Souvenirs et fantasmes : Désirs fantasmés ( Partie 2 )

- Par l'auteur HDS Wooten -
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Récit libertin : Souvenirs et fantasmes : Désirs fantasmés ( Partie 2 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenirs et fantasmes : Désirs fantasmés ( Partie 2 )
Acte 2


J’ouvre grand les yeux, ma respiration est rapide, il fait noir dans notre chambre, Corinne se retourne vers moi, recroquevillé, mais elle dort toujours. J’ai du la réveillé légèrement pendant que mon rêve me sortait de ma somnolence.

J’ai encore ces images imprimés au fond de mes yeux : le regard de Corinne grand ouvert de surprise et d’effarement, sa respiration rapide, le sperme abondant qui dégouline à la commissure de ses lèvres et sur elle, Michel au dessus d’elle, dominant, en train de biffer son mat encore palpitant, énorme, contre les joues de mon épouse en affichant un regard de pervers….

Je me reprends et essaie de me raisonner, ce n’est qu’un rêve horrible. Juste la raisonnance de la fin de soirée qui me travaille.
J’ai beau savoir que c’est un rêve, c’est dur à encaisser.
Je m’aperçois que ma gène est aussi dû à l’érection inassouvie et puissante que je sens au bas de mon ventre.

Avoir imaginé Corinne en train de subir ce que j’ai toujours voulu faire avec elle, l’interdiction que j’accepte depuis tant d’années, la voir la bouche rempli d’un foutre gluant et forcé, voir son visage au moment même ou ce sexe crache son sirop….. Je suis dans un état d’excitation bien supérieur à celui dans lequel je me trouvais lorsqu’elle m’avouait son désir refoulé à propos de Michel.

Je suis face à elle dans notre lit, couché sur le côté, lorsqu’elle s’est retourné en me faisant face elle aussi, elle s’est légèrement voûtée sur elle même, son front venant se poser contre mon sternum.
Ce faisant, j’ai passé mon bras au dessus de sa tête pour la laisser s’enrouler confortablement.

Ma queue hypersensible, au maximum de son érection, ne manque pas de se mettre en butée contre ses seins qui se retrouvent pressés l’un contre l’autre dans cette position.

J’essaie bien de me contrôler et de me calmer, mais le besoin qu’éprouve mon sexe devient plus fort que tout, les battements qui font rage à la base de mes bourses font pousser inexorablement mon gland contre ses seins.

Il fait chaud. L’air est lourd en cette nuit d’été, nous transpirons tout les deux. Je pense que Corinne dort profondément et ne se rend pas compte de mon état. Comme j’aimerai qu’elle me prenne dans sa bouche immédiatement…

Mes reins ne peuvent s’empêcher d’onduler doucement. Se faisant, mon gland se retrouve de plus en plus pressé au milieu de la fente que forme ses seins lourds et moites.
Je n’arrive pas à me freiner, même si je sais que c’est peine perdue. Elle dort, et elle ne me soulagera pas.

Je dois la secouer un peu trop car elle se recroqueville un peu plus sur elle même et passe son bras droit au dessus de sa hanche, laissant pendre sa main derrière ses fesses.

Aussitôt, ce mouvement a pour effet d’appuyer sur mon gland et de presser un peu plus ses seins entre ses bras… trop peut être …. Il se retrouve instantanément avalé entre ses globes énormes, aider par la transpiration tel un lubrifiant. Mon prépuce s’étire à son maximum, non seulement par la pénétration mamère, mais aussi par la dureté de ma verge grandissante, toujours et encore. Mon gland se décalotte alors d’un coup sans autre préliminaire.

Je me retrouve entre ses seins.
Mon bassin ne peut retenir ses mouvements lent de va et vient. La sensation, tellement divine, m’amène encore plus loin dans mon excitation. La chaleur de ses seins, la pression contre mon gland, les frottements…. Seul le peu de retenue dont je faisais preuve pour ne pas la réveiller, me retient de ne pas exploser ma jouissance au creux de sa poitrine.

