Soir de noces ou expérience insolite
Récit érotique écrit par Petikokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soir de noces ou expérience insolite
Bonjour,
En 1966, célibataire, j'avais 22 ans et quelques mois quand l'un de mes frère m'a invité, début août, à son mariage.
Pour des raisons professionnelles, je n'ai pu me libérer le week-end et le lundi suivant l'évènement. Cela me permettra d'éliminer l'alcool, la fatigue et d'effectuer les 150 kilomètres du retour.
Ce samedi-là, il faisait particulièrement chaud. Après les cérémonies civiles et religieuses, vers seize heure, nous nous retrouvons à la campagne, dans la ferme des parents de celle qui était devenue ma belle soeur.
Parmi mes nombreux défauts, j'en ai un que je n'ai jamais pu éliminer : je ne sais pas danser et j'ai horreur de ça (je n'empèche pas les autres de pratiquer). A cause de cela, je suis chargé de m'occuper de Marguerite, la grand-mère de la mariée... Elle a quatre vingt ans passés mais si bien "conservée" qu'elle en parait bien dix de moins... Cette mission m'est d'autant plus facile qu'elle habite au village, à quatre km environ de la ferme. Pour la circonstance, je loge chez elle deux nuits, .
Après le repas, vers une heure du matin, alors qu'une chaîne hi-fi diffuse de la musique pour les danseurs, la mamie me dit :" Cette musique est trop forte... J'ai bien chaud... Je ne suis pas habituée à manger et à boire autant... J'ai mal à la tête et j'ai envie de vomir... Je voudrai me coucher...
- Vous voulez marcher un peu ?... Donnez moi votre bras..."
J'aide la grand-mère à se lever et à marcher... Chemin faisant, nous nous trouvons derrière une étable, dans une zone seulement éclairée par la lune, quand les premières nausée commencent à soulever l'estomac de ma "cavalière". Je la soutiens plus fermement. En vomissant le trop plein de victuailles, entre deux spasmes, elle me dit d'un ton anodin :"Ho mon dieu, ces efforts me font pisser à la culotte..."
Quand enfin elle a éliminé ce surplus de nourriture, elle me demande de la conduire vers la salle de bains pour pouvoir se rincer la bouche et faire un petit brin de toilette... En entrant dans la maison, la jeune mariée lui demande :" Qu' est-ce qui t'arrive mamie?"
Ne répond pas, par signes, elle fait comprendre qu'elle a quelques ennuis gastriques. C'est moi qui renseigne Monique en lui disant que sa grand-mère venant de vomir, ça va mieux. Elle veut se rafraîchir et rentrer se coucher...
Laissant la vieille femme à ses ablutions, je vais dire "au revoir" aux noctambules encore debout. Récupérant ma logeuse, nous rentrons nous coucher... Pendant tout le trajet, elle ne dit mot... Arrivés à la maison, chaqu'un regagne sa chambre pour la fin de la nuit...
Vers neuf heure et demi, j'entends frapper à la porte... Mal réveillé, je réponds tout de même :"Entrez !"
Poussant la porte, Marguerite, vêtue d'une simple blouse, me dit :"Excusez-moi, mais cette nuit, en vomissant, j'ai perdu mon dentier du haut...
- Je me lève et on va aller le rechercher...
- Cela me gêne beaucoup de vous demander ça... J'ai bien remis mon vieil appareil dentaire mais il tient mal...
- Ce n'est pas grave, je ferais une bonne sieste cet après-midi... Je me lève, fais ma toilette et on y va...
- D'accord... je mets la cafetière en route et vous prépare un petit déjeuner..."
Comme il est dit, nous faisons... Alors que tout le mode dort encore à la ferme, sur les lieux du "soulagement", discrètement, nous récupérons la prothèse et nous rentrons... Une fois bien brossées, les dents artificielles remises en place, nous nous installons chacun dans un fauteuil de la salle à manger...
