Damien (5) : David un amant exceptionnel

- Par l'auteur HDS Kati -
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Damien (5) : David un amant exceptionnel Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (5) : David un amant exceptionnel
Jusqu'à ce jeudi j'évitai Max, Marc et Patrick et j'avoue que cela me coûta car j'avais très
envie de baiser, c'est seulement que je ne voulais pas me présenter devant David avec le
cul ouvert.
Il est vrai que vu les dimensions de son sexe il aurait peut-être mieux valu mais je voulais
arriver à lui telle une vierge à son promis.
Enfin le jour arriva, avant de partir je pris une très longue douche où je rendis à mon corps
une propreté toute suédoise puis je partis rejoindre mon amant.
Il m'attendait chez lui en regardant un film porno, il me fit entrer dans le salon et me
demanda "Veux-tu boire quelque chose ?
- Oui un jus d'orange".
David me servit et me dit "Tu es bien libre toute la nuit ?
- Oui pourquoi chéri ?
- Pour rien pour savoir ma chérie".
Voyant que j'avais l'œil attiré par ce qui passait sur le poste de télévision David me dit "ça te
plaît ?
- Je regarde comment fait cette fille.
- Et qu'est ce que tu en penses.
- je n'en pense rien, je regarde s'il y a des choses que je peux apprendre.
- Toujours aussi cochonne.
- Si on veut bien baiser il faut en savoir le plus.
- Dis-toi bien que ce que tu sais est déjà super.
- Oui mais il y a des choses que je ne pourrais jamais faire.
- Pourquoi ?
- Simplement parce que je n'ai pas de chatte.
- Ne t'inquiète pas ton cul est aussi bon qu'une chatte.
- Peut-être mais si j'avais une chatte on pourrait me baiser par les deux trous.
- salope.
- Eh oui.
- Bon puisqu'on parle de baiser, si on s'y mettait ?
- Avec joie.
- Où préfères-tu baiser, ici ou dans la chambre ?
- C'est comme toi tu veux.
- Etant qu'on va faire ça toute la nuit il vaudrait mieux aller dans la chambre.
- D'accord.
- Allons-y".
Nous entrâmes dans la pièce, elle était vaste, un grand lit avec seulement un matelas et un
drap était au milieu et tous les murs étaient habillés de miroirs, je demandai à David "Tu
dors ici d'habitude ?
- Non ici c'est la chambre de baise, ma chambre de sommeil est à côté. Pourquoi ?
- Je me disais que si tous ces miroirs c'est bien pour la baise, ça ne doit pas être très
reposant pour le repos.
- Tu as raison mais crois-moi pour la baise c'est génial, c'est super excitant.
- Je veux bien te croire".
A peine étions-nous arrivés près du grand lit que David me prit dans ses bras, il posa ses
lèvres sur les miennes, j'ouvris la boche, nos dents s'entre choquèrent, nos langues se
nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand mon amant s'écarta de moi, j'avais le souffle court et le rouge aux joues, mon
homme prit mon tee-shirt et le fit passer par-dessus mes bras et me dit "fais la même
chose".
J'obéis et le torse musclé et poilu de mon mec apparut, j'enfouis mon visage dans ses
poils et lui embrassai la poitrine.
David me laissa faire quelques instants puis il posa ses mains sur mon fessier et me
massa légèrement les lobes charnus à travers l'étoffe de mon pantalon.
Je ne pus réfréner un petit frémissement et me collai contre mon amant.
Je sentais contre ma cuisse la virilité dure de mon homme et cela m'excita.
Mon mec me repoussa doucement et me dit "Laisse-moi te déshabiller complètement".
Mon amant ouvrit ma braguette, déboutonna mon pantalon et le fit tomber à terre, il me fit
asseoir et ôta mes chaussures et chaussettes.
Il me fit me relever, me tourna dos vers lui et fit glisser mon string le long de mes cuisses
fuselées.
Quand je fus totalement nu David porta une légère caresse sur ma croupe rebondie et me
dit "Tu sais que tu es très belle.
- Merci.
- L'autre jour je ne t'ai pas vu comme ça, tu es magnifique, tu as un cul superbe, on voit que
tu es faite pour la baise.
- Merci.
- Maintenant déshabille-moi.
- Avec plaisir".
Je m'agenouillai devant mon amant et après avoir ôté le bouton de son pantalon, je pris le
zip de sa fermeture éclair entre mes dents et le fis descendre.
Je déchaussais mon homme et enlevai son pantalon, je me trouvai devant un slip tendu et
avec une tâche humide annonciatrice.
Je projetai mon souffle chaud contre le tissu tendu et je vis le sexe remuer, je pris le slip
par l'élastique de la taille et le fis descendre le long des cuisses musclées de mon amant.
Aussitôt libéré de sa prison de textile le membre victorieux pointa vers le plafond, il était
encore plus beau que dans mes souvenirs et je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri
tout en me léchant les lèvres.
David me releva en me prenant par les épaule et me demanda "Que se passe-t-il pourquoi
as tu crié.
- Ce n'était qu'un cri d'envie, ta bite est encore plus belle que dans mon souvenir.
- Elle te plaît ?
