Sexes à tout va 4ème récit
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sexes à tout va 4ème récit
Dans ce même cinéma à Paris, j’ai eu d’autres aventures. Je me souviens d’un noir bien monté qui m’a offert son membre à sucer, au moment de jouir, il est sorti de ma bouche, m’a pris la tête et a joui dans mon oreille qui s’est rempli de liquide séminal. Drôle de sensation. Un autre fois, dans la plus grande salle de cinéma, à l’étage du bas, au fond, il y a une rangée de fauteuils où ça baise dur. et il y a une sorte de déambulatoire avec une barrière contre la rangée de fauteuil. Pratique pour offrir sa queue au spectateur assis, il n’a qu’à retourner la tête et a un choix de queues plus ou moins vigoureuses. J’aime les queues d’arabe car lorsque tu les suces tu es sûr de recevoir ta récompense alors que les autres, ils t’offrent leur queue pour un bref moment refusant d’aller jusqu’à la jouissance et ils passent ainsi de bouche en bouche.
Un des souvenir le plus marquant de ce cinéma c’est que j’ai réalisé un rêve, me faire prendre à la queue leu leu. Un jour, j’étais en salle, un rebeu est venu caresser mon arrière train découvert, puis il m’a proposé d’aller dans ce fameux couloir où j’avais déjà été baisé. mais au lieu de rester dans la zone de pénombre, il m’a emmené au fond près de l’issue de secours, espace éclairé où se tiennent des voyeurs la queue entre les mains, l’astiquant en regardant les autres se donner du plaisir. Je ne sais pas pourquoi, mais arrivé là au lieu de me pencher comme d’hab pour offrir une bonne entrée de cul, je me suis mis à quatre pattes et lui, s’est positionné derrière moi pour me pénétrer et m’enfiler dans une danse jouisseuse alternative sous le regard lubrique des voyeurs s’astiquant le poireau au rythme de la baise. Certains, juste au dessus de me tête, sans doute voulaient-ils me baptiser de leur semence ? Il m’a bien ramoné, c’était un vrai plaisir de me faire prendre devant tous ces voyeurs et dans un très bon confort, effectivement quand on baise debout courbé, je fatigue et n’ai qu’une envie qu’il finisse son affaire. Mais là j’étais bien et quand il s’est affalé sur moi épuisé d’avoir donné toute sa fortune, son sexe s’est ramolli et a été éjecter par mon sphincter qui se refermait satisfait du don reçu. Il s’en est allé, et moi, je suis resté ainsi offert aux regards et aux désirs. Je n’ai pas attendu longtemps lorsque deux genoux sont venus m’enserrer les jambes et une queue venait s’introduire profitant du lubrifiant naturel laissé par l’autre. Celui-ci, sans connaître, ni avoir vu son visage, je l’ai reconnu car il m’avait précédé au guichet et tenait dans chaque main des paquets de courses, il expliquait au vendeurs qu’il avait fait les courses avant car à la sortie, les magasins seraient fermés. J’avais donc de chaque côté de mes côtes des paquets qui s’agitait en même temps que cet inconnu me perforait le cul. Un voyeur masturbateur était juste au dessus de ma tête, j’ai voulu prendre son engin pour en avoir un dans chaque trou mais il s’est soustrait à mon désir. Mon baiseur aux courses ayant fini son affaire et m’ayant donner sa contribution en liquide, s’est retiré de mon canal à jouir, pour laisser la place à une queue, toujours sans visage mais d’une longueur phénoménale puisqu’il n’a pas pu tout rentrer alors que j’offrais généreusement mon cul sans restriction. Son bout de chair venait taper ma prostate, la douleur n’était pas loin. Il a ferraillé pas mal et s’est retiré en se penchant vers moi pour me dire qu’il n’avait pas joui. C’est alors qu’une queue mole s’est présentée devant ma bouche, je l’ai prise volontiers car j’aime sucer. Quand j’étais petit, je suçait mon pousse, maintenant ce sont des queues que je suce. Le sucé s’est fait reconnaitre, c’est mon premier baiseur qui m’avait conduit à cette place et qui voulait à nouveau profiter de ma disponibilité pour astiquer son poireau dans mon orifice. Il m’a donc baisé une seconde fois avec la même fougue, je ne sais si la quantité de jus était la même, je gardais toutes ces contributions à l’intérieur de moi comme une femelle désirant être fécondée. Après cela, tout de même épuisé par ces assauts amoureux, je me suis retiré dans la salle tout en laissant mon cul à l’air pour attiser la convoitise des queues en manque. Une heure après, je ne puis dire, car j’ai somnolé, je suis abordé par un gars qui vient s’asseoir à côté de moi et me caresse les fesses, c’est mon premier baiseur qui veut remettre le couvert pour la troisième fois et me propose de retourner dans le lieu d’exposition sexuelle. Mais, je ne sais pourquoi, j’ai refusé de retourner là-bas et je lui ai offert ma croupe qu’il a honorée pour la troisième fois. Journée merveilleuse de baise.
