Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (3)

- Par l'auteur HDS Egrewam -
Récit érotique écrit par Egrewam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (3)
Il est presque midi lorsque je me réveille. Quand j'arrive sur la terrasse, tante Cécile est déjà partie en ville et au bout de la terrasse, Mathilde s‘entretient avec un vieux jardinier occupé à élaguer les arbustes dans le jardin, en contre-bas de la terrasse.
Elle est appuyée à la rambarde de pierre et j’ai sous les yeux son large fessier, moulé dans une jupe qui met en valeur sa croupe de jument, ses hanches. Une véritable invite. Je me lève, m’approche à ses côtés.
Je laisse ma main traîner sur sa hanche, et je commence à la peloter à travers sa robe, caressant une fesse aussi ferme qu'opulente. Quand je glisse la main sous sa robe, elle se cambre. Je caresse ses cuisses, avant de remonter rapidement vers sa culotte. La bosse de son sexe me paraît volumineuse sous mes doigts.
Je serre au creux de la main une boule de chair saillante qui tend le coton de la culotte. Je sens la chaleur humide. Elle se frotte sur mes doigts en roulant du bassin, se caressant elle-même sur mes phalanges tendues. Dans cette position, je ne peux pas lui retirer sa culotte, ni même la baisser.
Je sais que la rambarde de pierre de la terrasse nous abrite des regards jusqu'à la poitrine, et je m‘accroupis derrière Mathilde. Je remonte sa robe, faisant rouler le pan de tissu pour le coincer dans sa ceinture.
Elle a un sursaut quand que je découvre ses jambes, ses cuisses larges et enfin la croupe sphérique. Le slip blanc paraît trop petit pour elle et scie la chair ferme des fesses, se perd dans la raie profonde qui les sépare. Je baisse sa culotte jusqu'aux genoux.
Elle accompagne mon geste en écartant les jambes si bien que le slip ne tombe pas, il reste tendu entre ses cuisses.
Ma queue me fait mal, tant je suis excité par la perversité de la situation et la vue de son cul charnu, à la fois massif et d'une rondeur parfaite.
Elle s'incline davantage sur la rambarde, creusant les reins pour tendre sa croupe vers moi. Les fesses s'entrouvrent légèrement, mais le sillon entre elles est trop profond pour que j'y distingue quoi que ce soit. J'achève le travail en tirant des deux pouces sur les globes.
Entre les cuisses, sa vulve très renflée dépasse en deux boudins de chair accolés, les lèvres trop grasses pour laisser voir l'intérieur de la fente. Sa pilosité sombre orne son sexe et entoure le périnée, avant de devenir plus abondante autour de l'anus, l'encerclant si bien qu'elle le masque à demi sous ses frisottis.
Mathilde se contracte quand elle sent mon visage se rapprocher de son cul. Un parfum de lait caillé émane de son con. Je le renifle quelques instants, me régalant de son odeur acide, excitante. Lorsque je commence à la lécher, elle laisse échapper un petit gémissement. Je me mets alors à la laper, suçant et aspirant, passant de son con à son cul. J'aime le goût acidulé de sa mouille et plus encore, sa docilité.
Je m'enfonce loin dans son vagin, j'explore son rectum de la langue sans qu'elle se dérobe. Au contraire, elle tend son cul. Elle pose la main sur ma nuque et pousse pour m'inciter à aller plus loin. À son âge, elle est naturellement large, élastique des deux côtés.
Je me redresse pour contempler son trou du cul que les poils lissés de bave ne cachent plus : une large pastille rosée que marque un orifice allongé, légèrement entrouvert par mes coups de langue.
Accolant majeur et index, je glisse entre les lèvres grasses de son con. La porte du vagin, abondamment lubrifiée de mouille et de salive, n'oppose aucune résistance à mes doigts qui coulent à l‘intérieur. Pendant que je la branle rapidement à coups de poignet, je continue à agacer son trou du cul de coups de langue répétés. Ses jambes sont parcourues de frissons et elle doit se racler la gorge pour éviter que sa voix ne s'éraille.
Je me mets à la branler plus fort encore, appuyant à chaque mouvement sur la paroi antérieure de son vagin ce qui la fait se crisper. J'ai tellement envie de la baiser que mes doigts me servent de substituts.
La langue, c'est trop doux. De la main gauche, je fais comme avec la droite : cette fois, c'est sur l'anus humide que je pose les doigts.
Elle ne se rétracte pas, au contraire et, bien qu'avec plus de difficultés que dans sa chatte, ils s‘enfoncent dans son rectum, jusqu'à la garde.
Je pistonne maintenant Mathilde des deux côtés, branlant son cul et son con en alternance, enfonçant mes doigts par-derrière quand je les retire devant et ainsi de suite.
