Soumission et fantasme réalisé
Récit érotique écrit par Romeo130 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soumission et fantasme réalisé
Je suis célibataire et j’ai connu un certain nombre de femmes. J’avais pourtant envie de rencontrer un homme viril qui me domine. Je réponds à une proposition trouvée sur un site. L’offre indiquait « mâle viril et dominant souhaite rencontrer homme qui aime le sexe et pour faire des bonnes pipes en fond de gorge ». Nous avons quelques échanges par mail puis on se téléphone pour organiser un week-end ensemble. Pedro, c’est le prénom par lequel il se fait appeler, souhaitait que les choses soient très claires avant notre rencontre afin d’éviter tout malentendu. Pour ma part, j’avais un peu honte et donc du mal à formuler directement mes fantasmes. Pedro me rappelle donc qu’il aime se faire sucer et me demande si je suis puceau. Je lui indique donc que j’ai déjà eu une aventure avec un copain mais que nous ne pratiquions que des fellations et pas de pénétration. Pédro me demande si je veux me faire dépuceler dans notre week-end et que je sois clair avant notre rencontre. Je lui dis timidement que je veux bien essayer une fois mais je lui demande d’être tendre avec moi pour cette première fois. Ensuite Pédro me rappelle que dans l’offre, il a indiqué qu’il est dominant et que notre rencontre est soumise à mon acceptation de prendre des fessées s’il le juge nécessaire. Il me rassure en m’indiquant qu’il n’y aura aucune violence, mais que si je n’obéis pas dans le cadre de ce que nous avions convenu, il pourrait me fesser avec un martinet en se limitant à 6 coups de martinet sur les fesses. J’acceptais donc de rejoindre Pédro pour un week-end du samedi midi au dimanche soir. Ma tenue était imposée avant le départ : épilation entre les cuisses et jock strap en guise de cache sexe. Je ne savais pas comment faire une épilation, alors je me suis bien rasé et j’ai mis sous mon jean moulant le jock strap. Tout ceci m’excitait énormément car en fait tous ces échanges par mail puis par téléphone ont duré deux semaines. Je prends alors ma voiture et pars chez Pédro à 2 heures de route.
J’arrive devant la porte un peu tremblant car le fantasme que j’avais eu allait devenir réalité quand j’aurai franchi la porte devant laquelle je me trouvais. Je sonne, patiente et Pédro vient m’ouvrir. C’est un beau garçon ! je ne suis pas déçu, il est encore plus musclé que je ne l’avais imaginé sur les photos. Il me fait entrer et je m’installe dans le canapé du salon. Il m’offre un café. Il me fait visiter le séjour, la cuisine, la chambre et la salle de bains. Dans la salle de bains, il y a un martinet posé au bord de la baignoire. En le regardant, il me dit « c’est pour toi, si je te demande de venir le chercher dans le week-end, tu me le rapporteras entre tes dents, comme un chien rapporte un os à son maître ». Puis il me dit « tu es venu pour un week-end de baise, alors on est entre hommes, on ne va pas attendre, déshabille –toi ». Je me déshabille et hésite à ôter mon cache sexe. Il me dit « tu peux rester dans cette tenue qui me permettra de te corriger si besoin ou de te dépuceler ». Il enlève son pantalon et m’invite à le sucer. Sa bite est déjà volumineuse et durcit à vue d’œil. Je m’agenouille devant lui qui est assis sur le canapé, enfourne sa queue dans ma bouche et prends plaisir à sucer. De temps à autre je sors la bite de ma bouche pour lui lécher les couilles et remonter le long de sa belle tige. Une fois, j’ai du mettre un peu les dents car il m’a donné une bonne claque sur les fesses et m’a dit « pas les dents, saloppe ». Je suce avec plaisir, ma seule aventure avec un homme remonte à plus de dix ans. Je savoure sa queue et cela me fait bien bander. Au bout d’un quart d’heure environ, Pédro me tient la tête de plus en plus fermement et me dit « avale salope, avale, je me vide les burnes ». Coincé par ses mains derrière la tête et sa bite bien enfoncée, je n’ai pu que prendre au fond de ma gorge ses bonnes giclées de sperme bien crémeux. J’avais déjà avalé une fois mais mon souvenir était un jus plus liquide. Je me retire la bouche pleine, Pédro m’indique de me lécher les babines pour ne pas gaspiller sa production. Je m’exécute et avale ce que j’ai dans la bouche. Pédro me rassure « Ne t’inquiète pas, je recharge vite ».
