Une fille à la fois mais une fille après l'autre
Récit érotique écrit par Romeo130 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une fille à la fois mais une fille après l'autre
J’avais autour de 25 ans j’avais trouvé un emploi d’été à Luchon dans un restaurant. J’étais logé sur place comme les autres personnels car les horaires d’été sont denses.
Je sortais avec une fille (Carmen) d’une vingtaine d’années à Foix, une belle brune aux yeux très bleus. Mais une serveuse du même restau que moi, de 24 ans (Elodie, blonde aux yeux verts) m’avait séduit et nous avions donc passés trois nuits ensemble. Mes jours de repos, je rejoignais donc Carmen à Foix en traversant les magnifiques cols des Pyrénées. Ma copine était jeune mais très chaude. Quand on allait en Andorre, elle me défaisait la braguette du pantalon pendant que je conduisais, sortait ma queue et me suçait quand je conduisais et ce n’est pas de doubler des camions qui la faisait se calmer. Le soir à l’hôtel, elle restait toujours très vive, je me souviens que je lui défonçais la chatte pendant des dizaines de minutes, elle jouissait mais exigeait que je ne m’arrête pas. C’était même dur pour moi de me retenir. Heureusement, à vingt cinq ans, je rechargeais assez rapidement et pouvais la baiser trois ou quatre fois dans la nuit. Mais s’éclater la chatte ne lui suffisait pas. En position de la levrette elle me rappelait avec son index qu’un autre petit trou n’avait encore rien eu. Je lui faisais donc aussi sauter l’œillet et jouissais pleinement dans son trou du cul. Je reprenais le boulot pour le service de midi. Je devais donc la quitter le matin, mais évidemment, elle ne me laissait pas partir sans se faire tringler encore une fois avec la fenêtre ouverte qui donnait sur les magnifiques sommets de Bonascre tout en profitant de l’air pur des Pyrénées.
Je ne suis jamais en retard et ne prenais pas le temps de me doucher avant de repartir. J’arrive donc à Luchon avant midi et vais directement dans ma chambre. Elodie frappe à ma porte et entre dans ma chambre sans attendre. Je venais d’arriver et ne m’étais pas encore changé. Elle savait d’où je venais puisque en sortant avec elle, je lui avais avoué la vérité sur mes relations avec une autre fille. Je crois que de savoir d’où je venais devait l’exciter encore plus. Elle s’approche pour m’embrasser. Je lui caresse le dos, puis passe mes mains sur ses magnifiques seins. Une super poitrine ! je bande immédiatement. Elle me caresse par-dessus le jean et est très fière de voir l’effet qu’elle a sur moi alors que je rentre de chez Carmen.
Elle m’enlève le tee-shirt, moi le sien. Elle n’a pas de soutif. Je descends mon visage et lui lèche ses seins que j’adore. Je lui fais tomber la jupe et sa petite culotte. Elle me pousse sur le lit, finit de me déshabiller. Je lui passe la main entre ses cuisses, elle est trempée. J’apprécie et lui titille le clitoris en faisant pénétrer de temps à autre un ou deux doigts. Elle descend le long de mon buste pour se diriger vers ma queue qui pointe au dessus du nombril. Je n’ose plus l’arrêter mais je ne peux m’empêcher de penser que ma queue sort de la chatte de Carmen deux heures plus tôt et que je ne l’ai pas lavée. C’est en fait Elodie qui me nettoie. Comme si elle en était consciente, elle s’applique à me lécher les boules, le long de la tige et aspire sans limite mon gland jusqu’au fond de sa gorge. Cela m’excite comme un fou. Je lui lâche mon foutre au fond de la gorge. Dans son excitation, elle avale tout, et même quand j’ai fini de lâcher tout mon jus, elle nettoie bien le bout, sort sa langue pour se lécher autour des lèvres. C’est la cinquième fois que je fais ma crème en 24 heures. Elle remonte le long de ma poitrine et m’embrasse goulument. Je ne peux pas refuser son baiser. Je suis un peu surpris mais après tout, avec ce qu’elle vient d’avaler et le plaisir que cela m’a procuré, j’aurais du mal à lui refuser ce baiser. Les premiers jours, elle n’avait pas souhaité avalé et d’ailleurs je l’avais avertie avant de jouir. Nous n’avons jamais parlé ouvertement de ce jour-là mais je reste persuadé que son excitation était due au fait qu’elle savait que je venais de baiser Carmen.
J’ai poussé le vice à faire embaucher Carmen au même restaurant que nous au mois d’août et j’ai baisé comme un fou l’une et l’autre. Carmen ne savait pas et Elodie savait. Il m’est arrivé de ne pas me doucher entre deux parties différentes, cela m’excitait comme un fou de voir l’une ou l’autre me sucer la queue encore humide de la chatte de l’autre. Et puis je peux vous dire que rien n’est meilleur pour recharger en quelques minutes que de changer de partenaire.