Elle se plie en avant laissant sa tête retomber sur son avant-bras et ses cuisses se mettent à trembler. Elle a émet une sorte de sifflement en voulant étouffer son râle et me saisit le poignet, enfonçant ses ongles dans ma peau en jouissant, tout le bas du corps parcouru de secousses.
Il lui faut quelques secondes pour reprendre ses esprits, et finalement elle se dégage elle-même en repoussant mes mains. Elle est cramoisie, remonte sa culotte et se dirige vers la maison :- Rentrons, j‘ai encore envie... Tu es tellement cochon...
Je la suis dans le salon. Elle se met debout, les fesses appuyées sur la grande table, elle trousse sa robe. Elle écarte les cuisses. Elle s’assied sur la table. Elle me regarde, les paupières mi-closes. Elle se recule, le pan retroussé de sa robe laisse voir ses cuisses volumineuses.
Elle me lance un regard en se laissant aller lentement en arrière sur la table.
- Viens... Fais-moi des choses sales...
La robe remonte plus haut et ses genoux s‘écartent davantage. Je suis à hauteur idéale pour mater les cuisses qui s’évasent autour de la bosse claire de sa culotte.
Appuyée sur les coudes, elle m’observe avec un demi-sourire, attendant mon initiative. Je pose une main sur l’intérieur de sa cuisse, en retroussant sa robe de l’autre. Elle pose la main, caresse son sexe emprisonné dans la culotte, et s’allonge sur le dos. En sentant mes mains glisser sous sa robe, elle se cambre, soulevant le bassin pour que je puisse lui retirer son slip sans peine. Je fais rouler sa culotte sur ses hanches larges.
Entre ses cuisses lourdes, son sexe, charnu, gros. Le pubis renflé recouvert de poils, une toison dense. Je pince la chair grasse, étire les lèvres qui se déplissent, elles dépassent entre les cuisses, brunes à l’extérieur, rougeâtres du côté de l’entrée du vagin qu’elles ne protègent guère tant elles sont molles.
Je les repousse du bout des doigts, les étire de chaque côté, fait bâiller la fente en un trou ovale, bordé de chair humide. Mathilde ne dit rien. J‘examine son sexe dans tous ses détails.
J’ai l’impression de jouer au docteur, froissant puis déplissant les chairs chiffonnées, dégageant le haricot grenu du clitoris, l’agaçant à peine, avant de glisser très lentement deux doigts dans son vagin.
- Oui, c’est ça, vas-y, touche-moi comme ça !
Elle est si mouillée que mes doigts coulissent jusqu’au fond sans rencontrer la moindre résistance. Je commence à les agiter en rond, tirant à Mathilde un soupir de satisfaction. Des phalanges, je repousse les parois élastiques de sa chatte qui continue à se dilater. Je défait ma ceinture et repousse pantalon et slip sur mes chevilles.
Ma queue est dure comme un bout de bois, le gland cramoisi suinte. Je n’ai même pas à guider mon pieu de la main, en pliant légèrement sur mes jambes, je creuse les reins et le con de Mathilde s’ouvre sous la poussée du gland. En une poussée, je suis au fond.
Cette fois, Mathilde se met à gémir. Son expression n’a pas changé – paupières mi-closes, bouche étirée en un demi-sourire – mais la sueur qui lui perle aux tempes et sa respiration bruyante trahissent son plaisir à sentir mon pieu fouiller sa chatte.
Je donne de grands coups de reins, fait coulisser ma queue sur toute sa longueur, si vite qu’elle s’échappe par instants et vient riper sur le clitoris. J’essaie de faire mal à Mathilde, mais c’est l’effet inverse que j’obtiens. Mes entrées et sorties, mes coups furieux, ne font que lui procurer davantage de plaisir.
Les genoux relevés haut pour m’ouvrir sa chatte autant qu’elle le peut, elle malaxe sa poitrine à travers sa robe.
- Oh, tu le fais bien ! Oh oui, tellement bien ! Je suis ta cochonne ! Baise !
Elle déboutonne le haut de sa robe. On aurait pu croire que c’est parce qu’elle manque d’air – elle halète maintenant – mais elle ne veut que libérer ses seins, deux masses de chair molle piquées d’un mamelon brun sombre. Elle les écrase entre ses doigts, les pétrit avec furie en sentant l’orgasme venir.
- Oui ! Maintenant ! Maintenant ! Oh, je viens !
De la sueur me coule dans le dos. J’accélère, essaie de la rattraper, me rue d’avant en arrière. Mathilde crie et je sens les premiers flots me baigner le pubis. Je me retire et vois un jet de pisse gicler hors de sa chatte, éclabousser mes couilles. En jouissant, elle est en train de me pisser dessus.
Je remets ma queue dans sa chatte, freinant l’ondée qui ruissèle entre nous, lui coule le long du périnée pour finir en flaque sur le carrelage. Elle crie encore, je me retire et sa pisse gicle en deux salves successives, me baignant le gland... Mathilde pisse quand elle jouit, comme un homme éjacule.
