Sandrine
Récit érotique écrit par Vuckovik [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Sandrine
CHAPITRE 3: (Première fois…)
En deux journées, Sandrine avait appris à masturber et à faire une fellation à un Homme, à pratiquer un cunnilingus à une femme, mais ce n’était que le début.
« Comme hier, aujourd’hui tu vas me rendre le plaisir que je t’ai rendu avec mes doigts, tu vas me faire du bien, branle moi, ma chatte ! »
Madame Barnabé, allongé au sol écartait les cuisses, laissant apparaître une toison brune et une chatte bien ouverte. Sandrine glissa un doigt à l’intérieur, puis deux, notre jeune femme était appliquée quand Barnabé, lui demanda de changer de positions, de manière à ce qu’elles jouissent ensemble. Le plaisir ne se fit pas attendre, elles jouissaient comme deux furies. Chacune d’entre elles léchaient la fente de l’autre, ou rentrait les doigts à l’intérieur du con. Notre jeune femme entièrement nue, avait plongé sa tête dans les cuisses de Barnabé pour s’occuper de sa chatte.
Sandrine sentait la langue de Barnabé la faire défaillir puisqu’elle s’occupait de son jeune clitoris. Mais elle ne se doutait pas que Sylvain était derrière elle et qu’il avait déjà sorti sa queue, quand soudain notre jeune femme ressentit une violente douleur, elle eut un mouvement de recul, mais il était trop tard, Sylvain était déjà en elle.
« Laisses-toi aller, maintenant, tu n’es plus vierge. Sylvain, a rentré sa queue dans ta chatte, il va te faire beaucoup de bien… » disait Madame Barnabé.
« Je… non ! J’ai mal, il me perfore… » disait Sandrine.
« Toutes les femmes sont passées par là ! Ta chatte doit servir… aux plaisirs des sens ».
Sylvain de sa hauteur, regardait son sexe, il était légèrement caché par les fesses de notre jeune femme et par ces longs cheveux blonds. Sandrine était stupéfaite de constater que sa fente avait absorbé la queue de Sylvain en entier, elle n’aurait jamais cru cela possible. Puis il commença à bouger peu à peu, pour augmenter la cadence.
Elle sentit la douleur s’estomper, pour laisser place à un plaisir inconnu, immense… l’orgasme fut très violent, ne laissant plus de doutes possibles sur sa sexualité. Sylvain se retira de la chatte humide à souhait de Sandrine et éjacula dans la bouche de Barnabé.
« Viens, jolie femme, embrasse moi ! » disait Barnabé.
Sandrine en l’embrassant, sentit le goût de la liqueur blanchâtre de Sylvain, se déposer sur sa langue. Elle avala d’un seul coup.
Alors tu as aimé ma puce? Demandait Barnabé
« Oui! Oh oui! J'ai adoré, je ne pensais pas, que c'était aussi bon! J'ai la chatte en feu... »
« C'est bien! Je suis vraiment fière de toi, tu as perdu ta virginité avec Sylvain. Tu est devenue une vraie femme désormais. Tu dois être fatiguée, allez, la leçon est finie, à demain, bonne nuit ».
« A demain, bonne nuit! » Disait Sandrine, en embrassant son professeur, et son amant.
En rentrant chez elle, notre jeune femme n'eut aucune difficulté pour s'endormir.
CHAPITRE 4: La gouvernante
Le lendemain, Sandrine, se sentait d'humeur joyeuse, elle était fière d'avoir découvert les joies du sexe, et d'être devenue une femme, malgré certainement la colère de sa gouvernante, qui lorsqu'elle l'apprendrait, la punirait. Il était évident qu'une amitié naissait entre Barnabé et elle.
Comme à son habitude, la gouvernante Nicole, avait apporté le petit déjeuner à notre jeune femme et s'assit près d'elle:
« Alors, Sandrine, comment vas tu? Bien dormie? »
« Oui, comme un bébé, j'ai dormi d'une seule traite, j'étais bien fatigué ».
« Tiens à propos, Madame Barnabé est venue me voir, ce matin, elle m'a fait part de ton apprentissage, il paraitrait que tu es devenue une cavalière hors pair, et que tu progresses tous les jours, et que tu es très heureuse de ce que tu apprends, je suis très fière de toi! »
Sandrine se sentait rougir, elle avait peur que son professeur en ai trop dit.
