'y ai parfait mon éducation avec Madame Barnabé et les hommes du coin" disait Clotilde.
Sandrine devint aussi rouge qu'une pivoine... et se sentit défaillir.
- " Ne t'inquiète pas! Je suis comme toi, j'ai découvert ma sexualité avec cette femme que tu connais d'ailleurs très bien. J'ai été vierge aussi, bien sûr tu te doutes, que je ne le suis plus... car je ne peux plus me passer de ces belles queues. Un peu comme toi hier soir avec Léon et Louis" disait Clotilde.
- "Tu étais là hier, je ne t'ai pas vu?" disait Sandrine surprise.
- "J'étais caché dans la salle d'à côté avec la complicité de Barnabé ! C'était chaud... je me suis caressé comme une furie et j'ai pris mon pied en parallèle avec ta jouissance. Tu étais belle... la jouissance te rendait excitante à souhait. Tiens à propos, tant que j'y pense, Barnabé m'a transmis ce colis, il est pour toi, il faut que tu regardes le contenu" répondit Clotilde.
- "Qu'est-ce?" disait Sandrine.
- "Ouvre le et tu verras !" répondit Clotilde.

Sandrine ouvre le colis. Elle y découvrit une lettre et quelques accessoires inconnus... elle ouvrit la lettre et lisait ceci :
" Bonjour, jolie Sandrine, en vue de ce que tu as fait hier avec Léon et Louis je te propose d'aller encore plus loin dans ta vengeance envers Sylvain. J'en ai parlé avec Clotilde et nous nous sommes mis d'accord sur la suite à donner, à condition que tu acceptes le chalenge bien-sûr.
Nous avons volontairement menti avec Nicole, en lui expliquant que tu avais besoin de quelques jours de liberté pour parfaire ton apprentissage de cavalière. Elle est tombé dans le piège que nous lui avons tendu. Ainsi, tu auras trois jours de grand plaisir débridé, ta chatte sera bien honorée... J'ai fait appel à quelques connaissances masculines, ainsi qu'à celles de mon amie Clotilde. Il y aura ainsi six hommes dont deux que tu connais très bien, Léon et Louis. Mais ils ne seront pas seuls, car il y aura également Clotilde, toi et moi ainsi que trois autres femmes. Il y aura donc six femmes et six hommes, réunis rien que pour le plaisir des sens.
Mais à seule obligation, que toutes les personnes se soient rasés leurs sexes et qu'ils soient lisses. Clotilde t'aidera, ne t'inquiète pas, ce n'est pas douloureux, plus tard tu me remercieras. Dans le colis, tu trouveras un rasoir, de la crème à raser et un gode que tu pourras utiliser lorsque tu te sentiras seule, sans hommes pour t'assouvir".
Signé: Madame Barnabé.

Sandrine sentit de nouveau l'excitation envahir, son entrecuisse chaude et profondément humide, elle replia la lettre et regarda Clotilde d'un air embarrassé.

" Alors Sandrine tu te sens prête?" disait Clotilde.
" Oui! Je le suis. Comment dois-je procéder?" répondit Sandrine.
" Allez, ouvre moi tes cuisses et avance toi vers le bord du lit, je m'occupe du reste". dit Clotilde.

Notre jeune femme, obéit, ouvrant son peignoir, de manière à ce que cette jolie femme puisse accéder à sa toison. Elle pu ainsi réduire à l'aide d'un ciseau les poils de son pubis et de ces belles lèvres. Puis lorsque ceux-ci furent coupés, elle étala délicatement la crème de rasage pour raser de très près, ce sexe qui devenait de plus en plus beau et agréablement lisse. Quelques minutes plus tard, notre jeune femme était débarrassé de sa toison blonde. Clotilde rinça cette belle fente avec de l'eau savonnée avec un gant pour enlever l'excédent de crème à raser.