Il me demande de lui faire un café et de lui apporter. Je m’exécute. Il m’ordonne d’enlever mon cache sexe et là, il me dit « Je t’avais demandé une épilation, tu n’as pas obéi ?, tu sais ce que tu mérites ? ». Je le regarde sans bouger, ni répondre. « Vas chercher le martinet ! », là je me retrouve à la fois apeuré et excité. Je me retrouve dans la situation de réaliser un fantasme mais en même temps, j’ai crainte. « Si je répète, la correction sera doublé » dit il pendant mon attente. Je pars d’un bon pas à la salle de bain et prends entre mes dents le manche du martinet. Je l’apporte à mon maître mais son téléphone sonne et je dois attendre plusieurs minutes devant lui avec le martinet dans la bouche. La situation d’attente est très excitante et je me sens vraiment soumis et dominé. Le maître raccroche, récupère l’objet qui va me corriger. « Pourquoi vais-je te corriger » me dit-il ? je réponds « je n’ai pas obéi, je me suis rasé au lieu de m’épiler ». Alors, il me positionne au milieu de la pièce, me fait pencher le dos en avant et m’administre une bonne fessée de 6 coups de martinet. Je n’ai jamais été aussi excité de ma vie, je bande dur au point d’avoir mal à ma queue. « Ca à l’air de te plaire grosse salope ? » et sans autre consigne de sa part, je lui réponds « oui, maître ». J’en suis à réaliser un fantasme et à trouver la situation plus agréable et jouissive que je ne l’avais imaginé. J’avais envie de me branler mais je n’osais pas. Pédro me dit « je te sens fin prêt pour le dépucelage », il me conduit dans la chambre. On se couche puis on se caresse longuement. Il est musclé et viril. Je suis en admiration devant ce beau corps. Sa queue est à nouveau dure ; c’est une belle pièce. J’apprécie de palper et caresser ses couilles, son dos, sa poitrine. Il a un tube de vaseline sur la table de nuit. Il me doigte pour que mon cul soit plus accueillant. Il m’invite à badigeonner sa bite pour que ça glisse mieux. Je suis fin prêt. Je me mets à quatre pattes. Il se positionne derrière moi, me tient les hanches. En douceur, il entre sa belle tige dans mon trou du cul. « Ca y est, tu n’es plus puceau ! », c’est bon, je prends plaisir.Il s’active de va et vient à bon rythme. Au bout de 5 ou 10 mn, Pédro dit « Je me vide les couilles dans ton petit cul de salope, je me régale ». A mon tour, une belle giclée s’échappe de mon entre jambes, je jouis comme un fou ou comme une folle. On s’endort sur le lit. Il m’invite au restaurant en soirée puis on se couche et on remet ça. Je le suce, il me prend, on se caresse. C’est vraiment un bel étalon, il arrive à m’envoyer une bonne giclée sur le visage puis avant de s’endormir, il jouit à nouveau dans mon cul. Je n’arrive plus à suivre mais prends plaisir à le faire jouir.
