Spectatrice exaltée
Récit érotique écrit par Reve [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2013 dans la catégorie Plus on est
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Spectatrice exaltée
Emma avoue un fantasme à son mari. Elle regrette de ne pas pouvoir tenter l’expérience de coucher avec deux partenaires comme elle l’a vu faire dans certains films. Le mari a été victime d’un accident, ce qui peut exciter chez Emma le désir de s’ouvrir à un monde nouveau.
Heureusement je pouvais encore me servir de ma bouche et de mes mains. Je devins à ces jeux un virtuose. Jamais ma chère Emma n’avait reçu en gros et en détail, sur toute la surface de son corps de femme approchant la quarantaine autant de baisers amoureux, autant de caresses. Pendant des heures je laissais fondre dans ma bouche son sexe onctueux avant de le fouiller de la langue ou de le visiter de mes doigts. A force d’exercices répétés et de plus en plus vertigineux je lui donnais des orgasmes forts et fréquents. Je développais aussi mon odorat, le nez plongé dans la vulve nature ou parfumée. Faute de pénétration profonde, je fis sur internet l’achat d’un godemiché vibreur, d’un canard et de deux plugs de taille différente.
Et les succédanés achevèrent agréablement mes explorations incomplètes. Je plongeais le gode, le retirais, l’agitais et obtenais des résultats gutturaux et des bonds rassurants. Les yeux exorbités Emma clamait sa joie et ses orgasmes montaient en intensité. Ma femme adora le petit canard. J’eus par contre plus de mal à lui faire admettre la mise en place du plus petit plug dans son anus. Après de longues discussions, après les passages successifs dans son fondement de mon annulaire, puis de mon index, elle reçut mon majeur et voulut reconnaître que son appréhension initiale n’était pas raisonnable.Le lubrifiant facilitait le progrès dans l‘ampoule et le rectum. La porte arrière devenait une zone mieux exploitée et Emma me remercia de lui avoir mieux fait découvrir un plaisir auquel elle s’était longtemps opposée par ignorance et à cause de préjugés hérités de sa mère. Mon pouce entra et, un jour, j’introduisis deux puis trois doigts dans la voie étroite, rampant dans l‘œil noir de mieux en mieux distendu. Il y faisait bien trente sept degrés. Des deux mains j’écartais les fesses aux muscles fermes et découvrais à la lumière l’intérieur de l’antre. Autour du majeur immobile elle faisait tourner ses fesses et ondulait du bassin.
Je lui annonçai enfin le plug. D’abord elle s’effraya. Abondamment lubrifié il entra, le sphincter enlaça la base évasée et le pied de l’objet garda l’entrée camouflée. Quand Emma demanda le retrait de ce bouchon, je l’enlevai aussitôt, toujours prompt à lui obéir amoureusement .Le lendemain elle réclama d’elle-même le visiteur arrière, et le surlendemain aussi; elle ressentait une légère gêne bien compensée par le plaisir de se savoir ainsi habitée et frottée discrètement. Je lui prêtais des arrière-pensées en relation avec ce fantasme dont elle ne parlait plus mais qui ne pouvait pas s’être évaporé. Elle éprouvait courageusement de la gêne une fois encore, mais sans refus. Sans l’avertir je changeais de dimension, le plus gros et plus long prit place. L’habitude aidant elle remarqua à peine la différence, mais pas assez pour s’en plaindre. Elle s’habituait à garder en elle cet élargisseur et se déplaçait dans la maison en se tortillant autour de cet axe. Si le déplaisir se révélait moindre, c’est qu’elle s’entraînait secrètement dans l’attente du jour où deux mâles voudraient bien se conduire avec elle comme les harders des films qui avaient éveillé sa curiosité.Pour compléter le bonheur de la ménagère je lui offris des boules de geisha. Réduit à l’impuissance, je devais au spectacle de ses émotions provoquées mécaniquement mes seuls plaisirs des sensPeut-être ai-je ouvert à tort ce deuxième passage: c'était flatter la tentation de se faire prendre par deux queues. J’en prenais le risque en pensant qu’il était préférable d’attaquer de front son fantasme plutôt que de le laisser couver. L’expérience faite, la curiosité satisfaite, Emma me reviendrait apaisée et plus aimante. Alors nous pourrions connaître une sexualité libérée des excès de son imaginationComme ma convalescence avançait, je me mis à réclamer un supplément. Emma en bonne épouse reprit l’habitude de me branler d’une main puis de me lécher le gland par-dessous ou à son extrémité pendant de longues minutes. Ses pipes devinrent le fin du fin . A la première éjaculation ainsi obtenue, elle se réjouit de m’avoir ressuscité sexuellement. Elle ne me lâchait plus, s’acharnait sur ma verge pour s’abreuver de sperme frais à avaler ou à étaler sur son visage comme un lait de beauté. Ainsi, malgré ou à cause de mon stupide accident, notre sexualité connut-elle un nouvel essor. Cependant plusieurs fois au son des gémissements de plaisir j’entrai dans la salle de bain, à la cuisine ou dans notre chambre pour constater l’usage immodéré qu’elle faisait du canard noyé dans une mare de cyprine. J’en concluais que malgré mes efforts, ma femme n’obtenait plus la somme de sensations fortes nécessaire à calmer ses sens.
