Un chance de cocu 1

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un chance de cocu 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un chance de cocu 1
Mon copain Charles était un doux rêveur. Comme moi chauffeur à l’international, il partait pour des voyages à travers l’Europe, transportait des marchandises d’une capitale à l’autre, accomplissait de longs circuits, le camion chargé de matériaux divers. Il prenait parfois son repos dans des villes lointaines avant d’en rejoindre d’autres encore plus éloignées. Il recevait ses ordres par téléphone et se réjouissait de toucher des indemnités intéressantes quand il était tenu de s’absenter longuement hors du domicile conjugal, car cette forme de cabotage continental rapportait plus.

-Ca met du beurre dans les épinards.

Nous partagions cette façon de voir. Charles avait épousé un des plus jolis petits lots de la commune, Charlène, une pétillante brunette, rieuse, belle à croquer. Il en avait eu un rejeton vigoureux et braillard. Avec fierté il se vantait :
-Il a hérité ça de son père. Ma mère me répète que je ne la laissais pas dormir quand j’étais bébé!

L’héritier était un « bébé prématuré » d’environ 3,8 kilogrammes à la naissance. Ou bien Charles se trompait-il en annonçant ce poids respectable, ou bien le bébé était-il né à terme, neuf mois exactement après la plus longue absence du glorieux papa. Personne n’avait relevé le fait, personne n’avait voulu le chagriner ou lui faire perdre ses illusions. Mais il était de notoriété publique que Charlène ne portait pas le deuil quand son mari travaillait au loin. On en riait sous cape
Sa Charlène adorable était mignonne, souriante, toujours de bonne humeur, familière. Secrétaire dans notre société de transport, elle nous appelait tous par notre prénom, s’entendait à merveille avec tout le personnel, y compris et particulièrement avec Léon, le contremaître. Ainsi obtenait-elle facilement en faveur de son Charles bien aimé des séjours à l’étranger prolongés qui rapportaient bonbon. La faveur ne bénéficiait pas qu'au mari. Certains déclaraient que sa femme le favorisait trop ouvertement, d’autres laissaient entendre que le contremaître y trouvait son compte, même s'il n'était pas le seul à profiter des bontés de la chaude secrétaire. Cetteforme de favoritisme n’était pas inspiré que par l’appât du gain mais aussi par le prurit vaginal de l'épouse. Je connaissais deux collègues qui préféraient les trajets les plus courts afin de passer les week-ends à la maison et d’accorder à leurs femmes une présence garante de fidélité. Chacun voit midi à sa porte !

J’avais, quant à moi, une jeune femme jolie bien sûr, mais très bien élevée, pleine de retenue. Il m’avait fallu attendre notre nuit de noces pour découvrir tous les charmes de son corps. Marié j'avais exploré toutes les bosses et tous les creux d'un corps féminin enfin livré à ma curiosité. Ah ! les bons moments des jeunes époux. Avec le temps, Elodie avait pris goût à la pratique de l’amour. Mais elle rougissait toujours autant quand d’aventure quelqu’un racontait devant elle une histoire osée. Je lui avais rapporté les soupçons de certains à propos des supposés écarts de conduite de Charlène, Elodie s’en était indignée, avait plaint Charles de tout son cœur, si la rumeur devait être confirmée un jour.

Elle refusa même de rencontrer la présumée femme infidèle lors d’un pot à l’entreprise à l’occasion du départ à la retraite d’un collègue qu’elle aimait bien pourtant. Jamais de la vie ma brave Elodie n’aurait risqué sa bonne réputation. Je pouvais m’absenter en toute tranquillité, ma Pénélope gardait la maison, attendait mon retour avec impatience et savait me livrer en qualité ce qui avait fait défaut en quantité. Les retours de voyages étaient l’occasion de rattrapages formidables et fêtés entre les draps avec une fougue qui ne laissait planer aucun doute sur notre amour réciproque. Ma prude se transformait en amante tendre et ardente, de plus en plus chaude, de plus en plus affectueuse et attentionnée. Ces souvenirs embellissaient mes déplacements.

Ce matin de février, après une nuit d’amour mémorable en prévision d’une absence de 3 jours, Elodie tient à me servir elle-même mon petit déjeuner, vérifie mon attirail : de ma trousse de toilette à mon linge de rechange.

-Rien ne doit te manquer hors mon amour pendant cette longue tournée. Imagine que tu sois obligé de revenir parce que j'aurais été distraite. Tu serais furieux à juste titre mon amour. Je ne me le pardonnerais pas. De plus il faut compter avec les aleas qui te tiendraient au loin plus longtemps que prévu.Ce qui est déjà arrivé peut se reproduire. Quand tu n'es pas là, le temps est si long.

Elle prépare avec amour des casse-croûtes et boissons fraîches, m’accompagne jusqu’à la voiture, me redit combien je vais lui manquer, me promet un retour heureux et houleux dans notre lit et m’embrasse gentiment avant de me souhaiter bonne route et bon courage.

- En route, pense à moi. je t'aime!