Le matin, je me lève le premier pour lui apporter son café au lit. Je dois préparer le repas du midi et mettre une table conviviale. Un de ses amis passe boire l’apéro, il m’impose de rester nue pour l’accueillir et pour les servir. Son pote lui dit « tu t’es encore levé une belle salope ce week-end, elle suce mieux que celle de la semaine dernière ? », Pédro lui répond que je ne m’en sors pas trop mal et me demande si je veux sucer son pote. Je ne m’y attendais pas et refuse. Pédro me dit « tu as le droit, ce n’était pas convenu, par contre on a convenu que je décidais quand une fessée était nécessaire, je le décide, vas chercher ton martinet ». Coïncé et obligé d’obéir, je m’exécute. Même scénario que la veille, je me prends six coups de martinet au milieu du salon sous l’œil attentif de son pote. J’ai vraiment l’air con avec mes fesses marquées au martinet. Mais la soumission que génère la fessée me donne envie de passer à la soumission de la sussion. Les 2 mâles le savent bien, ils ont tous les deux tombé leur slip. Sans que personne ne dise rien, je m’agenouille devant le canapé sur lequel ils sont assis et fais 2 belles pipes. Ils ont la gentillesse de ne pas me faire avaler cette fois-ci. Son pote se rhabille, s’en va. On mange. Pédro m’enlasse, m’embrasse goulument, me conduit vers la chambre. Dernière scène de baise avant mon départ. Je m’en prends encore une fois plein le cul mais c’est bon !
Pour Pédro, un week-end suffit, comme convenu, on ne se reverra pas.
Je n’ai pas recommencé depuis mais je ne regrette pas ce week end fabuleux. Réalisons nos fantasmes.
J’arrive devant la porte un peu tremblant car le fantasme que j’avais eu allait devenir réalité quand j’aurai franchi la porte devant laquelle je me trouvais. Je sonne, patiente et Pédro vient m’ouvrir. C’est un beau garçon ! je ne suis pas déçu, il est encore plus musclé que je ne l’avais imaginé sur les photos. Il me fait entrer et je m’installe dans le canapé du salon. Il m’offre un café. Il me fait visiter le séjour, la cuisine, la chambre et la salle de bains. Dans la salle de bains, il y a un martinet posé au bord de la baignoire. En le regardant, il me dit « c’est pour toi, si je te demande de venir le chercher dans le week-end, tu me le rapporteras entre tes dents, comme un chien rapporte un os à son maître ». Puis il me dit « tu es venu pour un week-end de baise, alors on est entre hommes, on ne va pas attendre, déshabille –toi ». Je me déshabille et hésite à ôter mon cache sexe. Il me dit « tu peux rester dans cette tenue qui me permettra de te corriger si besoin ou de te dépuceler ». Il enlève son pantalon et m’invite à le sucer. Sa bite est déjà volumineuse et durcit à vue d’œil. Je m’agenouille devant lui qui est assis sur le canapé, enfourne sa queue dans ma bouche et prends plaisir à sucer. De temps à autre je sors la bite de ma bouche pour lui lécher les couilles et remonter le long de sa belle tige. Une fois, j’ai du mettre un peu les dents car il m’a donné une bonne claque sur les fesses et m’a dit « pas les dents, saloppe ». Je suce avec plaisir, ma seule aventure avec un homme remonte à plus de dix ans. Je savoure sa queue et cela me fait bien bander. Au bout d’un quart d’heure environ, Pédro me tient la tête de plus en plus fermement et me dit « avale salope, avale, je me vide les burnes ». Coincé par ses mains derrière la tête et sa bite bien enfoncée, je n’ai pu que prendre au fond de ma gorge ses bonnes giclées de sperme bien crémeux. J’avais déjà avalé une fois mais mon souvenir était un jus plus liquide. Je me retire la bouche pleine, Pédro m’indique de me lécher les babines pour ne pas gaspiller sa production. Je m’exécute et avale ce que j’ai dans la bouche. Pédro me rassure « Ne t’inquiète pas, je recharge vite ».