J’en revins à l’idée de la partager avec un ou plusieurs mâles, au moins durant ma convalescence. Partager aurait été parfait. En réalité, je devrais me contenter de regarder ou d’apporter le piment de ma présence ou quelques caresses jointes à l’action déterminante de deux autres participants. Pour son bonheur, mieux valait une relation programmée et acceptée d’elle et de moi qu’une liaison secrèteavec un amant incontrolable. Finalement mieux valaient aussi des rapports sexuels avec deux hommes, ainsi elle ne s’attacherait pas sentimentalement à eux. Si de plus je réussissais à lui procurer des partenaires mariés et heureux en ménage, la chose ressemblerait à un exercice de gymnastique sexuelle et ne compromettrait pas notre amour réciproque.
J’étais dans cet état d’esprit ce jour où mes compagnons de travail me rendirent visite en compagnie de leurs épouses. Je n’avais rien révélé de mes intentions à Emma. Elle fit visiter aux deux dames la maison et fut fière de montrer ses fleurs dans le jardin entretenu par elle. Entre femmes elles s’établirent à la cuisine pour discuter. Pendant ce temps je prévoyais avec Fernand et Rémi le déroulement de la fête prévue pour l’anniversaire d’Emma. Ils constitueraient le cadeau principal pour ma chérie. Ils se chargeaient de la succession des tableaux. Leur expérience les conduirait du premier baiser à la conclusion d’une double pénétration ponctuée de l’indispensable éjaculation. Je leur indiquais que j’avais soigneusement préparé mentalement et physiquement leur intervention en utilisant les jouets sexuels propres à décoincer le mental et les muscles. Emma ne verrait pas d’objection à être possédée par devant ou par derrière ; ses orifices étaient en état, prêts à affronter les verges qui se présenteraient. De leur côté ils étaient prêts à donner avec leurs femmes un spectacle à Emma pour lui montrer combien les diverses positions et pénétrations pouvaient être simples, naturelles et sans inconvénient, mais aussi pleines d’heureuses surprises et sources de volupté. Ils seraient les missionnaires d’une sexualité nouvelle, non restrictive, épanouissante qui devrait un jour déboucher sur notre inscription au club d’échangisme, si nous y prenions goût. J’essayais de ne pas trop m’avancer dans cette voie.
Emma m’apprit ce que j’ignorais sans doute, elle le tenait sous le sceau du secret de ses deux visiteuses: les deux couples pratiquaient de façon habituelle l’amour en groupe, un échangisme en club ou en petites fêtes privées. Elles en avaient longuement discuté et leur bonne santé évidente avait mis l’eau à la bouche de ma pauvre chérie en ces temps de pénurie. Denise et Astrid lui avaient proposé de venir assister, sans obligation de participer, à une partie privée chez Fernand pour se faire une idée. Evidemment, en raison de mon mauvais état de santé, Emma avait refusé. Je n’eus pas à insister beaucoup pour lui faire regretter son refus. Aussitôt j’appelais Fernand au téléphone pour lui annoncer la venue de cette spectatrice lors des prochaines joutes amoureuses. Emma me regardait, sidérée par la rapidité de ma réaction. Elle protesta un peu de se voir forcer la main. Je précisais qu’il ne s’agirait que de voir de ses yeux, pour se faire une idée précise. Je comptais sur un rapport détaillé à son retour pour me forger à mon tour une opinion.
Et je lui rappelais que peut-être nous allions pouvoir élargir le champ de nos ébats, en nous joignant à ce groupe apparemment accueillant, comme elle l’avait envisagé un soir devant l’écran de télévision. Notre conduite future dépendrait de ses impressions pendant ce spectacle. Il fallait observer avec soin, ne rien laisser échapper de manière à bien apprécier. Denise et Astrid venaient de nous ouvrir des horizons nouveaux si Emma jugeait trouver dans leur fête le plaisir qu’elle pouvait en attendre. Bien entendu entre hommes nous n’avions parlé que de travail. Il était préférable de laisser à Emma l’illusion de la découverte et de ne pas lui parler de mon plan pour son anniversaire.