Corinne était réveillé depuis quelques instant déjà, sans me le faire savoir, elle avait sentit mon sexe contre elle, dur, moite, près à fendre ses seins.

Elle adore pouvoir avoir l’avantage sur moi, pouvoir me tenir dans mon excitation primaire. Se savoir maître de son homme, de pouvoir connaître le moment où elle va me laisser éjaculer, me soulager instantanément, tout cela l’excite au plus haut point.
Son bas ventre est brûlant, la moiteur de son sexe ne fait qu’augmenter pendant qu’elle laisse pénétrer mon gland entre ses mamelons, par accident biensur…

Elle ne peut résister à l’envie de passer ses doigts à l’entrée de son puit d’amour, ses lèvres en train d’épaissir sous l’effet du désir.

Dans cet position ramassé, elle peut faire glisser doucement ses doigts dans son vagin qui continu de dégouliner de cyprine.
Elle se pénètre délicatement et profite un maximum de la situation en me sachant sur la réserve au vue de l’absence de mouvements volontaires et explicites de ma part.
Elle sait que je ne me rends compte de rien. Elle dissimule encore son réveil et son désir. Cela accroit encore plus son excitation.

Elle décide enfin de relâcher la pression qui me tenaille à ce moment.

Je retiens l’ampleur de mes gestes, et profite au mieux des seins de ma femme endormi, faisant monter toujours plus le besoin de la prendre qui ne peut désormais plus retomber malheureusement.

Je dois trouver un moyen pour ne pas jouir comme cela. Je ne suis pas sûr que Corinne apprécierait de se réveiller avec mon foutre inondant sa poitrine sans l’avoir prévenu préalablement…

Je dois, encore une fois, faire un effort gigantesque pour ne pas céder à l’ejaculation que je sens arriver en pensant à mon jus couvrant ses seins.
J’arrête aussitôt mon mouvement en me bloquant au plus loin entre ses seins accueillant . Je reste immobile pour ne pas exploser, en état d’incertitude, je doute de ma retenue à ce moment là le besoin de jouir est intense.

Au même moment je sens Corinne descendre légèrement sa tête rapidement, sa bouche vient contre la fente de mon gland ou déborde du liquide salé, preuve de mon intense excitation. Je sens sa langue se délecter de ce goût qu’elle apprécie particulièrement, cela lui confirme mon état d’excitation. elle se sent dominante, adorant ce moment où elle me tient littéralement.
Sa langue fait le tour de mon gland rapidement avant d’ouvrir la bouche et de le gober pendant qu’il bat comme un piston prêt à céder sous la pression de la succion de sa bouche.

Ses doigts accélèrent leur exploration au creux de son vagin, elle écarte légèrement ses jambes pour les laisser aller titiller son clitoris qui ne demande qu’à exploser pour la faire jouir aussi rapidement que son excitation la mène.

Le cumul des pincements de ses doigts qu’elle fait subir à son clitoris, le goût de mon sexe dans sa bouche et l’impression qu’elle a de domination me sentant figé lorsqu’elle se met à me pomper avec avidité, lui électrise les sens. Une onde de jouissance la parcourt avec fulgurance et la terrasse. Ses reins se cambrent , ses cuisses se resserrèrent avec force pendant que l’orgasme la traverse. Elle perd toute notion de ce qu’elle fait, elle s’immobilise totalement, incapable de relâcher ces contractions qui la parcourent toute entière.

Ses lèvres s’immobilisent contre mon gland alors qu’elle jouit. Je relâche ma position, de peur d’éjaculer sur le chant, la sentant sous l’emprise de son orgasme.
Je n’avais pas imaginé qu’elle ne dormait plu.
Lorsqu’elle se mit à me sucer, j’étais déjà sur le point de jouir, impossible de lâcher mon sperme dans sa bouche, elle ne l’aurait accepté. J’ai donc pris sur moi, la laissant se délecter puisque l’envie lui en avait pris. Il m’aurait été impossible de ne pas la laisser faire. C’est absolument divin.

