Vagin indisponible
Récit érotique écrit par Reve [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vagin indisponible
Vagin indisponible 1Le labo d’analyses médicales a appelé pour signaler à Moni (ma femme Monique) qu’elle pouvait passer. Moni absente, je suis allé chercher les résultats. Le biologiste, habitué à commenter pour moi ou pour mon épouse, m’a indiqué que les démangeaisons vulvo-vaginales de Monique n’avaient pas d’origine infectieuse, et il m’a recommandé de mettre de la douceur dans nos relations sexuelles ; la vaginite d’irritation passerait d’elle-même si ma femme se voyait prescrire une pommade d'éconazole par exemple. Il serait de plus préférable d’éviter les rapports pendant quelques jours pour obtenir une guérison plus rapide et pour que ne se répète pas ce genre d’épisodes trop fréquents chez ma petite femme.
-Ménagez-la. Certes vous êtes jeune, mon ami, tempérez vos élans. Trois fois en quelques mois, c’est trop, les démangeaisons gâchent la qualité de vie de madame.
« Ménagez-la » ? Il en avait de bonnes. Quand je pense aux récits des exploits amoureux de certains collègues de travail, je suis un mari plutôt dans la moyenne basse des rapports sexuels. Comment réduire encore sans créer un vide ou un appel à l’aide chez une épouse normale, sans la pousser involontairement à chercher ailleurs un homme, un vrai ? Son vagin était-il sensible au point de nous priver souvent des plaisirs de la chair ou de me transformer en bourreau ?
Donc Monique avait suivi mon conseil, avait consulté notre médecin et celui-ci avait ordonné cette analyse. Elle avait juste oublié de m’en parler. Le hasard me l’apprenait. C’était bizarre. Enfin, rien de grave, quelques précautions à prendre, un peu de pommade à appliquer pour apaiser l’irritation et nous pourrions reprendre notre vie conjugale de façon normale. Mais je découvrais que c’était la troisième fois. Je me souvenais d’une fois précédente, j’ignorais tout d’une autre fois. Mais quand, il y a huit jours, Monique s’est plainte de démangeaisons et a souhaité remettre au lendemain notre relation amoureuse, comme j’avais gardé en mémoire une demande du même genre deux mois plus tôt, j’ai demandé à voir. En effet j’ai constaté une enflure et un rougissement de l’adorable vulve, j’ai ouvert les deux grandes lèvres malgré des gémissements pitoyables, l’entrée du vagin était toute rouge et étrangement le clitoris ne supportait pas le moindre attouchement. Je lui ai épargné la relation redoutée en conseillant un examen médical. Pourquoi donc ne m’avait-elle pas parlé de sa consultation et de l’analyse? Voulait-elle ne pas m’inquiéter, craignait-elle une maladie plus grave?
Le courrier était fermé; le biologiste m’avait révélé son contenu; j’étais pressé d’aller au travail et déposais l’enveloppe dans notre boîte aux lettres au passage devant la maison. Curieusement le soir Monique ne fit pas allusion aux résultats. Je lui tendis une perche:
-Ma chérie, vas-tu mieux?
-Mais oui, je vais bien. Bien que j’aie encore de petites douleurs au sexe. Si tu voulais patienter, mon amour, nous devrions peut-être remettre encore un peu nos démonstrations amoureuses. Et puis tu sais, j’ai deux mains, une bouche, une langue et plein d’amour pour te soulager! Hi, hi!
La chose ne me contrariait pas, je connaissais ses dons, l’habileté fabuleuse de ses doigts et la douceur veloutée de sa langue. J’insistai cependant.
-As-tu vu le médecin, on ne sait jamais, cela pourrait être sérieux ?
-C’est inutile, c’est commun chez les femmes et j’ai encore de la pommade pour me soigner. Ne t’inquiète pas pour si peu, je vais prendre soin de toi et t’envoyer au septième ciel.
-Bon, mais tu sais que je préfère les voyages accompagnés. Jouir seul a un intérêt restreint. Mon bonheur c’est de sentir monter ton orgasme et de lire ton plaisir dans tes yeux quand tu jouis. Ces démangeaisons ou brûlures sont-elles vraiment si communes chez les femmes ? Tu devrais consulter un gynécologue de renom. Je n’entends jamais parler de ces manifestations à répétitions.
J’eus droit ce soir là à une séance de haute tenue. La fellation en inflation! Monique avait retiré ses bagues, m’avait noyé de salive puis masturbé de ses deux mains aux poignets agiles. Elle avait tendrement massé mes bourses, les avait prises en bouche l’une après l’autre, et ma verge avait changé de dimensions entre ses doigts animés d’un mouvement vertical le long de la tige. Mon gland avait reconnu tous les recoins de sa bouche gourmande, elle l’avait reçu plus profond que jamais, jusqu’à l’étouffement et à l’écoulement d’une salive abondante en crachats accompagnés d’une toux violente. Elle avait fini par enlever blouse et soutien-gorge, mais gardait un string étroit. Entre ses seins moelleux elle avait pressé mon pénis enflammé dans une folle cravate espagnole, l’avait enveloppé de douce chaleur, roulé de droite à gauche, tendu vers le haut, secoué recouvert de salive et elle l’avait repris entre ses lèvres fiévreuses. Sa tête montait et descendait à folle allure sur ma virilité dressée, avec des flops qui soulignaient les sorties involontaires causées par la trop grande rapidité de la formidable agitation. Et je jouis subitement. Monique ne se retira pas, au contraire, ses mains agrippèrent mes fesses au moment où je me vidais dans sa bouche en longues saccades de soulagement. En se retirant, elle ouvrit grand ses mâchoires pour me montrer qu’elle avait tout avalé et elle poussa la malice à recueillir de la langue sur l’extérieur de ses lèvres les rares gouttes de sperme échappées.