Douchée, coiffée avec soin, habillée sexy, parfumée, Emma m’avait demandé de la doigter et de la sucer très fort, jusqu’à l’orgasme, avant de se rendre chez ses hôtes pour une soirée spéciale. Elle était fébrile depuis l’invitation, chaque jour plus excitée à l’idée de voir des hommes et des femmes échanger leurs partenaires et se livrer devant elle à toutes les fantaisies amoureuses. Ramenée à la maison par Fernand vers trois heures du matin, elle m’avait réveillé pour me livrer ses observations à chaud. Il n’y avait que les deux couples connus. De façon très classique Fernand avait chauffé sa femme Astrid en de longs préliminaires et Rémi avait préparé Denise des doigts et de la bouche. Ils avaient ensuite permuté pour se livrer à une pénétration en position du missionnaire. L’observatrice avait relevé la taille exceptionnelle du pénis de Rémi, une sorte de massue à l’extrémité impressionnante, avec un gland énorme de couleur prune. Astrid l’avait choyé longuement, avait appelé Denise et avait présenté l’outil à sa légitime propriétaire. Habituée à son mari, Denise, couchée sur le dos, des deux mains avait ouvert son sexe et Astrid avait guidé l’engin impressionnant vers son port où il avait par secousses rudes frayé son chemin.
-Quelle belle queue, énorme à faire peur: je me demande si elle pourrait entrer chez moi. Oh! Cela m’a beaucoup intriguée.
L’idée d’un essai ne l’abandonne pas mais continue à faire son chemin.
Astrid et Fernand ont inversé leur position, la femme chevauchait son homme. C’est une rude combattante, elle s’ébrouait violemment, levait ses fesses, laissait apercevoir la quasi-totalité de la hampe de Fernand, un gras morceau tout dur mais de taille normale. Et ils s’amusaient à rompre leur union pour changer de partenaire, complices, parfaitement entraînés. Astrid semblait craindre les pénétrations de Rémi. Chaque fois il poussait, franchissait les lèvres et finissait dans le vagin auquel il laissait, immobile, le temps de s’habituer à sa taille formidable. A chaque retrait il faisait sortir, collé à son tube, un collier rose de la paroi du vagin, cette peau intérieure suintante faisait coucou entre les petites lèvres échancrée qui s’ouvraient en fleur avant de se resserrer lors de la pénétration suivante. Les deux femmes s’étaient mises face à face, à quatre pattes, Fernand se tenait derrière Denise, Rémi reniflait les fesses ou le sexe d’Astrid. Les deux hommes avaient avancé leur poitrine au-dessus du dos féminin, un bras de chaque côté des flancs, à la façon de chiens en train de saillir leurs chiennes. Sans mal Fernand avait monté sa partenaire.
Rémi tenait son manche à pleine main, le faisait aller de haut en bas puis de bas en haut, poussait en avant mais ne franchissait pas l’ouverture.
- Il m’appela à l’aide. Je dus prendre sa massue en main et la diriger, non vers la vulve mais sur le petit trou d‘Astrid. C’était la raison de l’échec de ses tentatives précédentes. Avec son pieu surdimensionné, il voulait passer par le petit trou apeuré. Dans ma main ce pénis hors norme tressaillait, voulait se tourner vers le plafond, c‘était terriblement excitant de tenir pour la première fois un bâton de chair palpitant de cette taille. Rémi m’a demandé de l’entretenir pendant qu’il portait son index, son majeur et son annulaire à la bouche, les recouvrait de salive et les vissait dans le trou du cul d’Astrid où il les fit tourner contre les parois. Ce n’était pas sa première fois, cependant elle semblait appréhender la pénétration du mastodonte. Je devais faire aller mes doigts sur la tige, mais je n’en faisais pas le tour, je dus y employer mes deux mains. Rémi ordonna :
-Détends-toi, Astrid, ce n’est pas la première fois, cool. Toi, la nouvelle, prends-moi dans tes deux mains, ne me laisse pas plier et en place.
-Il retira ses doigts et se poussa brutalement dans l’orifice bâillant. Astrid cria, la moitié du pieu avait passé l’anneau rectal. L’homme s’était levé à la verticale et pesait de tout son poids pour avancer encore, centimètre par centimètre. Elle sous lui s’était écrasée des épaules sur le tapis et s’efforçait de garder croupe haute. Je pus retirer mes mains d’entre les deux corps et vis le poignard disparaître dans l’anus douloureux.
