Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (5)
Récit érotique écrit par Egrewam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2022 dans la catégorie Fétichisme
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Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (5)
Journée torride, consacré au farniente. Bains dans la piscine, sieste. En fin de journée, Mathilde, pour fêter son départ le lendemain, nous emmène dîner au restaurant.
Je connais l‘endroit de réputation : un rendez-vous de couples, mais surtout de messieurs en quête de sensations plus ou moins fortes...
Lorsque nous arrivons, presque toutes les tables sont occupées, nous trouvons place au fond de la salle. A la table en face de nous, un monsieur d‘une cinquantaine d‘années ne quitte pas Mathilde des yeux, plus précisément une région bien précise, me semble-t-il. Je baisse les yeux : Mathilde a les cuisses largement écartées ! Cette cochonne s‘exhibe à ce type ! Elle ne peut pas s‘en empêcher ! Comme avec moi, le premier jour... Je crois que c‘est plus fort qu‘elle !
Elle prend la main de tante Cécile, assise à côté d‘elle sur la banquette, et la conduit entre ses cuisses.
- Touche-moi...
Elle commence à lui palper la chatte, enfonce légèrement un doigt, puis deux dans sa fente. Elle un mouvement du bassin, alors elle lui enfonce trois doigts dans le con, les faisant tourner. Elle la branle sans retenue, ça clapote, c‘est obscène et j‘ai une trique d‘enfer !
Maintenant, l‘homme mange d‘une main, de l‘autre il tripote sa braguette. Il bande. Il est cramoisi, et semble être au bord de l‘apoplexie... Finalement, il ouvre sa braguette, sort sa queue et commence à se branler.
Mathilde murmure :- Il a une belle queue... J‘ai envie de le sucer...
Elle se lève et se dirige vers les toilettes, trois secondes plus tard l‘homme se lève à son tour et la suit.
Moins de dix minutes plus tard, ils sont de retour... Le monsieur, très décontracté, Mathilde, les yeux brillants :- Mes chéris, rentrons vite, j‘ai envie, envie, envie !
Dans le taxi qui nous emmène à la villa, tante Cécile et Mathilde, sur la banquette arrière, se pelotent en s‘embrassant à bouche que veux-tu. La soirée s‘annonce torride.
Nous sommes à peine entrés au salon que Mathilde se colle contre tante Cécile. Elle lui déboutonne le corsage, dévoilant les lourdes mamelles qu’elle se met à caresser, s’attardant sur les pointes en érection qu’elle fait rouler entre pouce et index. Les mamelons se dressent. Elle fait glisser la jupe. Le fond de la culotte colle contre sa vulve mouillée.
Elle glisse la main entre les cuisses, palpe son sexe protégé par la dentelle.
- Ta culotte est trempée...
Elle la lui retire, la porte à son nez : - J’aime ton odeur de chienne en chaleur, Cécile...
Tante Cécile soupire quand Mathilde lui enfonce trois doigts dans le con, et elle écarte largement les cuisses pour mieux offrir sa chatte aux doigts fouineurs.
- Oui, Mathilde, branle-moi bien !
- Tu mouilles comme une salope ! C’est une vraie fontaine, ici !
Tante Cécile remue son cul plantureux pour s’empaler sur les doigts qui clapotent dans sa faille gluante. Elle est sur le point de jouir quand les doigts sortent de son sexe embrasé.
- A ton tour... Déshabille-moi...
Tante Cécile passe les mains sur les hanches de Mathilde et commence à faire remonter sa robe. Sous ses doigts, le bas de la robe remonte rapidement révélant les larges cuisses de Mathilde.
- J’ai envie qu’on lui montre. Toi aussi, Pierre, tu aimerai voir ce dont cette cochonne est capable ?
Bien sûr, que j‘aimerais ! Affalé sur le grand sofa, j‘ai la queue à l‘horizontale et jouis de mon rôle de voyeur.
Tante Cécile lui relève la robe sur les reins, pour m‘exposer les hanches larges, charnues, et les fesses lourdes, boudinées dans la culotte. Elle baisse d’un coup le slip blanc. Les grosses fesses s’épanouissent. Tante Cécile glisse la main dans la raie, jouant du poignet pour repousser les masses rebondies du fessier et s’insinuer au creux du sillon.
