Soirée entre amis
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soirée entre amis
Un resto comme tant d’autres, ils sont attablés et discutent.
Elle blonde aux cheveux courts, grande 1m76 avec des formes généreuses.
Lui ? peu importe.
Ce sont de vieux amis, ils ont été amants mais peu de temps et aiment se retrouver ainsi pour discuter de leur vie, de leur partenaires actuels.
Peu à peu la discussion dérive, il lui raconte sa dernière expérience avec une femme qui voulait être dominée, soumise.
Bien sur, elle dit qu’elle ne comprend pas ce genre de pratiques, qu’elle ne ferait jamais cela.
Mais elle demande des détails et malgré tout, a l’air intéresséeIls partent boire le dernier verre chez lui, elle revient sur le sujet mais toujours en expliquant que tout ça n’est que de la curiosité.
Elle insiste pour voir les accessoires, il lui montre le martinet, les menottes, la laisse etc.….
Elle semble fascinée mais dit qu’elle va rentrer car demain elle travaille.
Ils se quittent en se faisant la bise.
Il n’était pas au lit depuis une heure que le téléphone sonne. C’est elle.
- Je te réveille ? je n’arrive pas à dormir.
- Et pourquoi donc ?
- Je ne sais pas trop, toutes tes histoires de sado maso j’y repense.
- Je croyais que tu n’aimais pas ?
- Oui, bien sur mais je me demande ce qu’elle peut y trouver.
- Tu veux essayer ?
- Tu plaisantes j’espère, je t’ai déjà dis que ce n’était pas mon truc.
- Ok, mais avoues que tu es spéciale tu me réveilles à 2 heures du matin pour me dire que tu es troublée mais que tu ne veux pas essayer, Bonne nuit.
- Non ne quitte pas, excuse moi, en fait je veux bien mais il faut que tu me promettes que si je veux arrêter tu n’insisteras pas.
- Tu me connais quand même !! Viens je t’attend.
Il se relève enfile un pantalon et une chemise noire, allume des bougies dans le salon et attend.
Une demi heure se passe, il se dit qu’elle a du renoncer ,quand la sonnette de la porte retentie.
Il ouvre , elle est là , elle aussi s’est changée, elle porte une robe noire à bretelles qui met en valeur ses courbes. Elle a l’air un peu gênée.
Il décide de ne pas lui laisser le temps de réfléchir.
- Entre et reste debout au milieu du salon.
Elle ne dit rien et docile s’avance .
Il lui met un bandeau sur les yeux.
- N’ai pas peur, c’est juste pour créer un sentiment d’abandon.
- Je n’ai pas peur.
- Bien mais maintenant tu dois m’appeler maître.
Elle s’esclaffe.
- Si tu rigoles , on arrête de suite.
- Non excusez moi maître, je suis nerveuse c’est tout.
Il fait tomber les bretelles de la robe et lui ôte celle ci lentement. Mon dieu qu’elle est désirable, il lui laisse ses escarpins noirs.
Elle frissonne un peu .
- Ecarte les jambes et penche toi en te cambrant , met les mains sur tes fesses en écartant bien.
Elle obéit, il se recule un peu pour jouir du spectacle.
Il se rapproche caresse les cheveux courts, descend le long du dos, elle réagit en soupirant.
- Tu vas être docile , faire tout ce que je te demande.
- Oui maître dit elle dans un murmure.
Il continue sa caresse, s’attarde sur la cambrure, caresse les deux fesses puis passe son doigt dans la raie ouverte ,il descend vers le sexe , elle est déjà excitée.
- Ca a l’air de te plaire, dit il en insinuant un doigt dans la chatte.
- Oui je suis à toi.
Il lui claque les fesses.
- Je t’ai déjà dit de m’appeler maître et de me vouvoyer.
- Pardon maître.
Il commence alors à lentement la fesser , d’abord doucement en s’appliquant à frapper toute la surface des fesses.
- Elle sursaute à chaque coups, pousse des petits cris mais reste dans sa position.