« Ce soir, je vais devoir m'absenter, car j'ai un rendez-vous. Tu vas devoir te débrouiller seule, tiens Madame Barnabé t'a laissé une lettre, là voici, à demain ».
Après que Nicole soit partie, Sandrine ouvrit la lettre et la lue:
« Ma chère nouvelle femme, j'ai adoré ce que nous avons fait ces derniers jours. Je ne cesse de me caresser quand tu es loin de moi, ma chatte est en feu, comme toi hier. Ce soir, rejoins moi à 20H30, ta gouvernante ne sera pas là! En attendant, lave toi bien, à ce soir, j'ai hâte, de te voir prendre du plaisir... P.S: Enlève ta culotte et ton soutien gorge, tu ne dois pas en porter ce soir, ne mets que des habits courts... je t'aime ».
Sandrine, troublée, prit une douche, l'eau à bonne température dégoulinait le long de son corps, de sa main droite, elle passait le savon du haut de ces belles épaules, à ses pieds, laissant au passage une vue imprenable sur ces fesses rondes et petites, légèrement plus bas, des lèvres apparaissaient cachées par une toison blonde bien fournie. La douche prise, elle s'essuya et ouvrit son armoire pour savoir quoi mettre. Après quelques instants d'hésitation, elle mit une robe fleurie de coton, à même son corps, le contact de ce tissu, à la fois léger et doux, laissant apparaître ses plus belles formes, la mettait mal à l'aise. Elle avait soudainement honte, et la peur grandissait, au point que le bas de son ventre lui faisait mal. Prenant son mal en patience, elle ferma par sécurité la porte de sa chambre pour éviter que Nicole rentre par mégarde dans la chambre et qu'elle s'aperçoive du stratagème, puis elle ouvrit grand la fenêtre et ferma au passage les volets.
A l'extérieur, il faisait sombre, la nuit était tombée, une légère brise adoucissait l'air lourd. Sandrine vit à quelques mètres de là, une lumière, en s'approchant de celle-ci, elle aperçue Nicole, à quatre pattes, en train de sucer la queue de Sylvain, qui lui, était allongé sur un lit. Surprise, notre jeune femme eut un mouvement de recul, de protestation, d'inquiétude, et de jalousie. Nicole était-elle au courant de ses propres activités sexuelles? Sylvain lui avait-il tout dévoilé? Son sang ne fit qu'un tour, elle se sentit défaillir. Quand elle sentit une main familière relever le bas de sa jupe, exposant ainsi son joli cul au vent et aux caresses expertes de Barnabé.
La présence de son amie rassura notre jeune femme, « c'est impossible, regarde Sylvain, il est avec ma gouvernante, je dois rêver! » disait Sandrine.
« Désolé, ma puce, ta gouvernante, avait besoin de se ressentir femme. Regarde le plaisir qu'elle a en ce moment ».
« Mais je croyais que Sylvain n'avait connu que moi, et là, je le vois en présence de ma gouvernante, j'espère qu'elle n'est pas au courant de mes activités, car ça me mettrait hors de moi, ah! Je le déteste ».
« Ne t'inquiète pas! Nicole n'est pas au courant de ce que tu fais! Nous lui avons souvent menti à ton sujet, elle croit que tu es encore une vierge effarouchée, alors qu'en fait, tu caches bien ton jeu n'est-ce pas? »
La colère commençait à s'estomper pour laisser progressivement place à l'excitation. Surtout quand les doigts experts de notre femme mature s'introduisirent dans sa chatte.
« Hum... c'est bon...continue... oh oui! »
« Je veux bien continuer, mais à une seule condition! »
« Tout ce que tu veux! Barnabé ».
« Regarde Nicole et Sylvain, et commente moi ce qu'ils font à chaque instant, je veux tout savoir! Pendant ce temps là, je vais lécher ta chatte ».
Gênée, elle obéit: « Sylvain est en train d'appuyer la tête de Nicole, de manière à ce qu'elle suce... oh oui! plus profondément sa queue, il... ah continue...jouit. Elle laisse échapper un filet de sperme qui coule le long de son...tu me fais jouir, cou, ils s'allongent tous les deux ».