Au lieu de se contracter, Mathilde pousse un long soupir et, étirant le slip qui entrave ses cuisses, écarte les jambes pour faciliter la fouille de ma tante.
- Tu es déjà toute chaude, salope !
Elle donne un coup de poignet pour faire pénétrer davantage ses doigts et Mathilde gémit avant de tourner la tête pour me regarder par-dessus son épaule.
- C’est à cause de lui que tu mouilles ? Parce qu’il regarde ? Cochonne !
Sa main s’agite par saccades entre les fesses amples de Mathilde qui ferme les yeux : - Tu le sais bien.
Tante Cécile retire ses doigts d’un coup, laissant retomber la robe comme un rideau sur la croupe charnue, à mon grand regret. Elle passe les doigts sur les lèvres de Mathilde, les lui fourre dans la bouche, l’obligeant à goûter sa propre saveur tout en continuant à lui parler sur le même ton.
- Et moi, tu crois que je suis chaude aussi ? Tu veux sentir ? Lèche !
L’acquiescement de Mathilde est à peine audible, à cause des doigts de Cécile contre son palais, mais elle semble avoir attendu ce moment. D’elle-même, elle tombe à genoux devant tante Cécile.
Elle pose le visage sur son ventre, faisant glisser ses lèvres jusqu’à l‘entrejambe, contre la toison noire qui s’étale entre les cuisses, remonte sur le haut des cuisses et s’étiole en pointe.
Mathilde ferme les yeux et frotte son visage dans le buisson sombre. Elle enfonce le nez et la bouche dans les poils avec une avidité animale. Elle semble chercher de la truffe comme une jeune chienne, fouillant la touffe en quête de son odeur.
- Tu sens là ? Tu sens comme elle est chaude, ma chatte ?
Sans relever les paupières, Mathilde ouvre la bouche et insinue la langue dans la toison. Tante Cécile la retient par les cheveux, l’empêchant de fouiller davantage son entrecuisse velu.
- Attends ! Tu veux qu’il voie, non ? Alors, viens !
Elle repousse Mathilde et vient s’installer sur le sofa. Sur le dos, en appui sur les coudes, elle ouvre les cuisses et me lance une oeillade. Mathilde la rejoint à genoux et plonge vers le sexe étalé, commençant aussitôt à le laper avec des bruits de gorge. Son regard complice toujours posé sur moi, Cécile lui repousse la tête sur le côté, et peigne les mèches pour dégager son profil à ma vue.
Le visage de Mathilde a une expression extatique. Paupières closes, front plissé, elle semble au bord du plaisir, comme si se repaître des parfums puissants du con trempé la faisait jouir. Les lèvres écartées, elle passe la langue sur la fente en soufflant, repousse les poils étirés pour atteindre le gros clitoris enflé qui darde entre les frisottis.
- Tu l’aimes vraiment, mon con ! C’est parce qu’il sent fort, c’est pour ça ?
Mathilde pousse un gémissement et accélère ses coups de langue, happant le bouton entre ses lèvres pour le sucer.
- Et mon cul, est-ce qu’il t’excite aussi ?
Tante Cécile me jette un regard vicieux, comme pour m’inviter à ne pas en perdre une miette, avant de relever haut les genoux pour exposer sa croupe. Entre les fesses, dans le sillon tapissé de poils noirs, l’anus saille comme un large cratère irrégulier aux reliefs sombres.
- Alors tu l’aimes aussi mon trou du cul ?
Mathilde opine et avance son profil entre les fesses. Du pied, tante Cécile l’arrête dans son élan.
- Alors ?
Mathilde ouvre fugitivement les yeux. Sa voix est sourde.
- Tu le sais bien !
Cette fois, Cécile la laisse faire et elle peut poser les lèvres sur l’anus protubérant, le couvrir de baisers tendres avant d’en faire le tour avec ses lèvres, l’agaçant avec une volupté manifeste. Elle finit par y enfoncer la langue, la faisant tourner dans le rectum, coulisser dans l’orifice qu’elle maintient ouvert des deux mains.
Mon sexe est si gonflé qu’il devient douloureux. Je veux me joindre à elles, les posséder toutes les deux, mais en même temps, je suis trop fasciné par ce que je vois pour me déplacer.
