Seule, Delphine, suite - histoire érotique

Leslie SE23 – Seule, Delphine, suite
Après le diner nous échangeons à nouveau des baisers et des caresses, la tension rapidement remonte et c’est tout naturellement que Delphine me propose d’aller dans sa chambre continuer nos ébats.
Arrivées dans sa chambre elle ouvre le tiroir de sa commode et en sort un étrange objet en disant :- Tien regarde ce que j’ai pour te rendre heureuse.
- C’est quoi ?
- C’est un Share, me dit Delphine en me le tendant.
En fait j’avais entendu parler de ce gadget, mais j’avoue que je n’en avais jamais vu, ni même tenu en main.

Delphine, me dit l’avoir acheté lors d’un séjour à Paris, avec une copine avec qui elle avait visité la capitale et ses endroits quelques peu spéciaux, et réservés aux initiés en quête de particularités.
Ce jouet sexuel, sorte de gode ceinture mais sans sangles, en fait il est composé d’un sexe comme un gode-ceinture classique et après un coude prononcé, d’une extrémité plus petite mais un peu plus large que la porteuse doit s’enfiler dans la vulve, en regardant l’objet, je me dit que l’apparence de la porteuse doit être saisissante…Le Share de Delphine est de couleur chair, en silicone, rigide, mais cependant très flexible, il est d’un toucher très agréable, mais comporte des nervures sur toutes la longueur du sexe, ce qui doit apporter des sensations extrêmes.
A vue d’œil, je dirais que sa longueur doit être de dix-huit centimètres, pour un diamètre de quatre centimètres, un beau jouet tout de même.

Delphine me dit, alors que je contemple son jouet :- Tu sais, Leslie, moi qui aime pénétrer mes partenaires, mon gode Share est une véritable petite révolution pour moi, il me permet quand je le porte de ressentir au plus près de mes muqueuses la sensation d’avoir un pénis, j’en ai si souvent rêvé et je dois t’avouer que je peux contrôler la puissance des pénétrations, donner des coups de rein, jouer des hanches et ressentir chaque choc se répercuter en moi car en plus maintenant j’en ai la maîtrise.
- Tu l’as testé sur tes amantes.
- Ohhh, oui et plusieurs fois, d’ailleurs je pense que tu vas adorer.

Delphine me le prend des mains et s’en part aussitôt, une petite pointe de gel déposée sur la sur la partie la plus courte, elle se penche en écartant ses cuisses et la voilà qu’elle se l’enfile dans sa vulve frémissante.
Dès que Delphine se l’est introduit dans son vagin, elle se redresse et elle me laisse l’admirer avec ce nouvelle attribut planté en elle, rien que de la voir ainsi affublé d’un faux sexe d’homme, suffit à redoubler mon excitation.
D’ailleurs quelle femme ne s'est jamais demandé qu’elle allure elle aurait et ce que ça lui ferait d'avoir un sexe masculin à la place de sa vulve et d’avoir à s'en servir ?
Delphine est dans un état second ainsi équipé du Share et me laisse longtemps l’admirer dans son ambiguïté maintenant consommée.

Elle me demande de me mettre en levrette sur le lit et pendant que je m’exécute, elle enduit l’autre extrémité, en fait son faux sexe, de lubrifiant, puis elle se place derrière moi entre mes jambes en disant :- Tu vas adorer ! Et en plus c’est la taille XL !
Elle fait bien de me le préciser mais je l’avais remarqué, comme je le disais c’est vraiment une belle pièce.
Delphine va être stimulée à l'intérieur sur son point G et à l'extérieur tout au long de sa vulve et son clitoris, il s'adapte tout à fait à l'anatomie féminine de Delphine, il s'emboite dans la vulve de ma chérie et la vison est troublante, on penserais presque qu’elle a un vrai sexe d’homme entre les jambes, un sexe en parfait érection..

Elle approche le bas de son ventre près de mes fesses en les écartant de ses deux mains et pose le gland du pal contre ma rosette frémissante, puis elle pousse en moi son sexe et m'empale avec, celui-ci d’ailleurs rentre sans effort dans mon anus.
Ses dessins et ses sculptures me font beaucoup d'effet lors de la pénétration et elle entame des va et vient.
Nous sommes excitées comme tout, alors nous changeons de position, en chien de fusil cette fois, Delphine me prend d'abord lentement puis de plus en plus vite au fur et à mesure que mon anus se détend, pour finir presque brutalement.
Je n’en peux plus et je me branle tandis que Delphine me sodomise avec son objet de jouissance, elle ne reste pas insensible aux effets que lui procure la partie introduite en elle et je l’entends soupirer dans mon dos.
Nous jouissons dans un premier temps ensemble, et Delphine ne retient pas ses cris de bonheur en m’agrippant par les épaules et en me rentrant le plus loin possible son sexe factice, se le rentrant en elle au plus profond par la même occasion.
Nous jouirons ainsi plusieurs fois de suite pour finir épuiser pénétrer par l’objet dont aucune ne désire se dissocier.