Ses sursauts calmés, elle se laisse retomber lourdement sur la table pour reprendre son souffle. Sa respiration haletante fait rouler ses seins sur son buste. L’odeur âcre de l’urine se mêle maintenant à celles plus chaudes de mouille et de sueur. Son entrecuisse parait ravagé : le vagin reste entrouvert, les lèvres recroquevillées ont viré au rouge vif et le tout baigné de pisse qui étire les poils en tortillons luisants.
Une seconde, j’hésite à la retourner sur la table, à me servir de son cul pour jouir.
Au lieu de ça, je finis d’ôter slip et pantalon et je grimpe sur la table.
- Mathilde, tu as vraiment tout salopé !
Elle relève les yeux vers moi, le regard flou, sans comprendre ce que je lui dis.
- Il va falloir nettoyer tout ça maintenant !
Je m‘accroupis au-dessus d’elle, posant un genou de chaque côté de ses épaules et je la prend par la nuque pour lui soulever la tête.
- Allez, viens nettoyer tout ça !
En la tirant sans ménagement, je l‘attire vers mon entrejambe, lui plaquant le visage contre les poils qu’elle a mouillés de sa pisse. Mes couilles roulent sur sa joue, ma queue toujours raide lui cogne contre la tempe. En resserrant les genoux, je lui interdit de lever les bras et il m’est facile d’orienter son visage comme je le veux.
- C’est ta pisse, Mathilde, alors, vas-y, goûte-la !
Elle a un gémissement. Toujours en la tenant par la nuque, je promène ma queue luisante de mouille et de pisse sur son visage, comme si je voulais la maquiller. Je passe le gland sur ses paupières, sur l’arête de son nez.
Quand j‘arrive à ses lèvres, elle ouvre docilement la bouche, mais je ne la laisse pas sucer tout de suite.
- Tu es vraiment une dégoûtante, Mathilde !
Elle ferme les yeux et tend la langue pour la passer sur mes couilles. Elle les lape doucement.
- C’est vrai, je suis sale ! Je suis une dégoûtante et une cochonne !
Elle relève les yeux vers moi et je comprend qu’elle est à nouveau excitée.
- Sers-toi bien de ta langue ! Et partout !
Je me cambre légèrement au-dessus d’elle, et je sens sa langue glisser dans mon périnée. Ma queue se tend, le gland luisant. Je m‘avance de quelques centimètres et, avec un grognement, Mathilde commence à me fouiller l’anus de sa langue. Elle s’enfonce aussi loin qu’elle le peut, tournoie dans mon cul, laisse mes couilles frotter sur son front. C‘est à mon tour de haleter.
Je la sent gigoter sur la table et la voit glisser une main entre ses cuisses. En serrant ses doigts les uns contre les autres, elle recommence à pilonner son con comme je l’ai fait avec ma bite. Elle grogne en s’acharnant sur mon trou du cul.
Je suis si proche du plaisir que rester comme ça est douloureux, je veux gicler. Je serre mon pieu et jouit, éjaculant si abondamment que mon sperme gicle jusque dans les cheveux de Mathilde avant de me poisser les doigts.
La tête me tourne. Je me laisse aller en avant, m’appuyant sur les paumes, je reprends conscience de Mathilde qui continue à se branler brutalement, une expression vicieuse sur son visage luisant. Elle ouvre la bouche, tend le cou pour aspirer mon gland mollissant entre ses lèvres, le suçotant pour en tirer les dernières gouttes de sperme.
- Le reste, chéri !
Sa voix est rauque, hachée. Je réalise qu’elle est encore plus excitée que lorsque je l’ai baisée. Sa masturbation est si saccadée qu’elle fait trembler la table. Elle me sourit, lubrique, essayant de donner un ton enjôleur à sa voix.
- Donne-moi le reste, chéri ! Donne-moi tout !
Les rôles sont inversés, c’est moi qui dois lui pisser dessus, ce qui l’excite au point qu’elle en grimace, qu’elle ébranle la table en cognant sa chatte de sa main ouverte. Elle ouvre la bouche en une grimace obscène. Je me mets debout et pendant qu’elle se fait jouir une nouvelle fois, je lui pisse dessus comme elle le désire.
Dirigeant ma bite de deux doigts, je vise d’abord sa poitrine, éclaboussant ses gros seins, imbibant le coton de sa robe puis je remonte jusqu’à sa bouche qu’elle garde grande ouverte. Elle laisse ma pisse l’emplir avant de déglutir bruyamment, expédiant dans son cou ce qu’elle ne peut avaler.
Elle jouit encore plus fort que quand je l’ai baisée, ruant comme une ânesse, donnant des coups de talons sur la table en beuglant des insanités, tandis que l’ultime filet d’urine lui balaie le front et les tempes.

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