Avec un dernier coup de langue avide dans la raie, Mathilde se redresse, le visage humide, la voix éraillée.
- Maintenant, Cécile... Tu veux bien ?
Sans attendre la réponse de tante Cécile, elle se débarrasse avec des gestes fébriles de sa robe et dégrafe son soutien-gorge rapidement, libérant ses seins volumineux qui retombent lourdement sur son buste. Sa culotte est toujours baissée sur ses cuisses, là où l’a laissé Cécile, et entaille ses larges fesses.
- Maintenant, s’il te plaît !
Tante Cécile se redresse, et rampe sur le canapé pour amener son bassin au bord du sofa.
- Tu ne veux pas plutôt que ce soit lui ?
Mathilde ferme les yeux et secoue la tête dans une attitude de prière.
- Non, toi... Toi d’abord !
Une joie vicieuse éclaire le visage de ma tante. Assise au coin du sofa, elle passe les mains entre ses cuisses, plongeant les doigts dans la touffe humide pour écarter les lippes hérissées de poils de son con et exhiber la fente rougeâtre, les nymphes ciselées, et l’impressionnant clitoris érigé.
- Tu crois qu’il voudra encore de toi après, d’une vieille salope qui sent la pisse ?
Son sourire s’agrandit et elle relâche sa vessie. Mathilde n’a ni sursaut, ni cri de surprise. Au contraire, elle incline son visage pour l’amener sous le jet doré, elle laisse la pisse lui éclabousser le visage, lui inonder la bouche. Elle avale à petites lampées, l’excédent de pipi lui ruisselant dans le cou.
Le jet tarit rapidement et Mathilde ouvre les yeux, son visage souillé de pisse, fripé par une expression contrariée à l’idée que ce soit déjà fini. Elle a un soupir presque douloureux et plonge vers le buisson humide, léchant et suçant, pour aspirer jusqu’à la dernière goutte avec un appétit pervers. Cécile la saisit brutalement par les cheveux et la force à se relever.
- Tu n’es vraiment qu’une pute ! Ouvre les yeux, regarde Pierre ! Tu voulais vraiment qu’il te voie comme ça !
Elle finit de lui baisser le slip, m‘exhibant, sous les chairs molles du ventre, un pubis hérissé de poils jusqu’au bord de la fente et encadrent les longues lèvres pendantes et lisses, d’un rose violacé.
Elle abat sèchement sa main sur le pubis. Mathilde se mord les lèvres et se courbe un instant vers l’avant, par réflexe, avant de tendre son bassin pour une deuxième claque.
Tante Cécile frappe plus violemment faisant retomber sa paume sur la vulve avec un bruit sec. Mathilde ne peut retenir un gémissement, mais ne se dérobe pas. Après cinq ou six tapes de plus en plus appuyées sur son sexe, son visage est rouge et de la sueur perle sur son front.
Lorsque tante Cécile se munit d‘un martinet, Mathilde se met à quatre pattes sur le lit.
- Tanne-moi les fesses !
Un premier coup s‘abat...
- Vas-y fort ! Pèle-moi le cul !
Un second coup cingle les fesses de Mathilde.
- Continue comme ça, fais-moi mal !
Elle frappe de nouveau et, cette fois, de longues marque rouges s’étalent en travers de ses fesses. Elle accuse les coups par des tressaillements de tout le corps. Cependant, cela ne lui suffit pas encore.
- C’est mieux... Vas-y encore plus fort...
La cravache siffle à plusieurs reprises. Alors que ses fesses se marbrent de coups, Mathilde reste prosternée, une main entre les cuisses. Elle se tient très cambrée, je vois ses doigts tout luisants de mouille s’agiter dans sa fente dont les lèvres molles bâillaient largement.
Sous les volées de la badine, elle ondule comme une liane. Lorsque les coups l‘atteignent entre les cuisses, Mathilde jouit, en poussant un cri strident, avant de s’affaisser sur le canapé. Sa main, toujours coincée entre ses cuisses, l’orgasme la secoue de la tête aux pieds.
- Ma pauvre, mais qui voudrait encore de toi ? Tu penses qu’un gentil garçon comme Pierre a envie de baiser une cochonne comme toi, vieille vicieuse ?