- Oh oui, elle est superbe, grosse et longue.
- Elle ne fait que 28 centimètre de long et 6 de diamètre.
- Pas le gland ?
- Non lui est un peu plus gros.
- Oh oui il est plus gros mais même les dimensions que tu annonces c'est loin d'être
petites.
- Mais tu l'as bien prise dans ton cul.
- Oh oui mais avoue que tu as un drôle de calibre.
- Oui mais je crois que tu aimes.
- C'est vrai.
- Bien assez parlé maintenant place à la baise".
Passant son bras autour de mes épaule David m'amena au bord du lit, il m'enlaça et
écrasa ma bouche, nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa pantelant.
Délicatement mon amant m'allongea sur le dos et commença à exciter mes tétons qui
aussitôt devinrent durs et s'érigèrent, je fermai les yeux et me laissai emporter dans un
tourbillon de désir.
Après avoir suffisamment les pointes de mes seins David me retourna sur le ventre, il posa
ses mains sur mes épaules et commença à me masser doucement.
Cette légère caresse continua à me faire perdre pied, je sentais mon corps brûler, ma
peau était devenu si sensible que le moindre effleurement me faisait frémir.
Au bout de quelques instants la langue de mon homme se posa sur ma nuque et
descendit lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu'à la naissance du sillon de
mes fesses.
Cette cajolerie délicieuse me fit gémir, je sentis ma croupe s'embraser et j'écartai les
cuisses.
Longtemps David pratiqua sur moi ce doux tourment me faisant monter au septième ciel.
Délaissant mon dos mon amant empauma mes fesses brûlantes et commença à les
presser l'une contre l'autre, aussitôt le désir monta d'un cran en moi et je poussai un râle
langoureux, mon homme me dit "Tu aimes ce que je te fais.
- Oh oui tu me mets en feu, c'est bon".
Au bout de quelques minutes de ce traitement je me pâmais tout en ondulant sur la
couche, mon mec écarta mes miches bouillonnantes et sa langue pointue vint darder mon
anus affamé, ce contact m'électrisa et je gémis.
A part lors de ma première expérience avec Max, c'était la première fois qu'un homme me
suçait le cul, les autres Max y compris n'avait fait que me baiser en me préparant
sommairement.
David avait enfoui son visage entre mes fesses et sa langue me léchait l'œillet, cet
attouchement lingué me faisait basculer dans un désir intense et je sentais mon anneau
s'ouvrir chaque fois que mon amant passait dessus.
Peu à peu mon tunnel s'épanouit et le bout de la langue de mon homme pu me pénétrer.
Sentir cette langue s'insinuer en moi me procurait un bien-être immense et je râlai de
bonheur.
Pendant quelques minutes David continua son baiser lingué avec mon intimité, quand il
m'abandonna j'avais la raie pleine de salive, je poussai un soupir de frustration et
demandai "Pourquoi arrêtes-tu?".
Sans tenir compte de mon intervention mon amant m'enfonça lentement un doigt dans le
cul, cette lente introduction me fit frissonner et je tendis mon postérieur.
Après voir fait tourner son doigt en moi mon mec m'en mit un autre et commença à élargir
ma porte étroite, ce que je ressentais était divin, j'étais tellement excité que je gémissais
sans discontinuer.
Un troisième puis un quatrième vinrent rejoindre les premiers, au bout de quelques
instants je flottais dans la félicité.
Je ne sais pas combien de temps mon homme appliqua sur moi ses doux sévices mais je
me tordais sur le matelas ruant pour venir à la rencontre des doigts qui me travaillaient le
cul.
David me mit sur le dos et tout en continuant à me fouiller le fondement il se mit à
califourchon sur moi et me présenta son phallus érigé en me disant "Vas-y ma salope,
suce moi un peu"
J'embouchai l'objet de ma dévotion en entamai une lente fellation.
Au bout de quelques minutes David retira son sexe de ma bouche et me dit "Merci ma
poule ta bouche est douce comme du miel, mais il faut passer aux choses sérieuses, il
faut que je m'occupe de ton petit cul.
- Je veux ta bite mais je t'en supplie fais doucement.
- Pourquoi dis-tu ça ?
- Elle est très grosse, j'ai peur qu'au début elle me fasse mal.
- ne t'inquiète pas, je vais faire tout doucement, je ne veux pas casser ce qui va me donner
beaucoup de plaisir.
- Merci.
- Mais non je ne veux pas me gâcher le plaisir".
David se leva et enleva ses doigts et me dit "Allez écarte bien tes cuisses pour que je
puisse t'enfiler.
- Doucement.
- Mais oui n'ai pas peur".
Je levai mes jambes en les écartant puis prenant mes fesses entre mes mains je les
éloignai l'une de l'autre pour offrir mon œillet, David sourit et dit "Oui comme ça, bien ma
petite salope,
ton petit trou est bien ouvert, prêt à être défoncé".
Mon amant s'allongea dans le V de mes cuisses, il guida son fabuleux pénis dans ma raie
moite et le positionna contre l'entrée de mon tunnel.
Les gouttes de sperme translucide perlant du méat de mon homme me lubrifièrent l'entrée
du canal.