Elle était sortie de son rôle d’observatrice, s’était émue du contact et avait participé à l’intromission, ne parlait plus de gêne mais d’excitation. J’étais débordé par la rapidité de l’évolution de son vocabulaire et de son attitude en face d’un sexe étranger. Elle racontait :
- Rémi était tout rouge de visage, Astrid grimaçait affreusement et poussait des soupirs à faire pitié. De son côté Fernand pistonnait gaillardement Denise. Je me déplaçai et constatai qu’il était dans le vagin chuintant de bonheur mouillé. Quand l’enculée et l’enculeur reprirent leur souffle, Fernand quitta le vagin de Denise, vint relever le buste de son épouse empalée et demanda à ce couple collé de se laisser couler de manière à retrouver Rémi couché sur le dos à même le tapis et Astrid dos contre le ventre de son pourfendeur, jambes ballantes battant l’air et sexe ouvert par l’écartement des cuisses, emmanchée jusqu’à la garde..
C’était le clou du spectacle, le mari s’agenouilla entre ces jambes pendantes, dirigea son membre gluant vers le sexe offert et s’y perdit. Alors commencèrent des ondulations de serpent, les hommes se retiraient puis revenaient dans les deux trous et Astrid ne contenait plus ses gémissements où se mêlaient douleur et plaisir. Enfin après une longue période de va-et-vient les deux pénis abandonnèrent les places brûlantes. Je vis à leur suite s’évader deux coulées blanchâtres animées par l’éclatement de grosses bulles .Elles se rejoignaient et se mélangeaient sous Astrid immobile. Denise, agenouillée, s’accrochait aux jambes des deux hommes debout et nettoyait de la bouche avec une avidité stupéfiante les membres ramollis des deux rigolards enchantés. Fernand s’était tourné vers Emma:-Alors Emma, ça t’a plu? Tu n’aimerais pas être prise entre deux hommes? Ne t’effraie pas. Si un jour tu le voulais, Rémi entrerait dans ton vagin et je te défoncerais le p’tit trou: ce serait plus facile. Tout n’est qu’une question d’habitude. Avec de la persévérance tu finirais par recevoir Rémi comme Astrid. Tu connaîtrais le plaisir absolu. Chaque femme devrait y goûter.
Les mâles avaient pris le temps de récupérer. Les femmes ne cessaient pas de les taquiner, montraient un entrain sans faille, se faisaient des langues, se passaient les mains sur les chattes, se suçaient les seins puis retournaient à leur conjoint pour une pipe ou une branlette vigoureuse. Denise à son tour avait été prise en sandwich. Chez elle Rémi avait ses habitudes, entrait et sortait à l’aise et elle affichait un bonheur béat, contente de montrer à leur hôte le résultat d’un usage répété.
Le commentaire suivant d’Emma me contraria un peu :-Mon pauvre chéri tu te perdrais dans un monument aussi vaste. Cette Denise !
Eh! Oui, elle me voit tout petit comparé à l’exceptionnel, je suis dévalué et hélas absent à cause de mes blessures. Son récit continue :-Pourtant au repos la fenteet l’anus de Denise se referment. J’ai dû y introduire un doigt, car elle tenait à me prouver l’intégrité du muscle annulaire qui ferme son canal. J’y suis parvenue très facilement, mon index dérapait dans le foutre déchargé par l’énorme plantoir. Fernand lui-même donnait l’impression de nager dans un gouffre trop large quand à son tour il a succédé brièvement à Rémi entre les fesses de de Denise accoudée sur un fauteuil.
Personne n’avait attaqué Emma, les quatre s’en étaient tenus à donner le spectacle, à quelques exceptions près dont cette investigation dans les profondeurs anales de Denise. Elle avait vu et touché des étrangers. Et elle répéta, comme si de l’avoir dit une fois n’était pas suffisant, sa troublante émotion de sentir palpiter dans ses doigts le prestigieux bâton d’amour de Rémi. Elle en bavait de plaisir des heures plus tard. Je prévoyais des demandes prochaines.
Je reprenais des forces, mes fractures se soudaient. Affamée de sexe, la récente découverte devait y contribuer, Emma avait réussi à me chevaucher sans brusquerie et m’avait pompé longuement, bras tendus, le ventre dansant au-dessus du mien, lié au mien uniquement par les sexes emboîtés. Elle m’avait fait éjaculer quelques gouttes mais grâce à sa persévérance s’était accordé un orgasme d’intensité moyenne. Nous avions eu recours à nos jouets. Devant moi, sans gêne désormais, comme si le mot et le sentiment avaient disparu lors de la démonstration chez Fernand, Emma se livrait aux vibrations mécaniques avant de me présenter son entrejambe pour des caresses buccales et linguales dont son clitoris était friand. Hélas, toute mon application de mari handicapé ne chassait pas de son regard cette tristesse, reflet de son insatisfaction et de son envie de nouveauté. Le souvenir de la queue de Rémi la hantait. Elle n’en parlait pas, mais sa soirée spéciale avait réveillé son fantasme assurément.