N'ayant rien d'autre à faire que d'attendre l'heure pour aller rejoindre les mariés pour "manger les restes", nous bavardons sur la cérémonie de la veille... Puis se levant, Marguerite me dit :"Il commence à faire bien chaud... Je vais entrebailler les volets, ça fera de l'ombre et ça gardera la fraîcheur..."
Devant la porte fenêtre, le contre jour et la légèreté de la blouse, me persuadent que Marguerite ne porte que ce seul vêtement... Avant de s'asseoir, elle va à la cuisine chercher une bouteille d'eau fraîche et deux verres...
Voulant confirmer mon impression, je porte une attention très particulière aux mouvements de la grand'mère. C'est ainsi que lorsque, courbée, elle me tend mon verre, je peux voir ses seins sans soutien gorge... Quand elle pose ses fesses dans le fauteuil, pendant une fraction de seconde je vois bien quelle n'a pas de culotte... N'étant pas de bois, un début d'érection commence à être visible entre mon ventre et mes cuisses. Marguerite ne se gêne pas pour y poser son regard... Toutefois, notre conversation reprend sur diverses banalités, entres autres, sur la "perte" du dentier... Jamais je n'aurais du dire : "C'est vrai que sans dents on doit être mal à l'aise. On n'ose pas écarter les lèvres pour sourire, on n'ose pas ouvrir la bouche, on postillonne en parlant... On ne peut rien faire...
- Ho si ! Il y a quelque chose qu'on peut faire très bien... dit-elle en plantant son regard dans le mien...
- ? C'est quoi ?
- Vous ne vous en doutez pas ? me dit-elle avec un petit sourire malicieux...
- A part téter un biberon, je ne vois pas....
- Téter, oui, pas un biberon mais une belle queue comme vous devez avoir..."
Heureusement que je suis assis... Une telle réflexion, venant d'une femme aussi âgée et paraissant aussi digne, me laisse sans voix et sans réaction... Gêné pour elle, il me semble que je suis rouge jusqu'à la pointe de mes cheveux... Et elle rajoute : "Si vous ne me croyez pas, on peut essayer..."
Sans réaction de ma part car j'étais complètement abasourdi, elle se lève, ôte ses dentiers et vient défaire ma ceinture et les boutons de ma braguette...
Très vite je me retrouves le pantalon ouvert, la verge dans la main de la grand-mère qui commence doucement à la masturber pour lui donner la vigueur qu'elle venait de perdre... Ne pouvant rester insensible à autant d'attention, j'ai une érection incontrôlable et incontrôlée. Quand elle a estimé la raideur à sa convenance, Marguerite, telle une affamée, engloutit le "poireau" presque complètement entre ses lèvres. C'est en faisant reculer sa tête pour faire sortir l'engin qu'elle serre les mâchoires afin de pratiquer un massage bien particulier avec ses gencives. La sensation est sublime. La tension dans ma verge est au maximum. De part ses mouvements, je sens que Marguerite prend autant de plaisir que moi. elle accélère la cadence jusqu'à ce que je lui repousse la tête pour ne pas gicler dans sa bouche...Mais, d'un grognement, elle me fait comprendre le contraire. Alors, ne me retenant plus, je me vide au maximum au fond de sa gorge... Elle avale tout... Libérant enfin mon sexe et reprenant son souffle, elle me dit : "C'était bon ?
- Sublime !!!
- Tu vois que sans dents on peut faire des choses agréables... Ça m'a bien fait plaisir de te faire connaître ça... J'en ai presque jouis..."
Encore tout "retourné" par le tutoiement, la surprise et la particularité des sensations, je reste sans mouvement et sans réponse...
Regardant la pendule, Marguerite me dit : "Le temps de se préparer , il sera l'heure d'aller rejoindre les autres... Mais ce soir je veux que ce soit toi qui me donne du plaisir..."
Sans attendre ma réponse, elle s'enferme dans la salle de bains... Je reste assis avec ma cervelle qui commence à s'échauffer en pensant à la soirée à venir...
