Histoire de rugbyman. Chapitre 2 partie 9 LES SENEGALAIS

- Par l'auteur HDS Liospuman -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Histoire de rugbyman. Chapitre 2 partie 9 LES SENEGALAIS Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Histoire de rugbyman. Chapitre 2 partie 9 LES SENEGALAIS
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
PARTIE 9 : Suite du flash-back Quentin Chez les riches sénégalais
Je me réveille enfin et je suis dans un lit inconnu, MARC est allongé a coter de moi et me contemple avec un regard indéfinissable.

- Bonjour Q, ça va ?
- Humm, hummm
J'ai du mal à parler, ma bouche et entravé par quelque chose, je ne sais pas encore ce que c'est. Mais j'ai la bouche grande ouverte. J’essaie d'articuler, mais je ne peux pas, je ne peux que pousser de petit crie. J'essaie de lever les bras pour retirer l'entrave, mais je me rends compte que mes mains et mes jambes sont aussi entravé. En penchant la tête, je vois que mes mains sont attaché au barreau du lit et que mes jambes sont, elles tendu vers le haut et attacher au plafond avec des cordes et un piton planter sur le plafond. Elles sont écartées.
Je prends peur et commence à me débattre, mais totalement en vain. Je me tourne vers M et son visage a totalement change, il est couvert d'une masse de haine et de méchanceté. Plus je le regard et plus son regard devient noir.
NONNNNNNNNN !!!
Je me réveille totalement en sueur, lorsque je regarde autour de moi et je suis debout. Icham et sur le lit et me regarde avec stupeur.

- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- J'ai fait un rêve horrible.
- Ça se voit, tu as bondi du lit en 1 saut, comme un fou.
- À bon ?
- Si je te le dis, aller vient te recoucher prés de moi pour prendre des forces.
- Non, je ne crois pas pouvoir dormir, tu ne voudrais pas… Euh ?
- Désolé, mais moi, je suis naze là.

Il me prend dans ses bras et me sert fort. Dans ses moments-là, je doute du fait qu'il me considère juste comme un plan Q, mais bon. Le lendemain, alors que ma mère vient juste de quitter la maison. J'entends ne les pas de marc en direction de ma chambre. Comme convenu, je me mets à 4 pattes devant la porte, il l'ouvre et sa bite et déjà hors de son pantalon. Je la gobe et le goût de la pisse envahit mes papilles. Rapidement, elle prend du volume et je commence à sucer. Piégé contre le mur de la chambre, il commence à me donner des grands coups de bite et je ne peux que subir. Au bout de quelques minutes, je reçois une grosse giclée de sperme dans la bouche.
À ce moment, j’enlève mon pyjama et monte sur le lit à quatre pattes le cul vers lui, il plante sa bite dans mon cul et le voilà partie pour une séance d’enculage rude et sans pitié. Jusqu’à l’éjaculation finale et il s’effondre sur moi. Pas dans un geste câlin, jusqu'au comme un gros lourd qui viens de finir sa besogne. Après quelques minutes de repos bien mérité, il me dit :
- Ce soir, tu vas tourner en solo.
- Pardon ?

Je ramasse deux claques
- Salope, qui t'a permis de me couper et quand tu me parle n'oublie pas que je suis ton maître.

Je baisse les yeux et j'accepte sa colère. Après tout, c'est moi qui l'ai voulu, je voulais devenir sa chienne, j'ai signé. J'ai accepté qu'il me traite comme ça, car c'est mon rôle. Il est vrai que parfois, mon esprit de jeune adulte révolté et aimant la contradiction me donne envie de me révolter et de l'envoyer valser. Mais d'un autre coté, je suis sa pute parce que j'aime ça et accessoirement, parce qu'il possède des photos et des vidéo de moi plus que compromettantes.

- Pardon maître.
- C'est bien, maintenant écoute moi bien. Ces mecs, c'est des Sénégalais, ils sont hypers riches et ils payent une fortune 10 000€ pour ton cul et ta bouche. Ils te veulent toute la nuit. Tu recevras ta commission dessus, soit 2000€ et moi le reste. Je te préviens si tu me déçois, je te ferais regretter d'être né, tu as compris ?
- Oui maître.

