Sophie et Charlotte 3
Récit érotique écrit par Serge1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2015 dans la catégorie Fétichisme
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Sophie et Charlotte 3
Sophie et charlotte 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Charlotte partie, mon regard revenait sans cesse vers Sophie, et surtout vers son chignon. Il était vraiment impressionnant, de par son volume, et de sa rigueur. Aucune mèche ne s’en échappait, deux clips en plastique noir retenaient cette torsade que l’on sentait prête à se dérouler, et à retrouver sa liberté.
Sentant mon regard sur sa nuque, Sophie se retourna vers moi. Sous son chemisier soigneusement boutonné, on devinait une poitrine qui se passait de soutien gorge. Tiens, ma collaboratrice n’était peut donc pas aussi sage qu’elle volait le montrer ?
« Vous avez vu Charlotte ? » je demandai, « elle a vraiment changé »
« Je ne sais pas, je n’ai pas fait attention » je ne savais pas pourquoi, mais je la sentais troublée, même si elle ne voulait pas le montrer.
« Mais, ses cheveux ! Elle a coupé ses magnifiques cheveux ! Et pas qu’un peu ! Elle n’a plus sa longue natte, mais presque une coiffure de garçon ! » Son indifférence affichée me révoltait.
« Ah oui, peut être »
« Mais enfin Sophie, comment une jeune femme comme vous peut être aussi indifférente face à un acte aussi radical ? Vous même, est ce que vous feriez cela aussi ? »
Elle fit une grimace en m’entendant, et porta une main vers son chignon. « Me couper les cheveux ? Moi ? Ah non jamais ! »
J’étais surpris par sa réaction. « Pourquoi jamais ? Parce qu’une femme doit avoir les cheveux longs selon vous ? Parce qu’il faut qu’une femme ait les cheveux longs pour être féminine ? »
Elle me regardait, ses yeux me lançaient des éclairs de colère, hautaine, elle ne répondait pas. Je continuais. « Mais vous même, pensez vous être féminine ? Votre chignon sévère vous fait ressembler à une institutrice »
Elle se retourna et fit semblant de se plonger dans son travail. Je sentais bien que je l’avais vexée avec ma remarque, mais en repensant, je devais admettre qu’elle avait un faux coté strict qui la faisait ressembler à une gouvernante ou une institutrice.
« Allons Sophie, ne boudez pas, vous n’êtes plus une petite fille ! »
« Je ne boude pas, j’essaye de faire le travail pour lequel vous me payez, et je pense que cette conversation est inopportune. »
Sans le vouloir, j’avais du toucher un point sensible. Je décidais alors de la titiller d’avantage, et ce petit jeu commençait à m’émoustiller. J’allais peut être enfin faire fondre ou plutôt casser la couche de glace qui semblait entourer Sophie.
« Mais Sophie, vous avez qu’en même vue la pauvre Charlotte ! Avec ses cheveux courts, elle ressemble presque à un garçon ! Je me demande pourquoi elle a coupé ses beaux et longs cheveux ? J’espère qu’elle ne le regrette pas. »
« Bon, vous avez fini de m’ennuyer avec cette factrice ? J’aimerai avancer dans mon travail. Et de toute façon, elle n’a que ce qu’elle mérite. Si elle ne voulait pas les couper, elle n’avait qu’à pas le faire. Si elle n’est pas capable de réfléchir à la conséquence de ses actes, je n’y peux rien. Et puis si elle avait deux sous de jugeote elle aurait gardé un minimum de féminité. Si elle ressemble désormais à un garçon, elle, n’a que ce qu’elle mérite. »
J’étais outré de sa réaction. Si pour elle, féminité ne rimait qu’avec cheveux longs, elle allait être féminine, et même femme, même si elle ne le voulait pas.
Sans faire de bruits, je me levai et m’approchai de Sophie. Elle ne m’avait pas entendu, et sursauta lorsque mes deux mains se posèrent sur ses épaules.
« Je pense que nous allons devoir faire connaissance Sophie. Je n’ai pas apprécié vos propos sur Charlotte, et je pense que je ne peux pas laisser passer cela. Vous allez apprendre à être féminine, comme je l’entend, et que cela vous plaise ou pas. »
Elle essaya de bouger, mais mes mains la maintenaient fortement, l’empêchant se débattre.