J'avoue que bien que mon mec m'ait ouvert l'anus j'étais effrayé par la taille de ce que
j'avais entre les fesses, bien que je sois excité j'avais une peur bleue.
Mon homme s'en aperçut en me dit "Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire mal et toute
ma queue va rentrer dans ton cul, elle va bien te baiser et te donner beaucoup de plaisir,
décontracte-toi ma salope et tu verras que ton petit trou acceptera ma grosse pine".
Tout en me parlant David me caressait la pastille de la pointe de son énorme gland
turgescent, cet attouchement me faisait monter d'un cran dans le bien-être et je me
cambrai pour me donner totalement, mon amant me dit "Tu vois que tu n'as pas mal.
- Oui mais tu n'es pas encore entré.
- Non c'est vrai mais tu vas voir je vais rentrer sans te faire mal.
- Je l'espère.
- Mais oui fais moi confiance.
- Je te fais confiance chéri.
- C'est bien ma poulette".
C'est là que je m'aperçus de la ruse, pendant qu'il me parlait David avait commencé à
pousser et la tête de son bout durci avait peu à peu écarté mes chairs frémissantes.
Je dis à David "Mais tu es en train de m'enculer.
- Oui enfin je crois que c'est bien le but ou je me trompe.
- Non tu ne trompes pas, j'ai très envie de sentir ta grosse bite me défoncer le cul.
- Alors de quoi te plains-tu.
- De rien je ne me suis aperçu de rien mais je sens que le bout de ton gland est en train
de me pénétrer.
- Eh oui mais par contre même si je fais tout doucement maintenant tu vas avoir un peu
mal, car il faut bien que le reste de mon gros gland passe.
- Je le sais mais j'en meurs d'envie, alors vas-y je suis prête.
- Bien ma petite salope, allez serre les dents tu vas dérouiller un peu mais après tu vas
jouir.
- Je le sais allez viens, enfonce toi en moi, prends ta femelle elle est tout à toi.
- Oh oui ma pute je vais te prendre"
Je me décontractai au maximum. Et attendis quelque peu inquiet, mon amant commença à
peser sur mon orifice et quand le gland entreprit de s'introduire je poussai un cri de
douleur.
Mon mec s'immobilisa et me dit "Tu as trop mal, je vais me retirer.
- Non je veux ta bite dans mon cul, oui j'ai mal mais je sais qu'elle peut entrer et me baiser,
d'ailleurs tu m'as déjà baisé.
- Oui mais on t'avait ouvert le cul avant moi
- Ce n'est pas le problème si mon cul t'a accepté l'autre jour, il t'acceptera aussi
aujourd'hui même si je dois me l'ouvrir avec un couteau.
- Hey on se calme.
- Alors arrête de dire que tu vas te retirer, plante moi ta bite au fond du cul.
- Mais...
- Il n'y a pas de mais, enfile-moi même si tu dois me faire hurler comme une grosse truie,
la seule chose que je te demande c'est de rester sans bouger après m'avoir défoncé.
- D'accord, je vais te percer le cul.
- Oui vas-y transperce moi le fion, fais-moi mal, allez baise ta pute".
J'attendis le plus décontracté possible, je sentis le bout durci de David peser moins sur
mon antre puis d'un coup de reins mon homme me déflora.
La souffrance que je ressentis fut inhumaine, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en
deux et qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans le fondement, j'eus pendant quelques
secondes les souffle coupé puis un hurlement strident s'échappa de ma gorge, de
grosses larmes jaillirent de mes yeux et je me mis à sangloter.
David suspendit sa poussée et me dit tout en m'embrassant les joues humides "Excuse-
moi, je t'ai fait mal.
- Ce n'est rien, je commence déjà à avoir moins mal, tu n'y peux rien ce n'est pas de ta
faute si mon trou du cul est trop petit.
- Il n'est pas trop petit, c'est moi qui n'ai pas su t'ouvrir comme il le faut.
- Mais non tu as fait ce qu'il fallait et en plus je voulais te recevoir comme ça, je ne voulais
pas que tu rentres en moi sans aucune résistance, je suis sur que tu préfère me prendre
comme ça plutôt que comme l'autre jour où j'avais le cul complètement éclaté.
- C'est vrai mais...
- Il n'y a pas de mais, je voulais te donner mon cul serré pour que ce soit toi et personne
d'autre qui le casse et c'est comme ça que ça s'est passé.
- C'est vrai que j'ai aimé sentir de la résistance.
- Je m'en doute, allez je n'ai presque plus mal, vas-y enfonce toi complètement que je
sente ta grosse bite au fond de mon cul.
- D'accord.
- Et après baise-moi bien fais moi prendre un super pied
- D'accord ma salope, tu vas jouir je te le promets".
Avec une lenteur calculée David s'enfonça en moi jusqu'à la garde, quand je sentis ses
testicules poilus contre mes fesses bouillantes je sus qu'il était entré totalement en moi.
