Souvenirs d'un quinquagénaire

- Par l'auteur HDS PCN764 -
Récit érotique écrit par PCN764 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Souvenirs d'un quinquagénaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenirs d'un quinquagénaire
Je m’appelle Philippe et aujourd’hui j’ai 55 ans. Je n’ai pas à me plaire de ma vie amoureuse et de mes aventures. Je suis un homme facile à vivre. Pourtant mes deux mariages n’ont pas été une réussite bien que la première me soit donné 2 beaux enfants que je chérie. J’ai été trop gentil avec elles et elles en n’ont bien abusé. Mais je n’ai pas toujours été docile et même salaud par moment, quelques fois infidèle. Au fil de mes aventures, vous n’allez pas toujours apprécier mes comportements.
Je vais donc vous raconter mes aventures les plus croustillantes.

La première, nous sommes en 1983 et j’ai 19 ans. Je travaille tout l’été dans la société de mon père au service comptable. Les bureaux sont en open-space séparés d’un paravent et je suis avec deux femmes d’une quarantaine d’années. Je viens au bureau avec ma voiture une Fiat 500 (ancien modèle qu’on appelait « le pot de yaourt »). Une des deux femmes me demande si elle pouvait l’essayer et je refuse une première fois. Elle est de plus en plus sexy et le temps se prête à porter des vêtements légers. Ce jour-là, elle a une jupe à mi-cuisse qui dévoile ses jolies jambes. Elle me fait une deuxième demande et je cède. Le midi, j’abandonne mes habituels compagnons de cantine et on se dirige vers le parking au sous-sol de la société. Comme je craignais d’être surpris par mon père avec la femme au volant, je sors la voiture du parking. Je me gare un peu plus loin de la société et lui laisse le volant. Sans regardais où elle va, j’admire ses jambes que sa position assise dévoile un peu plus. Elle me dit qu’on est arrivée chez elle et qu’elle doit récupérer je ne sais plus quoi, qu’elle avait oublié le matin. Nous voilà dans sa cuisine. L’essai de la voiture n’était qu’un prétexte et en fait, elle voulait se taper un petit jeune. Sans y croire, j’espérais ce dénouement. Face à cette milf, dirait-on aujourd’hui, je la laisse m’embrasser. Je caresse sa poitrine alors qu’elle a déjà sa main entre mes cuisses. Elle défait ma ceinture et baisse mon pantalon et mon boxer. Elle caresse mon sexe qui bande de plus en plus sous ses mains. Elle se baisse et lèche mon sexe avant de la sucer. J’ai eu peur de jouir trop vite alors je la redresse et lui dégrafe son chemisier. Elle le retire et retire son soutien-gorge. Je caresse ses seins à même la peau avant de mordiller ses tétons. Je la couche sur la table, relève sa jupe et retire sa culotte. Elle me demande de la prendre. Je présente mon sexe et m’enfonce en elle. Je la pénètre facilement et entame des va-et-vient qu’elle reçoit en gémissent. Elle me dit que c’est bon et d’y aller plus fort. J’accélère et je sens que je ne vais pas tarder. Elle me dit de me laisser aller et d’éjaculer en elle. C’est un délice de se vider en elle surtout qu’elle crie sa jouissance. Je ne me retire pas tout de suite et fait quelques doux mouvements. Elle se redresse et à genou, me nettoie mon sexe. A cette époque, je pouvais rebander tout de suite, ce qui se produit. Sa bouche engloutie mon sexe, sa main s’y mêle et le branle tout en léchant ma bite et mes couilles. On ne m’avait jamais fait ça encore et je me sens proche de jouir. Je la regarde me branler, la bouche grande ouverte. Je me laisse aller et voit une partie de mon sperme sur sa langue. Elle lève les yeux vers moi et avale ma semence. Elle se redresse et m’embrasse. Sa bouche a le goût de mon sperme. C’était une expérience qui changeait de mes parties de sexe avec des filles de mon âge.

