Le coin secret

- Par l'auteur HDS Farachimbank -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le coin secret Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le coin secret
Le coin secret

Après la merveilleuse nuit passée avec Nora je me lève tôt, tout le monde dormait encore, je me dirige vers la salle de bains, je prends une douche rapide et je vais à la cuisine pour me faire un café, ma tante était déjà là :
- Tiens un lève tôt elle me dit.
- Toi aussi tu t’es levé tôt.
- Comme toujours la première à se lever et la dernière à se coucher.
- Dis-moi, qu’est ce qui se passe ?
- Quoi ?
- Tu n’es pas bien ce matin, tu parais triste.
- Non sauf que j’ai un manque énorme.
- Et mon oncle ?
- Il s’est levé le premier et il est parti en ville chercher un boucher, c’est aujourd’hui qu’on va tuer le taureau pour la fête du mariage de ta cousine Fatima.
- Il va tarder ?
- Non, à midi il sera là.
- Tu as besoin de moi ?
- Oui, j’ai besoin de provisions, amène la clef de la cave.
J’ai été cherché la clef et on est allé à la cave, elle voulait des œufs, de la confiture et du café. A la cave j’ai fermé derrière nous.
On a tout préparé dans un carton et au moment de sortir, ma tante se penche pour prendre le carton je lui touche le derrière.
- qu’est ce que tu fais ?
- j’ai envie de toi !
- moi aussi, mais on n’a pas le temps…
- si on a le temps, viens.
Je l’entraîne derrière les sacs de provisions, j’étends des sacs de jute par terre de façon à avoir un lit de circonstance. On s’assit elle ôte sa robe de chambre restant avec seulement une chemise de nuit légère, j’avais tellement envie d’elle que j’avais une érection, j’enlève mon bermuda et slip et je lui présente mon membre devant la gueule, suce je lui dis, j’ai envie que tu me suces, elle se balance sur la bite et l’engloutit et commence à faire un va et vient avec sa bouche, je lui tiens la tête et je commence par la baiser par la bouche, je gémissais. Prends, je lui dis tu as besoin de provisions tu seras satisfaite, oh que tu suces bien chère tante, tu le fais comme une star.
Elle a continué à me sucer et moi à gémir, j’ai senti le plaisir monter en moi et je lui dis que je vais jouir, elle me dit fais le dans ma bouche, ce sera mon petit déjeuner, je l’ai bien arrimé de la tête et je lui ai envoyé les jets de foutre dans la bouche, elle a tout avalé, elle a poussé un ah et elle a roté, mais elle restait sur sa faim sexuelle.
Je l’ai enlacé et on a commencé à nous embrasser, elle a étendu la main vers mon sexe et elle a commencé à le toucher , petit à petit il a repris vie, j’ai commencé à avoir une érection ; je lui ai enlevé sa chemise de nuit et je l’ai étendue sur les sacs , j’ai commencé par lui sucer les seins , ce qu’elle a apprécié, ses seins sont pointus et elle a commencé à gémir, je suis descendu vers son ventre et son nombril, caressant et embrassant tout son corps, elle n’a pas l’habitude d’être traitée ainsi par son mari, elle haletait, elle prenait plaisir à ce que je lui fais, finalement je me suis mis entre ses jambes et j’ai touché son minou, il était gonflé et mouillé par l’excitation. J’ai déposé un grand bisou entre les lèvres de ce vagin et je l’ai attaqué par la langue, je fouinais à l’intérieur des lèvres ,ce qui ne la laisse pas sans réaction, elle gémissait et se contorsionnait, elle était au bord de la crise, malgré ça je continuais à lui bouffer le minou, elle a oublié ce qu’elle était venue chercher dans la cave, elle me demandait de continuer, j’ai attrapé son clitoris entre mes dents et je l’ai mordu avec délicatesse elle a crié de plaisir un OH que peut être on a entendu dans la maison, elle venait d’avoir un orgasme fulgurant, m’inondant de cyprine, elle était en manque de sexe.