Mon amant resta immobile me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui
m'obstruait le fondement, je souris à mon homme et lui tendis les lèvres, il posa
délicatement ses lèvres sur les miennes, j'ouvris tout grand la bouche, nos dents s'entre
choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand mon mec abandonna ma bouche j'avais le souffle court et la douleur avait presque
disparue, je dis à mon amant "C'est fou comme tu me remplis, quelle bite tu as je me sens
plein de toi et c'est bon, j'adore ça, tu me rends folle de bonheur. Bon tu vas arrêter de me
traiter comme si j'étais en sucre et tu vas me baiser comme je le mérite c'est à dire comme
la grosse salope que je suis doit l'être.
- Oh oui je vais te baiser ma pute, crois-moi tu vas gueuler salope.
- Vas-y je t'en supplie je suis en feu, baise ta pute, encule ta salope, défonce la".
David démarra ses lents mouvement de va et viens m'arrachant à chaque passage des
cris de douleur.
En tournant la tête je voyais dans le miroir l'énorme pieu de chair de mon amant disparaître
entre mes fesses et cela intensifia mon désir déjà très fort.
Mon homme sortait son colossal phallus de moi pour m'assouplir la pastille.
Pendant plusieurs minutes la souffrance l'emporta sur le reste puis peu à peu mon anus
mollit et une douce langueur s'empara de moi.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son fabuleux Priape le sortant presque
entièrement de mon antre pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Sous ces lentes allées et venues mon sphincter céda complètement et le gigantesque
membre pu coulisser en moi sans gêne aucune.
Mon mec avait glissé ses mains sous mon dos et me tenait aux épaules, je nouai mes
jambes dans son dos et l'enlaçai de mes bras.
Tout en me sodomisant lentement David m'embrassait le visage déposant de temps en
temps un baiser furtif au coin de mes lèvres.
En regardant au plafond je voyais le bassin de mon amant monter et descendre sur moi,
cette vision me mettait dans tous mes états.
Sentir la formidable queue raide remuer en moi me faisait perdre un peu plus pied chaque
fois qu'elle me clouait au lit.
J'étais complètement en chaleur, mon postérieur était bouillant et je sentais de la sueur
couler entre mes cuisses ouverts humidifiant la raie de mon cul en feu.
David me possédait avec une régularité de métronome, chaque fois que le fabuleux sexe
se fichait en moi je poussai un profond râle de bonheur.
Je planais littéralement sous les coups de bite que je recevais, je me cambrais au
maximum pour m'offrir pus encore à la hampe turgescente qui me creusait un peu plus les
reins à chaque passage.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourai la volupté qui montait en moi par
vagues successives prenant naissance dans mon bas-ventre pour venir exploser en mille
étoiles de couleur sur mon visage.
Je ne savais plus depuis combien de temps David me baisait, le bien être que je
ressentais était tel que j'avais l'impression d'être au septième ciel.
Mes râles se muèrent en cris de félicité et je me mis à rouler des hanches en cadence
venant à la rencontre de la merveilleuse pine qui me bourrait.
Sous les coups de boutoir répétés de mon amant je me sentis partir et je commençai à
presser son phallus avec mon sphincter.
Mon homme avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me tringlait en de virils coups
de reins.
J'avais atteint la plénitude rectale et je me mordais les lèvres pour ne pas hurler mon
plaisir tout en serrant mon mec dans l'étau de mes cuises.
David me pilonnait l'arrière train vigoureusement, j'avais l'anus complètement éclaté et je
me tordais sur la couche comme un pantin désarticulé.
Je sentais le plaisir envahir totalement mon être chaque fois que la verge roide s'enfonçait
au tréfonds de mon rectum embrasé.
Sous les assauts redoublés de l'énorme pénis qui me forait m'ouvrant un peu plus la
pastille à chaque poussée, je sombrai totalement et je me mis à délirer braillant toutes les
phases par lesquelles je passai.
Soudain un spasme fulgurant me transperça, mes jambes battirent l'air, j'enfonçai mes
ongles dans la chair des épaules de David, mon corps se tendit comme un arc, un
hurlement aigu jaillit de ma gorge et je retombai lourdement sur la couche perdant
connaissance.
Quand je rouvris les yeux j'avais les cuisses écartées sur le lit, David était toujours sur moi
immobile, son fabuleux phallus fiché au fond de mon cul dilaté à l'extrême, il me dit "ça y
est de nouveau parmi nous ?
- Oui.
- Je suis bien comme ça enfoncé dans ton petit trou.
- Moi aussi j'aime sentir ta bite palpiter en moi mais tu sais je préfère quand elle bouge.
- Je le sais.
- Tu m'as encore fait bien jouir.
- Je le sais aussi, tu m'as encore griffé les épaules.
- Mon pauvre chéri.
- Mais non ça prouve que tu aimes ce que je te fais.
- Oh oui quand tu me baises je crois devenir folle de plaisir.
- Merci mais tu sais que toi aussi tu me donnes beaucoup de plaisir, ton cul est génial
surtout quand tu me trais la bite comme tu l'as fait, j'ai l'impression qu'en plus de te baiser
tu me branles.
- Je suis contente que ça te plaise.
- Oh oui ma salope et tu sais j'adore quand tu parles de toi au féminin.
- C'est normal, qu'est ce que je fais là, je suis bien sous toi en train de me faire baiser.