En lui crachant ces paroles blessantes, elle la rejette sur le sofa. Mathilde y reste un instant immobile, la respiration hachée, puis elle roule sur le ventre et soulève lentement ses fesses opulentes.
Elle ramène ses genoux sous son ventre, creusant le dos étalant sa croupe grasse, faisant ballotter les sphères lourdes en les écartant davantage pour exhiber au-dessus de la chatte entrouverte, un anus bosselé et poilu, d’un rouge si vif qu’il parait déjà irrité, blessé. C’est là que Cécile recommence à la frapper, visant avec soin pour que ses coups retombent juste sur l’orifice vulnérable.
- Parce que tu crois qu’il en voudra, de ton trou du cul ?
Mathilde se met à geindre, faisant osciller sa croupe au rythme des coups. Moi, de mon côté, je n’en peux plus, je vais finir par jouir sans les avoir touchées. Je m’avance, la queue raide. Cécile me lance un regard complice. Elle approuve mon initiative et ne peut dissimuler son envie à la vue de ma verge tendue. Elle y porte la main, caressant la hampe de la paume.
- Tu as vu, Mathilde, comme elle est grosse ?
Mathilde reste dans sa posture servile, croupe levée offerte, mais elle tourne la tête pour suivre les gestes de ma tante. Je ne distingue pas son regard, mais son visage est en sueur. Tante Cécile passe la main sous mes couilles, effleure le gland, si gonflé qu’il parait humide et qu’une goutte pointe au méat.
- Tu imagines comme elle pisse fort, cette queue toute dure ?
Mathilde ferme les yeux et, avec un râle sourd, agite ses lourdes fesses, impatiente qu’on la maltraite. Cécile enroule les doigts sur ma tige raide et commence à me branler.
- Mais elle est pour moi. Moi d’abord !
Elle lève vers moi des yeux brillants de lubricité et darde une langue pointue, me masturbant plus vite, serrant fort ses doigts autour du manche. Je suis trop excité par ce que j‘ai vu et sa main experte m‘achève. Avec un râle, je sens l’orgasme m‘agiter les reins.
La bouche de tante Cécile n’a pas le temps d’atteindre mon gland. Mon sperme fuse, gicle sur son cou, lui éclabousse la gorge avant que les dernières coulées lui retombent entre les seins.
Je sens mes jambes vaciller et me laisse tomber sur le sofa. Tante Cécile ne semble même pas dépitée. Elle appelle Mathilde.
- Viens. Je sais que tu veux le goûter !
Mathilde se redresse, les yeux fermés, frémissante, et laisse Cécile guider son visage vers les coulées gluantes qui maculent sa gorge. Elle lape lentement, prenant le temps d’avaler chaque bouchée de sperme que sa langue recueille. Les seins d’abord, puis la gorge, avant d’arriver jusqu’au menton, elle n’en laisse rien.
Sentant mon regard sur elle, Mathilde ouvre les yeux. Elle sait que je ne serais pas long à rebander lorsqu‘elle murmure :- Je veux boire ton jus...
Je me mets à quatre pattes. Elle a compris. Elle se met derrière moi. Je me penche, et elle enfouit son visage entre mes fesses. Elle respire mon cul, le lèche avec fièvre. Ma queue se dresse. Mathilde tend sa langue pour pouvoir me la rentrer dans l’anus.
Elle sait y faire. Elle tire la langue pour me lécher jusqu‘aux couilles. Je l’entends respirer de plus en plus vite. Je me retourne. Elle se tripote entre les cuisses, tout en me suçant le trou du cul.
Je lui donne une tape violente sur les fesses. Presque aussitôt les marques de mes doigts apparaissent sur sa peau. Je prends le martinet et lui ordonne de me sucer la bite. Elle la prend dans sa bouche, et pendant qu’elle me lèche la queue, je frappe son dos, à petits coups. Le bras tendu, je vais jusqu’à ses fesses, visant sa raie.
Elle se cabre, me suce avec toute sa science, presse mon gland contre son palais, titille mon méat. Je dois me retenir de jouir trop vite. Je donne de nouveaux coups, plus forts. Elle se cabre en entendant les sifflements qui les annoncent. Elle les reçoit en gémissant de plaisir, pas de douleur. C’en est trop. J’éjacule dans sa bouche. Elle boit tout...