Au moment de démarrer mon camion chargé, je vois arriver Léon. La météo annonce des chutes de verglas abondantes sur le pays. Il est prudent de retarder le départ. Il devient inutile de se mettre en route, mieux vaut attendre vingt quatre heures le retour de conditions atmosphériques meilleures plutôt que d'être bloqué en bord de route en bas d'une pente sur la n 118.

Pendant la longue attente des ordres nous apprenons le malheur de Charles. Il était rentré à marche forcée le samedi soir au lieu du dimanche matin. Dans son lit dormaient sa femme et un inconnu, un jeune sagouin que l’hôpital maintenant est en train de réparer. Charlène n’est pas présentable au bureau et s’est fait excuser en alléguant une chute dans un escalier. Tout le monde comprend la fureur du mari : cela devait arriver un jour, disent les plus indulgents. Ca fout un coup au moral. Enfin tout le monde ne s'appelle pas Charles et Elodie n'est pas Charlène !

Départ reporté, vec mille précautions craignant de glisser à chaque pas, je regagne mon domicile à pied. Elodie a dû se recoucher pour récupérer des excès amoureux de la nuit. En se réveillant elle aura l’heureuse surprise de me trouver à la maison. Nous pourrons profiter de vingt quatre heures supplémentaires pour nous aimer. Je fais donc une entrée discrète par le garage selon mon habitude, avec l’intention de me reposer sur le canapé du salon dans l’attente de son réveil.

La surprise pour moi n'est pas heureuse. Passant du garage au dégagement j’entends des voix. Elodie est en pleine discussion ou écoute la radio ? Je ne connais pas la voix d’homme qui donne la réplique. Curieux je tends l’oreille. On parle de moi. Elodie ne s'inquiète pas.

- Il a dû démarrer très tôt, échapper au verglas et doit être loin déjà. D’ailleurs j ai téléphoné et on m' a confirmé que mon mari n'était plus là. En principe quand il a des problèmes, il m’avertit par téléphone. Il n’a pas appelé: « pas de nouvelles, bonnes nouvelles » conclut-elle.

- C’est parfait, nous allons donc disposer au minimum de trois jours et deux nuits.

- Attends, rappelle moi ton nom: Loulou; Doudou. J'ai oublié ce que m'a annoncé ma soeur Sara. Ah, c'est Boubou. Ca va mieux, tu te remets du froid.

- J'ai failli repartir. J'étais tout près quand j'ai vu partir ton homme. je t'ai même aperçue. Dès qu'il s'est mis à rouler je suis venu sonner. Je te savais dans la maison. Hélas, je sonnais et tu ne répondais pas. je me gelais devant ta porte. Ton café m'a réchauffé.

- Excuse-moi encore, je m'étais précipitée sous la douche, je voulais être fraîche pour t'accueillir. Sars t'avait annoné pour neuf heures seulement.

- J'étais tellement pressé de faire ta connaissance. je suis ravi d'avoir attendu dans le froid, ça vaut la peine. Au cameroun on dit que tout arrive à point pour qui sait attendre.

- Je crois qu'on dit la même chose en France.

- Pour une fois je vais être un homme comblé. Enfin! Depuis vendredi je n’ai pas cessé de penser à toi et de te désirer. Constamment je rêve de ton gentil petit cul ou de ta chatte vorace. Et toi, tu as pensé à moi ou tu t’es tellement fait baiser par ton drôle que tu m’as oublié Ta soeur m'a raconté que c'est un chaud lapin et que te te trouverais peut-être un peu fatiguée. C'est vrai?

- Comment peux-tu poser cette question? Vendredi soir je l’ai amusé avec mes mains et je l’ai pompé avec la bouche, je l‘ai vidé. Il a tiré son coup avec le peu de munitions qui lui restaient, je n’ai pas pu lui refuser une pénétration, il s’est un peu acharné, n’a pas réussi à me faire jouir et s’est retiré déçu de la maigre éjaculation déposée sur mon ventre. Je pensais trop à toi pour l’aider à prendre son plaisir.

- Ah ! Que c'est gentil. Ta soeur a bien préparé notre entrevue.

- Elle n'a pas tari de compliments à ton sujet. Tu la connais bien.

- C'est une de mes patientes qui m'appelle assez souvent à son chevet.

- Une patiente ? Tu es médecin ? je ne savais pas que Sara était malade. rassure-moi.

- Patiente est peut être trompeur. Mais, en réalité je la soigne, comme j'ai l'intention de te soigner pendant trois jours, sans être dérangé par un mari h eureusement au travail.

- Eh! Oui, il faut travailler pour gagner sa vie.Me voilà seule pendant trois jours et deux nuits. Et toi, cher Boubou, ne travaillees-tu pas, disposes-tu de trois jours de liberté pour me tenir compagnie?

- C'est que je vais travailler durement pendant cette période.Mon travail est spécial, ta soeur t'a renseignée oui ou non?

- Plus ou moins, elle m'a indiqué que tu étais un ami précieux, capable de dissiper mon ennui. Mais tu es venu sans serviette de médecin ou sans outil ou jeu. Je suis curieuse de te voir à l'oeuvre .