- Oui mais j'aime quand tu parles comme ça.
- Tu sais je me sens comme ta femelle.
- Tu as raison mais tu sais il n'y a pas que ton cul, il y a ton corps tu te tords de plaisir
comme une pute en chaleur.
- Mais quand tu m'encules je suis une pute en chaleur.
- C'est vrai mais je t'assure tu baises comme une gonzesse et quand je t'entends crier de
plaisir, ça me donne encore plus envie de te baiser.
- Je l'espère car j'aime quand tu me baises comme tu me baises.
- Et moi j'adore te baiser ma salope.
- Mais tu es encore tout dur.
- Bien sur si toi tu as pris ton pied, moi pas encore.
- Mon pauvre, tu dois avoir envie de tirer.
- Pas tout de site je veux encore bien te baiser avant de lâcher la purée.
- Alors ne perdons pas de temps baise-moi et surtout baise- moi fort, je veux que tu
m'éclates complètement le cul.
- Ne t'inquiète tu vas avoir le cul éclaté.
- C'est tout ce que je veux.
- Alors allons-y ne laissons pas attendre ma petite salope.
- Oui baise-moi fais-moi du bien.
- Veux-tu changer de position.
- Si tu veux mais moi j'aime bien celle ci, comme ça tu me baises comme si j'étais une
femme et puis j'aime voir ton visage quand tu me défonces.
- Moi aussi j'aime bien voir ta figure déformée par le plaisir, mais je ne suis pas trop lourd
sur toi.
- Oh non j'adore sentir le poids de ton corps sur le mien, je sens que tu me possède
totalement, je suis tienne.
- Alors restons comme ça".
Je renouai mes cuisses dans le dos de mon amant et David recommença à me besogner
en de larges et virils coups de reins.
Le désir un instant retombé après le fade que je venais de prendre s'insinua de nouveau
dans mon corps enfiévré.
Sous les rudes assauts répétés de mon amant je sombrai de nouveau dans le plaisir, je
fermai les yeux et me délectai de la vague de félicité que je sentais monter en moi.
Mon homme m'avait pris aux épaules et m'amenait vers lui chaque fois qu'il plantait son
énorme dard au fond de mon cul tuméfié.
Chaque fois qu'il s'enfonçait au cœur de mes entrailles incandescentes je sentais ses
testicules durs et gorgés de sève frapper contre mes fesses bouillantes.
Mon mec se ruait dans mon fondement avec une rare violence, je me dis que s'il continuait
de la sorte il allait me déchirer le trou mais ce qu'il me faisait était tellement bon que je
voulais qu'il continue éternellement.
Je serrais mon homme dans l'étau de mes cuisses comme si je voulais l'éperonner pour
qu'il me baise encore plus fort.
Dans la pièce en dehors de mes hurlements de louve en chaleur on entendait les bruits de
succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait la monstrueuse queue qui me
fendait le rectum.
Tout à ma jouissance je roulais des hanches en cadence tendant ma croupe brûlante vers
la magnifique verge qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
La bouche grande ouverte je bramais sous les rugueux coups de boutoir répétés que je
recevais.
Je ne vivais plus que pour et par l'imposant pénis qui me forait les reins sombrant de plus
en plus dans l'univers cotonneux du bonheur.
David me besognait avec des "HAN" de bûcheron, voir son visage grimaçant me faisait
savoir que lui aussi prenait un superbe pied à me piner la raie comme il le faisait.
Sans que je m'en aperçoive mon sphincter se mit à presser le membre turgescent qui me
limait et à me tordre comme une damnée sous celui qui me chevauchait.
J'étais complètement en sueur et seul comptait pour moi la fabuleuse hampe dressée qui
me bourrait le cul, tout mon intérieur n'était qu'un énorme brasier et j'avais l'impression que
de la lave en fusion coulait dans mon fondement dévasté.
Chaque fois que la formidable bite s'enfonçait dans mon antre béante je perdais un peu
plus le sens des réalités.
Je ne savais plus depuis combien de temps David m'enculait et je commençai à sentir des
tremblements m'envahir, signe annonciateur d'un bonheur immense.
David était un baiseur formidable, aucun de mes autres amants ne me donnait autant de
plaisir que lui, ce que je ressentais était sublime.
Soudain s'immobilisant au fond de mon cul en feu mon amant me prit dans ses bras et me
fit pivoter autour de sen sexe, je me retrouvai à plat ventre, il replia mes jambes sous moi
de telle sorte à ce que je me retrouve la tête sur le drap et le cul en l'air.
Posant ses mains sur mon dos mon mec se mit à me pilonner l'arrière train avec une
violence incroyable.
Chaque fois que mon homme plongeait son superbe phallus au fond de mes entrailles,
son ventre musclé claquait contre mon fessier rougi à me faire mal.
Me cambrant à l'extrême et ondulant de la croupe je me mis à délirer.
C'est alors que s'enfonçant au fond de mes entrailles bouillonnantes David éjacula en
feulant, son abondant flot de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées
me provoqua un orgasme destructeur, je griffai les draps, tendis mon cul vers le membre
qui continuait à se déverser en moi pour accentuer la pénétration, un hurlement strident
pulse de ma gorge et je m'écroulai sur e lit entraînant dans ma chute celui qui me
chevauchait.