Heureusement je pouvais encore me servir de ma bouche et de mes mains. Je devins à ces jeux un virtuose. Jamais ma chère Emma n’avait reçu en gros et en détail, sur toute la surface de son corps de femme approchant la quarantaine autant de baisers amoureux, autant de caresses. Pendant des heures je laissais fondre dans ma bouche son sexe onctueux avant de le fouiller de la langue ou de le visiter de mes doigts. A force d’exercices répétés et de plus en plus vertigineux je lui donnais des orgasmes forts et fréquents. Je développais aussi mon odorat, le nez plongé dans la vulve nature ou parfumée. Faute de pénétration profonde, je fis sur internet l’achat d’un godemiché vibreur, d’un canard et de deux plugs de taille différente.
Et les succédanés achevèrent agréablement mes explorations incomplètes. Je plongeais le gode, le retirais, l’agitais et obtenais des résultats gutturaux et des bonds rassurants. Les yeux exorbités Emma clamait sa joie et ses orgasmes montaient en intensité. Ma femme adora le petit canard. J’eus par contre plus de mal à lui faire admettre la mise en place du plus petit plug dans son anus. Après de longues discussions, après les passages successifs dans son fondement de mon annulaire, puis de mon index, elle reçut mon majeur et voulut reconnaître que son appréhension initiale n’était pas raisonnable.Le lubrifiant facilitait le progrès dans l‘ampoule et le rectum. La porte arrière devenait une zone mieux exploitée et Emma me remercia de lui avoir mieux fait découvrir un plaisir auquel elle s’était longtemps opposée par ignorance et à cause de préjugés hérités de sa mère. Mon pouce entra et, un jour, j’introduisis deux puis trois doigts dans la voie étroite, rampant dans l‘œil noir de mieux en mieux distendu. Il y faisait bien trente sept degrés. Des deux mains j’écartais les fesses aux muscles fermes et découvrais à la lumière l’intérieur de l’antre. Autour du majeur immobile elle faisait tourner ses fesses et ondulait du bassin.
Je lui annonçai enfin le plug. D’abord elle s’effraya. Abondamment lubrifié il entra, le sphincter enlaça la base évasée et le pied de l’objet garda l’entrée camouflée. Quand Emma demanda le retrait de ce bouchon, je l’enlevai aussitôt, toujours prompt à lui obéir amoureusement .Le lendemain elle réclama d’elle-même le visiteur arrière, et le surlendemain aussi; elle ressentait une légère gêne bien compensée par le plaisir de se savoir ainsi habitée et frottée discrètement. Je lui prêtais des arrière-pensées en relation avec ce fantasme dont elle ne parlait plus mais qui ne pouvait pas s’être évaporé. Elle éprouvait courageusement de la gêne une fois encore, mais sans refus. Sans l’avertir je changeais de dimension, le plus gros et plus long prit place. L’habitude aidant elle remarqua à peine la différence, mais pas assez pour s’en plaindre. Elle s’habituait à garder en elle cet élargisseur et se déplaçait dans la maison en se tortillant autour de cet axe. Si le déplaisir se révélait moindre, c’est qu’elle s’entraînait secrètement dans l’attente du jour où deux mâles voudraient bien se conduire avec elle comme les harders des films qui avaient éveillé sa curiosité.Pour compléter le bonheur de la ménagère je lui offris des boules de geisha. Réduit à l’impuissance, je devais au spectacle de ses émotions provoquées mécaniquement mes seuls plaisirs des sensPeut-être ai-je ouvert à tort ce deuxième passage: c'était flatter la tentation de se faire prendre par deux queues. J’en prenais le risque en pensant qu’il était préférable d’attaquer de front son fantasme plutôt que de le laisser couver. L’expérience faite, la curiosité satisfaite, Emma me reviendrait apaisée et plus aimante. Alors nous pourrions connaître une sexualité libérée des excès de son imaginationComme ma convalescence avançait, je me mis à réclamer un supplément. Emma en bonne épouse reprit l’habitude de me branler d’une main puis de me lécher le gland par-dessous ou à son extrémité pendant de longues minutes. Ses pipes devinrent le fin du fin . A la première éjaculation ainsi obtenue, elle se réjouit de m’avoir ressuscité sexuellement. Elle ne me lâchait plus, s’acharnait sur ma verge pour s’abreuver de sperme frais à avaler ou à étaler sur son visage comme un lait de beauté. Ainsi, malgré ou à cause de mon stupide accident, notre sexualité connut-elle un nouvel essor. Cependant plusieurs fois au son des gémissements de plaisir j’entrai dans la salle de bain, à la cuisine ou dans notre chambre pour constater l’usage immodéré qu’elle faisait du canard noyé dans une mare de cyprine. J’en concluais que malgré mes efforts, ma femme n’obtenait plus la somme de sensations fortes nécessaire à calmer ses sens.