A 23 ans, je sortais avec une fille de mon lycée. Je dormais de temps à autre chez elle. Un matin, elle essayait d’étouffer ses gémissements alors que je lui faisais l’amour. Au petit déjeuner, sa jeune sœur m’a demandé ce que je lui faisais pour qu’elle gémisse comme ça. Bien sûr, je n’ai pas répondu. Nous avions l’habitude d’aller au café en face du lycée. Nous nous y retrouvions avec quelques copains et copines et des jeunes qui trainaient. Nous côtoyions un mec paumé qui se shootait à l’essence de térébenthine ou à l’éther. Ma copine se rapprochait de lui, sûrement l’attirance du mauvais garçon. Un jour, il ne savait pas où dormir et ma copine lui a proposé d’aller chez elle. Il était hors de question que je les laisse seuls. Nous avons dîné avec sa mère et sa sœur. Au moment d’aller se coucher, je suis resté estomaqué de voir qu’elle lui proposait de dormir avec elle alors que j’envisageais pour lui, le canapé. Après s’être expliqué avec ma copine, j’ai abdiqué et accepté de dormir avec sa sœur qui venait de larguer son copain. Au début, je lui parlais de la situation et de mon désarroi. Puis, nous avons entendu des bruits suspects venant de la chambre où dormaient ma copine et ce voyou. J’ai pleuré et Sophie, la sœur à côté de moi, m’a consolé. Nous nous sommes embrassés et caressés. Elle était plus jolie que sa sœur mais c’est Nathalie que j’aimais. Nous nous touchions. Sa main caressait mon sexe tandis que mes doigts fouillaient le sien. Sous les draps, j’ai senti sa bouche avaler mon sexe. Je me suis glissais à mon tour sous les draps et lui ai fait un cunnilingus, même si j’ai fait des progrès en la matière depuis, elle gémissait. Puis je suis remonté sur elle en embrassant tout le long de son corps. Je me suis attardé sur ses seins. Nos langues se sont mêlées et entre ses cuisses écartées, j’ai dirigé mon sexe. Je l’ai pénétré et après quelques va-et-vient elle m’a dit que c’était bon, qu’elle comprenait le plaisir que sa sœur prenait avec moi. J’étais excité mais aussi énervé et je l’ai retourné. A genoux, je la tenais par les hanches pour la pendre en levrette. Elle étouffait ses gémissements dans l’oreiller. Je me suis vidé en elle et elle a joui. Le calme était revenu dans la maison mais dans la nuit, Sophie a voulu remettre ça. Je ne me suis pas fait prier et l’ai fait jouir à nouveau. Au petit déjeuner, la situation était tendue. Nathalie a retiré tout ambiguïté en embrassant le voyou avec qui, il était évident qu’elle avait couché. Sophie, pour la narguer, m’a embrassé à son tour. Deux nouveaux couples s’étaient formés.

A 25 ans, en couple avec la future mère de mes enfants, je prenais les transports en commun pour aller travailler. Un jour d’été, j’étais dans le bus en regardant par la fenêtre. J’ai remarqué une femme en décapotable qui exhiber ses jambes dans sa jupe courte. Le bus doublé, je redressais la tête pour découvrir que la fille en face de moi avait aussi de jolies jambes. Elle me sourit et posa sa main sur sa cuisse qu’elle caressa délicatement. A chaque fois que je quittais ses jambes de vue, elle me souriait. J’ai laissé passer mon arrêt pour descendre avec elle. Je la suivi jusqu’à son immeuble. Je remarque une porte qui semble allée vers les caves. Je l’entraîne et elle me suit mais au moment de l’embrasser, elle tourne la tête et me dit qu’elle a un copain. Elle m’avait chauffé et se refusait maintenant ! Ma deuxième tentative fut réussie et on s’embrassa. Ma main caressa sa cuisse puis se retrouva vite sous sa jupe. Je la retournai et elle posa ses mains sur le mur en cambrant son bassin. Je relevai la jupe qui formait une ceinture. Je me dégrafai à mon tour et écartant sa culotte, je la pénétrai. Elle se mit à gémir très vite et de mon côté, je m’efforçais à la prendre avec énergie. Après plusieurs minutes, j’ai senti qu’elle jouissait plus fort alors que je me déversais en elle. On s’est croisé plusieurs fois en ville sans vraiment se regarder.