Je sentis David se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant
les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je revins à la réalité David rentrait dans la chambre, il avait été se laver le sexe mais
ce qui me frappa c'est qu'il bandait encore, il me sourit et me demanda "Alors salope
contente, tu as été bien baisé ?
- Oh oui, qu'est ce que tu 'as mis, j'ai cru à un moment que tu allais me déchirer le cul.
- Mais non ton cul est bien plus solide que tu le penses.
- Et toi est-ce que tu as pris du plaisir.
- Oh oui d'ailleurs tu as du sentir la giclée que je t'ai envoyé dans les fesses.
- Oui tu m'as complètement inondé, d'ailleurs je fuis un peu.
- AH AH AH !!
- Mais toi tu bandes encore.
- Oui.
- C'est fou.
- Pourquoi tu es déjà fatigué.
- Non pas du tout au contraire j'espère que tu vas encore me baiser toute la nuit.
- Ne t'inquiète pas, tu seras satisfait.
- Je ne demande que ça mais ce qui est fou c'est que juste après avoir tiré un coup tu
bandes déjà.
- Eh oui je ne suis pas un petit kiki moi.
- ça je le sais.
- Bon puisque je bande et que ça t'intrigue, viens donc te prosterner devant ce qui te donne
tant de plaisir et que tu aimes avoir dans le trou du cul et suce le.
- Avec joie.
- Non avec la bouche, allez salope viens prendre ton biberon".
Je m'agenouillai devant mon amant, caressai ses bourses duveteuses et portai un coup de
langue sur le gland turgescent.
Cette caresse fit dresser le sexe encore plus, j'ouvris tout grand la bouche et engloutis
l'objet de ma dévotion.
J'enroulai ma langue autour de la colonne de chair érigée, le mordillai et entamai une lente
fellation.
Je suçai le gros membre dressé pendant quelques minutes puis David plaqua mon visage
contre son pubis et m'envoya une abondante giclée se liqueur crémeuse dans la gorge
que j'avalai avec délectation.
Après avoir cajolé le pénis devenu à demi flaccide je m'écartai e mon homme et me relevai.
Mon mec me dit "Tu suces vraiment comme une déesse ma salope, tu as vraiment une
bouche à pipe.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir aussi bien pompé.
- C'est normal toi tu me baises bien et moi je te suce bien.
- Tu as raison, bon maintenant afin d'être en forme toute la nuit on va dîner.
- D'accord.
- Va donc te laver pendant que je prépare.
- A tout à l'heure chéri.
- A tout à l'heure ma salope".
J'allai dans la salle de bains et entrepris de rendre à mon corps une propreté toute
suédoise.
Après m'être bien lavé et séché je retournai dans le salon, David avait mis la table et étais
en train de servir deux verres de whisky, il avait du se caresser car il bandait de nouveau.
Il me sourit et me dit "Alors toute propre la belle petite cochonne ?
- Oui ça fait du bien.
- Allez viens prendre un verre.
- Avec plaisir, qu'est-ce qu'on mange ?
- Du jambon et des fruits.
- Bien mais je ne vois qu'une seule assiette.
- Tu as raison, il n'y a qu'une seule assiette car j'ai imaginé un moyen amusant pour
manger.
- Ah oui ?
- Oui.
- Comment ça ?
- Simple, je vais m'asseoir et tu vas te mettre sur mes genoux en t'empalant sur ma queue,
on va rester immobile, je vais te donner à manger et pendant tout le repas tu auras ma pine
plantée au fond de ton cul. Ca te va ?
- Super et pourquoi ne pas commencer pendant l'apéritif ?
- Salope plus on t'en donne plus tu en veux.
- Eh oui comme tu le dis tout le temps je suis une salope mais peut-être que tu ne te sens
pas capable de rester dans mon cul aussi longtemps sans tirer.
- Petite pute, tu sais bien que je suis capable de rester longtemps dans ton cul même en
te limant, d'ailleurs tu vas le voir cette nuit, je vais te défoncer tellement que demain tu ne
pourras pas marcher.
- Même si je dois marcher à quatre pattes je veux avoir le cul défoncé par toi chéri.
- Je le sais salope, allez prends ton verre et viens prendre ton suppositoire.
- AH AH AH !!".
David s'assis sur la chaise, je le suivis et lui présentai mes fesses, il me mit une claque
retentissante dessus et guida son énorme membre dans ma raie.
Quand le gland fut contre mon antre je descendis dessus.
Etant encore bien ouvert par la séance précédente le fabuleux pénis entra en moi comme
dans du beurre et je ne pus m'empêcher de gémir quand je sentis la bite prendre
possession de mon canal.
Aussitôt mes fesses devinrent chaudes et je sentis un désir fort monter en moi.
Mon amant s'en aperçut et me dit "On dirait que ma petite salope aime bien son siège.
- Oh oui que c'est bon de sentir ta pine entrer comme ça dans mon trou du cul, mais tu
sais il n'y a qu'avec toi que je me sens rempli comme ça.