Devoir se retenir, être à la limite du point de non retour, c’est terriblement difficile pour un homme, mais la jouissance qui suit se démultiplie alors.
Intense, immense.

Mon esprit n’a plus qu’un objectif. Celui d’éjaculer et de relâcher la pression que mon bas ventre subit depuis mon réveil. La sachant réveiller et en plein plaisir, je me redresse alors. Elle bascule sur le dos. Je pose mes genoux de part et d’autre de ses hanches généreuses, les jambes écartées, ma verge dressé en ébullition. J’attrape ses seins à pleine main, les rapprochant l’un l’autre, les tétons dressés vers ma bouche. Je les suce avidement, sans grande douceur, mon excitation ne m’autorisant plus que des instincts bestiaux. Ses seins sentent le sexe , l’odeur du sperme n’est pas loin, je ne me rassasie pas de les lécher, de les aspirer, de les téter.
Je sens Corinne débordé par mon attitude. Je lâche sa poitrine gigantesque et plante ma queue au milieu. Elle la reprend entre ses mains et la presse contre ma verge comme un étau accentuant la pression contre mon gland. Elle me reprend en bouche alors que je prends sa tête entre mes mains pressées pour la contraindre à se contorsionner encore plus
Mes mouvements sont fort, puissant, de plus en plus rapide.

Des flashs de mon rêve m’envahissent alors.

Je vois encore l’air enivré dans les yeux de Michel lorsqu’il baise la bouche de Corinne avant de pouvoir se vider au fond de sa gorge. La jouissance qu’il exprime en râlant fort. Le flot de sperme qui se déverse dans la bouche de Corinne pendant que ses yeux s’ouvrent en grand. Les larmes qui coulent le long de ses joues et les hauts le coeur lorsque la bite de Michel se décharge, totalement liberé, en butée au fond de sa gorge…..

Je sens l’orgasme monter tellement fort pendant que ses images m’arrivent encore une fois à l’esprit que je manque de me laisser aller et jouir exactement de la même manière.
Je me reprends innextremis en relâchant les cheveux de Corinne, je l’entends reprendre une grande inspiration et je la sens prendre à pleine main mon sexe, le branlant fort et rapidement. Elle me regarde excitante, me branlant de plus en plus intensément ,dirigeant ma verge vers son cou trempé de sueur.
Le point de non retour est passé depuis longtemps maintenant, je sens mon sperme remonter avec puissance le long de ma verge, mon gland palpite tel une pompe alors que je couvre de foutre son cou, des jets épais lui arrivent en saccades sur la peau du visage et dans les cheveux….
Je m’abandonne dans ce moment extraordinaire, encore une fois aider de ses doigts, cherchant toujours à revenir au fond de sa bouche, mais sans jamais y parvenir. Je suis exténué. Je la couvre de baiser malgré mon jus collant qui coule sur son nez et son front.

Nous nous rallongons tout les deux, pour le moment rassasié de sexe. Le sommeil réussi enfin à me gagner pendant que je tiens amoureusement les seins généreux de ma femme adossée tout contre moi.

Corinne commence déjà à remuer ses fesses contre ma queue au repos pour éveiller encore une fois mon appétit.
Elle sent que l’aboutissement de son propre plaisir doit venir encore une fois, mais cette fois elle compte bien que je m’occupe d’elle autrement et elle sent déjà poindre la vigueur de son jouet entre ses fesse. Elle semble déjà obtenir satisfaction.


J’espère que ma première histoire vous aura plu. Je serai ravi de lire vos commentaires. A bientôt si vous le désirez

Les avis des lecteurs

Merci beaucoup MlleFontaine ☺️

Bravo pour vos premiers récits 😊



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