« Allez, ça suffit, elle a eut son compte, ça fait déjà une heure, qu'ils sont là! Et qu'elle s'est laissée aller au plaisir, avec Sylvain. Veux tu te venger de lui, de s'être laissé aller avec une autre femme que toi, ta gouvernante? »
« Quel imbécile, si j'avais su! Je savais que sylvain avait de l'expérience, mais pas au point qu'il me trompe et ce avec ma gouvernante! »
« Qu'est-ce qui t'énerve à ce point, ma puce, le fait qu'il fasse l'amour avec une autre femme, ou qu'il t'ai trompé? »
« Les deux! Je croyais que je lui aurait suffit! Et au lieu de ça! »
« Tu as raison d'être en colère après lui, tu sais les hommes ne sont pas des exemples de parfaite fidélité. Ils ne pensent qu'à eux, les autres personnes ne passent qu'après, tu verras les hommes sont presque tous comme ça! »
« C'est charmant! Comment puis-je me venger de lui? » disait Sandrine
« Suis-moi, je vais te montrer quelque chose! »
« Je te suis! » disait Sandrine...
Quelques instants plus tard, elles arrivèrent dans la maison de Barnabé, « Allez glisse toi sous la table, la nappe est assez grande, personne ne peut te voir, et attends un peu, n'apparait que quand je te le dis ».
Les minutes se firent longues, quand notre jeune femme entendit deux voix d'hommes au loin qui se rapprochaient peu à peu, puis les hommes s'assirent. Sandrine toujours sous la table, assise en tailleur, constatait leurs nudités, ils ne portèrent pas de pantalon et les jambes écartées elle pu voir leurs sexes, ils avaient des tailles différentes, et par curiosité elle ne pu détacher son regard. L'une d'entre elle, était noire, elle impressionnait notre jeune femme, car sa taille ne ressemblait en rien à celle de Sylvain, à la fois plus longue et plus large quant à l'autre elle était assez petite.
De manière habile, Barnabé, discrètement glissa un mot, sous la table à notre jeune femme: « Tu peux te venger, maintenant! Occupe toi de ces queues, tu vas te régaler, c'est l'heure de la vengeance et du plaisir, juste le plaisir comptera, au fait, tu peux aussi t'occuper de mon minou, je n'ai pas de culotte... »
Sandrine, hésitante, commença par masturber de sa main, la plus petite queue, elle durcissait, puis elle l'introduisit dans sa bouche, et commença une belle fellation. L'homme agréablement surpris, se laissa faire, son gland avait été retroussé, elle happa son gland, sa langue tournait autour. Puis madame Barnabé prit la parole: « tu peux sortir, ma chatte, viens voir mes amis! »
En sortant de sa cachette, elle découvrit les deux hommes, celui qui avait eut un traitement de faveur était chauve et bedonnant. Puis sans attendre, celui-ci, lui retroussa la jupe et la pénétrait brutalement, sans aucun traitement de faveur, ou préliminaire. Ses couilles frappaient avec violence sur son petit cul. Notre jeune femme eut une légère douleur, mais très vite, elle s'estompa pour laisser place à la jouissance.
Pendant que le second homme noir, et plutôt beau garçon, introduisit son large sexe dans sa bouche... Sandrine eut du mal à le faire rentrer, elle devait utiliser d'avantage sa langue que sa bouche. « A ton tour Léon, disait-il! Fais la hurler de plaisir, cette pute ».
Les rôles changèrent, L'homme à la petite queue prit la place de Léon et Léon celle de l'homme bedonnant.
Léon écartait ses fesses, et regardait de très près sa chatte et son cul: « Quel cul et quelle chatte, je vais me la faire! » à peine avait-il dit ça, qu'il poussa progressivement sa queue au fond de sa chatte. Puis il stoppa net, lorsque tout son sexe était rentré à l'intérieur d'elle, Sandrine jouit brutalement, elle sentait ce sexe immense la perforer, les rythmes s'accéléraient et elle eut plusieurs orgasmes: « vas-y, c'est trop bon, hum... ta queue... est géniale! Oui! Encore défonce moi! » Léon, la besogna en alternant avec des rythmes rapides et lents. Il lui tenait fermement les fesses de ses mains et ayant ainsi l'opportunité de voir d'un coin de ses yeux sa grosse queue noire rentrer et sortir de cette jolie chatte, et de ce cul blanc qui bougeait au grès des rythmes imposés.