- J'ai tout ce qu'il faut sur moi. Permets que je te montre mon instrument essentiel.

Suit un silence puis un cri d'étonnement d'Elodie
-Oh ! Mon Dieu ! C'est ça que voulait me dire Sara.Je n'osais pas y penser. Ouah! Seigneur quel matériel. Voilà pourquoi elle m'a recommandé d'attendre le départ de Louis. Ohhh! mais ce n'est pas raisonnable!

- Pourquoi, ça te déplaît. Tu veux que je remballe. D'habitude les dames m'accueillent avec joie. Mais jamais je n'impose quoi que ce soit. Avant de commencer, il est bon que je te mettes au courant de mon tarif dans le cas où tu manifesteras le désir de recourir à mes services.

- Tarif ? C'est tarifé? Est-ce que je peux toucher avant de me décider?

- Ce sera un plaisir pour moi. Et un honneur de placer entre les mains d'une aussi jolie femme mon appareillage.

- Ah ! Ce n'est pas possible. A peine dans ma main ça grossit, ça grandit. Mais, ça devient énorme. Combien pour continer.

- Grâce à Sara, pour cette première fois, je te fais cadeau de la moitié de la somme due pour trois jours. Cependant j'ai des besoins, je mange, je bois, je dors quand je ne bosse pas : peux-tu m'assurer le lit et le couvert pendant la durée de l'opération ?

- Quelle merveille ! Ton prix cher Boubou le bien nommé sera le mien. Tu prends la place de mon mari dès cet instant. Ce n'est pas possible, je n'ai jamais vu pareille chose. C'est long, c'est rond, c'est épais, c'est dur, c'est rigide, c'est tout raide. Je t'invite à rester chez moi, à ma table bien sûr, mais aussi et surtout dans mon lit. Viens, suis-moi, je veux faire un essai tout de suite. Je dois avoir la même maladie que ma soeur, une maladie héréditaire sans doute. Je devine pourquoi elle t'appelle le guérisseur. Viens me guérir de toutes mes questions.

Quoi, monsieur Boubou va se baffrer à ma table et coucher dans mon lit? Forcément , Elodie l'y invite. Quel truc lui a-t-il montré pour la persuader aussi vite de faire preuve d'hospitalité? Quelle maladie secrète de ma femme peut-il soigner avec quelle merveillemerveille?

- J'étais certain d'emporter ton adhésion. Crois moi, tu fais le bon choix. Tu sais ce que cela implique?

- Boubou, je pose cependant une condition pour accepter tes bons soins.

- C'est accordé.

- Tu ne sais pas ce qu'est ma condition, comment peux-tu dire que c'est accordé ?

- C'est simple comme bonjour. Toutes mes patientes, avant de commencer, prennent la même précaution et me demanent de garder secrète mon intervention. Alors tu fais comme les autres: c'est juste ou tu pensais à autre chose?

- C'est parfait, allons. J'adore ce machin. Il est impressionnant, c'est fabuleux. Au Cameroun vous avez tous des dons de cette importance ?

- Ca se saurait. Nous sommes quelques uns qui avons été gâtés par la nature comme il y a chez vous d'autres traits, je pense notamment aux guérisseurs qui imposent les mains.

- Hum, tu as aussi de jolies mains. Tu sais t'en servir également. Oh: la nature a été généreuse avec toi! Ici, d'est notre chambre, entre, tu es chez toi et chez moi. Vite, fais de moi ta patiente. Je meurs d'impatience d'utiliser tes dons et tes talents.

Elodie, ma sage Elodie, ma chaude Elodie ! Mais que va-t-elle foutre dans notre chambre avec ce grand noir Camerounais qui la suit en lui plaquant une main aux fesses. Ils n'ont regardé ni à droite ni à gauche, tant ils sont convaincus qu'ils sont seuls dans la maison. Moi, j'ai risqué un oeil depuis les marches de l'escalier. Et j'ai vu, oui, de mes yeux vu la chose longue, épaisse, ronde, raide et rigide qui cognait contre la croupe encore vêtue d'un peignoir de mon incroyable épouse. J'aurais dû deviner tout de suite qu'un cadeau de ma putain de belle-soeur devait être de cette nature.J'ai cru un instant que ce Boubou vendait des jouets pour dames et qu'il présentait un modèle xxxl . Force est de constater que la perche qui sort de sa braguette est faite de chair, de grosse chair noire. C'était son pénis, Elodie par ses attouchements l'a transformé en grosse queue, en bite, en membre viril énorme, en verge menaçante, en tige de raccordement surréaliste
Est-il possible que la vue et le toucher d'une pareille bite exerce irrésistiblement une force telle que toute résistance tombe et qu'une femme soit conduite nécessairement à un amarrage.Car il est clair que l'épouse modèle est subjuguée et s'apprête à recevoir les soins et enseignements de Boubou le Camerounais. Non seulement elle est envoûtée au point de se soumettre aux massages et autres travaux, mais elle est prête à payer les bons offices de ce type envoyé par sa soeur.

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