Il se saisit du martinet, passe les lanières doucement sur le joli cul ouvert ,sur le sexe de son amie. Elle se crispe mais il ne lui laisse pas le temps de réagir, il frappe un coup sec .
Elle crie , ses mains tentent de protéger maladroitement ses fesses.
- Remet tes mains comme je te l’ai dit, tu dois être plus docile où tu seras punie.
Elle se remet en position, les coups s’abattent sur elle , elle crie mais ne bouge pas.
- Reste ainsi , je vais prendre un peu de repos.
Et il s’assoit sur le canapé, la vue de son amie nue au milieu du salon , jambes et fesses écartées , le cul rougis , l’excite au plus haut point , il a envie de la prendre là de suite mais il faut faire durer le plaisir .
- Caresse toi la chatte.
Elle retire l’une de ses mains et commence à se caresser.
- Mieux que ça, met un doigt.
Elle est docile et se masturbe sans pudeur devant lui.
- Arrête tu jouiras quand je te l’ordonnerai.
Il s’approche d’elle , lui met le collier et la laisse, machinalement elle a remis les mains sur les fesses.
Il la fait mettre à quatre pattes et la promène dans la pièce.
Elle avance lentement , maladroitement à cause du bandeau..
Il la conduit vers le canapé et s’assoit face à elle.
Il lui appuie sur la tête.
- Lèche mes pieds salope.
Elle ne résiste pas et passe la langue sur les pieds nus de l’homme .
- Applique toi , comme si tu suçais une bite.
Jamais il ne lui avait parlé sur ce ton, un moment il se dit qu’elle va se relever et partir, mais elle passe sa langue sur les orteils , introduisant ceux ci dans sa bouche.
- Il a une folle envie d’elle mais ce n’est pas encore le moment.
Il la fait se redresser, elle est à genoux devant lui .Il lui ordonne de mettre les mains dans le dos.
Il caresse le visage avec son pied, elle sort la langue .
Il sort deux pinces à linges ,les passe sur la langue de la soumise , les frotte sur les seins.
- Non je vous en prie pas ça, murmure t elle.
Mais il est trop excité et pose la première pince sur le téton.
Elle se mords les lèvres mais n’essaye pas de se dérober, alors il pose la seconde pince.
Il joue avec la poitrine de son amie, passant ses mains sur les deux seins , tirant légèrement sur la pince . Elle gémit mais les mains restent dans le dos.
Il lui donne des petites claques sur le visage.
- Tu veux continuer ?
- Oui maître.
Il commence a frapper les seins avec la main, puis avec le martinet . il lui demande de compter les coups.
Elle est sa chose, soumise , consentante ;Il la relève, lui passe les menottes en lui mettant les mains dans le dos.
Il la conduit jusqu’à la table de la salle à manger, il la plaque dessus, il n’y tient plus.
Il la pénètre et commence à aller et venir.
Elle est trempée, elle bouge son cul à chaque fois qu’il s’enfonce en elle.
- Oui prend moi, baise moi.
Il frappe le cul de son amie en même temps, il lui enfonce un doigt puis deux dans l’anus.
Elle crie encore plus fort.
Il remplace ses doigts par sa queue, jamais il ne l’avais enculée quand ils étaient amants mais là elle semble prête à tout.
Elle jouie en hurlant , il se retire lui n’a pas joui ;Il la fait mettre à genoux et lui enfonce son sexe dans la bouche ,il ne lui laisse pas le temps de s’appliquer , il lui prend la tête et la force.
Il joui très vite, reste un moment ainsi le sexe dans la bouche de son amie qui ne bouge plus elle non plus.
Enfin il se retire. La relève, lui ôte le bandeau.
Le regard de son amie trahi de la surprise et aussi un peu de honte.
Il détache les menottes.
- Je peux prendre une douche.
Et elle file dans la salle de bain.
Il en profite pour ranger la pièce et lui servir un verre.
Elle sort nue, sur le corps elle a les traces rouges du martinet, elle se rhabille sans le regarder.
- Excuse moi je n’ai pas le temps il faut que je m’en aille.
Elle ne lui donna plus de nouvelles pendant deux longues semaines puis un jour elle l’appela pour un resto, mais plus jamais ils ne parlèrent de cette nuit.