-Tu vois, je t’aime, même si je ne suis pas assez disponible. Tu es mon amour.
Souffle retrouvé, je demandais à voir les progrès de la guérison. Elle consentit à enlever son string, avec quelque hésitation étrange pour le mari. Pourquoi cette soudaine pudeur devant moi ? La vulve était moins enflée, l’ouverture du vagin reprenait un aspect plus normal, le rouge des parois tournait à un rose encore soutenu, je crus même apercevoir quelques traces blanches : elle avait appliqué une pommade sans doute. L’extrémité de mon index humide de salive appliqué délicatement sur son clitoris provoqua un bond surprenant pour moi et pour elle qui en fut toute gênée.
-Tu devrais consulter. Tu souffres peut-être d’une infection urinaire.
Je prêchais le faux, elle ne réagit pas: elle aurait pu me contredire, résultats d’analyse à l’appui, mais comme je n’étais pas sensé être au courant, elle laissa planer un doute. Je poussai au crime :
-D’ailleurs je vois apparaître quelques bourrelets…
-Ah! Bon, tu crois Dans ce cas j’irai dès demain.
Je venais de lui donner le prétexte d’un examen à effectuer ouvertement, sans se cacher de moi comme elle l’avait fait. Mais je n’en revenais pas de son silence à propos de la dernière consultation et des résultats d’une analyse tenue secrète. L’enveloppe restait invisible. Et surtout une chose m’intriguait à présent. Je ne me souvenais pas d’avoir été brutal, d’avoir blessé son vagin, de l’avoir malmenée ou d’avoir forcé mes caresses sur son clitoris. Parfois je me demandais même si ma façon de faire l’amour n’était pas trop douce. Peut-être aurait-elle préféré plus de fermeté, des élans plus vigoureux. Nous en avions discuté récemment encore. Monique m’avait rassuré, j’étais parfait selon ses dires. Quel effet mécanique pouvait causer de tels ravages sur son sexe. Les strings en matières synthétiques pourraient être à l’origine de frottements insidieux et malfaisants en raison de leur habitude de se glisser dans les fentes et les raies au point d‘y disparaître. En tirait-elle un plaisir doublé de lésions ? Je m’en faisais la réflexion et suggérais à Moni le port de culottes en coton plus absorbantes en lieu et place de strings trop étroits et intrusifs. Ce fut encore une suggestion fort bien accueillie, comme si Monique avait besoin de trouver au plus vite une explication aux douleurs pour éloigner le sujet.
Quand elle fut endormie j’interrogeai internet pour connaître les causes connues de la vaginite non infectieuse. J’écartais le diabète, la prise d’antibiotiques, la grossesse, le port d’un stérilet en cuivre, restaient précisément le port de sous-vêtements en tissu synthétique ou de vêtements serrés, une alimentation riche en sucre ou des douches vaginales fréquentes ou l’utilisation de produits parfumés, d’antiseptiques ou de déodorants vaginaux. Il faudrait revoir à deux, elle et moi, certaines habitudes d’hygiène pour découvrir la cause des douleurs lors de la miction ou pendant les rapports conjugaux. Il fallait éradiquer le ou les facteurs tue l’amour. Enfin figuraient parmi les causes les relations sexuelles trop fortes ou trop fréquentes. Je me considérais comme normalement constitué, mon sexe n’avait rien d’exceptionnel en longueur ou en diamètre. J’avais des mœurs de civilisé. La fréquence était moyenne, les excès des premiers mois de mariage appartenaient au passé. L’origine du mal n’était ni une hypertrophie de mon organe ni un usage immodéré ou violentde ma verge au cours de nos rapports.
Mais trois « accidents » en quelques mois, dont un au moins m’avait été caché, c’était beaucoup. Monique en souffrait en silence, ne m’en avait parlé que parce que sa douleur était trop grande au moment où je voulais la pénétrer, et elle en était à l’évidence moralement affectée puisqu’elle faisait son possible pour éluder le sujet. Et le diable, entre les lignes me souffla le pire soupçon :Voulait-elle cacher des rapports avec d’autres partenaires? Je ne pouvais y croire. Mais où, quand, comment et avec qui ? Du soupçon je passais aux interrogations. Nos amis et connaissances étaient gens fort fréquentables. Nous passions le week-end ensemble, mon épouse, professeur des écoles, s’occupait du ménage, préparait ses cahiers et faisait ses corrections à la maison. Le seul jour de la semaine où elle était libre, c’était le mercredi. Non je nageais en pleine paranoïa. L’épisode passerait et serait oublié. Pourtant, pourtant… J’imaginais Moni dans les bras musclés d’un homme sans visage mais à la queue ravageuse, couchée sous un sauvage agressif, pressé, brutal, sans pitié pour ses cris de douleur, peu soucieux de ce qui n’était pas sa propre jouissance, une espèce de sadique qui se nourrissait des cris de douleur, un fou. Sauf à être masochiste, elle m’aurait appelé au secours. Mon imagination délirait.