(A suivre)
En 1966, célibataire, j'avais 22 ans et quelques mois quand l'un de mes frère m'a invité, début août, à son mariage.
Pour des raisons professionnelles, je n'ai pu me libérer le week-end et le lundi suivant l'évènement. Cela me permettra d'éliminer l'alcool, la fatigue et d'effectuer les 150 kilomètres du retour.
Ce samedi-là, il faisait particulièrement chaud. Après les cérémonies civiles et religieuses, vers seize heure, nous nous retrouvons à la campagne, dans la ferme des parents de celle qui était devenue ma belle soeur.
Parmi mes nombreux défauts, j'en ai un que je n'ai jamais pu éliminer : je ne sais pas danser et j'ai horreur de ça (je n'empèche pas les autres de pratiquer). A cause de cela, je suis chargé de m'occuper de Marguerite, la grand-mère de la mariée... Elle a quatre vingt ans passés mais si bien "conservée" qu'elle en parait bien dix de moins... Cette mission m'est d'autant plus facile qu'elle habite au village, à quatre km environ de la ferme. Pour la circonstance, je loge chez elle deux nuits, .
Après le repas, vers une heure du matin, alors qu'une chaîne hi-fi diffuse de la musique pour les danseurs, la mamie me dit :" Cette musique est trop forte... J'ai bien chaud... Je ne suis pas habituée à manger et à boire autant... J'ai mal à la tête et j'ai envie de vomir... Je voudrai me coucher...
- Vous voulez marcher un peu ?... Donnez moi votre bras..."
J'aide la grand-mère à se lever et à marcher... Chemin faisant, nous nous trouvons derrière une étable, dans une zone seulement éclairée par la lune, quand les premières nausée commencent à soulever l'estomac de ma "cavalière". Je la soutiens plus fermement. En vomissant le trop plein de victuailles, entre deux spasmes, elle me dit d'un ton anodin :"Ho mon dieu, ces efforts me font pisser à la culotte..."
Quand enfin elle a éliminé ce surplus de nourriture, elle me demande de la conduire vers la salle de bains pour pouvoir se rincer la bouche et faire un petit brin de toilette... En entrant dans la maison, la jeune mariée lui demande :" Qu' est-ce qui t'arrive mamie?"
Ne répond pas, par signes, elle fait comprendre qu'elle a quelques ennuis gastriques. C'est moi qui renseigne Monique en lui disant que sa grand-mère venant de vomir, ça va mieux. Elle veut se rafraîchir et rentrer se coucher...
Laissant la vieille femme à ses ablutions, je vais dire "au revoir" aux noctambules encore debout. Récupérant ma logeuse, nous rentrons nous coucher... Pendant tout le trajet, elle ne dit mot... Arrivés à la maison, chaqu'un regagne sa chambre pour la fin de la nuit...
Vers neuf heure et demi, j'entends frapper à la porte... Mal réveillé, je réponds tout de même :"Entrez !"
Poussant la porte, Marguerite, vêtue d'une simple blouse, me dit :"Excusez-moi, mais cette nuit, en vomissant, j'ai perdu mon dentier du haut...
- Je me lève et on va aller le rechercher...
- Cela me gêne beaucoup de vous demander ça... J'ai bien remis mon vieil appareil dentaire mais il tient mal...
- Ce n'est pas grave, je ferais une bonne sieste cet après-midi... Je me lève, fais ma toilette et on y va...
- D'accord... je mets la cafetière en route et vous prépare un petit déjeuner..."
Comme il est dit, nous faisons... Alors que tout le mode dort encore à la ferme, sur les lieux du "soulagement", discrètement, nous récupérons la prothèse et nous rentrons... Une fois bien brossées, les dents artificielles remises en place, nous nous installons chacun dans un fauteuil de la salle à manger...