Je connais l‘endroit de réputation : un rendez-vous de couples, mais surtout de messieurs en quête de sensations plus ou moins fortes...
Lorsque nous arrivons, presque toutes les tables sont occupées, nous trouvons place au fond de la salle. A la table en face de nous, un monsieur d‘une cinquantaine d‘années ne quitte pas Mathilde des yeux, plus précisément une région bien précise, me semble-t-il. Je baisse les yeux : Mathilde a les cuisses largement écartées ! Cette cochonne s‘exhibe à ce type ! Elle ne peut pas s‘en empêcher ! Comme avec moi, le premier jour... Je crois que c‘est plus fort qu‘elle !
Elle prend la main de tante Cécile, assise à côté d‘elle sur la banquette, et la conduit entre ses cuisses.
- Touche-moi...
Elle commence à lui palper la chatte, enfonce légèrement un doigt, puis deux dans sa fente. Elle un mouvement du bassin, alors elle lui enfonce trois doigts dans le con, les faisant tourner. Elle la branle sans retenue, ça clapote, c‘est obscène et j‘ai une trique d‘enfer !
Maintenant, l‘homme mange d‘une main, de l‘autre il tripote sa braguette. Il bande. Il est cramoisi, et semble être au bord de l‘apoplexie... Finalement, il ouvre sa braguette, sort sa queue et commence à se branler.
Mathilde murmure :- Il a une belle queue... J‘ai envie de le sucer...
Elle se lève et se dirige vers les toilettes, trois secondes plus tard l‘homme se lève à son tour et la suit.
Moins de dix minutes plus tard, ils sont de retour... Le monsieur, très décontracté, Mathilde, les yeux brillants :- Mes chéris, rentrons vite, j‘ai envie, envie, envie !
Dans le taxi qui nous emmène à la villa, tante Cécile et Mathilde, sur la banquette arrière, se pelotent en s‘embrassant à bouche que veux-tu. La soirée s‘annonce torride.
Nous sommes à peine entrés au salon que Mathilde se colle contre tante Cécile. Elle lui déboutonne le corsage, dévoilant les lourdes mamelles qu’elle se met à caresser, s’attardant sur les pointes en érection qu’elle fait rouler entre pouce et index. Les mamelons se dressent. Elle fait glisser la jupe. Le fond de la culotte colle contre sa vulve mouillée.
Elle glisse la main entre les cuisses, palpe son sexe protégé par la dentelle.
- Ta culotte est trempée...
Elle la lui retire, la porte à son nez : - J’aime ton odeur de chienne en chaleur, Cécile...
Tante Cécile soupire quand Mathilde lui enfonce trois doigts dans le con, et elle écarte largement les cuisses pour mieux offrir sa chatte aux doigts fouineurs.
- Oui, Mathilde, branle-moi bien !
- Tu mouilles comme une salope ! C’est une vraie fontaine, ici !
Tante Cécile remue son cul plantureux pour s’empaler sur les doigts qui clapotent dans sa faille gluante. Elle est sur le point de jouir quand les doigts sortent de son sexe embrasé.
- A ton tour... Déshabille-moi...
Tante Cécile passe les mains sur les hanches de Mathilde et commence à faire remonter sa robe. Sous ses doigts, le bas de la robe remonte rapidement révélant les larges cuisses de Mathilde.
- J’ai envie qu’on lui montre. Toi aussi, Pierre, tu aimerai voir ce dont cette cochonne est capable ?
Bien sûr, que j‘aimerais ! Affalé sur le grand sofa, j‘ai la queue à l‘horizontale et jouis de mon rôle de voyeur.
Tante Cécile lui relève la robe sur les reins, pour m‘exposer les hanches larges, charnues, et les fesses lourdes, boudinées dans la culotte. Elle baisse d’un coup le slip blanc. Les grosses fesses s’épanouissent. Tante Cécile glisse la main dans la raie, jouant du poignet pour repousser les masses rebondies du fessier et s’insinuer au creux du sillon.
Au lieu de se contracter, Mathilde pousse un long soupir et, étirant le slip qui entrave ses cuisses, écarte les jambes pour faciliter la fouille de ma tante.