J’ai 27 ans et je voulais présenter une ex à ma future femme que je souhaitais l’inviter au mariage. Nous avions convenu de l’inviter à diner. Malheureusement, ma femme a dû se faire hospitaliser la veille. Je n’ai pas annulé l’invitation. Venant de l’autre côté de Paris, elle est arrivée plus tôt que prévu ce qui aura une importance à la fin de l’histoire. Je l’ai trouvé très à son avantage dans sa jupe en jean et son débardeur. Je pense que nous avons toujours été amoureux l’un de l’autre et sans sa famille, nous serons peut-être encore ensemble. C’est mon plus grand regret et je crois savoir que c’est également le sien. Donc, je lui fais visiter notre triplex. Au troisième étage, toute la surface est la chambre à coucher d’environ 25m². Elle s’assoit sur le lit et me dit que je lui ai tout appris en matière de sexe, que ces copains de fac en ont profité et me chauffe en me racontant qu’elle a même eu une relation avec 2 copains en même temps. Je m’assois à ses côtés et nous nous embrassons. Je lui retire son débardeur et découvre qu’elle n’a pas de soutif. Je lui suce et mordille un téton pendant qu’une main caresse sa cuisse et remonte sous la jupe. Elle se dégage et s’agenouille devant moi. Elle me dégrafe et prend mon sexe dans sa bouche. Elle me suce vraiment bien et me donne envie de la prendre. Elle a aussi envie et se déshabille et m’attend nue sur le lit, les jambes écartées. Je m’allonge sur elle, l’embrasse et sa main me dirige en elle. Je bouge lentement avant que sous ses supplications, j’accélère puis comme elle me demande, la défonce. La baise est sauvage et elle ne se gêne pas pour exprimer son plaisir. Je la retourne et la baise en levrette. Elle me dit que c’est bon, qu’elle aime mon sexe, qu’elle prend son pied. Elle est déchainée comme si elle n’avait pas baisé depuis des lustres. Puis, elle me demande de la prendre par le cul. Depuis que je suis derrière elle, j’admirais son orifice qui se dilatait sous mes coups de bite. J’introduis un doigt qui rentre sans difficulté dans cet orifice. J’y présente mon sexe qui s’enfonce aussi facilement et la sodomise. Elle me dit de l’enculer plus fort (ce sont ses mots). Je m’acharne et admire mon sexe coulissé dans son cul qui se dilate sous mes coups. C’est plus des plaintes que des gémissements mais je sens qu’elle prend son pied. J’arrive à me maîtriser et à faire durer ce plaisir qu’elle me donne. Sentant que je n’allais pas me retenir plus longtemps, elle m’avoue qu’elle a quand même découvert une chose que je ne lui ai pas apprise. Elle me demande de me mettre debout et à genou devant moi, me branle et me suce. Lorsque je suis sur le point de jouir, elle me tient par les fesses et prend mon sexe le plus loin possible dans sa bouche. Je sens mon sexe propulser ma semence au fond de sa gorge. Elle avale tout avec visiblement un vrai plaisir. Nous sommes tous les deux allongés sur le lit lorsque la sonnette retendit. Je m’habille en quatrième vitesse et vais voir qui est là. Heureusement, il y a une porte cochère avant d’arriver à ma porte d’entrée ce qui permet à Florence ‘être présentable lorsque je fais entrer ma sœur et mon beau-frère. Jamais ils n’étaient venus à l’improviste et je soupçonne ma femme de leur avoir demandé de me surveiller. Il faudra qu’un jour je pose la question à ma sœur.