- C'est normal tu as vu la taille de mon engin.
- Oui il est énorme.
- Et ton cul l'aime bien.
- Mon cul adore ta bite.
- AH AH AH !! Tu vas voir ma petite poulette il va encore beaucoup aimer cette nuit.
- Je ne demande que ça.
- Je le sais salope, allez buvons et mangeons".
Après avoir bus nos verres David me donna à manger, sentir l'immense verge érigée
palpiter au fond de moi me mettait dans tous mes états et un fort désir montait en moi.
Je fus très vite en nage et commençai à me tortiller tout en actionnant les muscles de mon
sphincter autour de la colonne de chair plantée en moi.
David me dit "Mais tu triches petite salope, je t'avais dit de rester immobile.
- Mais je ne bouge pas.
- Si tu tortilles du cul et tu es en train de me traire, tu crois peut-être que je ne sens rien.
- Je n'y peux rien, je suis en feu et j'ai envie d'être baisé comme une pute que je suis.
- Un peu de patience salope et je vais te baiser.
- Dépêche-toi j'ai très envie.
- Salope.
- Oui salope mais salope en chaleur alors si je suis là c'est pour être baisé par toi alors
baise-moi.
- Ah tu veux être baisé, d'accord".
Mon amant me prit à la taille, il se leva et sans que son pénis raide sorte de mon cul il
marcha dans la pièce et s'arrêta devant le mur, il me posa à terre et me dit "Appuie tes
mains contre le mur, cambre toi et tends ton cul je vais te bien bourrer ma salope".
J'obéis et David commença à me posséder à une vitesse folle, le désir qui me tenaillait
depuis le repas envahit mon être et je me mis à onduler sous les coups de boutoir que
mon amant m'assénait.
Les mains crispées sur mes hanches mon homme me baisait de toute la longueur de son
fabuleux phallus en de rudes poussées.
Chaque fois que mon mec plantait son sexe au fond de mon rectum en feu je décollai de
terre.
Sous les assauts furieux de David je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le
ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais
me tenir au mur pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul
au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles
poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique
phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue indéfiniment, les coups de
reins de mon amant étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au creux de mes
reins, mes pieds décollaient du sol, s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais
c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où seule comptait ce
formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à
hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier mon homme éjacula en râlant, ses épais jets de
semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un
orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis
mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel
surchauffé, la tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je
m'écroulais contre le mur où je me couchais en chien de fusil essayant de retrouver ma
respiration.
Quand je rouvris les yeux, David me regardait en souriant assis sur un des tabourets du
bar, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait apaisé et gluant, je regardai mon homme
je lui dis "Ouah tu m’as défoncé comme jamais on ne m’a défoncé,
le fade que j’ai pris !!..
- ça me fait plaisir.
- C’était sublime.
- Je suis content que tu ais aimé.
- Aimé mais c’est beaucoup plus que ça, adoré tu veux dire.
- Je m’étais promis de te faire monter au septième ciel.
- Tu as réussi, je me demande même si je suis redescendu.
- Merci ma chatte.
- Je t’assure c’est la vérité.
- Veux-tu boire quelque chose ma biche ?
- Un petit whisky s'il te plaît mon amour.
- ça arrive".
Quelques instants après il m'amena mon verre et nous bûmes en silence en fumant une
cigarette puis mon amant me dit "Allons prendre une douche avant de nous mettre au lit.
- Oui, c'est une excellente idée".
Nous passâmes dans la salle de bains, après avoir pendant de longues minutes livrés
nos corps à un jet d'eau chaude, nous nous savonnâmes abondamment pour éliminer les
toxines de nos ébats, je savonnai bien le gland de David pour lui rendre une propreté tout
suédoise, le membre se tendit aussitôt pour reprendre sa taille phénoménale mais mon
mec me fit tourner et entreprit à son tour de me nettoyer le fessier.
Quand il arrêta, j'étais de nouveau dans un état d'excitation extrême mais David actionna un
robinet qui propulsa sur nous une pluie d'eau fraîche qui me calma instantanément.
Quand nous sortîmes de sous la douche, j'étais bien reposé, je ne ressentais plus du tout
la fatigue causée par la dépense d'énergie ayant eu lieu quelque temps plus tôt, nous nous
séchâmes et je vis que le pénis de mon homme, si il n'était plus aussi tendu que tout à
l'heure, n'était pas flaccide, je me baissai et déposai un baiser sur son bout durci puis
partis me mettre au lit.
David me rejoignit quelques instants après et s'allongea à mes côtés, il éteignit la lampe
de chevet et se tourna vers moi pour m'embrasser, quand ses lèvres se posèrent sur les
miennes j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser
passionné.
Quand mon amant abandonna mes lèvres, j'avais le souffle court et une étrange langueur
prenait naissance dans le creux de mes reins embrasant tout mon corps, je sentais contre
ma hanche palpiter le phallus érigé de mon homme, je le caressai quelques minutes puis
ouvrant largement les cuisses je dis à David "Viens, prends-moi".
Il ralluma la lumière, prit des coussins qu'il glissa sous mes reins de sorte à relever mon
postérieur puis s'agenouilla entre mes jambes.