Le week-end Monique recourut aux mêmes stratagèmes pour me faire jouir, mais en fin d’exercice elle ajouta aux brûlures vaginales la fatigue de ses mâchoires. Pendant qu’elle me branlait avec assiduité, je la regardais et n’arrivais pas à croire qu’elle pût me tromper. Bite en bouche, yeux levés vers moi pour deviner mon plaisir, elle semblait si amoureuse. Elle avait rencontré le docteur, il lui avait prescrit un coupe-faim léger. Quant au reste il annonçait un rétablissement prochain, surtout si nous observions quelques jours d’abstinence. Moni était confiante, persuasive. Le lundi matin mon patron me confia une tâche nouvelle. Un important transporteur routier souhaitait assurer chez nous sa flotte de camions. Il semblait me connaître et souhaitait me rencontrer personnellement dans son entreprise : je devrais me déplacer le mercredi pour le rencontrer à l’autre bout du département dans un lieu-dit, entre deux villages connus. Le patron comptait sur moi pour emporter ce gros contrat et exceptionnellement avait réservé une chambre d’hôtel pour la nuit du mercredi au jeudi. Le nom de l’intéressé ne me disait rien, à la poste on ne put me renseigner ni sur le lieu-dit, ni sur l’entreprise qui aurait dû envoyer et recevoir du courrier. Ca sentait le coup tordu, on voulait se moquer de moi, mais qui et pourquoi? Je cherchais et finis par acquérir la certitude qu’il s’agissait d’une entreprise fantôme nullement répertoriée. Le téléphone et internet sont des outils très utiles pour résoudre certaines énigmes.
En résumé, un fantôme voulait m’attirer loin de chez moi, le mercredi jour de congé de Moni, au moment où sa vaginite allait se dissiper. La réunion de ces bouts de ficelle dans mon cerveau perturbé par l’attitude et le mutisme de ma femme me conduisit à supposer qu’un amant avait pris rendez-vous avec elle et m’expédiait hors de portée pour agir en toute tranquillité. Ce devait être l’étalon au membre surdimensionné auteur des dommages dont souffrait l’infidèle par un juste retour des choses. Elle jouissait sous la rudesse des assauts puis payait par la souffrance ses moments d’égarements. Et moi j’étais accusé des méfaits d’un autre et recevais des recommandations de modérations !
Et malgré le danger encouru Moni était sur le point de recommencer, prête à s’exposer à de nouvelles douleurs à la suite de coïts brutaux. Fallait-il que je sois malade pour bâtir un pareil roman. Mais la certitude de l’inexistence de la prétendue société de transport après de multiples vérifications conforta mes doutes. J’annonçai gaîment dès le soir mon voyage, ma nuit à l’hôtel et donnais le numéro de téléphone de l’établissement à ma femme: elle pourrait m’appeler pour me souhaiter une bonne nuit loin d’elle. Je dormirais mieux sachant qu’elle avait passé une bonne journée et qu’elle pensait à moi. Elle me félicita, se réjouit de cette quasi promotion, regretta ma future absence mais promit pour mon retour une folle nuit d’amour. Et le mardi soir, pour s’assurer de ma fidélité, elle pompa mes réserves de sperme jusqu’à la dernière goutte, s’affaira des lèvres et des doigts. Si jeudi la vaginite durait, je devrais « la prendre par derrière ». La pratique n’était pas courante chez nous, mais contre mauvaise vulve Moni ferait beau cul. Ainsi prévoyait-elle les conséquences de son inconduite ?
Son vocabulaire évoluait! Et pas seulement son vocabulaire. Je repense à notre première « anale ». J’avais dû parlementer, argumenter avant de lui prouver par les faits que les fesses et le petit trou généraient un vrai plaisir. Elle avait eu du mal à s’en convaincre puis y avait pris « un certain plaisir » plus qu’un plaisir certain. C’était tout en nuances avant cette proposition soudaine et surprenante à la veille de son prochain adultère. Son rendez-vous lui faisait-il craindre une rechute, des douleurs et des brûlures insupportables au point d’offrir dès à présent une entrée par la petite porte. Aussi mes soupçons tournaient-ils à des quasi certitudes. Monique préparait le terrain pour camoufler une rechute inavouable.
J’ai fait un faux départ vers midi, je viens de m’introduire dans ma cave comme un voleur. J’attends. Faux départ, suivi d’une fausse alerte. Noël, un collègue vient présenter un manuel tout nouveau. Je les entends discuter dans l’entrée. Le visiteur est délogé par un coup de sonnette. Il cède la place à deux visiteurs. Je reconnais la voix de celui qui salue et donne à l’autre quelques indications, c’est René, un collègue de travail avec lequel je me trouve parfois en concurrence. Que fait-il là aujourd’hui?