La soirée sera longue, car ce n’est que vers minuit que nous nous endormons, après avoir fait l’amour de différentes façons, Delphine se montre une redoutable amante, insatiable et toujours désireuse de plaisir.
Vivement demain.

C’est en sursaut que je me réveille dans la nuit, j’ai le cul en feu et le sexe bandé comme ce n’est pas possible, je suis quelque peu courbaturée de partout, les seins douloureux et l’anus en compote.
En repensant à la soirée d’hier, dans mon ventre une sensation me rappelle le plaisir que j’ai pris à me faire sodomiser par Delphine, cette douleur dans mes fesses, qui me fait souffrir doucement, finit par m’exciter et me je me remémore comment, je me suis fait prendre par-derrière, et je sens mon corps réagir à nouveau.
Je me lève, il est deux heures du matin, Delphine dort nue près de moi, en chien de fusil, les fesses tournées vers moi.
Je me rapproche d’elle et doucement je pose mon sexe contre sa petite corole anale, Delphine soupire bouge un peu et s’offre en cambrant ses reins, une caresse du bout du doigt sur son anus et je constate que son petit trou est légèrement entrouvert…. Lentement j’approche mon membre de sa rondelle plissée et lentement je m’introduis en elle.
Delphine soupire lors de ma progression, et dans un souffle je l’entends me dire :- Ohhh, mon cœur, tu es vraiment incroyable !
Dans la pénombre de la chambre, je sodomise Delphine avec une douceur qu’elle apprécie, jusqu’au moment où je jouis en elle, provoquant ses hurlements de plaisirs.
Puis je me rendors après.

Lorsque je me réveille, Delphine n’est plus dans le lit, je passe un long tee-shirt et vais la retrouver. Je ne me suis pas rendu compte que la tenue que j’avais mise me rend peut-être encore plus indécente que si j’avais mis de la lingerie fine. Ce tee-shirt laisse mes seins aller librement et balancer au rythme de mes déplacements. Mes jambes nues, découvertes jusqu’à mi-cuisse sont un appel aux caresses, et mes cheveux en bataille laissent imaginer la nuit torride. Bref, j’ai tout de la femme disposée à être accessible.

J’arrive donc dans la cuisine sur la pointe des pieds, car le sol est froid. Je me sers un café et le déguste. Il me fait beaucoup de bien. Puis, une fois fini, je me mets devant l’évier afin de laver ma tasse.
C’est alors que je suis en train de la nettoyer, que deux mains se posent sur mes hanches. Je sursaute en lâchant un :- Ahhh !
Mon cœur bat déjà à tout rompre, je la sens, elle est là derrière moi.
Près, si près, tellement proche que je sens son parfum, son odeur, son envie et elle me la transmet instantanément. Je ne pourrais pas me soustraire à mon amante, je sens que je vais me donner avec un plaisir intense, j’en ai trop envie.
Elle dépose un baiser dans mon cou et ses mains déjà viennent caresser mon ventre.
- Bonjour, Leslie. Tu as bien dormi ? Humm que tu sens bon, tu sens bon l’amour.
Mon cœur s’emballe, je pose mes mains sur le rebord de l’évier, tendant ma croupe en arrière. C’est une invitation qu’elle saisit au vol, rapidement ses mains prennent mes seins pour les caresser et en agacer les bouts, mes pointent se tendent à m’en faire mal. Puis ses mains glissent sous mon tee-shirt, le remonte pour libérer mes fesses cachées par l’étoffe et aussitôt ses mains caressent mes fesses nues, les écartent, les pétrissent.
- Tu as un beau cul, ma chérie ! Il est magnifique.
Elle glisse un doigt par derrière et me le colle dans le cul et me fait cambrer d’avantage. De l’autre main, elle sort mes seins pour les mettre à nu.
Elle me doigte le cul avec deux doigts sans vergogne et déjà j’ondule de la croupe pour l’encourager. Je me cramponne au rebord de l’évier.
C’est au moment où je sens le gland se placer sur ma rosette que je comprends que Delphine s’est équipée de son Share, alors je pose ma tête sur mes bras afin de m’offrir d’avantage.
- Écarte bien les cuisses, ma belle, je vais te donner ce que tu attends.
J’écarte les cuisses d’avantage et je sens son gland me pénétrer lentement, mais sûrement. Elle m’écarte bien l’anus, sensation divine. Je me sens élargie, je sens mon cul s’ouvrir comme jamais. J’adore cette queue qui me coupe en deux, elle pousse le pal en moi.
- Ahhh ouiii !
- Tiens ! Prends-la bien ! Tiens !

Elle s’enfonce finalement d’une longue poussée pour venir buter au plus profond de mon être. Je pousse un feulement de femme en rut. Je ne saurais dire pendant combien de temps elle me lime ainsi, mais j’ai joui au moins deux ou trois fois.

A suivre…