Il me demande de lui faire un café et de lui apporter. Je m’exécute. Il m’ordonne d’enlever mon cache sexe et là, il me dit « Je t’avais demandé une épilation, tu n’as pas obéi ?, tu sais ce que tu mérites ? ». Je le regarde sans bouger, ni répondre. « Vas chercher le martinet ! », là je me retrouve à la fois apeuré et excité. Je me retrouve dans la situation de réaliser un fantasme mais en même temps, j’ai crainte. « Si je répète, la correction sera doublé » dit il pendant mon attente. Je pars d’un bon pas à la salle de bain et prends entre mes dents le manche du martinet. Je l’apporte à mon maître mais son téléphone sonne et je dois attendre plusieurs minutes devant lui avec le martinet dans la bouche. La situation d’attente est très excitante et je me sens vraiment soumis et dominé. Le maître raccroche, récupère l’objet qui va me corriger. « Pourquoi vais-je te corriger » me dit-il ? je réponds « je n’ai pas obéi, je me suis rasé au lieu de m’épiler ». Alors, il me positionne au milieu de la pièce, me fait pencher le dos en avant et m’administre une bonne fessée de 6 coups de martinet. Je n’ai jamais été aussi excité de ma vie, je bande dur au point d’avoir mal à ma queue. « Ca à l’air de te plaire grosse salope ? » et sans autre consigne de sa part, je lui réponds « oui, maître ». J’en suis à réaliser un fantasme et à trouver la situation plus agréable et jouissive que je ne l’avais imaginé. J’avais envie de me branler mais je n’osais pas. Pédro me dit « je te sens fin prêt pour le dépucelage », il me conduit dans la chambre. On se couche puis on se caresse longuement. Il est musclé et viril. Je suis en admiration devant ce beau corps. Sa queue est à nouveau dure ; c’est une belle pièce. J’apprécie de palper et caresser ses couilles, son dos, sa poitrine. Il a un tube de vaseline sur la table de nuit. Il me doigte pour que mon cul soit plus accueillant. Il m’invite à badigeonner sa bite pour que ça glisse mieux. Je suis fin prêt. Je me mets à quatre pattes. Il se positionne derrière moi, me tient les hanches. En douceur, il entre sa belle tige dans mon trou du cul. « Ca y est, tu n’es plus puceau ! », c’est bon, je prends plaisir.Il s’active de va et vient à bon rythme. Au bout de 5 ou 10 mn, Pédro dit « Je me vide les couilles dans ton petit cul de salope, je me régale ». A mon tour, une belle giclée s’échappe de mon entre jambes, je jouis comme un fou ou comme une folle. On s’endort sur le lit. Il m’invite au restaurant en soirée puis on se couche et on remet ça. Je le suce, il me prend, on se caresse. C’est vraiment un bel étalon, il arrive à m’envoyer une bonne giclée sur le visage puis avant de s’endormir, il jouit à nouveau dans mon cul. Je n’arrive plus à suivre mais prends plaisir à le faire jouir.
Le matin, je me lève le premier pour lui apporter son café au lit. Je dois préparer le repas du midi et mettre une table conviviale. Un de ses amis passe boire l’apéro, il m’impose de rester nue pour l’accueillir et pour les servir. Son pote lui dit « tu t’es encore levé une belle salope ce week-end, elle suce mieux que celle de la semaine dernière ? », Pédro lui répond que je ne m’en sors pas trop mal et me demande si je veux sucer son pote. Je ne m’y attendais pas et refuse. Pédro me dit « tu as le droit, ce n’était pas convenu, par contre on a convenu que je décidais quand une fessée était nécessaire, je le décide, vas chercher ton martinet ». Coïncé et obligé d’obéir, je m’exécute. Même scénario que la veille, je me prends six coups de martinet au milieu du salon sous l’œil attentif de son pote. J’ai vraiment l’air con avec mes fesses marquées au martinet. Mais la soumission que génère la fessée me donne envie de passer à la soumission de la sussion. Les 2 mâles le savent bien, ils ont tous les deux tombé leur slip. Sans que personne ne dise rien, je m’agenouille devant le canapé sur lequel ils sont assis et fais 2 belles pipes. Ils ont la gentillesse de ne pas me faire avaler cette fois-ci. Son pote se rhabille, s’en va. On mange. Pédro m’enlasse, m’embrasse goulument, me conduit vers la chambre. Dernière scène de baise avant mon départ. Je m’en prends encore une fois plein le cul mais c’est bon !
Pour Pédro, un week-end suffit, comme convenu, on ne se reverra pas.
Je n’ai pas recommencé depuis mais je ne regrette pas ce week end fabuleux. Réalisons nos fantasmes.
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