" Alors Sandrine, que ressens-tu maintenant que tu est complètement rasé de là?" Disait Clotilde.
" Je suis toute excitée... c'est très agréable et doux!" répondit Sandrine.
Ne perdant pas de temps, Clotilde prit le gode et demanda à notre jeune femme de le lécher, comme la queue de Léon hier, chez madame Barnabé. A ces mots, Sandrine le fit. Sa chatte était particulièrement humide. Clotilde la regardant faire, se mit à lui faire un cunnilingus et à jouer de son petit bouton. En quelques instants, par l'effet de l'excitation, nos femmes se retrouvèrent entièrement nues l'une devant l'autre.
- "Tu es belle Sandrine, j'adore ton corps, je comprends mieux maintenant, pourquoi Léon et Louis t'aiment. Ta chatte est douce, serrée et humide c'est un délice, tu mouilles ma cochonne".
- " Oui! Tu es une experte avec ta langue. regarde dans quel état tu me mets. Tu sais, la tienne n'est pas mal non plus, ça change de celle de Madame Barnabé. Car la sienne est très ouverte mais est plus odorante, j'adore ton corps ma puce".
- " Tu es vraiment gentille et si, tu me rentrais ce gode dans ma moule? Fais moi jouir! J'ai envie de toi".
Sandrine le fit, elle poussa le gode dans la chatte de Clotilde. Malgré l'épaisseur de celui-ci, il pu rentrer à l'intérieur, sans aucune difficulté. Les lèvres s'étaient écartées pour laisser passer ce faux membre, dans l'antre du plaisir.
- "Vas-y! Masturbe moi... je sens déjà la jouissance de la pénétration. Oui! Comme ça, continue ne t'arrête surtout pas je vais partir... Ahhhhh! C'est trop bon! Chérie, oui encore, plus vite... mets ton visage devant moi et retire le gode, tu es prête?"
- "Oui! Répondit Sandrine".
A cet instant précis, elle déchargea un liquide puissant et chaud avec force sur le visage de notre jeune femme qui coula jusqu'au cou.
- " J'ai éjaculé ma puce, quand je suis très excitée je lâche ainsi... un peu comme les hommes, c'est tellement agréable... à mon tour de te rendre ce plaisir!"
Sandrine sans attendre écarta ses cuisses, le gode encore humide de la mouille de Clotilde rentra à l'intérieur d'elle... Sandrine jouissait, ses belles et douces lèvres se serraient sur ce sexe en plastique. Son sexe rasé en entier, lui donnait un sentiment nouveau et différent. Elle allait crier sous l'effet de l'excitation quand Nicole interrompit ce moment d'orgasme extraordinaire en frappant à la porte et qui séparait ce moment de débauche.
- " Tout va bien les filles? je ne vous entends pas... vous êtes silencieuse!"
Ce qu'elle ne savait pas, c'est que les filles s'étaient fait du bien quelques instants auparavant. En effet, Sandrine avait encore le gode dans sa fente et Clotilde ne s'interrompit pas. Il bougeait toujours en elle et devait se retenir pour ne pas céder et crier sa jouissance, pour cela elle se mordait les lèvres.
- " Oui, oui, tout va très bien... oui!" Répondit Sandrine.
- " Tu as une voix bizarre, tu vas bien, tu en est sûre?" Disait Nicole.
- " Oui, tout va très bien, Clotilde m'apprend quelques techniques d'équitation". Répondit Sandrine.
- " Ah! D'accord je comprends! Tu as raison de t'entrainer, aussi dur".
- " Oui! Cet entrainement est vraiment très dur..." Répondit Sandrine qui s'empêchait de rire.
Clotilde avait bien envie de rire aussi.
- " Tout va bien Clotilde? " demandait Nicole.
- " Oui, merci, je suis en train d'entrainer Sandrine, pour la compétition qui est dans quelques semaines. Elle progresse et apprend très vite. Elle sera bientôt prête pour donner le meilleur de soi même" répondit Clotilde.
- " Tant mieux, ça me fait plaisir, ça ne m'étonne pas d'elle. Je vais vous laissez vous entrainer. Vous viendrez me prévenir quand vous partirez?"
- " Promis, nous arrivons vers la fin désormais... nous partirons d'ici dix minutes à peu près!" disait Clotilde.
Nicole partait dans le salon pour se restaurer un peu. La veille, elle s'était abandonnée complètement à Sylvain. Elle avait sucé son sexe dressé, puis osé des pénétrations dans toutes les positions, jusqu'à ce que la fatigue l'envahisse. Cette nuit d'égarement, lui avait fait du bien et se sentait une femme épanouie.
Sandrine au bord de l'extase, mis ses bras en arrière et s'appuyait sur ses mains en bombant le torse, laissant ainsi ses cheveux blonds descendre le long du dos. Ses jolis seins, ronds se dressaient fièrement, ses tétons rose durcissaient par l'effet de l'excitation. Ses cuisses ouvertes et son sexe rasé, dégoulinaient. Elle eut un orgasme foudroyant...
- " Oh! C'était trop bon Clotilde... j'en tremble encore. Regarde, je suis toute mouillée. Tu es douée et ta peau est si douce".
- " Tu sais, Sandrine, tu me plais aussi! Les lèvres de ton vagin sont magnifiques. Je comprends mieux pourquoi tu plais aux hommes... ton corps est bien formé et tes formes excitent la ou le plus ingénu d'entre nous". Disait Clotilde.
- " Merci, tu es adorable, tu n'est pas mal non plus! Ton corps est une ode à la caresse et à la jouissance. J'ai encore le goût de ta chatte, dans ma bouche et de cette semence que tu m'as envoyé sur le visage, a choisir je préfère de loin le goût de cette semence à celle des hommes..." disait Sandrine.
- " T'es une grande coquine, toi... tu caches bien ton jeu! Sous tes airs ingénue et de vierge effarouchée, se cache une véritable dévoreuse d'hommes et de femmes... tu as bien changé depuis une semaine, quand ta chatte a été exploitée pour la première fois avec Sylvain".
- " J'y ai pris goût, voilà tout! J'aime le sexe maintenant et je ne peux plus m'en passer... mais de Sylvain si!" Disait Sandrine.
- " Je plaisantais ma puce... je ne voulais pas te blesser. Par contre je vais enlever ce gode qui est en toi, il faut que tu te réserve pour ce soir. Pour le coup, tu vas être servi. Tu auras tout le loisir de te débaucher comme tu l'entends... tout tes orifices vont être servi".
- " Arrête, je mouille d'avantage! Tu m'excite, j'ai hâte d'y être à ce soir!" Répondit Sandrine.
Clotilde enlevait entièrement le gode de son sexe... il glissa facilement. En le sortant, il était particulièrement humide et encore chaud. Et de sa langue, elle en lécha une partie, pour laisser l'autre à Sandrine qui s'activait de le faire aussi en même temps que sa nouvelle amie.
- " Sent le, comme il sent bon!" Disait Clotilde.
- " En effet..." Répondit Sandrine.
- " Allez va finir de te laver, partout bien-sûr! Je vais rejoindre Madame Barnabé qui nous attend dehors, dans la calèche. Quand tu auras finie, rejoints nous!" Disait Clotilde.
Sandrine finissait de se sécher les cheveux et rinça une dernière fois sa belle et douce chatte et s'habillait pour rejoindre les femmes.