Cette aventure est la plus hard et où j’ai été un vrai salop. J’ai 36ans et divorcé. J’avais déjà couché avec ma belle-sœur qui est en fait la plus jeune des demi-sœurs de mon ex-femme. Séparée elle aussi, elle m’appelle et me propose de venir passer le week-end avec moi. Elle habite à 3 heures de route et n’hésite pas à venir le vendredi soir après le boulot. Je vais la chercher à la sortie de l’autoroute et elle me suit jusqu’à mon appartement. On s’embrasse et nous avons envi, l’un comme l’autre, de baiser mais nous allons prendre notre temps. Je sors quelques amuse-gueules et du champagne. Nue sur le canapé, je la baise farouchement. J’aime son petit corps qui ressemble à celui d’une gamine avec malgré tout un manque de poitrine. Puis, me vient une idée cochonne. J’ôte l’aluminium de la bouteille de champagne et présente le goulot au sexe de la fille. Je l’enfonce doucement et de plus en plus profondément. Elle rit et gémit en même temps. Je la laisse agir avec la bouteille et me fait sucer. Très excité, je la retourne et l’encule directement. Elle aime ça et j’ai presque le sentiment qu’elle préfère ce côté. Je ne ménage pas mes efforts et fini par jouir dans son p’tit cul. Il est déjà tard et nous allons nous coucher. Je me réveille avant elle et prépare le p’tit déj que je lui amène au lit. Après avoir débarrassé, je retourne dans la chambre. Elle est toujours au lit mais ne dort pas. Debout, je sors mon sexe qu’elle caresse et prend en bouche. Je lui dis que je veux qu’elle aille au bout de la pipe. Elle veut bien mais refuse que je jouisse dans sa bouche, le goût l’écœurant. Arrivée au point de non-retour, je lui demande de tirer la langue. Mon sperme s’étale sur sa langue. Elle crache mais ressens malgré tout le goût et elle a un haut le cœur. Nous nous préparons et en route sur Paris.
Toute l’après-midi, nous avons visité un maximum de quartier. Après avoir diné, je l’amène dans un petit bar de quartier avec de la musique et fréquenté par des jeunes. Je sais que j’ai une emprise sur elle et lui demande de faire comme si elle ne me connaissait pas. Evidemment, une fille au bar a attiré des garçons. Elle se fait draguer et se sentant protégée par ma présence, ai assez à l’aise. Un jeune homme un peu plus entreprenant l’attire dans une pièce à côté où les couples dansent. Je m’y rends également. Je jeune homme l’attire à lui et lui caresse le dos. Il lui susurre des mots à l’oreille qui la fait sourire. Il commence à lui faire des baisers dans le cou. Elle me regarde et je lui fais un signe du pouce. Alors, elle reste sans réaction et le jeune homme s’enhardi. Une main s’est posée sur ses fesses qu’il caresse ouvertement. En dansant, il l’a amené dans un coin plus à l’abri des regards. Elle cède à son baiser et se laisse caresser la poitrine. Je me suis approché et assis sur une banquette face à eux. Le jeune homme cherche à passer sa main sous la jupe qui est trop cintrée. Elle le stoppe et viens s’assoir à côté de moi. Le jeune homme ne lâche pas l’affaire et viens à côté d’elle. Il l’embrasse et là, sa main a plus de facilité à caresser la cuisse. Il est surpris de voir que je l’embrasse également. Je saisis un genou, lui écarte les jambes et caresse l’autre cuisse. Maintenant elle nous embrasse à tour de rôle. Le jeune homme nous propose d’aller chez lui à 2 stations de métro. Arrivés chez lui, je laisse le jeune homme profiter de madame. Ils sont sur le lit, il a relevé la jupe et ses doigts s’activent dans la chatte de la petite. Il se déshabille et excitée également, elle le branle puis elle le suce. Ils se sont déshabillés et le jeune homme a mis un préservatif. Il s’allonge sur elle et la pénètre. Je ne sais pas si c’est la situation ou si le jeune homme lui plait mais elle gémit de plaisir. Puis ils changent de position et maintenant, elle le chevauche lui offrant sa poitrine à sa bouche. Nue également, je suis debout face à elle et lui met mon sexe dans sa bouche. Elle l’embrasse avant de le lécher puis de le sucer. Elle se laisse plaquer contre le torse du jeune homme. Je la prépare à être sodomisée. Facilement dilatée, je la pénètre et ce sera sa première double pénétration et moi la réalisation d’un fantasme. Là, elle part dans des râles et grognes de plaisir. Nous partons tous les trois ensembles. Il est tard et il ne faut pas rater le dernier RER. Sur le chemin du retour elle m’a dit qu’elle avait fait ça pour me faire plaisir et qu’elle n’avait jamais autant joui. Dans le lit, nous avons refait l’amour et pendant l’acte, je lui ai fait admettre qu’elle était prête à tout pour moi.
Le lendemain, avant qu’elle parte, je lui ai demandé de faire une chose dont je ne suis pas fier aujourd’hui. Elle travaille chez un dentiste proche de la retraite et qui lui tourne autour et lui fait des avances. Je lui ai dit que si elle était prête à tout, alors qu’elle cède aux avances de son patron. Elle m’a demandé si j’étais sérieux et je lui demandé une preuve, une photo par exemple.
Ce matin-là, je reçois un sms qui me dit que c’est pour aujourd’hui. Puis, le soir elle me raconte comment cela s’est passé au téléphone. Je sens des trémolos dans sa voix et déjà je regrette ma demande.
« Sous ma blouse, j’avais juste un soutien-gorge, ma jupe, un string et des bas couleur chair. Lorsqu’il est arrivé, je me suis levé de ma chaise pour lui faire la bise comme tous les jours. Il remarque que j’ai laissé 2 boutons de ma blouse ouverts laissant apparaître la dentelle de mon soutien-gorge. Il me prend par la taille et m’embrasse à la commissure des lèvres. Pour une fois, je ne détourne pas la tête ni ne m’échappe de son emprise. Alors, il me sert contre lui et me fait des bisous dans le cou. Comme je ne réagis pas, il fait sauter les pressions de ma blouse. Sans dire un mot, il fait tomber la blouse à terre et dégrafe le soutif. Il empoigne mes seins et cherche ma bouche. Nos langues se mêlent et il me pose une main sur son sexe. Je le caresse et dégrafe sa ceinture et sa braguette. En appuyant sur mes épaules, il me fait comprendre de m’agenouiller. Son sexe est déjà dur et je le lèche avant de le prendre en bouche et de le sucer. Accroupie, il découvre que je porte des bas. Cette vision l’excite et il me relève. Pendant qu’il va chercher un préservatif, je prends mon téléphone, retire ma jupe et m’allonge sur le fauteuil de soin. Il me retire le string et me caresse la chatte. Je suis aussi surprise que lui d’être mouiller autant. Il se présente et s’enfonce en moi. Sous ses assauts, je gémis et prend malgré tout du plaisir. Il prend son temps, veux profiter de ce qu’il cherche depuis si longtemps. Je me laisse aller et entoure mes jambes autour de lui pour qu’il me pénètre plus profondément. Il réussi à me faire jouir. Il faut dire que j’avais fermé les yeux et m’imaginais que c’était toi. J’ai eu le courage d’ouvrir les yeux et de prendre en photo son sexe en moi. N’en pouvant plus, il a ôté son préservatif et jouit sur mon ventre. Je me suis nettoyé avec des lingettes et rhabillé. Sur sa demande, je n’ai pas remis mon soutif. Comme je lui avais dit que ça ne se renouvellera pas, il en a profité une deuxième fois à la pause de midi avant que ma sœur n’arrive pour l’après-midi. Là, il m’a prise en appui sur le bureau. Il a tenté de me sodomiser mais j’ai refusé. »Voilà, je t’envoi la photo. Notre histoire s’est terminée lorsqu’elle a voulu que je la présente à mes parents. Je ne me sentais pas capable d’affronter mon ex-femme, mes parents ou les siens. Elle m’a traité de salaud et je le méritais.