J’en revins à l’idée de la partager avec un ou plusieurs mâles, au moins durant ma convalescence. Partager aurait été parfait. En réalité, je devrais me contenter de regarder ou d’apporter le piment de ma présence ou quelques caresses jointes à l’action déterminante de deux autres participants. Pour son bonheur, mieux valait une relation programmée et acceptée d’elle et de moi qu’une liaison secrèteavec un amant incontrolable. Finalement mieux valaient aussi des rapports sexuels avec deux hommes, ainsi elle ne s’attacherait pas sentimentalement à eux. Si de plus je réussissais à lui procurer des partenaires mariés et heureux en ménage, la chose ressemblerait à un exercice de gymnastique sexuelle et ne compromettrait pas notre amour réciproque.
J’étais dans cet état d’esprit ce jour où mes compagnons de travail me rendirent visite en compagnie de leurs épouses. Je n’avais rien révélé de mes intentions à Emma. Elle fit visiter aux deux dames la maison et fut fière de montrer ses fleurs dans le jardin entretenu par elle. Entre femmes elles s’établirent à la cuisine pour discuter. Pendant ce temps je prévoyais avec Fernand et Rémi le déroulement de la fête prévue pour l’anniversaire d’Emma. Ils constitueraient le cadeau principal pour ma chérie. Ils se chargeaient de la succession des tableaux. Leur expérience les conduirait du premier baiser à la conclusion d’une double pénétration ponctuée de l’indispensable éjaculation. Je leur indiquais que j’avais soigneusement préparé mentalement et physiquement leur intervention en utilisant les jouets sexuels propres à décoincer le mental et les muscles. Emma ne verrait pas d’objection à être possédée par devant ou par derrière ; ses orifices étaient en état, prêts à affronter les verges qui se présenteraient. De leur côté ils étaient prêts à donner avec leurs femmes un spectacle à Emma pour lui montrer combien les diverses positions et pénétrations pouvaient être simples, naturelles et sans inconvénient, mais aussi pleines d’heureuses surprises et sources de volupté. Ils seraient les missionnaires d’une sexualité nouvelle, non restrictive, épanouissante qui devrait un jour déboucher sur notre inscription au club d’échangisme, si nous y prenions goût. J’essayais de ne pas trop m’avancer dans cette voie.
Emma m’apprit ce que j’ignorais sans doute, elle le tenait sous le sceau du secret de ses deux visiteuses: les deux couples pratiquaient de façon habituelle l’amour en groupe, un échangisme en club ou en petites fêtes privées. Elles en avaient longuement discuté et leur bonne santé évidente avait mis l’eau à la bouche de ma pauvre chérie en ces temps de pénurie. Denise et Astrid lui avaient proposé de venir assister, sans obligation de participer, à une partie privée chez Fernand pour se faire une idée. Evidemment, en raison de mon mauvais état de santé, Emma avait refusé. Je n’eus pas à insister beaucoup pour lui faire regretter son refus. Aussitôt j’appelais Fernand au téléphone pour lui annoncer la venue de cette spectatrice lors des prochaines joutes amoureuses. Emma me regardait, sidérée par la rapidité de ma réaction. Elle protesta un peu de se voir forcer la main. Je précisais qu’il ne s’agirait que de voir de ses yeux, pour se faire une idée précise. Je comptais sur un rapport détaillé à son retour pour me forger à mon tour une opinion.
Et je lui rappelais que peut-être nous allions pouvoir élargir le champ de nos ébats, en nous joignant à ce groupe apparemment accueillant, comme elle l’avait envisagé un soir devant l’écran de télévision. Notre conduite future dépendrait de ses impressions pendant ce spectacle. Il fallait observer avec soin, ne rien laisser échapper de manière à bien apprécier. Denise et Astrid venaient de nous ouvrir des horizons nouveaux si Emma jugeait trouver dans leur fête le plaisir qu’elle pouvait en attendre. Bien entendu entre hommes nous n’avions parlé que de travail. Il était préférable de laisser à Emma l’illusion de la découverte et de ne pas lui parler de mon plan pour son anniversaire.