Sandrine, courbée vers l'avant, les mains servant d'appui sur le mur de la cuisine, elle se tenait du mieux qu'elle pu. Ses jambes étaient écartées et sa jupe retroussée au niveau de ses hanches.
Pendant ce temps là, notre homme bedonnant léchait et caressait les seins de notre jeune femme, ses tétons pointèrent tant le plaisir était à son apogée. Madame Barnabé quant à elle, s'occupait de sa queue et lui faisait une fellation. Quand notre homme éjacula telle une délivrance dans la bouche de Barnabé, puis quelques instants plus tard, Léon à son tour, se retira et aspergea dans un râle de plaisir le dos et les fesses de notre jeune femme qui eut un orgasme foudroyant.
« Alors ma puce, verdict, qu'en as tu pensé ? »
« C'était trop bon, merci, Barnabé, je n'aurais jamais cru que Léon aurait pu ainsi me pénétrer, car son sexe est vraiment plus long et plus large que celui de Sylvain, à côté, c'était de la rigolade, la queue de Léon, m'a littéralement défoncée, quel bonheur! Je serais prête à recommencer! J'ai la chatte en feu, je suis toute mouillée... »
« Plus tard, ma puce, c'est à mon tour maintenant, de jouir, tu m'as tellement excitée, quand Léon te pénétrait... tiens, touche ma chatte, je suis également toute mouillée ».
Sandrine, de ses doigts fins, caressa ses charmantes lèvres, puis les rentraient à l'intérieur, en effet elle constata que son amie, mouillait comme une folle, elle en avait les doigts trempés de mouille.
« Ma chérie, j'ai très envie de jouir avec toi, pendant que Léon va me prendre, tu vas montrer ton joli cul, à mon ami Louis, il sait y faire le salaud! Il va te prendre par le cul, tu vas aimer aussi. »
Hésitante, Sandrine retroussa une nouvelle fois sa jupe, montrant une nouvelle fois sa chatte et son cul. Louis s'allongea à même le sol, et demanda à notre jeune femme, de mettre ses fesses à hauteur de son visage, ce qu'elle fit. Il regarda sa grotte secrète et son petit trou et dit: « oh! Je constate, qu'elle mouille encore, sa chatte s'est bien ouverte depuis que Léon est passé par là! Par contre sa feuille de rose, est encore vierge, je vais m'en occuper! »
Il mis sa langue sur son petit trou et commença à l'humecter, en attaquant d'abord les côtés puis l'intérieur. Cette sensation était étrange pour Sandrine, mais appréciait le contact humide et chaud de sa langue.
« Oh! Oui, pénètre moi mon salaud, défonce moi, j'ai envie de ta queue noire dans ma chatte! » disait Barnabé. Léon ne se fit pas prier, il y alla même franchement, à grande vitesse et avec violence. Ce qui eut pour effet d'exciter également Sandrine, car elle voyait tout. Quand, Louis changea de position, il demanda à notre jeune femme, de se mettre à quatre pattes, et de pousser ses fesses vers lui. Il progressa petit à petit, sa queue poussait pour franchir les barrières de résistance, puis enfin, il pu rentrer son sexe au plus profond de son cul.
Sandrine malgré la douleur, commença à prendre du plaisir... mais elle ne jouissait pas, peut-être qu'avec le temps!
Les hommes s'activaient, ayant chacun une femme, ils y allaient franchement. Barnabé fut prise exclusivement par Léon, chatte, cul, et bouche se succédaient, ainsi que les cris de jouissances, et d'orgasmes, quel appétit cette Barnabé!
Sandrine, quant à elle, plus sage, mais pas moins coquine, avait avec Louis notre homme bedonnant, juste eu sa première relation anale. Quand les hommes se retirèrent, ils allaient chacun vers la femme de l'autre pour éjaculer dans les bouches de l'une et de l'autre.
Léon éjacula dans bouche de notre jeune femme, et Louis dans celle de Barnabé.
« Je suis vidé, alors cette première expérience, ma puce? »
« Je n'aurais jamais cru cela possible, mais je dois avouer, que j'ai bien aimé, mais moins que par la chatte! »
« Allez! chacun retourne chez soi! »
Les hommes s'en allèrent de chez elle. « Tu veux te doucher, avant de rentrer chez toi, ma puce? » disait notre femme mature.