Elle blonde aux cheveux courts, grande 1m76 avec des formes généreuses.
Lui ? peu importe.
Ce sont de vieux amis, ils ont été amants mais peu de temps et aiment se retrouver ainsi pour discuter de leur vie, de leur partenaires actuels.
Peu à peu la discussion dérive, il lui raconte sa dernière expérience avec une femme qui voulait être dominée, soumise.
Bien sur, elle dit qu’elle ne comprend pas ce genre de pratiques, qu’elle ne ferait jamais cela.
Mais elle demande des détails et malgré tout, a l’air intéresséeIls partent boire le dernier verre chez lui, elle revient sur le sujet mais toujours en expliquant que tout ça n’est que de la curiosité.
Elle insiste pour voir les accessoires, il lui montre le martinet, les menottes, la laisse etc.….
Elle semble fascinée mais dit qu’elle va rentrer car demain elle travaille.
Ils se quittent en se faisant la bise.
Il n’était pas au lit depuis une heure que le téléphone sonne. C’est elle.
- Je te réveille ? je n’arrive pas à dormir.
- Et pourquoi donc ?
- Je ne sais pas trop, toutes tes histoires de sado maso j’y repense.
- Je croyais que tu n’aimais pas ?
- Oui, bien sur mais je me demande ce qu’elle peut y trouver.
- Tu veux essayer ?
- Tu plaisantes j’espère, je t’ai déjà dis que ce n’était pas mon truc.
- Ok, mais avoues que tu es spéciale tu me réveilles à 2 heures du matin pour me dire que tu es troublée mais que tu ne veux pas essayer, Bonne nuit.
- Non ne quitte pas, excuse moi, en fait je veux bien mais il faut que tu me promettes que si je veux arrêter tu n’insisteras pas.
- Tu me connais quand même !! Viens je t’attend.
Il se relève enfile un pantalon et une chemise noire, allume des bougies dans le salon et attend.
Une demi heure se passe, il se dit qu’elle a du renoncer ,quand la sonnette de la porte retentie.
Il ouvre , elle est là , elle aussi s’est changée, elle porte une robe noire à bretelles qui met en valeur ses courbes. Elle a l’air un peu gênée.
Il décide de ne pas lui laisser le temps de réfléchir.
- Entre et reste debout au milieu du salon.
Elle ne dit rien et docile s’avance .
Il lui met un bandeau sur les yeux.
- N’ai pas peur, c’est juste pour créer un sentiment d’abandon.
- Je n’ai pas peur.
- Bien mais maintenant tu dois m’appeler maître.
Elle s’esclaffe.
- Si tu rigoles , on arrête de suite.
- Non excusez moi maître, je suis nerveuse c’est tout.
Il fait tomber les bretelles de la robe et lui ôte celle ci lentement. Mon dieu qu’elle est désirable, il lui laisse ses escarpins noirs.
Elle frissonne un peu .
- Ecarte les jambes et penche toi en te cambrant , met les mains sur tes fesses en écartant bien.
Elle obéit, il se recule un peu pour jouir du spectacle.
Il se rapproche caresse les cheveux courts, descend le long du dos, elle réagit en soupirant.
- Tu vas être docile , faire tout ce que je te demande.
- Oui maître dit elle dans un murmure.
Il continue sa caresse, s’attarde sur la cambrure, caresse les deux fesses puis passe son doigt dans la raie ouverte ,il descend vers le sexe , elle est déjà excitée.
- Ca a l’air de te plaire, dit il en insinuant un doigt dans la chatte.
- Oui je suis à toi.
Il lui claque les fesses.
- Je t’ai déjà dit de m’appeler maître et de me vouvoyer.
- Pardon maître.
Il commence alors à lentement la fesser , d’abord doucement en s’appliquant à frapper toute la surface des fesses.
- Elle sursaute à chaque coups, pousse des petits cris mais reste dans sa position.
Il se saisit du martinet, passe les lanières doucement sur le joli cul ouvert ,sur le sexe de son amie. Elle se crispe mais il ne lui laisse pas le temps de réagir, il frappe un coup sec .