« Que faites vous ? Lâchez moi tout de suite, et j’oublierai cet incident »
« Chut ma jolie, reste tranquille »
Ma main droite enleva prestement les deux clips qui maintenaient ses cheveux, et je vis alors un spectacle extraordinaire : comme dans un film au ralenti, la masse de cheveux tomba doucement, se transformant en une longue et épaisse tornade. Comme si elle était vivante, cette tornade se déroula sur elle même, passa les épaules, le milieu du dos, et toujours en tournoyant sur elle même elle dépassa la taille. Gagnant en vitesse, elle acheva sa course par terre.
« Mais, ils sont très longs, ils touchent par terre ! »
J’écartais les mèches avec mes mains, les soulevant pour les laisser retomber. J’étais aux anges, jamais je n’aurais soupçonner l’inimaginable : j’avais embauché Raiponce sans le savoir.
« Bon, vous êtes content maintenant ? »
Toujours assise, et me tournant le dos, Sophie se manifestait.
Sans lui répondre, mes mains encadrèrent ses épaules, et doucement je la fis se lever. Un immense sourire aux lèvres, je la retournais afin qu’elle me regarde.
« Eh bien Sophie, vous m’aviez caché cette beauté. Cela fait plusieurs mois que nous travaillons ensemble, et jamais vous ne m’avez rien dit. »
En disant cela, je continuai de passer mes mains dans ses cheveux. Debout, ils lui arrivaient presque au niveau des genoux. Ils étaient plus longs que sa sage jupe bleu marine. Le contraste entre cette masse chatain, et son chemisier blanc, cette longueur, la douceur de ces mèches, tout cela m’excitait de plus en plus.
« Sophie, je vous ai dit que vous alliez être femme ; et bien je vais tenir parole. Comme vous avez dit que Charlotte n’avait que ce qu’elle méritait, vous aussi vous allez mériter, ou plutôt être récompensée pour votre féminité. »
Je plongeai mes bras de chaque coté de son cou et prestement enroulai autour de mes poignets les deux longues couettes que j’avais faites. En referment mes doigts à la base des couettes, je maintenais fermement sa tête. Elle essaya de se dégager, mais d’un mouvement des poignets je resserrai ma prise, avec une efficacité immédiate :
« Aïe, vous me faites mal »
Ses mains étaient toujours sur les miennes, alors je tournais encore un peu mes poignets, augmentant la tension sur ses cheveux.
« AÏE, Mais pourquoi vous me faites mal ? »
Ses yeux inquiets rencontrèrent les miens remplis de désir. Je vis de l’inquiétude, de la peur, et aussi du désir dans les siens. En souriant, je lui répondis :
« Mais vous avez de longs cheveux, donc selon votre définition vous êtes féminine. Etre féminine c’est être femme, et être femme c’est savoir satisfaire les hommes ».
Je vis de l’incompréhension dans son regard. Avant qu’elle ne puisse me répondre, je baissais mes bras, l’obligeant à se pencher en avant.
« Allez, mettez vous à genoux Sophie »
Je tournai un peu les poignets pour l’encourager.
« Aïe, Aïe, arrêtez »
Et elle se mit à genoux devant moi. Ses cheveux formaient deux longues couettes, qui coulaient à coté d’elle, et formaient comme une mare par terre.
« Maintenant, Sophie vous devinez ce que j’attends de vous ? »
Elle me répondit, ou plutôt cracha : « Il est hors de question que je face ça ».
« Ah, bon ? » Mon désir augmentait de plus en plus, je n’avais presque plus de patiente, et cette pimbêche commençait à m’agacer. Je savais à présent ce qu’il fallait faire pour la dompter.
« AÏE, ….AÏE…….Non VOUS ME FAITES MAL ……. AÏE, aïe » Et sans que lui donne d’instruction, ses mains remontèrent vers la boucle de ma ceinture, la défit, puis s’attaquèrent aux boutons de mon jean. D’une main, elle dégagea mon sexe, qui était déjà au garde à vous.
Je rapprochai sa tête de mon sexe. Bientôt mon gland se posa sur ses lèvres. Doucement, je rapprochai encore sa tête, elle ouvrit sa bouche, et je sentis une chaleur humide autour de mon sexe.