Je me suis étendu sur elle, elle me dit tu vas me tuer toi, tu m’apportes toujours quelque chose de nouveau, je lui ai relevé un peu les jambes et j’ai mis mon gland à l’entrée de son vagin, elle m’a dit vas y et je suis allé doucement, pénétration douce et lente millimètre par millimètre, elle haletait et respirait par saccades, retenant sa respiration et expirant par des râles, OH OUIIIIIIIIIIIIIIi, que c’est bon continue que c’est bon… Mes allers et venus étaient doux, son vagin était bien lubrifié, je n’avais pas besoin de faire d’effort, en plus les muscles de son vagin aspiraient ma tige, en même temps je sentais les contractions internes de son organe qui me chatouillaient la verge, quelle douce femme. Je commençais à l’aimer, je ne voulais pas la brusquer, je voulais qu’elle profite du sexe parce que c’était la seule distraction possible qu’elle avait sous la main et elle en profitait… Je me suis retiré d’elle et je l’ai faite basculer a plat ventre, je lui ai relevé le cul de façon à la prendre à quatre pattes, elle a mis la tête par terre et a relevé son cul de façon a sortir son vagin le plus possible. Quel panorama ! un beau cul, une belle chatte qui sortait entre des cuisses blanches , je l’ai enfourné je suis allé jusqu'à lui toucher la matrice, elle a poussé un cri de plaisir et de douleur, je l’ai arrimé par les hanche et j’ai commencé à la ramoner, elle a eu vite un orgasme elle a joui avec un grand Oh et m’a dit « merci que Dieu te bénisse, neveu » j’ai continué à la besogner elle me dit vas plus vite ce que j’ai fait et on a joui encore mais à l’unisson, j’ai déchargé ma réserve de foutre au fin fond de l’organe de ma tante, sans regret.
- je ne sais pas ce qui m’arrive !
- quoi ?
- j’aime plus baiser avec toi qu’avec ton oncle !
- je ne sais pas…
- je crois parce que tu me donnes des nouvelles sensations, ton oncle me fait toujours la même chose.
- oui c’est ça, c’est peut être ça.
- et aussi le fait de me faire jouir, tandis que ton oncle jouit et se retire, je n’arrive pas à avoir un orgasme entier avec lui.
- Je suis à ta disposition quand tu veux, tant que je suis là.
- Je voudrais que tu reviennes souvent chez nous.
- J’aimerais bien.
- Je compte sur toi pour revenir souvent.
- Et maintenant si on visite l’autre côté ?
- Quel côté ?
- Le cul !
Elle s’est accroché à moi en un grand baiser, on s’est embrassé pendant que je lui massais le dos et quand je suis arrivé à ses fesses elle a gémi, j’ai continué à lui caresser les fesses et elle gémissait, j’ai écarté les lobes de ses fesses et je lui ai introduit un doigt dans le cul. Il était lubrifié par les liquides de la baise, j’ai continué à introduire et sortir mon doigt et elle gémissait tout en m’embrassant, elle me dit oh que c’est bon continue je vais jouir j’ai continué et elle a joui et est retombé sur les sacs. Elle s’est mise à plat ventre, je me suis approché de ses fesses et je les ai écartées, le trou était là ouvert pour me recevoir, j’ai léché un peu les fesses, j’ai un peu de salive sur mon gland et je me suis allongé sur la tante, ma bite a trouvé le chemin toute seule, je l’ai arrimé par les épaules et j’ai poussé. Mon chibre a commencé son intrusion lentement pendant que ma tante couinait, elle respirait difficilement tout en bougeant les fesses, elle trouvait aussi son plaisir dans l’enculade, j’ai entamé mes vas et viens doucement tout en l’embrassant dans le dos , cette position me plaisait, la partenaire collaborait bien, elle se cambrait chaque fois que je reviens en elle ce qui me donne plus de pénétration, j’ai senti mon plaisir venir et elle m’aidait en gémissant AH AH AH chaque fois que je l’embroche on dirait des gémissements de douleur mais c’était le plaisir, elle a tourné la tête et j’ai remarqué qu’elle était tout en plaisir, ses traits étaient relâchés, elle aimerait bien passer la journée dans cette position ! Je lui ai relevé le derrière de façon à la mettre à quatre pattes et j’ai continué ma nique ,cette fois ci j’allais jusqu’au fond, elle me demanda d’aller plus vite et plus profond ce que j’ai fait, « je jouis, je jouis, continue plus vite »et j’ai continué et on a joui ensemble à l’unisson, je suis resté fiché dans son cul tout en l’arrimant bien des hanches, je n’ai pas bougé, attendant que mes bourses se vident complètement. je me suis retiré a la fin et on s’est nettoyé, on s’est habillé, on a pris les provisions qu’elle était venue chercher et on est remonté. Pas âme qui vive, tout le monde dormait encore…

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