-Henri, je te présente Monique dont je t’ai déjà parlé. Ma chérie, Henri est un ami infirmier. Quand tu m’as refoulé il y a huit jours sous prétexte que je t’avais fait mal, j’ai cru à une ruse. Henri va t’examiner de façon tout à fait professionnelle.
-Mais tu es fou, j’ai vu mon médecin lundi. Je n’ai pas à subir un nouvel examen par un inconnu.
-Henri, montre lui ta carte professionnelle. Ne t’inquiète pas, tu vas constater que nous avons affaire à une dame on ne peut plus consentante. Montons.
Qu’est-ce que ce cirque ? J’écoute, aussi intrigué que surpris. René parle avec autorité, Monique n’a fait qu’une faible protestation
-Je t’explique. Monique et moi étions amis, sommes devenus amants. Tantôt dans sa chambre d’étudiante, tantôt à l’hôtel, rarement chez moi, nous couchions ensemble. Je lui ai tout appris. J’ai été le premier à faire tomber sa culotte, je lui ai imposé le string à la mode, le premier je lui ai mis la main au con, le premier je lui ai mis un doigt, la résistance de son hymen n’a pas été longue, j’ai caressé son corps, j’ai fait durcir ses tétins, j’ai titillé son clito, dévoré les lèvres de sa vulve, je l’ai tant et si bien excitée qu’elle a cédé à mes prières et j’ai donc été le premier à investir la forteresse. Après des jours de lutte elle a enfin été mienne. Le sacrifice de sa virginité l’a rendue dépendante, à la télé on dit addicte au sexe. Nous avons fait d’incroyables parties de trou du cul. Un jour elle m’a surpris en train de peloter une de ses copines. J’étais je l’avoue d’humeur polygame, mais je tenais à ma baiseuse préférée. Mon titre de premier amour, de premier amant, mes talents amoureux, tout le plaisir que je lui avais prodigué, mes langues fourrées, les dimensions plus que respectables de mes attributs et la jouissance qu’elle en tirait, elle a tout rejeté, furieusement jalouse. Pour une peccadille elle m’a repoussé avec hargne et s’est idiotement jetée à la tête de ce crétin de Paul et l’a épousé dans la foulée.
-Pas plus crétin que toi mais tellement plus gentil plus honnête et plus fidèle.
Je serais flatté de ce compliment, n’était le contexte incroyable !
-Ca l’avance à quoi d’être gentil? Il a suffi que je menace de lui montrer tes lettres enflammées et quelques photos explicites de nos acrobaties sexuelles pour que tu lui fasses des cornes tous les mercredis de l’année scolaire. Et depuis tu jouis autant et plus avec moi qu’avec cet impuissant crétin. Aujourd’hui je l’ai envoyé démarcher une entreprise lointaine qui reste à créer. Ha!ha!ha! Le con. Débarrassé de lui, nous allons pouvoir nous amuser à satiété, longuement, voluptueusement. Je te promets des plaisirs nouveaux, inédits pour toi, nous allons te rassasier de foutre pour une longue semaine.
- Tu ne dois pas y compter, je souffre d’une vaginite à répétition, tes fameux attributs ont fait des dégâts. Il y a deux mois tu m’avais déchiré le vagin en me prenant comme une bête. Il y a deux semaines ton engin énorme m’a meurtri les parois et gonflé les lèvres du sexe. Je t’en supplie, laisse-moi le temps de me remettre de mes blessures. Même quand je vais pisser, je hurlerais de douleur.
- Tu fais ta forte tête, tu te fous de moi. J’ai trop bien préparé mon coup, j’ai même payé une nuit d’hôtel à ton cocu pour pouvoir passer la nuit avec toi, pendant que le crétin sourira aux anges. Alors cesse tes jérémiades et fous toi vite à poil avant de dérouiller. Maintenant, si tu préfères que j’aie un entretien instructif avec ton chéri ?
- On pourrait remettre à la semaine prochaine ? Pitié, laisse-moi au moins guérir.
- Je t’ai dit « à poil »je veux constater, montre-nous ta chatte !. Exécution… Quoi, tu remets ces horribles culottes en coton. Tu retombes déjà en enfance. J’ai l’instrument qui va te remettre les idées en place. Quelques bons coups de ma massue et ça va s’arranger. Allez, au pieu vite fait. Ecarte les cuisses et montre tes prétendues plaies à l’infirmier. Fais lui confiance, c’est un expert. Il a vu beaucoup plus des vulves que tu ne verras de zizis dans toute ta vie. Expert, connaisseur et grand amateur, il ajoutera ses soins aux miens pour ton plus grand bonheur : il allie volontiers la pratique à la théorie. Bienheureuse femelle tu recevras double ration ce soir. Ouvre.
L’infirmier établit son diagnostic :
- Effectivement les lèvres sont encore légèrement enflées comme celles des nymphomanes usant de jouets. L’intérieur semble sain et rose. Par contre l’odeur est un peu forte, je dirais enivrante.. Elle réagit correctement au toucher vaginal . Je la déclare apte au service.
-Ah! Non, ton Henri est dingue. Le toucher de ses doigts sur mes parties intimes me fait mal.
Un bruit sec de gifle la fait taire, elle pleurniche.