Je bougeais doucement mes hanches en avant. Je voyais mon sexe pénétrer dans sa bouche. C’était une sensation extraordinaire de sentir sa langue s’activer, de me sentir aspirer dans cet écran doux et chaud. Mes mains accompagnaient doucement le mouvement de sa tête. En baissant la mienne, je voyais ces cheveux envouteurs, tels des serpents de soie onduler depuis mes mains qui les agrippaient et s’échapper sur ses épaules et dans son dos, puis sur le sol. Dans l’action, son chemisier était resté sagement boutonné, et sa jupe étroite bleu marine faisait un contraste étrange avec la blanche pureté du chemisier. Nous devions faire un étrange tableau.
« Oui, utilisez votre langue, doucement. Oui bien autour de mon gland. Essayez de vous appliquer Sophie. Aspirez lorsque je vais au fond de votre gorge, puis passez votre langue d’un coté à l’autre ».
Je sentais venir mon orgasme, je serrai les fesses pour le retenir, je respirais de plus en plus fort, puis sentant les battements de mon cœur diminuer, je me retirais de sa bouche. Mon gland caressa une joue puis l’autre, déclenchant comme des décharges électriques. Je lâchais ses cheveux, pour tout de suite les saisir à deux mains et en entourer mon sexe. J’eu juste le temps de l’enfouir dans cette masse soyeuse, qu’un spasme me secoua, puis un deuxième et enfin un troisième.
Je lâchais Sophie. En reculant je la vis porter ses mains dans ses cheveux. En sentant ma semence sur ses doigts, elle me regarda. Si ses yeux avaient été des pistolets, j’aurais été mort instantanément.
« Vous êtes un ignoble personnage, je vous déteste, qu’est ce que je vais faire maintenant ? »
Elle avait en mains sa tignasse sur laquelle on voyait clairement de longues trainées blanche.
« Bah ce n’est rien, il paraît que s’est plein de vitamines pour les cheveux ».
« Qu’est ce qu’il ne faut pas entendre ! »
Surpris, nous tournons tous les deux la tête vers la fenêtre, où nous voyons Charlotte. Une Charlotte souriante.
« Mais que faites vous là ? » je demandais.
« J’avais oublié une lettre, alors je suis revenue, et je ne suis pas déçue du spectacle. Mademoiselle sérieuse ne l’est pas à ce que j’ai vu ».
« Depuis combien de temps êtes vous là ? » murmure Sophie.
« Depuis le moment où vous avez dit que je méritai mes cheveux courts, ma jolie » répondit Charlotte.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Charlotte partie, mon regard revenait sans cesse vers Sophie, et surtout vers son chignon. Il était vraiment impressionnant, de par son volume, et de sa rigueur. Aucune mèche ne s’en échappait, deux clips en plastique noir retenaient cette torsade que l’on sentait prête à se dérouler, et à retrouver sa liberté.
Sentant mon regard sur sa nuque, Sophie se retourna vers moi. Sous son chemisier soigneusement boutonné, on devinait une poitrine qui se passait de soutien gorge. Tiens, ma collaboratrice n’était peut donc pas aussi sage qu’elle volait le montrer ?
« Vous avez vu Charlotte ? » je demandai, « elle a vraiment changé »
« Je ne sais pas, je n’ai pas fait attention » je ne savais pas pourquoi, mais je la sentais troublée, même si elle ne voulait pas le montrer.
« Mais, ses cheveux ! Elle a coupé ses magnifiques cheveux ! Et pas qu’un peu ! Elle n’a plus sa longue natte, mais presque une coiffure de garçon ! » Son indifférence affichée me révoltait.
« Ah oui, peut être »
« Mais enfin Sophie, comment une jeune femme comme vous peut être aussi indifférente face à un acte aussi radical ? Vous même, est ce que vous feriez cela aussi ? »
Elle fit une grimace en m’entendant, et porta une main vers son chignon. « Me couper les cheveux ? Moi ? Ah non jamais ! »
J’étais surpris par sa réaction. « Pourquoi jamais ? Parce qu’une femme doit avoir les cheveux longs selon vous ? Parce qu’il faut qu’une femme ait les cheveux longs pour être féminine ? »
Elle me regardait, ses yeux me lançaient des éclairs de colère, hautaine, elle ne répondait pas. Je continuais. « Mais vous même, pensez vous être féminine ? Votre chignon sévère vous fait ressembler à une institutrice »
Elle se retourna et fit semblant de se plonger dans son travail. Je sentais bien que je l’avais vexée avec ma remarque, mais en repensant, je devais admettre qu’elle avait un faux coté strict qui la faisait ressembler à une gouvernante ou une institutrice.