Un des souvenir le plus marquant de ce cinéma c’est que j’ai réalisé un rêve, me faire prendre à la queue leu leu. Un jour, j’étais en salle, un rebeu est venu caresser mon arrière train découvert, puis il m’a proposé d’aller dans ce fameux couloir où j’avais déjà été baisé. mais au lieu de rester dans la zone de pénombre, il m’a emmené au fond près de l’issue de secours, espace éclairé où se tiennent des voyeurs la queue entre les mains, l’astiquant en regardant les autres se donner du plaisir. Je ne sais pas pourquoi, mais arrivé là au lieu de me pencher comme d’hab pour offrir une bonne entrée de cul, je me suis mis à quatre pattes et lui, s’est positionné derrière moi pour me pénétrer et m’enfiler dans une danse jouisseuse alternative sous le regard lubrique des voyeurs s’astiquant le poireau au rythme de la baise. Certains, juste au dessus de me tête, sans doute voulaient-ils me baptiser de leur semence ? Il m’a bien ramoné, c’était un vrai plaisir de me faire prendre devant tous ces voyeurs et dans un très bon confort, effectivement quand on baise debout courbé, je fatigue et n’ai qu’une envie qu’il finisse son affaire. Mais là j’étais bien et quand il s’est affalé sur moi épuisé d’avoir donné toute sa fortune, son sexe s’est ramolli et a été éjecter par mon sphincter qui se refermait satisfait du don reçu. Il s’en est allé, et moi, je suis resté ainsi offert aux regards et aux désirs. Je n’ai pas attendu longtemps lorsque deux genoux sont venus m’enserrer les jambes et une queue venait s’introduire profitant du lubrifiant naturel laissé par l’autre. Celui-ci, sans connaître, ni avoir vu son visage, je l’ai reconnu car il m’avait précédé au guichet et tenait dans chaque main des paquets de courses, il expliquait au vendeurs qu’il avait fait les courses avant car à la sortie, les magasins seraient fermés. J’avais donc de chaque côté de mes côtes des paquets qui s’agitait en même temps que cet inconnu me perforait le cul. Un voyeur masturbateur était juste au dessus de ma tête, j’ai voulu prendre son engin pour en avoir un dans chaque trou mais il s’est soustrait à mon désir. Mon baiseur aux courses ayant fini son affaire et m’ayant donner sa contribution en liquide, s’est retiré de mon canal à jouir, pour laisser la place à une queue, toujours sans visage mais d’une longueur phénoménale puisqu’il n’a pas pu tout rentrer alors que j’offrais généreusement mon cul sans restriction. Son bout de chair venait taper ma prostate, la douleur n’était pas loin. Il a ferraillé pas mal et s’est retiré en se penchant vers moi pour me dire qu’il n’avait pas joui. C’est alors qu’une queue mole s’est présentée devant ma bouche, je l’ai prise volontiers car j’aime sucer. Quand j’étais petit, je suçait mon pousse, maintenant ce sont des queues que je suce. Le sucé s’est fait reconnaitre, c’est mon premier baiseur qui m’avait conduit à cette place et qui voulait à nouveau profiter de ma disponibilité pour astiquer son poireau dans mon orifice. Il m’a donc baisé une seconde fois avec la même fougue, je ne sais si la quantité de jus était la même, je gardais toutes ces contributions à l’intérieur de moi comme une femelle désirant être fécondée. Après cela, tout de même épuisé par ces assauts amoureux, je me suis retiré dans la salle tout en laissant mon cul à l’air pour attiser la convoitise des queues en manque. Une heure après, je ne puis dire, car j’ai somnolé, je suis abordé par un gars qui vient s’asseoir à côté de moi et me caresse les fesses, c’est mon premier baiseur qui veut remettre le couvert pour la troisième fois et me propose de retourner dans le lieu d’exposition sexuelle. Mais, je ne sais pourquoi, j’ai refusé de retourner là-bas et je lui ai offert ma croupe qu’il a honorée pour la troisième fois. Journée merveilleuse de baise.
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