-Souviens-toi, tu as été à moi, tu resteras mienne à vie. Le premier je t’ai dépucelée et fait jouir: tu es marquée pour la vie. On va commencer gentiment par une sucette. Henri montre ton braquemart. Ma chérie, tu vois, il n’a rien à m’envier, ni en longueur, ni en épaisseur. Quand nous t’aurons limée, tu jouiras et tu oublieras les petits inconvénients liés aux vits de taille xxl.
-Ménagez-la. Certes vous êtes jeune, mon ami, tempérez vos élans. Trois fois en quelques mois, c’est trop, les démangeaisons gâchent la qualité de vie de madame.
« Ménagez-la » ? Il en avait de bonnes. Quand je pense aux récits des exploits amoureux de certains collègues de travail, je suis un mari plutôt dans la moyenne basse des rapports sexuels. Comment réduire encore sans créer un vide ou un appel à l’aide chez une épouse normale, sans la pousser involontairement à chercher ailleurs un homme, un vrai ? Son vagin était-il sensible au point de nous priver souvent des plaisirs de la chair ou de me transformer en bourreau ?
Donc Monique avait suivi mon conseil, avait consulté notre médecin et celui-ci avait ordonné cette analyse. Elle avait juste oublié de m’en parler. Le hasard me l’apprenait. C’était bizarre. Enfin, rien de grave, quelques précautions à prendre, un peu de pommade à appliquer pour apaiser l’irritation et nous pourrions reprendre notre vie conjugale de façon normale. Mais je découvrais que c’était la troisième fois. Je me souvenais d’une fois précédente, j’ignorais tout d’une autre fois. Mais quand, il y a huit jours, Monique s’est plainte de démangeaisons et a souhaité remettre au lendemain notre relation amoureuse, comme j’avais gardé en mémoire une demande du même genre deux mois plus tôt, j’ai demandé à voir. En effet j’ai constaté une enflure et un rougissement de l’adorable vulve, j’ai ouvert les deux grandes lèvres malgré des gémissements pitoyables, l’entrée du vagin était toute rouge et étrangement le clitoris ne supportait pas le moindre attouchement. Je lui ai épargné la relation redoutée en conseillant un examen médical. Pourquoi donc ne m’avait-elle pas parlé de sa consultation et de l’analyse? Voulait-elle ne pas m’inquiéter, craignait-elle une maladie plus grave?
Le courrier était fermé; le biologiste m’avait révélé son contenu; j’étais pressé d’aller au travail et déposais l’enveloppe dans notre boîte aux lettres au passage devant la maison. Curieusement le soir Monique ne fit pas allusion aux résultats. Je lui tendis une perche:
-Ma chérie, vas-tu mieux?
-Mais oui, je vais bien. Bien que j’aie encore de petites douleurs au sexe. Si tu voulais patienter, mon amour, nous devrions peut-être remettre encore un peu nos démonstrations amoureuses. Et puis tu sais, j’ai deux mains, une bouche, une langue et plein d’amour pour te soulager! Hi, hi!
La chose ne me contrariait pas, je connaissais ses dons, l’habileté fabuleuse de ses doigts et la douceur veloutée de sa langue. J’insistai cependant.
-As-tu vu le médecin, on ne sait jamais, cela pourrait être sérieux ?
-C’est inutile, c’est commun chez les femmes et j’ai encore de la pommade pour me soigner. Ne t’inquiète pas pour si peu, je vais prendre soin de toi et t’envoyer au septième ciel.
-Bon, mais tu sais que je préfère les voyages accompagnés. Jouir seul a un intérêt restreint. Mon bonheur c’est de sentir monter ton orgasme et de lire ton plaisir dans tes yeux quand tu jouis. Ces démangeaisons ou brûlures sont-elles vraiment si communes chez les femmes ? Tu devrais consulter un gynécologue de renom. Je n’entends jamais parler de ces manifestations à répétitions.
J’eus droit ce soir là à une séance de haute tenue. La fellation en inflation! Monique avait retiré ses bagues, m’avait noyé de salive puis masturbé de ses deux mains aux poignets agiles. Elle avait tendrement massé mes bourses, les avait prises en bouche l’une après l’autre, et ma verge avait changé de dimensions entre ses doigts animés d’un mouvement vertical le long de la tige. Mon gland avait reconnu tous les recoins de sa bouche gourmande, elle l’avait reçu plus profond que jamais, jusqu’à l’étouffement et à l’écoulement d’une salive abondante en crachats accompagnés d’une toux violente. Elle avait fini par enlever blouse et soutien-gorge, mais gardait un string étroit. Entre ses seins moelleux elle avait pressé mon pénis enflammé dans une folle cravate espagnole, l’avait enveloppé de douce chaleur, roulé de droite à gauche, tendu vers le haut, secoué recouvert de salive et elle l’avait repris entre ses lèvres fiévreuses. Sa tête montait et descendait à folle allure sur ma virilité dressée, avec des flops qui soulignaient les sorties involontaires causées par la trop grande rapidité de la formidable agitation. Et je jouis subitement. Monique ne se retira pas, au contraire, ses mains agrippèrent mes fesses au moment où je me vidais dans sa bouche en longues saccades de soulagement. En se retirant, elle ouvrit grand ses mâchoires pour me montrer qu’elle avait tout avalé et elle poussa la malice à recueillir de la langue sur l’extérieur de ses lèvres les rares gouttes de sperme échappées.