« Allons Sophie, ne boudez pas, vous n’êtes plus une petite fille ! »
« Je ne boude pas, j’essaye de faire le travail pour lequel vous me payez, et je pense que cette conversation est inopportune. »
Sans le vouloir, j’avais du toucher un point sensible. Je décidais alors de la titiller d’avantage, et ce petit jeu commençait à m’émoustiller. J’allais peut être enfin faire fondre ou plutôt casser la couche de glace qui semblait entourer Sophie.
« Mais Sophie, vous avez qu’en même vue la pauvre Charlotte ! Avec ses cheveux courts, elle ressemble presque à un garçon ! Je me demande pourquoi elle a coupé ses beaux et longs cheveux ? J’espère qu’elle ne le regrette pas. »
« Bon, vous avez fini de m’ennuyer avec cette factrice ? J’aimerai avancer dans mon travail. Et de toute façon, elle n’a que ce qu’elle mérite. Si elle ne voulait pas les couper, elle n’avait qu’à pas le faire. Si elle n’est pas capable de réfléchir à la conséquence de ses actes, je n’y peux rien. Et puis si elle avait deux sous de jugeote elle aurait gardé un minimum de féminité. Si elle ressemble désormais à un garçon, elle, n’a que ce qu’elle mérite. »
J’étais outré de sa réaction. Si pour elle, féminité ne rimait qu’avec cheveux longs, elle allait être féminine, et même femme, même si elle ne le voulait pas.
Sans faire de bruits, je me levai et m’approchai de Sophie. Elle ne m’avait pas entendu, et sursauta lorsque mes deux mains se posèrent sur ses épaules.
« Je pense que nous allons devoir faire connaissance Sophie. Je n’ai pas apprécié vos propos sur Charlotte, et je pense que je ne peux pas laisser passer cela. Vous allez apprendre à être féminine, comme je l’entend, et que cela vous plaise ou pas. »
Elle essaya de bouger, mais mes mains la maintenaient fortement, l’empêchant se débattre.
« Que faites vous ? Lâchez moi tout de suite, et j’oublierai cet incident »
« Chut ma jolie, reste tranquille »
Ma main droite enleva prestement les deux clips qui maintenaient ses cheveux, et je vis alors un spectacle extraordinaire : comme dans un film au ralenti, la masse de cheveux tomba doucement, se transformant en une longue et épaisse tornade. Comme si elle était vivante, cette tornade se déroula sur elle même, passa les épaules, le milieu du dos, et toujours en tournoyant sur elle même elle dépassa la taille. Gagnant en vitesse, elle acheva sa course par terre.
« Mais, ils sont très longs, ils touchent par terre ! »
J’écartais les mèches avec mes mains, les soulevant pour les laisser retomber. J’étais aux anges, jamais je n’aurais soupçonner l’inimaginable : j’avais embauché Raiponce sans le savoir.
« Bon, vous êtes content maintenant ? »
Toujours assise, et me tournant le dos, Sophie se manifestait.
Sans lui répondre, mes mains encadrèrent ses épaules, et doucement je la fis se lever. Un immense sourire aux lèvres, je la retournais afin qu’elle me regarde.
« Eh bien Sophie, vous m’aviez caché cette beauté. Cela fait plusieurs mois que nous travaillons ensemble, et jamais vous ne m’avez rien dit. »
En disant cela, je continuai de passer mes mains dans ses cheveux. Debout, ils lui arrivaient presque au niveau des genoux. Ils étaient plus longs que sa sage jupe bleu marine. Le contraste entre cette masse chatain, et son chemisier blanc, cette longueur, la douceur de ces mèches, tout cela m’excitait de plus en plus.
« Sophie, je vous ai dit que vous alliez être femme ; et bien je vais tenir parole. Comme vous avez dit que Charlotte n’avait que ce qu’elle méritait, vous aussi vous allez mériter, ou plutôt être récompensée pour votre féminité. »
Je plongeai mes bras de chaque coté de son cou et prestement enroulai autour de mes poignets les deux longues couettes que j’avais faites. En referment mes doigts à la base des couettes, je maintenais fermement sa tête. Elle essaya de se dégager, mais d’un mouvement des poignets je resserrai ma prise, avec une efficacité immédiate :
« Aïe, vous me faites mal »
Ses mains étaient toujours sur les miennes, alors je tournais encore un peu mes poignets, augmentant la tension sur ses cheveux.