- Tu es déjà toute chaude, salope !
Elle donne un coup de poignet pour faire pénétrer davantage ses doigts et Mathilde gémit avant de tourner la tête pour me regarder par-dessus son épaule.
- C’est à cause de lui que tu mouilles ? Parce qu’il regarde ? Cochonne !
Sa main s’agite par saccades entre les fesses amples de Mathilde qui ferme les yeux : - Tu le sais bien.
Tante Cécile retire ses doigts d’un coup, laissant retomber la robe comme un rideau sur la croupe charnue, à mon grand regret. Elle passe les doigts sur les lèvres de Mathilde, les lui fourre dans la bouche, l’obligeant à goûter sa propre saveur tout en continuant à lui parler sur le même ton.
- Et moi, tu crois que je suis chaude aussi ? Tu veux sentir ? Lèche !
L’acquiescement de Mathilde est à peine audible, à cause des doigts de Cécile contre son palais, mais elle semble avoir attendu ce moment. D’elle-même, elle tombe à genoux devant tante Cécile.
Elle pose le visage sur son ventre, faisant glisser ses lèvres jusqu’à l‘entrejambe, contre la toison noire qui s’étale entre les cuisses, remonte sur le haut des cuisses et s’étiole en pointe.
Mathilde ferme les yeux et frotte son visage dans le buisson sombre. Elle enfonce le nez et la bouche dans les poils avec une avidité animale. Elle semble chercher de la truffe comme une jeune chienne, fouillant la touffe en quête de son odeur.
- Tu sens là ? Tu sens comme elle est chaude, ma chatte ?
Sans relever les paupières, Mathilde ouvre la bouche et insinue la langue dans la toison. Tante Cécile la retient par les cheveux, l’empêchant de fouiller davantage son entrecuisse velu.
- Attends ! Tu veux qu’il voie, non ? Alors, viens !
Elle repousse Mathilde et vient s’installer sur le sofa. Sur le dos, en appui sur les coudes, elle ouvre les cuisses et me lance une oeillade. Mathilde la rejoint à genoux et plonge vers le sexe étalé, commençant aussitôt à le laper avec des bruits de gorge. Son regard complice toujours posé sur moi, Cécile lui repousse la tête sur le côté, et peigne les mèches pour dégager son profil à ma vue.
Le visage de Mathilde a une expression extatique. Paupières closes, front plissé, elle semble au bord du plaisir, comme si se repaître des parfums puissants du con trempé la faisait jouir. Les lèvres écartées, elle passe la langue sur la fente en soufflant, repousse les poils étirés pour atteindre le gros clitoris enflé qui darde entre les frisottis.
- Tu l’aimes vraiment, mon con ! C’est parce qu’il sent fort, c’est pour ça ?
Mathilde pousse un gémissement et accélère ses coups de langue, happant le bouton entre ses lèvres pour le sucer.
- Et mon cul, est-ce qu’il t’excite aussi ?
Tante Cécile me jette un regard vicieux, comme pour m’inviter à ne pas en perdre une miette, avant de relever haut les genoux pour exposer sa croupe. Entre les fesses, dans le sillon tapissé de poils noirs, l’anus saille comme un large cratère irrégulier aux reliefs sombres.
- Alors tu l’aimes aussi mon trou du cul ?
Mathilde opine et avance son profil entre les fesses. Du pied, tante Cécile l’arrête dans son élan.
- Alors ?
Mathilde ouvre fugitivement les yeux. Sa voix est sourde.
- Tu le sais bien !
Cette fois, Cécile la laisse faire et elle peut poser les lèvres sur l’anus protubérant, le couvrir de baisers tendres avant d’en faire le tour avec ses lèvres, l’agaçant avec une volupté manifeste. Elle finit par y enfoncer la langue, la faisant tourner dans le rectum, coulisser dans l’orifice qu’elle maintient ouvert des deux mains.
Mon sexe est si gonflé qu’il devient douloureux. Je veux me joindre à elles, les posséder toutes les deux, mais en même temps, je suis trop fasciné par ce que je vois pour me déplacer.
Avec un dernier coup de langue avide dans la raie, Mathilde se redresse, le visage humide, la voix éraillée.