-Tu vois, je t’aime, même si je ne suis pas assez disponible. Tu es mon amour.
Souffle retrouvé, je demandais à voir les progrès de la guérison. Elle consentit à enlever son string, avec quelque hésitation étrange pour le mari. Pourquoi cette soudaine pudeur devant moi ? La vulve était moins enflée, l’ouverture du vagin reprenait un aspect plus normal, le rouge des parois tournait à un rose encore soutenu, je crus même apercevoir quelques traces blanches : elle avait appliqué une pommade sans doute. L’extrémité de mon index humide de salive appliqué délicatement sur son clitoris provoqua un bond surprenant pour moi et pour elle qui en fut toute gênée.
-Tu devrais consulter. Tu souffres peut-être d’une infection urinaire.
Je prêchais le faux, elle ne réagit pas: elle aurait pu me contredire, résultats d’analyse à l’appui, mais comme je n’étais pas sensé être au courant, elle laissa planer un doute. Je poussai au crime :
-D’ailleurs je vois apparaître quelques bourrelets…
-Ah! Bon, tu crois Dans ce cas j’irai dès demain.
Je venais de lui donner le prétexte d’un examen à effectuer ouvertement, sans se cacher de moi comme elle l’avait fait. Mais je n’en revenais pas de son silence à propos de la dernière consultation et des résultats d’une analyse tenue secrète. L’enveloppe restait invisible. Et surtout une chose m’intriguait à présent. Je ne me souvenais pas d’avoir été brutal, d’avoir blessé son vagin, de l’avoir malmenée ou d’avoir forcé mes caresses sur son clitoris. Parfois je me demandais même si ma façon de faire l’amour n’était pas trop douce. Peut-être aurait-elle préféré plus de fermeté, des élans plus vigoureux. Nous en avions discuté récemment encore. Monique m’avait rassuré, j’étais parfait selon ses dires. Quel effet mécanique pouvait causer de tels ravages sur son sexe. Les strings en matières synthétiques pourraient être à l’origine de frottements insidieux et malfaisants en raison de leur habitude de se glisser dans les fentes et les raies au point d‘y disparaître. En tirait-elle un plaisir doublé de lésions ? Je m’en faisais la réflexion et suggérais à Moni le port de culottes en coton plus absorbantes en lieu et place de strings trop étroits et intrusifs. Ce fut encore une suggestion fort bien accueillie, comme si Monique avait besoin de trouver au plus vite une explication aux douleurs pour éloigner le sujet.
Quand elle fut endormie j’interrogeai internet pour connaître les causes connues de la vaginite non infectieuse. J’écartais le diabète, la prise d’antibiotiques, la grossesse, le port d’un stérilet en cuivre, restaient précisément le port de sous-vêtements en tissu synthétique ou de vêtements serrés, une alimentation riche en sucre ou des douches vaginales fréquentes ou l’utilisation de produits parfumés, d’antiseptiques ou de déodorants vaginaux. Il faudrait revoir à deux, elle et moi, certaines habitudes d’hygiène pour découvrir la cause des douleurs lors de la miction ou pendant les rapports conjugaux. Il fallait éradiquer le ou les facteurs tue l’amour. Enfin figuraient parmi les causes les relations sexuelles trop fortes ou trop fréquentes. Je me considérais comme normalement constitué, mon sexe n’avait rien d’exceptionnel en longueur ou en diamètre. J’avais des mœurs de civilisé. La fréquence était moyenne, les excès des premiers mois de mariage appartenaient au passé. L’origine du mal n’était ni une hypertrophie de mon organe ni un usage immodéré ou violentde ma verge au cours de nos rapports.
Mais trois « accidents » en quelques mois, dont un au moins m’avait été caché, c’était beaucoup. Monique en souffrait en silence, ne m’en avait parlé que parce que sa douleur était trop grande au moment où je voulais la pénétrer, et elle en était à l’évidence moralement affectée puisqu’elle faisait son possible pour éluder le sujet. Et le diable, entre les lignes me souffla le pire soupçon :Voulait-elle cacher des rapports avec d’autres partenaires? Je ne pouvais y croire. Mais où, quand, comment et avec qui ? Du soupçon je passais aux interrogations. Nos amis et connaissances étaient gens fort fréquentables. Nous passions le week-end ensemble, mon épouse, professeur des écoles, s’occupait du ménage, préparait ses cahiers et faisait ses corrections à la maison. Le seul jour de la semaine où elle était libre, c’était le mercredi. Non je nageais en pleine paranoïa. L’épisode passerait et serait oublié. Pourtant, pourtant… J’imaginais Moni dans les bras musclés d’un homme sans visage mais à la queue ravageuse, couchée sous un sauvage agressif, pressé, brutal, sans pitié pour ses cris de douleur, peu soucieux de ce qui n’était pas sa propre jouissance, une espèce de sadique qui se nourrissait des cris de douleur, un fou. Sauf à être masochiste, elle m’aurait appelé au secours. Mon imagination délirait.
