Soumis à un arabe
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soumis à un arabe
C’était un de mes rêves que j’ai réalisé partiellement. Dans un sex-shop ciné, dans la salle de projection, j’ai vu la queue d’un arabe en attente d’être cajolée. je me suis assis à côté de cette personne, le cul à l’air naturellement. alors que je m’appliquait à donner tout le plaisir mérité par cet engin pas des plus énormes - D’ailleurs, je ne recherche pas les grosses queues, large qui me déchire le cul, la sienne était dans les proportion suffisante pour donner un maximum de plaisir à ma rondelle et à mon canal intérieur - Donc, disais-je pendant que je prenais soin de sa tige, il explorait mes fondement, sans doute pour tester et la propreté et la souplesse. Satisfait de son examen, il m’a proposé de quitter la salle pour une cabine, j’avoue que j’aime bien être observé quand je me fais prendre car je suis exhib, mais je n’ai pas refusé sa proposition. Dans la cabine, je me suis mis à nu et là, il m’a traité de lopette, j’approuvais d’un hochement de tête, ma bouche étant bien occupée à sucer sa banane. j’étais à genou devant lui, il m’a mis une première claque, puis une seconde me traitant de salope juste bonne à être baisée. Que c’est bon d’être humilié ainsi pendant que l’on procure du plaisir à son maître, c’est ainsi que je l’appelais. « Oui maître ».
Il m’a relevé, je lui ai présenté mon arrière train et là il m’a demandé si après m’avoir enculé, je sucerai à nouveau sa queue, je lui ai dit pas de problème. Alors, il m’a saisi par les hanches et m’a pilonné jusqu’à l’orgasme. Sitôt sortie de mon cul, sa queue s’est retrouvée dans ma bouche pour être nettoyée des restes de sperme, ce qui m’a permis de goûter à son nectar et par le cul et par la bouche. Il m’a demandé si je buvais la pisse. Je lui ai avoué que je n’avais jamais fait ça au paravent et que j’étais prêt à essayer. Il m’a demandé d’ouvrir la bouche et le liquide chaud à envahit mon palais, j’avalais le mieux que j’ai pu, la corbeille sous ma tête recueillant l’excès. Il m’a à nouveau giflé, j’ai nettoyé sa queue et il m’a quitté, je ne l’ai plus jamais revu. Pourtant j’aurais aimé être sa lope attirée mais il est un peu comme moi, il veut de la nouveauté à chaque fois.
J’avais déjà eu l’occasion de boire mon urine mais mélangée à du thé. D’ailleurs, c’est devenu un rituel du matin, à mon réveille, je lance ma théière qui se trouve près de mon lit, je remplis à moitié mon bol de mon urine et je verse le thé chaud. Dernièrement, j’ai fait évolué, en effet dans une cabine individuelle d’un sexe-shop, avec non pas un glory hole avec la cabine voisine. Mais une grande ouverture permettant en l’enjambant de passer chez le voisin. Ce voisin, la bite à l’air me propose une fellation que je réalise avec application. Je me tourne pour lui offrir mon cul, se coiffe d’un préservatif, je vais dans sa cabine, il est assis et je joue au piston avec sa queue, jusqu’à épuisement sans l’avoir fait jouir. Je m’extrais de son membre et là il me dit qu’il va revenir, il va juste pisser. je lui dit que je peux tenir le rôle de pissotière, hésitant et surpris il tourne sa queue vers moi, je la prends à pleine bouche et reçois son urine que j’avale intégralement jusqu’à la dernière goutte.
Il a beaucoup aimé, et m’a laissé le sucer encore sans pour autant réussir à lui extraire son nectar. Il a quitté sa cabine me promettant de revenir. Souvent, c’est le terme employer pour signifier qu’il ne reviendra pas. Je suis resté dans ma cabine contemplant un porno gay bareback et m’astiquant le jonc tout en revivant, l’enculade, la sucette et l’urine apéritif. Il est vraiment revenu, j’ai repris la sucette puis il s’est détaché de ma succion pour s’astiquer lui-même la tub. J’étais devant cette queue malmenée, la gueule ouverte en attendant son jus. Il a finalement joui dans ma bouche, j’étais comblé.
Il m’a relevé, je lui ai présenté mon arrière train et là il m’a demandé si après m’avoir enculé, je sucerai à nouveau sa queue, je lui ai dit pas de problème. Alors, il m’a saisi par les hanches et m’a pilonné jusqu’à l’orgasme. Sitôt sortie de mon cul, sa queue s’est retrouvée dans ma bouche pour être nettoyée des restes de sperme, ce qui m’a permis de goûter à son nectar et par le cul et par la bouche. Il m’a demandé si je buvais la pisse. Je lui ai avoué que je n’avais jamais fait ça au paravent et que j’étais prêt à essayer. Il m’a demandé d’ouvrir la bouche et le liquide chaud à envahit mon palais, j’avalais le mieux que j’ai pu, la corbeille sous ma tête recueillant l’excès. Il m’a à nouveau giflé, j’ai nettoyé sa queue et il m’a quitté, je ne l’ai plus jamais revu. Pourtant j’aurais aimé être sa lope attirée mais il est un peu comme moi, il veut de la nouveauté à chaque fois.
J’avais déjà eu l’occasion de boire mon urine mais mélangée à du thé. D’ailleurs, c’est devenu un rituel du matin, à mon réveille, je lance ma théière qui se trouve près de mon lit, je remplis à moitié mon bol de mon urine et je verse le thé chaud. Dernièrement, j’ai fait évolué, en effet dans une cabine individuelle d’un sexe-shop, avec non pas un glory hole avec la cabine voisine. Mais une grande ouverture permettant en l’enjambant de passer chez le voisin. Ce voisin, la bite à l’air me propose une fellation que je réalise avec application. Je me tourne pour lui offrir mon cul, se coiffe d’un préservatif, je vais dans sa cabine, il est assis et je joue au piston avec sa queue, jusqu’à épuisement sans l’avoir fait jouir. Je m’extrais de son membre et là il me dit qu’il va revenir, il va juste pisser. je lui dit que je peux tenir le rôle de pissotière, hésitant et surpris il tourne sa queue vers moi, je la prends à pleine bouche et reçois son urine que j’avale intégralement jusqu’à la dernière goutte.
Il a beaucoup aimé, et m’a laissé le sucer encore sans pour autant réussir à lui extraire son nectar. Il a quitté sa cabine me promettant de revenir. Souvent, c’est le terme employer pour signifier qu’il ne reviendra pas. Je suis resté dans ma cabine contemplant un porno gay bareback et m’astiquant le jonc tout en revivant, l’enculade, la sucette et l’urine apéritif. Il est vraiment revenu, j’ai repris la sucette puis il s’est détaché de ma succion pour s’astiquer lui-même la tub. J’étais devant cette queue malmenée, la gueule ouverte en attendant son jus. Il a finalement joui dans ma bouche, j’étais comblé.
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