Elle crie , ses mains tentent de protéger maladroitement ses fesses.
- Remet tes mains comme je te l’ai dit, tu dois être plus docile où tu seras punie.
Elle se remet en position, les coups s’abattent sur elle , elle crie mais ne bouge pas.
- Reste ainsi , je vais prendre un peu de repos.
Et il s’assoit sur le canapé, la vue de son amie nue au milieu du salon , jambes et fesses écartées , le cul rougis , l’excite au plus haut point , il a envie de la prendre là de suite mais il faut faire durer le plaisir .
- Caresse toi la chatte.
Elle retire l’une de ses mains et commence à se caresser.
- Mieux que ça, met un doigt.
Elle est docile et se masturbe sans pudeur devant lui.
- Arrête tu jouiras quand je te l’ordonnerai.
Il s’approche d’elle , lui met le collier et la laisse, machinalement elle a remis les mains sur les fesses.
Il la fait mettre à quatre pattes et la promène dans la pièce.
Elle avance lentement , maladroitement à cause du bandeau..
Il la conduit vers le canapé et s’assoit face à elle.
Il lui appuie sur la tête.
- Lèche mes pieds salope.
Elle ne résiste pas et passe la langue sur les pieds nus de l’homme .
- Applique toi , comme si tu suçais une bite.
Jamais il ne lui avait parlé sur ce ton, un moment il se dit qu’elle va se relever et partir, mais elle passe sa langue sur les orteils , introduisant ceux ci dans sa bouche.
- Il a une folle envie d’elle mais ce n’est pas encore le moment.
Il la fait se redresser, elle est à genoux devant lui .Il lui ordonne de mettre les mains dans le dos.
Il caresse le visage avec son pied, elle sort la langue .
Il sort deux pinces à linges ,les passe sur la langue de la soumise , les frotte sur les seins.
- Non je vous en prie pas ça, murmure t elle.
Mais il est trop excité et pose la première pince sur le téton.
Elle se mords les lèvres mais n’essaye pas de se dérober, alors il pose la seconde pince.
Il joue avec la poitrine de son amie, passant ses mains sur les deux seins , tirant légèrement sur la pince . Elle gémit mais les mains restent dans le dos.
Il lui donne des petites claques sur le visage.
- Tu veux continuer ?
- Oui maître.
Il commence a frapper les seins avec la main, puis avec le martinet . il lui demande de compter les coups.
Elle est sa chose, soumise , consentante ;Il la relève, lui passe les menottes en lui mettant les mains dans le dos.
Il la conduit jusqu’à la table de la salle à manger, il la plaque dessus, il n’y tient plus.
Il la pénètre et commence à aller et venir.
Elle est trempée, elle bouge son cul à chaque fois qu’il s’enfonce en elle.
- Oui prend moi, baise moi.
Il frappe le cul de son amie en même temps, il lui enfonce un doigt puis deux dans l’anus.
Elle crie encore plus fort.
Il remplace ses doigts par sa queue, jamais il ne l’avais enculée quand ils étaient amants mais là elle semble prête à tout.
Elle jouie en hurlant , il se retire lui n’a pas joui ;Il la fait mettre à genoux et lui enfonce son sexe dans la bouche ,il ne lui laisse pas le temps de s’appliquer , il lui prend la tête et la force.
Il joui très vite, reste un moment ainsi le sexe dans la bouche de son amie qui ne bouge plus elle non plus.
Enfin il se retire. La relève, lui ôte le bandeau.
Le regard de son amie trahi de la surprise et aussi un peu de honte.
Il détache les menottes.
- Je peux prendre une douche.
Et elle file dans la salle de bain.
Il en profite pour ranger la pièce et lui servir un verre.
Elle sort nue, sur le corps elle a les traces rouges du martinet, elle se rhabille sans le regarder.
- Excuse moi je n’ai pas le temps il faut que je m’en aille.
Elle ne lui donna plus de nouvelles pendant deux longues semaines puis un jour elle l’appela pour un resto, mais plus jamais ils ne parlèrent de cette nuit.
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