- Maintenant, Cécile... Tu veux bien ?
Sans attendre la réponse de tante Cécile, elle se débarrasse avec des gestes fébriles de sa robe et dégrafe son soutien-gorge rapidement, libérant ses seins volumineux qui retombent lourdement sur son buste. Sa culotte est toujours baissée sur ses cuisses, là où l’a laissé Cécile, et entaille ses larges fesses.
- Maintenant, s’il te plaît !
Tante Cécile se redresse, et rampe sur le canapé pour amener son bassin au bord du sofa.
- Tu ne veux pas plutôt que ce soit lui ?
Mathilde ferme les yeux et secoue la tête dans une attitude de prière.
- Non, toi... Toi d’abord !
Une joie vicieuse éclaire le visage de ma tante. Assise au coin du sofa, elle passe les mains entre ses cuisses, plongeant les doigts dans la touffe humide pour écarter les lippes hérissées de poils de son con et exhiber la fente rougeâtre, les nymphes ciselées, et l’impressionnant clitoris érigé.
- Tu crois qu’il voudra encore de toi après, d’une vieille salope qui sent la pisse ?
Son sourire s’agrandit et elle relâche sa vessie. Mathilde n’a ni sursaut, ni cri de surprise. Au contraire, elle incline son visage pour l’amener sous le jet doré, elle laisse la pisse lui éclabousser le visage, lui inonder la bouche. Elle avale à petites lampées, l’excédent de pipi lui ruisselant dans le cou.
Le jet tarit rapidement et Mathilde ouvre les yeux, son visage souillé de pisse, fripé par une expression contrariée à l’idée que ce soit déjà fini. Elle a un soupir presque douloureux et plonge vers le buisson humide, léchant et suçant, pour aspirer jusqu’à la dernière goutte avec un appétit pervers. Cécile la saisit brutalement par les cheveux et la force à se relever.
- Tu n’es vraiment qu’une pute ! Ouvre les yeux, regarde Pierre ! Tu voulais vraiment qu’il te voie comme ça !
Elle finit de lui baisser le slip, m‘exhibant, sous les chairs molles du ventre, un pubis hérissé de poils jusqu’au bord de la fente et encadrent les longues lèvres pendantes et lisses, d’un rose violacé.
Elle abat sèchement sa main sur le pubis. Mathilde se mord les lèvres et se courbe un instant vers l’avant, par réflexe, avant de tendre son bassin pour une deuxième claque.
Tante Cécile frappe plus violemment faisant retomber sa paume sur la vulve avec un bruit sec. Mathilde ne peut retenir un gémissement, mais ne se dérobe pas. Après cinq ou six tapes de plus en plus appuyées sur son sexe, son visage est rouge et de la sueur perle sur son front.
Lorsque tante Cécile se munit d‘un martinet, Mathilde se met à quatre pattes sur le lit.
- Tanne-moi les fesses !
Un premier coup s‘abat...
- Vas-y fort ! Pèle-moi le cul !
Un second coup cingle les fesses de Mathilde.
- Continue comme ça, fais-moi mal !
Elle frappe de nouveau et, cette fois, de longues marque rouges s’étalent en travers de ses fesses. Elle accuse les coups par des tressaillements de tout le corps. Cependant, cela ne lui suffit pas encore.
- C’est mieux... Vas-y encore plus fort...
La cravache siffle à plusieurs reprises. Alors que ses fesses se marbrent de coups, Mathilde reste prosternée, une main entre les cuisses. Elle se tient très cambrée, je vois ses doigts tout luisants de mouille s’agiter dans sa fente dont les lèvres molles bâillaient largement.
Sous les volées de la badine, elle ondule comme une liane. Lorsque les coups l‘atteignent entre les cuisses, Mathilde jouit, en poussant un cri strident, avant de s’affaisser sur le canapé. Sa main, toujours coincée entre ses cuisses, l’orgasme la secoue de la tête aux pieds.
- Ma pauvre, mais qui voudrait encore de toi ? Tu penses qu’un gentil garçon comme Pierre a envie de baiser une cochonne comme toi, vieille vicieuse ?