Douchée, coiffée avec soin, habillée sexy, parfumée, Emma m’avait demandé de la doigter et de la sucer très fort, jusqu’à l’orgasme, avant de se rendre chez ses hôtes pour une soirée spéciale. Elle était fébrile depuis l’invitation, chaque jour plus excitée à l’idée de voir des hommes et des femmes échanger leurs partenaires et se livrer devant elle à toutes les fantaisies amoureuses. Ramenée à la maison par Fernand vers trois heures du matin, elle m’avait réveillé pour me livrer ses observations à chaud. Il n’y avait que les deux couples connus. De façon très classique Fernand avait chauffé sa femme Astrid en de longs préliminaires et Rémi avait préparé Denise des doigts et de la bouche. Ils avaient ensuite permuté pour se livrer à une pénétration en position du missionnaire. L’observatrice avait relevé la taille exceptionnelle du pénis de Rémi, une sorte de massue à l’extrémité impressionnante, avec un gland énorme de couleur prune. Astrid l’avait choyé longuement, avait appelé Denise et avait présenté l’outil à sa légitime propriétaire. Habituée à son mari, Denise, couchée sur le dos, des deux mains avait ouvert son sexe et Astrid avait guidé l’engin impressionnant vers son port où il avait par secousses rudes frayé son chemin.
-Quelle belle queue, énorme à faire peur: je me demande si elle pourrait entrer chez moi. Oh! Cela m’a beaucoup intriguée.
L’idée d’un essai ne l’abandonne pas mais continue à faire son chemin.
Astrid et Fernand ont inversé leur position, la femme chevauchait son homme. C’est une rude combattante, elle s’ébrouait violemment, levait ses fesses, laissait apercevoir la quasi-totalité de la hampe de Fernand, un gras morceau tout dur mais de taille normale. Et ils s’amusaient à rompre leur union pour changer de partenaire, complices, parfaitement entraînés. Astrid semblait craindre les pénétrations de Rémi. Chaque fois il poussait, franchissait les lèvres et finissait dans le vagin auquel il laissait, immobile, le temps de s’habituer à sa taille formidable. A chaque retrait il faisait sortir, collé à son tube, un collier rose de la paroi du vagin, cette peau intérieure suintante faisait coucou entre les petites lèvres échancrée qui s’ouvraient en fleur avant de se resserrer lors de la pénétration suivante. Les deux femmes s’étaient mises face à face, à quatre pattes, Fernand se tenait derrière Denise, Rémi reniflait les fesses ou le sexe d’Astrid. Les deux hommes avaient avancé leur poitrine au-dessus du dos féminin, un bras de chaque côté des flancs, à la façon de chiens en train de saillir leurs chiennes. Sans mal Fernand avait monté sa partenaire.
Rémi tenait son manche à pleine main, le faisait aller de haut en bas puis de bas en haut, poussait en avant mais ne franchissait pas l’ouverture.
- Il m’appela à l’aide. Je dus prendre sa massue en main et la diriger, non vers la vulve mais sur le petit trou d‘Astrid. C’était la raison de l’échec de ses tentatives précédentes. Avec son pieu surdimensionné, il voulait passer par le petit trou apeuré. Dans ma main ce pénis hors norme tressaillait, voulait se tourner vers le plafond, c‘était terriblement excitant de tenir pour la première fois un bâton de chair palpitant de cette taille. Rémi m’a demandé de l’entretenir pendant qu’il portait son index, son majeur et son annulaire à la bouche, les recouvrait de salive et les vissait dans le trou du cul d’Astrid où il les fit tourner contre les parois. Ce n’était pas sa première fois, cependant elle semblait appréhender la pénétration du mastodonte. Je devais faire aller mes doigts sur la tige, mais je n’en faisais pas le tour, je dus y employer mes deux mains. Rémi ordonna :
-Détends-toi, Astrid, ce n’est pas la première fois, cool. Toi, la nouvelle, prends-moi dans tes deux mains, ne me laisse pas plier et en place.
-Il retira ses doigts et se poussa brutalement dans l’orifice bâillant. Astrid cria, la moitié du pieu avait passé l’anneau rectal. L’homme s’était levé à la verticale et pesait de tout son poids pour avancer encore, centimètre par centimètre. Elle sous lui s’était écrasée des épaules sur le tapis et s’efforçait de garder croupe haute. Je pus retirer mes mains d’entre les deux corps et vis le poignard disparaître dans l’anus douloureux.