N'ayant rien d'autre à faire que d'attendre l'heure pour aller rejoindre les mariés pour "manger les restes", nous bavardons sur la cérémonie de la veille... Puis se levant, Marguerite me dit :"Il commence à faire bien chaud... Je vais entrebailler les volets, ça fera de l'ombre et ça gardera la fraîcheur..."
Devant la porte fenêtre, le contre jour et la légèreté de la blouse, me persuadent que Marguerite ne porte que ce seul vêtement... Avant de s'asseoir, elle va à la cuisine chercher une bouteille d'eau fraîche et deux verres...
Voulant confirmer mon impression, je porte une attention très particulière aux mouvements de la grand'mère. C'est ainsi que lorsque, courbée, elle me tend mon verre, je peux voir ses seins sans soutien gorge... Quand elle pose ses fesses dans le fauteuil, pendant une fraction de seconde je vois bien quelle n'a pas de culotte... N'étant pas de bois, un début d'érection commence à être visible entre mon ventre et mes cuisses. Marguerite ne se gêne pas pour y poser son regard... Toutefois, notre conversation reprend sur diverses banalités, entres autres, sur la "perte" du dentier... Jamais je n'aurais du dire : "C'est vrai que sans dents on doit être mal à l'aise. On n'ose pas écarter les lèvres pour sourire, on n'ose pas ouvrir la bouche, on postillonne en parlant... On ne peut rien faire...
- Ho si ! Il y a quelque chose qu'on peut faire très bien... dit-elle en plantant son regard dans le mien...
- ? C'est quoi ?
- Vous ne vous en doutez pas ? me dit-elle avec un petit sourire malicieux...
- A part téter un biberon, je ne vois pas....
- Téter, oui, pas un biberon mais une belle queue comme vous devez avoir..."
Heureusement que je suis assis... Une telle réflexion, venant d'une femme aussi âgée et paraissant aussi digne, me laisse sans voix et sans réaction... Gêné pour elle, il me semble que je suis rouge jusqu'à la pointe de mes cheveux... Et elle rajoute : "Si vous ne me croyez pas, on peut essayer..."
Sans réaction de ma part car j'étais complètement abasourdi, elle se lève, ôte ses dentiers et vient défaire ma ceinture et les boutons de ma braguette...
Très vite je me retrouves le pantalon ouvert, la verge dans la main de la grand-mère qui commence doucement à la masturber pour lui donner la vigueur qu'elle venait de perdre... Ne pouvant rester insensible à autant d'attention, j'ai une érection incontrôlable et incontrôlée. Quand elle a estimé la raideur à sa convenance, Marguerite, telle une affamée, engloutit le "poireau" presque complètement entre ses lèvres. C'est en faisant reculer sa tête pour faire sortir l'engin qu'elle serre les mâchoires afin de pratiquer un massage bien particulier avec ses gencives. La sensation est sublime. La tension dans ma verge est au maximum. De part ses mouvements, je sens que Marguerite prend autant de plaisir que moi. elle accélère la cadence jusqu'à ce que je lui repousse la tête pour ne pas gicler dans sa bouche...Mais, d'un grognement, elle me fait comprendre le contraire. Alors, ne me retenant plus, je me vide au maximum au fond de sa gorge... Elle avale tout... Libérant enfin mon sexe et reprenant son souffle, elle me dit : "C'était bon ?
- Sublime !!!
- Tu vois que sans dents on peut faire des choses agréables... Ça m'a bien fait plaisir de te faire connaître ça... J'en ai presque jouis..."
Encore tout "retourné" par le tutoiement, la surprise et la particularité des sensations, je reste sans mouvement et sans réponse...
Regardant la pendule, Marguerite me dit : "Le temps de se préparer , il sera l'heure d'aller rejoindre les autres... Mais ce soir je veux que ce soit toi qui me donne du plaisir..."
Sans attendre ma réponse, elle s'enferme dans la salle de bains... Je reste assis avec ma cervelle qui commence à s'échauffer en pensant à la soirée à venir...
(A suivre)
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