En deux journées, Sandrine avait appris à masturber et à faire une fellation à un Homme, à pratiquer un cunnilingus à une femme, mais ce n’était que le début.
« Comme hier, aujourd’hui tu vas me rendre le plaisir que je t’ai rendu avec mes doigts, tu vas me faire du bien, branle moi, ma chatte ! »
Madame Barnabé, allongé au sol écartait les cuisses, laissant apparaître une toison brune et une chatte bien ouverte. Sandrine glissa un doigt à l’intérieur, puis deux, notre jeune femme était appliquée quand Barnabé, lui demanda de changer de positions, de manière à ce qu’elles jouissent ensemble. Le plaisir ne se fit pas attendre, elles jouissaient comme deux furies. Chacune d’entre elles léchaient la fente de l’autre, ou rentrait les doigts à l’intérieur du con. Notre jeune femme entièrement nue, avait plongé sa tête dans les cuisses de Barnabé pour s’occuper de sa chatte.
Sandrine sentait la langue de Barnabé la faire défaillir puisqu’elle s’occupait de son jeune clitoris. Mais elle ne se doutait pas que Sylvain était derrière elle et qu’il avait déjà sorti sa queue, quand soudain notre jeune femme ressentit une violente douleur, elle eut un mouvement de recul, mais il était trop tard, Sylvain était déjà en elle.
« Laisses-toi aller, maintenant, tu n’es plus vierge. Sylvain, a rentré sa queue dans ta chatte, il va te faire beaucoup de bien… » disait Madame Barnabé.
« Je… non ! J’ai mal, il me perfore… » disait Sandrine.
« Toutes les femmes sont passées par là ! Ta chatte doit servir… aux plaisirs des sens ».
Sylvain de sa hauteur, regardait son sexe, il était légèrement caché par les fesses de notre jeune femme et par ces longs cheveux blonds. Sandrine était stupéfaite de constater que sa fente avait absorbé la queue de Sylvain en entier, elle n’aurait jamais cru cela possible. Puis il commença à bouger peu à peu, pour augmenter la cadence.
Elle sentit la douleur s’estomper, pour laisser place à un plaisir inconnu, immense… l’orgasme fut très violent, ne laissant plus de doutes possibles sur sa sexualité. Sylvain se retira de la chatte humide à souhait de Sandrine et éjacula dans la bouche de Barnabé.
« Viens, jolie femme, embrasse moi ! » disait Barnabé.
Sandrine en l’embrassant, sentit le goût de la liqueur blanchâtre de Sylvain, se déposer sur sa langue. Elle avala d’un seul coup.
Alors tu as aimé ma puce? Demandait Barnabé
« Oui! Oh oui! J'ai adoré, je ne pensais pas, que c'était aussi bon! J'ai la chatte en feu... »
« C'est bien! Je suis vraiment fière de toi, tu as perdu ta virginité avec Sylvain. Tu est devenue une vraie femme désormais. Tu dois être fatiguée, allez, la leçon est finie, à demain, bonne nuit ».
« A demain, bonne nuit! » Disait Sandrine, en embrassant son professeur, et son amant.
En rentrant chez elle, notre jeune femme n'eut aucune difficulté pour s'endormir.
CHAPITRE 4: La gouvernante
Le lendemain, Sandrine, se sentait d'humeur joyeuse, elle était fière d'avoir découvert les joies du sexe, et d'être devenue une femme, malgré certainement la colère de sa gouvernante, qui lorsqu'elle l'apprendrait, la punirait. Il était évident qu'une amitié naissait entre Barnabé et elle.
Comme à son habitude, la gouvernante Nicole, avait apporté le petit déjeuner à notre jeune femme et s'assit près d'elle:
« Alors, Sandrine, comment vas tu? Bien dormie? »
« Oui, comme un bébé, j'ai dormi d'une seule traite, j'étais bien fatigué ».
« Tiens à propos, Madame Barnabé est venue me voir, ce matin, elle m'a fait part de ton apprentissage, il paraitrait que tu es devenue une cavalière hors pair, et que tu progresses tous les jours, et que tu es très heureuse de ce que tu apprends, je suis très fière de toi! »
Sandrine se sentait rougir, elle avait peur que son professeur en ai trop dit.