A 42 ans, je suis parti sur la côte avec mes enfants. Nous avions l’habitude d’aller sur la plage où mes ados ont fait la connaissance de copains avec qui ils passaient la journée à jouer dans l’eau ou bronzer sur la plage. Je me tenais à l’écart pour ne pas les déranger. Tous les jours, une allemande d’une vingtaine d’année était accompagnée par ses parents qui s’absentait pratiquement toute la journée. J’ai très vite remarqué qu’elle me regardait et ne le détournais pas quand je la fixais. J’avais le droit à des sourires qui m’ont donné la force de l’aborder. Nous communiquions en anglais. Elle a très vite accepté de m’accompagner à l’appartement. J’ai dit à mon fils que j’allais chercher quelque chose pour qu’il ne s’inquiète pas de mon absence. Arrivés à l’appart, nous nous sommes embrassés. Elle avait juste mis sa serviette de bain autour d’elle, ce qui m’a permis de la déshabiller très vite. Elle avait un corps ferme et une belle poitrine. Avec mes doigts et ma langue je l’ai fait jouir une première fois. A son tour, elle m’a sucé et fait gonfler mon sexe au maximum. J’ai mis un préservatif et me suis allongé sur elle. C’était merveilleux de baiser une jeune fille si jeune. Elle ne masquait pas son plaisir et cherchait toujours à m’embrasser. Je l’ai prise ensuite en levrette. Elle enfonçait sa tête dans l’oreiller pour dissimuler ses gémissements. J’ai tenté un doigt dans son petit trou et je l’ai senti gémir encore plus fort. Je lui ai dit que j’aimerais la prendre par le cul et elle m’a répondu qu’elle ne l’avait jamais fait. Après l’avoir préparé, elle ne m’a pas empêchée d’enfoncer mon sexe dans son cul. J’y suis allé délicatement et j’ai réussi à la posséder par là. Elle a eu un peu mal mais à supporter et a fini par y trouver du plaisir. Pour moi, voir cet orifice se dilater et accepter mon sexe était un pur délice. Après quelques va et vient, je me suis logé au plus profond de son cul et jouis dans ma capote. Je me suis retiré doucement. Elle m’a embrassé avec fougue. Nous avons pris une douche et sommes retournés à la plage.

Voilà c’est la fin de mes souvenirs les plus chaud. Aujourd’hui, je suis célibataire.

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