Le week-end Monique recourut aux mêmes stratagèmes pour me faire jouir, mais en fin d’exercice elle ajouta aux brûlures vaginales la fatigue de ses mâchoires. Pendant qu’elle me branlait avec assiduité, je la regardais et n’arrivais pas à croire qu’elle pût me tromper. Bite en bouche, yeux levés vers moi pour deviner mon plaisir, elle semblait si amoureuse. Elle avait rencontré le docteur, il lui avait prescrit un coupe-faim léger. Quant au reste il annonçait un rétablissement prochain, surtout si nous observions quelques jours d’abstinence. Moni était confiante, persuasive. Le lundi matin mon patron me confia une tâche nouvelle. Un important transporteur routier souhaitait assurer chez nous sa flotte de camions. Il semblait me connaître et souhaitait me rencontrer personnellement dans son entreprise : je devrais me déplacer le mercredi pour le rencontrer à l’autre bout du département dans un lieu-dit, entre deux villages connus. Le patron comptait sur moi pour emporter ce gros contrat et exceptionnellement avait réservé une chambre d’hôtel pour la nuit du mercredi au jeudi. Le nom de l’intéressé ne me disait rien, à la poste on ne put me renseigner ni sur le lieu-dit, ni sur l’entreprise qui aurait dû envoyer et recevoir du courrier. Ca sentait le coup tordu, on voulait se moquer de moi, mais qui et pourquoi? Je cherchais et finis par acquérir la certitude qu’il s’agissait d’une entreprise fantôme nullement répertoriée. Le téléphone et internet sont des outils très utiles pour résoudre certaines énigmes.
En résumé, un fantôme voulait m’attirer loin de chez moi, le mercredi jour de congé de Moni, au moment où sa vaginite allait se dissiper. La réunion de ces bouts de ficelle dans mon cerveau perturbé par l’attitude et le mutisme de ma femme me conduisit à supposer qu’un amant avait pris rendez-vous avec elle et m’expédiait hors de portée pour agir en toute tranquillité. Ce devait être l’étalon au membre surdimensionné auteur des dommages dont souffrait l’infidèle par un juste retour des choses. Elle jouissait sous la rudesse des assauts puis payait par la souffrance ses moments d’égarements. Et moi j’étais accusé des méfaits d’un autre et recevais des recommandations de modérations !
Et malgré le danger encouru Moni était sur le point de recommencer, prête à s’exposer à de nouvelles douleurs à la suite de coïts brutaux. Fallait-il que je sois malade pour bâtir un pareil roman. Mais la certitude de l’inexistence de la prétendue société de transport après de multiples vérifications conforta mes doutes. J’annonçai gaîment dès le soir mon voyage, ma nuit à l’hôtel et donnais le numéro de téléphone de l’établissement à ma femme: elle pourrait m’appeler pour me souhaiter une bonne nuit loin d’elle. Je dormirais mieux sachant qu’elle avait passé une bonne journée et qu’elle pensait à moi. Elle me félicita, se réjouit de cette quasi promotion, regretta ma future absence mais promit pour mon retour une folle nuit d’amour. Et le mardi soir, pour s’assurer de ma fidélité, elle pompa mes réserves de sperme jusqu’à la dernière goutte, s’affaira des lèvres et des doigts. Si jeudi la vaginite durait, je devrais « la prendre par derrière ». La pratique n’était pas courante chez nous, mais contre mauvaise vulve Moni ferait beau cul. Ainsi prévoyait-elle les conséquences de son inconduite ?
Son vocabulaire évoluait! Et pas seulement son vocabulaire. Je repense à notre première « anale ». J’avais dû parlementer, argumenter avant de lui prouver par les faits que les fesses et le petit trou généraient un vrai plaisir. Elle avait eu du mal à s’en convaincre puis y avait pris « un certain plaisir » plus qu’un plaisir certain. C’était tout en nuances avant cette proposition soudaine et surprenante à la veille de son prochain adultère. Son rendez-vous lui faisait-il craindre une rechute, des douleurs et des brûlures insupportables au point d’offrir dès à présent une entrée par la petite porte. Aussi mes soupçons tournaient-ils à des quasi certitudes. Monique préparait le terrain pour camoufler une rechute inavouable.
J’ai fait un faux départ vers midi, je viens de m’introduire dans ma cave comme un voleur. J’attends. Faux départ, suivi d’une fausse alerte. Noël, un collègue vient présenter un manuel tout nouveau. Je les entends discuter dans l’entrée. Le visiteur est délogé par un coup de sonnette. Il cède la place à deux visiteurs. Je reconnais la voix de celui qui salue et donne à l’autre quelques indications, c’est René, un collègue de travail avec lequel je me trouve parfois en concurrence. Que fait-il là aujourd’hui?
-Henri, je te présente Monique dont je t’ai déjà parlé. Ma chérie, Henri est un ami infirmier. Quand tu m’as refoulé il y a huit jours sous prétexte que je t’avais fait mal, j’ai cru à une ruse. Henri va t’examiner de façon tout à fait professionnelle.
-Mais tu es fou, j’ai vu mon médecin lundi. Je n’ai pas à subir un nouvel examen par un inconnu.