« Ce soir, je vais devoir m'absenter, car j'ai un rendez-vous. Tu vas devoir te débrouiller seule, tiens Madame Barnabé t'a laissé une lettre, là voici, à demain ».
Après que Nicole soit partie, Sandrine ouvrit la lettre et la lue:
« Ma chère nouvelle femme, j'ai adoré ce que nous avons fait ces derniers jours. Je ne cesse de me caresser quand tu es loin de moi, ma chatte est en feu, comme toi hier. Ce soir, rejoins moi à 20H30, ta gouvernante ne sera pas là! En attendant, lave toi bien, à ce soir, j'ai hâte, de te voir prendre du plaisir... P.S: Enlève ta culotte et ton soutien gorge, tu ne dois pas en porter ce soir, ne mets que des habits courts... je t'aime ».
Sandrine, troublée, prit une douche, l'eau à bonne température dégoulinait le long de son corps, de sa main droite, elle passait le savon du haut de ces belles épaules, à ses pieds, laissant au passage une vue imprenable sur ces fesses rondes et petites, légèrement plus bas, des lèvres apparaissaient cachées par une toison blonde bien fournie. La douche prise, elle s'essuya et ouvrit son armoire pour savoir quoi mettre. Après quelques instants d'hésitation, elle mit une robe fleurie de coton, à même son corps, le contact de ce tissu, à la fois léger et doux, laissant apparaître ses plus belles formes, la mettait mal à l'aise. Elle avait soudainement honte, et la peur grandissait, au point que le bas de son ventre lui faisait mal. Prenant son mal en patience, elle ferma par sécurité la porte de sa chambre pour éviter que Nicole rentre par mégarde dans la chambre et qu'elle s'aperçoive du stratagème, puis elle ouvrit grand la fenêtre et ferma au passage les volets.
A l'extérieur, il faisait sombre, la nuit était tombée, une légère brise adoucissait l'air lourd. Sandrine vit à quelques mètres de là, une lumière, en s'approchant de celle-ci, elle aperçue Nicole, à quatre pattes, en train de sucer la queue de Sylvain, qui lui, était allongé sur un lit. Surprise, notre jeune femme eut un mouvement de recul, de protestation, d'inquiétude, et de jalousie. Nicole était-elle au courant de ses propres activités sexuelles? Sylvain lui avait-il tout dévoilé? Son sang ne fit qu'un tour, elle se sentit défaillir. Quand elle sentit une main familière relever le bas de sa jupe, exposant ainsi son joli cul au vent et aux caresses expertes de Barnabé.
La présence de son amie rassura notre jeune femme, « c'est impossible, regarde Sylvain, il est avec ma gouvernante, je dois rêver! » disait Sandrine.
« Désolé, ma puce, ta gouvernante, avait besoin de se ressentir femme. Regarde le plaisir qu'elle a en ce moment ».
« Mais je croyais que Sylvain n'avait connu que moi, et là, je le vois en présence de ma gouvernante, j'espère qu'elle n'est pas au courant de mes activités, car ça me mettrait hors de moi, ah! Je le déteste ».
« Ne t'inquiète pas! Nicole n'est pas au courant de ce que tu fais! Nous lui avons souvent menti à ton sujet, elle croit que tu es encore une vierge effarouchée, alors qu'en fait, tu caches bien ton jeu n'est-ce pas? »
La colère commençait à s'estomper pour laisser progressivement place à l'excitation. Surtout quand les doigts experts de notre femme mature s'introduisirent dans sa chatte.
« Hum... c'est bon...continue... oh oui! »
« Je veux bien continuer, mais à une seule condition! »
« Tout ce que tu veux! Barnabé ».
« Regarde Nicole et Sylvain, et commente moi ce qu'ils font à chaque instant, je veux tout savoir! Pendant ce temps là, je vais lécher ta chatte ».
Gênée, elle obéit: « Sylvain est en train d'appuyer la tête de Nicole, de manière à ce qu'elle suce... oh oui! plus profondément sa queue, il... ah continue...jouit. Elle laisse échapper un filet de sperme qui coule le long de son...tu me fais jouir, cou, ils s'allongent tous les deux ».
