Sophie et charlotte 2

- Par l'auteur HDS Serge1 -
Récit érotique écrit par Serge1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sophie et charlotte 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2015 dans la catégorie Fétichisme
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Sophie et charlotte 2
Lorsque mon cœur se calma, je rouvris les yeux : devant moi, dans le miroir, je voyais une jeune femme blonde avec les cheveux massacrés au niveau des épaules. Ce n’était pas possible, ce n’était pas moi. Pourtant en baissant les yeux pour voir la main qui me caressait les cuisses, je vis quelques mèches d’or accrochées à mes jambes, et par terre un véritable tapis doré. Je n’avais pas rêvé, j’avais bien obéis à mon ami en le suivant dans ce salon de coiffure. Je sentis les larmes venir, l’une tomba sur ma joue, et machinalement je passai mes doigts dessus. Devant moi, mon image fit le même geste, ma main se porta vers mes cheveux, ils étaient si courts, et repoussa une mèche derrière mon oreille. Je n’étais plus pareille.
A coté de moi, mon ami me regardait, il avait l’air presque déçu. Si lui aussi n’aimait pas mon nouveau look…
« Je crois que ça ne va pas » dit il à la coiffeuse qui était toujours derrière moi. « Il faudrait que l’on essaye beaucoup plus court je crois ».
« Mais pourquoi, ils sont déjà très courts comme ça » je m’entendis dire.
« Monsieur a raison » dit la coiffeuse, « il faudrait une belle coupe courte pour mettre en valeur votre cou et vos oreilles ».
Je voulu me défendre, me lever, mais il pris mes poignets dans ses mains et me força à rester assise. Se penchant vers moi, il m’embrassa, je ne pouvais l’éviter, sa langue se força un passage et fouilla ma bouche. L’une de ses mains me caressa la nuque, doucement, très doucement. Je me sentais fondre, oublier ma situation, et sans savoir pourquoi je commençais à répondre à ses caresses. Ma langue chercha la sienne, et je fermais les yeux, concentrée sur le plaisir qui allait venir. Il se leva et me prenant par les épaules, toujours en m’embrassant, il me guida vers une table au fonds du salon de coiffure. Débout, je reculais, les yeux fermés, sa langue se faisant insistante autour de la mienne. Bientôt je sentis le bord de la table contre mes fesses, mais il continuait de me pousser en arrière et en quelques secondes je fus allongée sur la table. Il releva ma robe.
« Quelle vue magnifique » dit il en souriant. La coiffeuse s’était rapprochée et ne manquait pas une miette du spectacle. J’étais rouge de honte.
Doucement il retira mon string.
« Non, s’il te plait »
Il tomba à genoux devant moi, et écarta mes cuisses. Sa langue effleura mon sexe, puis s’appliqua à en lécher les lèvres.
« Non, s’il te plait, NNNNNNOOOOOOOONNNNNNN je ne veux pas ». J’essayai de me relever, mais il écarta encore tellement plus mes cuisses que je ne pu me redresser. Sa langue était presque brutale. Il attrapa mon clitoris entre ses lèvres et commença à sucer.
Je sentais un orgasme déferler depuis ma poitrine et mon ventre, je n’aimais pas qu’en il me faisait cela, mais impossible de le raisonner. Il disait que c’était sa façon de me rendre honneur.
Une douleur commençait à me vriller le sexe, je savais qu’elle allait se propager vers mon ventre, et que je ne pourrai pas me retenir encore très longtemps. J’essayai tellement de me retenir, mais cet orgasme en devenir qu’elle devenait de plus en plus fort, je serrais les dents de toute mes force, j’essayai de penser à autre chose, mais je me sentais être débordée par un raz de marée, je gémissais, puis un râle s’échappa de ma gorge.
« aaaaaaaahhhhhhhhhhh, AAAAAAAAAHHHHHHHHH »
Je haletais et tremblais violemment, tout mon corps réagissait à cette sensation qui m’empêchait presque de respirer.
« Eh bien ma chérie » dit il en se relevant. Je l’entendis défaire sa ceinture, puis se saisir de mes jambes et les écarter, mes cuisses me faisaient mal, mais il continuait de les écarter et de les repousser en arrière.
J’essayais de récupérer de mon orgasme, à la fois émotionnellement et physiquement. Il est difficile de protester quant on a connu un tel orgasme.