-Henri, montre lui ta carte professionnelle. Ne t’inquiète pas, tu vas constater que nous avons affaire à une dame on ne peut plus consentante. Montons.
Qu’est-ce que ce cirque ? J’écoute, aussi intrigué que surpris. René parle avec autorité, Monique n’a fait qu’une faible protestation
-Je t’explique. Monique et moi étions amis, sommes devenus amants. Tantôt dans sa chambre d’étudiante, tantôt à l’hôtel, rarement chez moi, nous couchions ensemble. Je lui ai tout appris. J’ai été le premier à faire tomber sa culotte, je lui ai imposé le string à la mode, le premier je lui ai mis la main au con, le premier je lui ai mis un doigt, la résistance de son hymen n’a pas été longue, j’ai caressé son corps, j’ai fait durcir ses tétins, j’ai titillé son clito, dévoré les lèvres de sa vulve, je l’ai tant et si bien excitée qu’elle a cédé à mes prières et j’ai donc été le premier à investir la forteresse. Après des jours de lutte elle a enfin été mienne. Le sacrifice de sa virginité l’a rendue dépendante, à la télé on dit addicte au sexe. Nous avons fait d’incroyables parties de trou du cul. Un jour elle m’a surpris en train de peloter une de ses copines. J’étais je l’avoue d’humeur polygame, mais je tenais à ma baiseuse préférée. Mon titre de premier amour, de premier amant, mes talents amoureux, tout le plaisir que je lui avais prodigué, mes langues fourrées, les dimensions plus que respectables de mes attributs et la jouissance qu’elle en tirait, elle a tout rejeté, furieusement jalouse. Pour une peccadille elle m’a repoussé avec hargne et s’est idiotement jetée à la tête de ce crétin de Paul et l’a épousé dans la foulée.
-Pas plus crétin que toi mais tellement plus gentil plus honnête et plus fidèle.
Je serais flatté de ce compliment, n’était le contexte incroyable !
-Ca l’avance à quoi d’être gentil? Il a suffi que je menace de lui montrer tes lettres enflammées et quelques photos explicites de nos acrobaties sexuelles pour que tu lui fasses des cornes tous les mercredis de l’année scolaire. Et depuis tu jouis autant et plus avec moi qu’avec cet impuissant crétin. Aujourd’hui je l’ai envoyé démarcher une entreprise lointaine qui reste à créer. Ha!ha!ha! Le con. Débarrassé de lui, nous allons pouvoir nous amuser à satiété, longuement, voluptueusement. Je te promets des plaisirs nouveaux, inédits pour toi, nous allons te rassasier de foutre pour une longue semaine.
- Tu ne dois pas y compter, je souffre d’une vaginite à répétition, tes fameux attributs ont fait des dégâts. Il y a deux mois tu m’avais déchiré le vagin en me prenant comme une bête. Il y a deux semaines ton engin énorme m’a meurtri les parois et gonflé les lèvres du sexe. Je t’en supplie, laisse-moi le temps de me remettre de mes blessures. Même quand je vais pisser, je hurlerais de douleur.
- Tu fais ta forte tête, tu te fous de moi. J’ai trop bien préparé mon coup, j’ai même payé une nuit d’hôtel à ton cocu pour pouvoir passer la nuit avec toi, pendant que le crétin sourira aux anges. Alors cesse tes jérémiades et fous toi vite à poil avant de dérouiller. Maintenant, si tu préfères que j’aie un entretien instructif avec ton chéri ?
- On pourrait remettre à la semaine prochaine ? Pitié, laisse-moi au moins guérir.
- Je t’ai dit « à poil »je veux constater, montre-nous ta chatte !. Exécution… Quoi, tu remets ces horribles culottes en coton. Tu retombes déjà en enfance. J’ai l’instrument qui va te remettre les idées en place. Quelques bons coups de ma massue et ça va s’arranger. Allez, au pieu vite fait. Ecarte les cuisses et montre tes prétendues plaies à l’infirmier. Fais lui confiance, c’est un expert. Il a vu beaucoup plus des vulves que tu ne verras de zizis dans toute ta vie. Expert, connaisseur et grand amateur, il ajoutera ses soins aux miens pour ton plus grand bonheur : il allie volontiers la pratique à la théorie. Bienheureuse femelle tu recevras double ration ce soir. Ouvre.
L’infirmier établit son diagnostic :
- Effectivement les lèvres sont encore légèrement enflées comme celles des nymphomanes usant de jouets. L’intérieur semble sain et rose. Par contre l’odeur est un peu forte, je dirais enivrante.. Elle réagit correctement au toucher vaginal . Je la déclare apte au service.
-Ah! Non, ton Henri est dingue. Le toucher de ses doigts sur mes parties intimes me fait mal.
Un bruit sec de gifle la fait taire, elle pleurniche.
-Souviens-toi, tu as été à moi, tu resteras mienne à vie. Le premier je t’ai dépucelée et fait jouir: tu es marquée pour la vie. On va commencer gentiment par une sucette. Henri montre ton braquemart. Ma chérie, tu vois, il n’a rien à m’envier, ni en longueur, ni en épaisseur. Quand nous t’aurons limée, tu jouiras et tu oublieras les petits inconvénients liés aux vits de taille xxl.
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