Après plusieurs avertissements et informations, nous voilâmes sur la route d'Orléans, il me dépose devant une sublime, villa. Un majordome me reçoit et prend mes affaires. À oui, c'est vrai, j'ai oublié de le préciser. Ces hommes veulent un mec, mais au départ, ils veulent que je leur fasse genre un trompe l’œil. Je n'ai pas très bien compris pourquoi, mais il voulait 2 tenus femme une robe, une mini-jupe avec un soutien-gorge et 2 homme donc un costume et une tenue de sport. Le majordome m’emmène jusqu’à la salle de bain où je reprends une douche et m'habille avec la robe, selon sa demande. J'accroche la perruque et me maquille rapidement, rien de très réussit, mais sous une lumière tamisé ça fera l'affaire. Après 30 minutes, on revient me chercher pour me mener au salon ou là, j'ai un choc. Il n'y a que des Africains plus ou moins célèbres habillé en costumes cravates. Des sportifs que je connais par leurs exploits, des artistes, des musiciens, des diplomates, des élus et des riches hommes d'affaires. Mais le pire, c'est que beaucoup sont hétéros enfin je croyais, certains sont mariés et ont des enfants de mon âge, d'autre sont couples. Ils sont 14, tous entre 25 et 45 ans. Le propriétaire des lieux fait lancer la musique par un geste de la main. Il me demande de danser, je commence avec la peur au ventre, surtout lorsqu'ils seront que je suis un mec. À un moment, samba (le propriétaire et accessoirement mon employeur pour la nuit) exige que je me déshabille. J'ai peur du choc que cela va provoquer chez ces hétéros. Je commence par dégrafer la robe portefeuille et je reste en soutiens gorges et string. Je suis un peu rassuré, car ils ont dû comprendre que je suis un mec, mais personne ne réagit brutalement. Au contraire, ils ont l'air encore plus intrigués, je défais le soutien-gorge et aucun ne paraît surpris, certain, ce sont même approcher. J’ôte le reste et mon hôte m'invite à venir à lui, il trône sur un grand fauteuil au milieu de la pièce. Il me fait asseoir sur ses genoux et commence, a, m'a embrasser ce qui a fait réagir les autres. En regardant sur le coter, je vois certain en train de se branler, la plupart ont d’énormes sexes comme on en voit que dans les pornos.

- Quentin, c'est ça ?
- Oui.
- Tu vas être notre ce soir. Tantôt notre épouse, tantôt notre mec. Sache que nous somme gentil, nous ne te ferons pas de violence, nous ne te baiserons pas. Nous te ferons l'amour chacun d'entre nous. Nous sommes très doux et douer pour le sexe. Mais nous exigeons qu'une chose que tu sois consentant et pleinement d'accord avec tout nos désirs. Si jamais ce n'est pas le cas arrête tout et part, on payera quand même quelque chose à ton Marc ?
- C'est, bon maître.
- Je ne suis pas ton maître, ton amant, ton mari, ton chéri, ton ami pour la nuit si tu veux. Mais pas ton maître. Je ne veux pas non plus que tu vouvoies quelqu'un ici ou que tu te sentes obligé de faire des choses que tu ne veux pas. Tu peux aller vers qui tu veux pour faire l'amour. Tu peux nous faire ce que tu veux. Contrairement à ce que l'on pense tous les noirs ne sont pas actif ou réfractaire a un doigt dans le cul ou même une bite. Si tu veux pénétrer l'un d'entre nous, demande, c'est tout. Mais uniquement quand tu es habillé en garçon sinon, quand tu es en filles, c'est a nous de te prendre. C'est ton harem et nous nous sommes tous là pour toi, ce soir. Choisis l'homme que tu veux en premier.

J'étais totalement perdu quasiment nu dans les bras d'un beau black de 40 ans, hyper musclé bien monté. Un grand diplomate que je connais un peu pour avoir étudié son histoire en cours de commerce internationale. J'étais habillée d'une perruque de femme devant plusieurs hommes qui pour la première fois me laisser le choix. Depuis que j'ai découvert mes penchants gay, on ne m'a jamais laissé le choix. Que ce soit ma première fois un peu forcée avec Thibault avec Marc ou encore pour les partouzes qui ont suivi. Pour une fois dans cet univers gay, j'ai le pouvoir comme j'avais dans ma vie hétéro. Certes, j'aurais préféré être avec mon Icham, mais je n'avais pas le choix. Marc serait au courant si je déserté alors quitte à se faire baiser que ce soit au moins agréable. Mais malheureusement, je suis habillé en femme. À quoi tout cela rime. Je me sens encore plus soumis vêtu de cette manière qu'avec les autres Master. Je les regards tous tour à tour et mon choix s'arrête sur notre hôte. Au-delà du fait qu'il soit hautement séduisant, cela me parait aussi légitime et censé de le mettre en avant. Son visage se fend d'un sourire et il recommence à m'embrasser cette fois en appuyant un peu plus ce baiser me coupe le souffle.