« AÏE, Mais pourquoi vous me faites mal ? »
Ses yeux inquiets rencontrèrent les miens remplis de désir. Je vis de l’inquiétude, de la peur, et aussi du désir dans les siens. En souriant, je lui répondis :
« Mais vous avez de longs cheveux, donc selon votre définition vous êtes féminine. Etre féminine c’est être femme, et être femme c’est savoir satisfaire les hommes ».
Je vis de l’incompréhension dans son regard. Avant qu’elle ne puisse me répondre, je baissais mes bras, l’obligeant à se pencher en avant.
« Allez, mettez vous à genoux Sophie »
Je tournai un peu les poignets pour l’encourager.
« Aïe, Aïe, arrêtez »
Et elle se mit à genoux devant moi. Ses cheveux formaient deux longues couettes, qui coulaient à coté d’elle, et formaient comme une mare par terre.
« Maintenant, Sophie vous devinez ce que j’attends de vous ? »
Elle me répondit, ou plutôt cracha : « Il est hors de question que je face ça ».
« Ah, bon ? » Mon désir augmentait de plus en plus, je n’avais presque plus de patiente, et cette pimbêche commençait à m’agacer. Je savais à présent ce qu’il fallait faire pour la dompter.
« AÏE, ….AÏE…….Non VOUS ME FAITES MAL ……. AÏE, aïe » Et sans que lui donne d’instruction, ses mains remontèrent vers la boucle de ma ceinture, la défit, puis s’attaquèrent aux boutons de mon jean. D’une main, elle dégagea mon sexe, qui était déjà au garde à vous.
Je rapprochai sa tête de mon sexe. Bientôt mon gland se posa sur ses lèvres. Doucement, je rapprochai encore sa tête, elle ouvrit sa bouche, et je sentis une chaleur humide autour de mon sexe.
Je bougeais doucement mes hanches en avant. Je voyais mon sexe pénétrer dans sa bouche. C’était une sensation extraordinaire de sentir sa langue s’activer, de me sentir aspirer dans cet écran doux et chaud. Mes mains accompagnaient doucement le mouvement de sa tête. En baissant la mienne, je voyais ces cheveux envouteurs, tels des serpents de soie onduler depuis mes mains qui les agrippaient et s’échapper sur ses épaules et dans son dos, puis sur le sol. Dans l’action, son chemisier était resté sagement boutonné, et sa jupe étroite bleu marine faisait un contraste étrange avec la blanche pureté du chemisier. Nous devions faire un étrange tableau.
« Oui, utilisez votre langue, doucement. Oui bien autour de mon gland. Essayez de vous appliquer Sophie. Aspirez lorsque je vais au fond de votre gorge, puis passez votre langue d’un coté à l’autre ».
Je sentais venir mon orgasme, je serrai les fesses pour le retenir, je respirais de plus en plus fort, puis sentant les battements de mon cœur diminuer, je me retirais de sa bouche. Mon gland caressa une joue puis l’autre, déclenchant comme des décharges électriques. Je lâchais ses cheveux, pour tout de suite les saisir à deux mains et en entourer mon sexe. J’eu juste le temps de l’enfouir dans cette masse soyeuse, qu’un spasme me secoua, puis un deuxième et enfin un troisième.
Je lâchais Sophie. En reculant je la vis porter ses mains dans ses cheveux. En sentant ma semence sur ses doigts, elle me regarda. Si ses yeux avaient été des pistolets, j’aurais été mort instantanément.
« Vous êtes un ignoble personnage, je vous déteste, qu’est ce que je vais faire maintenant ? »
Elle avait en mains sa tignasse sur laquelle on voyait clairement de longues trainées blanche.
« Bah ce n’est rien, il paraît que s’est plein de vitamines pour les cheveux ».
« Qu’est ce qu’il ne faut pas entendre ! »
Surpris, nous tournons tous les deux la tête vers la fenêtre, où nous voyons Charlotte. Une Charlotte souriante.
« Mais que faites vous là ? » je demandais.
« J’avais oublié une lettre, alors je suis revenue, et je ne suis pas déçue du spectacle. Mademoiselle sérieuse ne l’est pas à ce que j’ai vu ».
« Depuis combien de temps êtes vous là ? » murmure Sophie.
« Depuis le moment où vous avez dit que je méritai mes cheveux courts, ma jolie » répondit Charlotte.
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