« Allez, ça suffit, elle a eut son compte, ça fait déjà une heure, qu'ils sont là! Et qu'elle s'est laissée aller au plaisir, avec Sylvain. Veux tu te venger de lui, de s'être laissé aller avec une autre femme que toi, ta gouvernante? »
« Quel imbécile, si j'avais su! Je savais que sylvain avait de l'expérience, mais pas au point qu'il me trompe et ce avec ma gouvernante! »
« Qu'est-ce qui t'énerve à ce point, ma puce, le fait qu'il fasse l'amour avec une autre femme, ou qu'il t'ai trompé? »
« Les deux! Je croyais que je lui aurait suffit! Et au lieu de ça! »
« Tu as raison d'être en colère après lui, tu sais les hommes ne sont pas des exemples de parfaite fidélité. Ils ne pensent qu'à eux, les autres personnes ne passent qu'après, tu verras les hommes sont presque tous comme ça! »
« C'est charmant! Comment puis-je me venger de lui? » disait Sandrine
« Suis-moi, je vais te montrer quelque chose! »
« Je te suis! » disait Sandrine...
Quelques instants plus tard, elles arrivèrent dans la maison de Barnabé, « Allez glisse toi sous la table, la nappe est assez grande, personne ne peut te voir, et attends un peu, n'apparait que quand je te le dis ».
Les minutes se firent longues, quand notre jeune femme entendit deux voix d'hommes au loin qui se rapprochaient peu à peu, puis les hommes s'assirent. Sandrine toujours sous la table, assise en tailleur, constatait leurs nudités, ils ne portèrent pas de pantalon et les jambes écartées elle pu voir leurs sexes, ils avaient des tailles différentes, et par curiosité elle ne pu détacher son regard. L'une d'entre elle, était noire, elle impressionnait notre jeune femme, car sa taille ne ressemblait en rien à celle de Sylvain, à la fois plus longue et plus large quant à l'autre elle était assez petite.
De manière habile, Barnabé, discrètement glissa un mot, sous la table à notre jeune femme: « Tu peux te venger, maintenant! Occupe toi de ces queues, tu vas te régaler, c'est l'heure de la vengeance et du plaisir, juste le plaisir comptera, au fait, tu peux aussi t'occuper de mon minou, je n'ai pas de culotte... »
Sandrine, hésitante, commença par masturber de sa main, la plus petite queue, elle durcissait, puis elle l'introduisit dans sa bouche, et commença une belle fellation. L'homme agréablement surpris, se laissa faire, son gland avait été retroussé, elle happa son gland, sa langue tournait autour. Puis madame Barnabé prit la parole: « tu peux sortir, ma chatte, viens voir mes amis! »
En sortant de sa cachette, elle découvrit les deux hommes, celui qui avait eut un traitement de faveur était chauve et bedonnant. Puis sans attendre, celui-ci, lui retroussa la jupe et la pénétrait brutalement, sans aucun traitement de faveur, ou préliminaire. Ses couilles frappaient avec violence sur son petit cul. Notre jeune femme eut une légère douleur, mais très vite, elle s'estompa pour laisser place à la jouissance.
Pendant que le second homme noir, et plutôt beau garçon, introduisit son large sexe dans sa bouche... Sandrine eut du mal à le faire rentrer, elle devait utiliser d'avantage sa langue que sa bouche. « A ton tour Léon, disait-il! Fais la hurler de plaisir, cette pute ».
Les rôles changèrent, L'homme à la petite queue prit la place de Léon et Léon celle de l'homme bedonnant.
Léon écartait ses fesses, et regardait de très près sa chatte et son cul: « Quel cul et quelle chatte, je vais me la faire! » à peine avait-il dit ça, qu'il poussa progressivement sa queue au fond de sa chatte. Puis il stoppa net, lorsque tout son sexe était rentré à l'intérieur d'elle, Sandrine jouit brutalement, elle sentait ce sexe immense la perforer, les rythmes s'accéléraient et elle eut plusieurs orgasmes: « vas-y, c'est trop bon, hum... ta queue... est géniale! Oui! Encore défonce moi! » Léon, la besogna en alternant avec des rythmes rapides et lents. Il lui tenait fermement les fesses de ses mains et ayant ainsi l'opportunité de voir d'un coin de ses yeux sa grosse queue noire rentrer et sortir de cette jolie chatte, et de ce cul blanc qui bougeait au grès des rythmes imposés.