- j'espérais que tu me choisisses, tu veux bien me faire une fellation ma chérie ?
- bien sûr.

Malgré l'usage du féminin, en parlant de moi (ce que je déteste), je suis bien disposer en son égard et je ne lui en tiens pas rancune. Bien au contraire ce petit jeu de rôle m’électrise. Je commence à faire des bisous sur son gros sexe. Certain africain son montée comme des ânes et celui-ci ne fait pas exception. Au moment de le prendre en bouche, il me dit :- fait ce que tu peux ma belle.

Je le regard dans les yeux et enfonce les deux tiers dans ma bouche. Je vois l'étonnement surgir sur son visage pour ensuite se fendre d'un sourire radieux.
- Mais comment ?
- ..
Je ne réponds pas et continue mon boulot du jour, sa bite et quasiment entièrement dans ma bouche.

- Personnes n'arrivent a en avaler autant habituellement. Même ma femme avec 20 ans de couple ne sait pas faire. J'avais raison, tu n'es pas n'importe qui. Tu es une princesse.

Je continue ce manège jusqu'à ce que les autres s'impatientent et commence a râler.

- Chéri, tu devrais prendre mon cul, comme ça, j'en sucerais un autre.
- À vos ordres madame.

Dés qu'il a lâchés ma bouche 4 se sont présenter et je commence à sucer a tour de rôle. Cependant, mon attention était focalisée sur mon cul où je sens s'introduire plusieurs doigts, de la salive et une langue frétillantes. Moi aussi, je commence a frétillé du cul. Jusqu'à ressentir l'immense bite de mon hôte, me pénètre d'un coup. Un cri de plaisir s'extirpe de ma gorge et résonne dans mon bas-ventre. Il commence rapidement à se mouvoir en moi pour mon plus grand plaisir. Ses coups de reins son très secs et ses mains enserre ma taille pour me maintenir bien droit. Ses coups de reins durs, cela fait plus de 50 minutes que je suis à quatre pattes et je ne sais combien de mecs m'ont éjaculer au visage, mais Samba continue à m'enculer sans faiblir avec une régularité de fou. Je fais un tour d'horizon et je vois qu'il y a un mec qui est dans son coin encore tout habillé. C'est un jeune joueur de rugby que je connais bien par ses exploits et dont je tairais le nom. Il n'a pas l'air dans son élément et j'ai l'impression qu'il cherche une sortie de secours.Dés qu'il a lâchés ma bouche 4 se sont présenter et je commence à les sucer à tour de rôle. Les bites se succèdent dans ma bouche et mon amant est en bout de course, je le sens. Sa sueur dégouline sur mon dos et mon cul coule comme une fontaine. Moi, je suis ailleurs, la douleur sur mes tétons meurtrie, par les morsures des autres mecs, les fessés sur mon cul et mes genoux ankylosé à cause de la position a quatre pattes depuis trop longtemps, lié au plaisir de la sodomie fond exploser en moi un plaisir encore rarement atteint. La douleur, la langueur, l'excitation tous sont confondus pour ne former qu'un, un plaisir innommable, un sentiment de plénitude intense de liberté total et de plaisir anale. À ce moment je joui sans même avoir touché a ma bite et je m'effondre au sol inerte.
Je me réveille dans un lit et je suis totalement nu, en essayant de me relever, je m'aperçois que je ne suis pas seul. Il y a H, le rugbyman, il me regarde avec un air assez distant.

- Tiens mon père voudrais que tu mettes le costume.
- Ton père ?
- Ouais, le mec que tu t'es envoyé toutes la soirée.
- Quoi, tu es le fils de Samba ?
- Bein ouais et t'es l'amant de mon père et tu fais cocu ma mère.
- Euh pardon.
- T'inquiètes, elle s'en fou.
- Bein alors pourquoi tu as l'air d'avoir la haine contre moi.
- Pour rien habille toi.
- Ok, tu es H de l'équipe de …- Bein ouais et je sais que tu es Quentin capitaine de l'équipe de Roubaix.
- Mais comment ?
- Je me souviens du tournoi de l'année dernière, bon allé dépêche.