En lui crachant ces paroles blessantes, elle la rejette sur le sofa. Mathilde y reste un instant immobile, la respiration hachée, puis elle roule sur le ventre et soulève lentement ses fesses opulentes.
Elle ramène ses genoux sous son ventre, creusant le dos étalant sa croupe grasse, faisant ballotter les sphères lourdes en les écartant davantage pour exhiber au-dessus de la chatte entrouverte, un anus bosselé et poilu, d’un rouge si vif qu’il parait déjà irrité, blessé. C’est là que Cécile recommence à la frapper, visant avec soin pour que ses coups retombent juste sur l’orifice vulnérable.
- Parce que tu crois qu’il en voudra, de ton trou du cul ?
Mathilde se met à geindre, faisant osciller sa croupe au rythme des coups. Moi, de mon côté, je n’en peux plus, je vais finir par jouir sans les avoir touchées. Je m’avance, la queue raide. Cécile me lance un regard complice. Elle approuve mon initiative et ne peut dissimuler son envie à la vue de ma verge tendue. Elle y porte la main, caressant la hampe de la paume.
- Tu as vu, Mathilde, comme elle est grosse ?
Mathilde reste dans sa posture servile, croupe levée offerte, mais elle tourne la tête pour suivre les gestes de ma tante. Je ne distingue pas son regard, mais son visage est en sueur. Tante Cécile passe la main sous mes couilles, effleure le gland, si gonflé qu’il parait humide et qu’une goutte pointe au méat.
- Tu imagines comme elle pisse fort, cette queue toute dure ?
Mathilde ferme les yeux et, avec un râle sourd, agite ses lourdes fesses, impatiente qu’on la maltraite. Cécile enroule les doigts sur ma tige raide et commence à me branler.
- Mais elle est pour moi. Moi d’abord !
Elle lève vers moi des yeux brillants de lubricité et darde une langue pointue, me masturbant plus vite, serrant fort ses doigts autour du manche. Je suis trop excité par ce que j‘ai vu et sa main experte m‘achève. Avec un râle, je sens l’orgasme m‘agiter les reins.
La bouche de tante Cécile n’a pas le temps d’atteindre mon gland. Mon sperme fuse, gicle sur son cou, lui éclabousse la gorge avant que les dernières coulées lui retombent entre les seins.
Je sens mes jambes vaciller et me laisse tomber sur le sofa. Tante Cécile ne semble même pas dépitée. Elle appelle Mathilde.
- Viens. Je sais que tu veux le goûter !
Mathilde se redresse, les yeux fermés, frémissante, et laisse Cécile guider son visage vers les coulées gluantes qui maculent sa gorge. Elle lape lentement, prenant le temps d’avaler chaque bouchée de sperme que sa langue recueille. Les seins d’abord, puis la gorge, avant d’arriver jusqu’au menton, elle n’en laisse rien.
Sentant mon regard sur elle, Mathilde ouvre les yeux. Elle sait que je ne serais pas long à rebander lorsqu‘elle murmure :- Je veux boire ton jus...
Je me mets à quatre pattes. Elle a compris. Elle se met derrière moi. Je me penche, et elle enfouit son visage entre mes fesses. Elle respire mon cul, le lèche avec fièvre. Ma queue se dresse. Mathilde tend sa langue pour pouvoir me la rentrer dans l’anus.
Elle sait y faire. Elle tire la langue pour me lécher jusqu‘aux couilles. Je l’entends respirer de plus en plus vite. Je me retourne. Elle se tripote entre les cuisses, tout en me suçant le trou du cul.
Je lui donne une tape violente sur les fesses. Presque aussitôt les marques de mes doigts apparaissent sur sa peau. Je prends le martinet et lui ordonne de me sucer la bite. Elle la prend dans sa bouche, et pendant qu’elle me lèche la queue, je frappe son dos, à petits coups. Le bras tendu, je vais jusqu’à ses fesses, visant sa raie.
Elle se cabre, me suce avec toute sa science, presse mon gland contre son palais, titille mon méat. Je dois me retenir de jouir trop vite. Je donne de nouveaux coups, plus forts. Elle se cabre en entendant les sifflements qui les annoncent. Elle les reçoit en gémissant de plaisir, pas de douleur. C’en est trop. J’éjacule dans sa bouche. Elle boit tout...
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