Sandrine, courbée vers l'avant, les mains servant d'appui sur le mur de la cuisine, elle se tenait du mieux qu'elle pu. Ses jambes étaient écartées et sa jupe retroussée au niveau de ses hanches.
Pendant ce temps là, notre homme bedonnant léchait et caressait les seins de notre jeune femme, ses tétons pointèrent tant le plaisir était à son apogée. Madame Barnabé quant à elle, s'occupait de sa queue et lui faisait une fellation. Quand notre homme éjacula telle une délivrance dans la bouche de Barnabé, puis quelques instants plus tard, Léon à son tour, se retira et aspergea dans un râle de plaisir le dos et les fesses de notre jeune femme qui eut un orgasme foudroyant.
« Alors ma puce, verdict, qu'en as tu pensé ? »
« C'était trop bon, merci, Barnabé, je n'aurais jamais cru que Léon aurait pu ainsi me pénétrer, car son sexe est vraiment plus long et plus large que celui de Sylvain, à côté, c'était de la rigolade, la queue de Léon, m'a littéralement défoncée, quel bonheur! Je serais prête à recommencer! J'ai la chatte en feu, je suis toute mouillée... »
« Plus tard, ma puce, c'est à mon tour maintenant, de jouir, tu m'as tellement excitée, quand Léon te pénétrait... tiens, touche ma chatte, je suis également toute mouillée ».
Sandrine, de ses doigts fins, caressa ses charmantes lèvres, puis les rentraient à l'intérieur, en effet elle constata que son amie, mouillait comme une folle, elle en avait les doigts trempés de mouille.
« Ma chérie, j'ai très envie de jouir avec toi, pendant que Léon va me prendre, tu vas montrer ton joli cul, à mon ami Louis, il sait y faire le salaud! Il va te prendre par le cul, tu vas aimer aussi. »
Hésitante, Sandrine retroussa une nouvelle fois sa jupe, montrant une nouvelle fois sa chatte et son cul. Louis s'allongea à même le sol, et demanda à notre jeune femme, de mettre ses fesses à hauteur de son visage, ce qu'elle fit. Il regarda sa grotte secrète et son petit trou et dit: « oh! Je constate, qu'elle mouille encore, sa chatte s'est bien ouverte depuis que Léon est passé par là! Par contre sa feuille de rose, est encore vierge, je vais m'en occuper! »
Il mis sa langue sur son petit trou et commença à l'humecter, en attaquant d'abord les côtés puis l'intérieur. Cette sensation était étrange pour Sandrine, mais appréciait le contact humide et chaud de sa langue.
« Oh! Oui, pénètre moi mon salaud, défonce moi, j'ai envie de ta queue noire dans ma chatte! » disait Barnabé. Léon ne se fit pas prier, il y alla même franchement, à grande vitesse et avec violence. Ce qui eut pour effet d'exciter également Sandrine, car elle voyait tout. Quand, Louis changea de position, il demanda à notre jeune femme, de se mettre à quatre pattes, et de pousser ses fesses vers lui. Il progressa petit à petit, sa queue poussait pour franchir les barrières de résistance, puis enfin, il pu rentrer son sexe au plus profond de son cul.
Sandrine malgré la douleur, commença à prendre du plaisir... mais elle ne jouissait pas, peut-être qu'avec le temps!
Les hommes s'activaient, ayant chacun une femme, ils y allaient franchement. Barnabé fut prise exclusivement par Léon, chatte, cul, et bouche se succédaient, ainsi que les cris de jouissances, et d'orgasmes, quel appétit cette Barnabé!
Sandrine, quant à elle, plus sage, mais pas moins coquine, avait avec Louis notre homme bedonnant, juste eu sa première relation anale. Quand les hommes se retirèrent, ils allaient chacun vers la femme de l'autre pour éjaculer dans les bouches de l'une et de l'autre.
Léon éjacula dans bouche de notre jeune femme, et Louis dans celle de Barnabé.
« Je suis vidé, alors cette première expérience, ma puce? »
« Je n'aurais jamais cru cela possible, mais je dois avouer, que j'ai bien aimé, mais moins que par la chatte! »
« Allez! chacun retourne chez soi! »
Les hommes s'en allèrent de chez elle. « Tu veux te doucher, avant de rentrer chez toi, ma puce? » disait notre femme mature.
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