Elle était sortie de son rôle d’observatrice, s’était émue du contact et avait participé à l’intromission, ne parlait plus de gêne mais d’excitation. J’étais débordé par la rapidité de l’évolution de son vocabulaire et de son attitude en face d’un sexe étranger. Elle racontait :
- Rémi était tout rouge de visage, Astrid grimaçait affreusement et poussait des soupirs à faire pitié. De son côté Fernand pistonnait gaillardement Denise. Je me déplaçai et constatai qu’il était dans le vagin chuintant de bonheur mouillé. Quand l’enculée et l’enculeur reprirent leur souffle, Fernand quitta le vagin de Denise, vint relever le buste de son épouse empalée et demanda à ce couple collé de se laisser couler de manière à retrouver Rémi couché sur le dos à même le tapis et Astrid dos contre le ventre de son pourfendeur, jambes ballantes battant l’air et sexe ouvert par l’écartement des cuisses, emmanchée jusqu’à la garde..
C’était le clou du spectacle, le mari s’agenouilla entre ces jambes pendantes, dirigea son membre gluant vers le sexe offert et s’y perdit. Alors commencèrent des ondulations de serpent, les hommes se retiraient puis revenaient dans les deux trous et Astrid ne contenait plus ses gémissements où se mêlaient douleur et plaisir. Enfin après une longue période de va-et-vient les deux pénis abandonnèrent les places brûlantes. Je vis à leur suite s’évader deux coulées blanchâtres animées par l’éclatement de grosses bulles .Elles se rejoignaient et se mélangeaient sous Astrid immobile. Denise, agenouillée, s’accrochait aux jambes des deux hommes debout et nettoyait de la bouche avec une avidité stupéfiante les membres ramollis des deux rigolards enchantés. Fernand s’était tourné vers Emma:-Alors Emma, ça t’a plu? Tu n’aimerais pas être prise entre deux hommes? Ne t’effraie pas. Si un jour tu le voulais, Rémi entrerait dans ton vagin et je te défoncerais le p’tit trou: ce serait plus facile. Tout n’est qu’une question d’habitude. Avec de la persévérance tu finirais par recevoir Rémi comme Astrid. Tu connaîtrais le plaisir absolu. Chaque femme devrait y goûter.
Les mâles avaient pris le temps de récupérer. Les femmes ne cessaient pas de les taquiner, montraient un entrain sans faille, se faisaient des langues, se passaient les mains sur les chattes, se suçaient les seins puis retournaient à leur conjoint pour une pipe ou une branlette vigoureuse. Denise à son tour avait été prise en sandwich. Chez elle Rémi avait ses habitudes, entrait et sortait à l’aise et elle affichait un bonheur béat, contente de montrer à leur hôte le résultat d’un usage répété.
Le commentaire suivant d’Emma me contraria un peu :-Mon pauvre chéri tu te perdrais dans un monument aussi vaste. Cette Denise !
Eh! Oui, elle me voit tout petit comparé à l’exceptionnel, je suis dévalué et hélas absent à cause de mes blessures. Son récit continue :-Pourtant au repos la fenteet l’anus de Denise se referment. J’ai dû y introduire un doigt, car elle tenait à me prouver l’intégrité du muscle annulaire qui ferme son canal. J’y suis parvenue très facilement, mon index dérapait dans le foutre déchargé par l’énorme plantoir. Fernand lui-même donnait l’impression de nager dans un gouffre trop large quand à son tour il a succédé brièvement à Rémi entre les fesses de de Denise accoudée sur un fauteuil.
Personne n’avait attaqué Emma, les quatre s’en étaient tenus à donner le spectacle, à quelques exceptions près dont cette investigation dans les profondeurs anales de Denise. Elle avait vu et touché des étrangers. Et elle répéta, comme si de l’avoir dit une fois n’était pas suffisant, sa troublante émotion de sentir palpiter dans ses doigts le prestigieux bâton d’amour de Rémi. Elle en bavait de plaisir des heures plus tard. Je prévoyais des demandes prochaines.
Je reprenais des forces, mes fractures se soudaient. Affamée de sexe, la récente découverte devait y contribuer, Emma avait réussi à me chevaucher sans brusquerie et m’avait pompé longuement, bras tendus, le ventre dansant au-dessus du mien, lié au mien uniquement par les sexes emboîtés. Elle m’avait fait éjaculer quelques gouttes mais grâce à sa persévérance s’était accordé un orgasme d’intensité moyenne. Nous avions eu recours à nos jouets. Devant moi, sans gêne désormais, comme si le mot et le sentiment avaient disparu lors de la démonstration chez Fernand, Emma se livrait aux vibrations mécaniques avant de me présenter son entrejambe pour des caresses buccales et linguales dont son clitoris était friand. Hélas, toute mon application de mari handicapé ne chassait pas de son regard cette tristesse, reflet de son insatisfaction et de son envie de nouveauté. Le souvenir de la queue de Rémi la hantait. Elle n’en parlait pas, mais sa soirée spéciale avait réveillé son fantasme assurément.
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