Il humecta son gland de salive et du bout de son membre turgescent se mit à me caresser
la raie, s'arrêtant de temps à autre contre ma corolle affamée, tandis que de l'autre main il
excitait mes tétons à travers. Je ne sais combien de temps dura ces attouchements mais
je me mis à râler, ma peau était si sensible que le moindre contact me faisait frémir, j'avais
pris mes cuisses sous les genoux et le relevai écartant mes fesses pour offrir plus encore
mon œillet à ces caresses, j'avais fermé les yeux et savourais le plaisir qui montait en moi
par vagues successives.
Trouvant à mon attitude que les prémices avaient assez duré, David positionna son priape
contre mon anus et se mit à peser dessus, La bite lubrifiée par la salive et la transpiration
émanant de mon corps entra dans mon cul comme dans du beurre, l'intromission fut très
longue et quand je sentis les bourses pleines de sève de mon mec contre ma croups, je
sus qu'il m'avait enfessé totalement, je nouai mes jambes dans son dos et mes mains
courraient amoureusement sur ses flancs.
Je sentais dans mon fondement palpiter l'énorme pine, prenant appui sur ses avant-bras
mon amant commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque va et viens
de lourds râles de bonheur, la fabuleuse verge coulissait sans aucune gène dans mon
fourreau entièrement dilaté me portant au summum du plaisir, je planais littéralement sous
les coups de boutoir que m'assenaient mon homme, mes râles s'étaient mués en cris de
bonheur et je roulai des hanches en cadence tendant mon derrière vers cette magnifique
queue qui me forait les reins, David avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me
pilonnait le cul de toute la longueur de sa hampe tuméfiée.
Chaque fois que son pieu de chair plongeait au tréfonds de mon intimité je me sentais
perdre pied un peu plus, je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, je ne
vivais plus sue pour et par cette merveilleuse pine qui me bourrait si bien, mon homme me
tringlait maintenant à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes fesses
bouillantes à me faire mal, j'avais le trou complètement éclaté et je bramais sous les
assauts répétés qui me faisaient décoller sur la couche chaque fois que le monstrueux vit
se plantait au fond de mon sphincter démoli, je ne savais plus depuis combien de temps
cette biroute roide me limait mais je voulais que ça dure indéfiniment tant le plaisir que me
procurait ce sexe était grand, j'avais l'impression que de la lave coulait de mon canal
dévasté, mon mec me possédait avec des "HAN" de bûcheron m'amenant au paroxysme
de la jouissance, j'avais atteint la plénitude rectale et je hurlai sans discontinuer, mon
amant avait pris mes jambes et les avait relevé jusqu'à ce que mes genoux touchent
presque mon visage de manière à faire ressortir plus encore mon anneau pour accentuer
l'angle de pénétration et me besognait avec une violence inouïe, s'il continuait comme ça il
allait me déchirer le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il le fasse, ma tête ballottait de
droite à gauche la bouche grande ouverte.
Sans que nos corps ne se séparent, David me fit tourner sur sa hampe et se leva de telle
sorte que je me retrouvai sur les mains, les cuisses autour de la taille de mon mec, celui-ci
bien planté sur ses jambes commença à me ramoner le prose violemment, chaque fois
que sa grosse pine se fichait au plus profond de mes entrailles je mordais les draps pour
ne pas hurler, j'avais atteint le point de non-retour et sous les assauts répétés, le plaisir
embrasa mon être et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de ma grotte et me plaquant contre lui
que David éjacula en râlant, ses épais flots de foutre crémeux giclèrent le long de mes
parois surchauffées me provoquant un spasme foudroyant, l'air me manqua, mes mains
se dérobèrent et je tombai lourdement sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me
chevauchait, mon corps se tendit comme un arc et un puissant hurlement pulsa de ma
gorge, je griffai les draps puis sombrai dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, mon mec était toujours planté entre mes fesses, il se retira et me dit
"Ça t'a plu ?
- Ce fut merveilleux, tu m'as baisé comme un dieu.
- Merci chérie, mais il faut dire que tu as un cul de rêve.
- C'est possible, mais ce faire enculer par une bite comme la tienne mérite qu'on y mette
du sien mon amour.
- Oui, je pense que je ne baise pas mal.
- Pas mal ! Mais tu plaisantes, jamais on ne m'a baisé comme toi, et pourtant je sais de
quoi je parle, tu es le meilleur
- Si tu le dis, je veux bien te croire, mais disons que toi non plus tu n'es pas mal comme
baiseuse, je dirais même que tu es extra.
- Merci mon chou".
Après avoir fumé une cigarette et bu un verre, nous refîmes l'amour, dans la nuit David me
prit à quatre reprises me faisant admirablement jouir chaque fois.
Quand au petit matin, nous nous endormîmes épuisés, j’étais rempli de sperme de la tête
aux pieds, j’avais le cul complètement éclaté mais j’étais comblé.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
je suis une salope comme toi ki ne demande ke kelkun pour lui faire gouter sa bonne bite
aider moiiii



Texte coquin : Damien (5) : David un amant exceptionnel
Histoire sexe : Une rose rouge
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