J'obéis et mis mon costume, H reste avec moi en me regardant de temps à autre de manière distraite. Ce mec n'était absolument pas homo, alors je ne comprends pas sa présence ici, a par le fait que la maison soit celle de son père. Il me conduit au salon où la situation s’est inversée. Ils sont tous nuit sauf moi le seul habillé. Lorsque je pénètre dans la pièce, j'ai le droit a des sifflement et certain me présentent automatiquement le cul. Je m'approche de samba et commence à lui caresser le cul. Il se laisse faire et je l'embrasse, lorsque je fais pénétrer un doigt dedans, je le sens se raidir. Je commence a le faire tournoyez et j'essaie d'en rajouter un. Mais sa main se pose sur la mienne et il me dit :
- Désolé Quentin, mais mon cul n'est pas ouvert à la pénétration, je suis uniquement actif. Mais profite des autres, ils attendent tous que tu leur fasses l'amour. Regarde, ils tendent presque tous leurs culs pour toi. Tu devrais prendre celui de mon fils, il n’arrête pas de fantasmer sur toi. Depuis que tu l'as battu au rugby l'année dernière.

Je me retourne et cherche du regard H, qui est parti en trompe vers une autre pièce. Je ne peux pas le suivre alors, je prends possession du premier cul venu. J'avoue que pénétrer un bon cul bien musclé sans forcement prendre de précaution, c'est le pied. Ma bite et bien au chaud, mes aller-retours sont bestiaux et je prends un max de plaisir. Lorsque je le sens faiblir, je passe au suivant. Toujours sans préparation, certain grogne un peu de douleur, mais dans le fond ils prennent tous plaisir à sentir ma bite. Je vois que les choses se modifient un peu lorsque certains mecs commencent s'enculer entre eux. Notamment samba qui encule un chanteur qui chantonne bruyamment. La scène et surréaliste et je ne tiens pas longtemps avant de cracher mon sperme.

Le majordome revient et me propose de reprendre une douche. Cette fois pas H, je m'habille avec la mini-jupe et je me refais baise, mais cette fois par un groupe. Les bites défilent dans mon cul et ma bouche et nous sommes tous couverts de sperme. Je suis épuisé, je ne pense pas pouvoir faire le 4e round enfin pas sans un peu de repos. Samba le voit et me propose la chambre pour me reposer. Je reprends une douche et sombre dans les bras de Morphée. Je suis réveillé par une personne qui me caresse. C'est H, le soleil me brûle les yeux, j'ai du dormis toutes la nuit
- Pardon d'être partie.
- Pas de problème, on se doit rien.
- Mon père et les autres se sont endormis juste après toi. Mon pauvre, tu as le cul totalement éclaté, je pense que tu ne pourras plus marcher avant des jours.
- Tu ne voudrais pas l'éclater un peu plus ?
- Pfff, tu comprends rien toi.

Il est en colère et se lève prés à partir
- Quoi ? Qu'est-ce que j'ai fait ?
- Tu comprends rien, moi, je ne veux pas te faire ce que c'est porc ton fait, mo..i moi, je..
- Tu ?
- Je suis passif.

Il se déshabille totalement et une immense verge, émerge de son boxer. Plus grosse que celle de son père ou n'importe quelle que j'ai vue. J'ouvre la bouche commence une fellation, très vite le désir reviens et me voilà en train de gémir. Il se tourne et me présente son cul. Je plonge la tête en avant dedans et lui fait un léchage profond. Il prend son pied cela s'entend. Il me repousse me supplie de le besogner vigoureusement. Je plaque son visage contre le lit et pénètre son anus. Son cul me paraît assez détendu, il en a vu d'autre, car malgré que je ne sois pas monté aussi bien que lui, ma bite a une certaine dimension.
En dehors de ses cris de plaisir, la maison paraissait silencieuse, son canal était auto lubrifié, car je coulissais dedans comme dans du beurre. J'étais totalement ivre de plaisir et lui n’arrêtait pas de me supplier de continu. Mais la fatigue ayant raison de moi, j'ai finis par jouir et m'effondrais à nouveau.

À mon réveil, Samba était là et me dit :
- Merci d'avoir ouvert l'anus de mon fils, il rêvait de toi depuis des plombs.
- Euh de rien.

Il m'embrassa une dernière fois sur la bouche et quitta la pièce, jamais je ne l'ai revu, ni lui ni H. Avec beaucoup de difficulté, je m'habillai pour quitter cet endroit. Arrivé chez moi, je filais à la salle de bains où j'examinai mon cul sanguinolent et totalement ouvert.

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