Je n’avais pas eu beaucoup d’amants, mais son sexe était surement le plus gros et le plus long que j’avais jamais vu. Je tremblai alors qu’il s’approcha de moi. Je le senti contre mes lèvres intimes, il les repoussa en s’introduisant en moi, les écarta par sa taille. Cela faisait mal, mais pas tant que ça. En fait, c’était une sorte de douleur agréable, qui grandissait au fur et à mesure qu’il s’introduisait en moi. Il continuait de pousser, profond, de plus en plus profond.
« Oh non, s’il te plait »
Il ignora ma plainte, et saisi mes cheveux à deux mains. Je ne pouvais plus bouger la tête.
Il se retira, et replongea en moi, puis encore, et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Je perdis la notion du temps, comme un océan en furie, qui se lance à l’assaut vague après vague, je le sentais se déferler sur moi, me faire trembler chaque fois qu’il était au plus profond de moi, comme des vagues s’écrasant sur un rocher en pleine tempête.
Cela faisait mal, mais je voulais chaque centimètre de son sexe en moi. Je respirais de plus en plus vite et de plus en plus fort. J’entendis un cri d’agonie, puis réalisais que c’était moi. Du plus profond de mes entrailles, je trouvais la force de crier ma douleur, ma joie.
Au dessus de moi, son visage était crispé, les mâchoires serrées. Je le serrais entre mes jambes, lorsque il explosa en moi.
Etendu sur moi, je sentais son cœur battre contre le mien. Quelle matinée extraordinaire.
« Allons, jeunes gens, je n’ai pas toute la journée à vous consacrer » La coiffeuse se manifestait. Elle avait tout vu, impassible, comme si chacun de ses clients faisait comme nous.
Mon cœur battait encore vite, lorsque les deux me mirent debout, puis me reconduisirent vers le fauteuil. Mes cheveux étaient emmêlés, et me tombaient sur les épaules de façon irrégulière. La coiffeuse pris une brosse, et doucement démêla ma tignasse. Ses mouvements étaient doux et presque sensuels. Je recommençais à prendre confiance, à penser que j’allais sortir de ce salon avec un carré long. C’était court pour moi, très court même car depuis toute petite j’avais les cheveux très longs. J’étais dans mes pensées, lorsque je la vis prendre une mèche sur mon front, la coiffer plusieurs fois, puis approcher une paire de ciseaux à quelques centimètres de ma tête : criiiiiissssssss clac et je vis tomber sur mes genoux une mèche de plus de 20 cm. J’étais tétanisée.
CRRRRRRRIIIIIIIIISSSSSSS
CLAC
CLIC
Les mèches s’accumulaient sur mes genoux. Rapidement la trame de carré long que j’avais, disparu, laissant place à une coupe courte. Une coupe de garçon, avec les oreilles dégagées, la nuque courte. La mèche la plus longue ne devait pas faire plus de 4 ou 5 cm.
« Tu vas être très belle, tu vas voir » mon ami me chuchota à l’oreille. La coiffeuse avait posé ses ciseaux et avait pris un peigne étrange. Je compris rapidement qu’il s’agissait d’un rasoir dans un peigne, car à chaque passage, des mèches glissaient sur mes épaules et dans mon cou.
Après ce qui me sembla être une éternité, je me vis dans le miroir avec ma coupe courte. Timidement je passais une main dans ma nuque : une sensation étrange, je sentais les mèches courtes sous mes doigts, plus de longues mèches à caresser.
« Pourquoi ? » je demandai à mon ami.
« Je pensais que le court t’irai bien » il répondit. « Et puis, ils repousseront si tu le veux ».
« Mademoiselle est très belle ainsi » remarqua la coiffeuse. « Nettement plus sexy que la jeune femme de la semaine dernière »
Quoi, que disait elle ? Et je compris que j’avais étais manipulée, transformée en jouet pour le plaisir de ces deux personnes.
De rage, je me levais, giflait celui qui était désormais mon ex, et quittait le salon de coiffure.
Dans la rue, je devais être étrange, avec plein de petits cheveux coupés sur mes épaules. Je me regardais dans une vitrine, et fut surprise par le reflet qu’elle me renvoya.
Le court, m’allait bien finalement, même si je regrettais ma cascade d’or autour de moi.
Il fallait cependant que je me venge, que je fasse connaître cette sensation à d’autres femmes, et je me mis à penser à la belle Sophie que je voyais le matin en distribuant le courrier. Elle avait un chignon énorme, un chignon qui réveillait en moi une sensation inconnue.

(Dans la prochaine partie, je prendrai le rôle du chef d’entreprise avec sa collaboratrice : la belle Sophie)

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Texte coquin : Sophie et charlotte 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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