Je sortais avec une fille (Carmen) d’une vingtaine d’années à Foix, une belle brune aux yeux très bleus. Mais une serveuse du même restau que moi, de 24 ans (Elodie, blonde aux yeux verts) m’avait séduit et nous avions donc passés trois nuits ensemble. Mes jours de repos, je rejoignais donc Carmen à Foix en traversant les magnifiques cols des Pyrénées. Ma copine était jeune mais très chaude. Quand on allait en Andorre, elle me défaisait la braguette du pantalon pendant que je conduisais, sortait ma queue et me suçait quand je conduisais et ce n’est pas de doubler des camions qui la faisait se calmer. Le soir à l’hôtel, elle restait toujours très vive, je me souviens que je lui défonçais la chatte pendant des dizaines de minutes, elle jouissait mais exigeait que je ne m’arrête pas. C’était même dur pour moi de me retenir. Heureusement, à vingt cinq ans, je rechargeais assez rapidement et pouvais la baiser trois ou quatre fois dans la nuit. Mais s’éclater la chatte ne lui suffisait pas. En position de la levrette elle me rappelait avec son index qu’un autre petit trou n’avait encore rien eu. Je lui faisais donc aussi sauter l’œillet et jouissais pleinement dans son trou du cul. Je reprenais le boulot pour le service de midi. Je devais donc la quitter le matin, mais évidemment, elle ne me laissait pas partir sans se faire tringler encore une fois avec la fenêtre ouverte qui donnait sur les magnifiques sommets de Bonascre tout en profitant de l’air pur des Pyrénées.
Je ne suis jamais en retard et ne prenais pas le temps de me doucher avant de repartir. J’arrive donc à Luchon avant midi et vais directement dans ma chambre. Elodie frappe à ma porte et entre dans ma chambre sans attendre. Je venais d’arriver et ne m’étais pas encore changé. Elle savait d’où je venais puisque en sortant avec elle, je lui avais avoué la vérité sur mes relations avec une autre fille. Je crois que de savoir d’où je venais devait l’exciter encore plus. Elle s’approche pour m’embrasser. Je lui caresse le dos, puis passe mes mains sur ses magnifiques seins. Une super poitrine ! je bande immédiatement. Elle me caresse par-dessus le jean et est très fière de voir l’effet qu’elle a sur moi alors que je rentre de chez Carmen.
Elle m’enlève le tee-shirt, moi le sien. Elle n’a pas de soutif. Je descends mon visage et lui lèche ses seins que j’adore. Je lui fais tomber la jupe et sa petite culotte. Elle me pousse sur le lit, finit de me déshabiller. Je lui passe la main entre ses cuisses, elle est trempée. J’apprécie et lui titille le clitoris en faisant pénétrer de temps à autre un ou deux doigts. Elle descend le long de mon buste pour se diriger vers ma queue qui pointe au dessus du nombril. Je n’ose plus l’arrêter mais je ne peux m’empêcher de penser que ma queue sort de la chatte de Carmen deux heures plus tôt et que je ne l’ai pas lavée. C’est en fait Elodie qui me nettoie. Comme si elle en était consciente, elle s’applique à me lécher les boules, le long de la tige et aspire sans limite mon gland jusqu’au fond de sa gorge. Cela m’excite comme un fou. Je lui lâche mon foutre au fond de la gorge. Dans son excitation, elle avale tout, et même quand j’ai fini de lâcher tout mon jus, elle nettoie bien le bout, sort sa langue pour se lécher autour des lèvres. C’est la cinquième fois que je fais ma crème en 24 heures. Elle remonte le long de ma poitrine et m’embrasse goulument. Je ne peux pas refuser son baiser. Je suis un peu surpris mais après tout, avec ce qu’elle vient d’avaler et le plaisir que cela m’a procuré, j’aurais du mal à lui refuser ce baiser. Les premiers jours, elle n’avait pas souhaité avalé et d’ailleurs je l’avais avertie avant de jouir. Nous n’avons jamais parlé ouvertement de ce jour-là mais je reste persuadé que son excitation était due au fait qu’elle savait que je venais de baiser Carmen.
J’ai poussé le vice à faire embaucher Carmen au même restaurant que nous au mois d’août et j’ai baisé comme un fou l’une et l’autre. Carmen ne savait pas et Elodie savait. Il m’est arrivé de ne pas me doucher entre deux parties différentes, cela m’excitait comme un fou de voir l’une ou l’autre me sucer la queue encore humide de la chatte de l’autre. Et puis je peux vous dire que rien n’est meilleur pour recharger en quelques minutes que de changer de partenaire.
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