Stairway to Heaven - histoire érotique

Il faisait chaud et lourd à l’extérieur, le soleil frappait beaucoup trop fort. C’est pour cela qu’elle s’était très habillée très court. Une mini-jupe noire et un chemisier assez ouvert pour s’attirer des regards un peu partout où elle allait. Elle aimait qu’on remarque ses formes avantageuses. Sa peau était luisante de sueur et elle n’avait qu’une hâte, rentrer à son hôtel et prendre une douche, ou alors plonger dans l’eau d’une piscine.
Elle entra dans l’hôtel avec ces idées en tête, suivie des yeux par un inconnu assez mignon qui attendait à la réception. Elle l’avait déjà remarqué depuis les quelques jours qu’elle logeait là, mais aucun des deux ne s’était donné la peine d’adresser la parole à l’autre, de faire le premier pas. Il n’y avait eu que des échanges de regards appuyés et quelques fantasmes, le soir dans son lit. Elle ne connaissait que son prénom : Marc, et il ne connaissait pas le sien. Elle lui fit un sourire rayonnant, suivi d’un clin d’œil appuyé quand elle entra dans l’ascenseur, puis elle l’oublia.
Après avoir appuyé sur le numéro de son étage, elle lissa sa mini-jupe, le regard perdu dans ses pensées. Elle avait senti que quelqu’un s’était glissé dans l’ascenseur après elle, mais elle ne tourna pas la tête pour le voir. Dès que les portes se fermèrent, elle sentit que l’autre occupant bougeait, qu’il se rapprochait d’elle, un peu trop. Elle se retourna. C’était le type mignon de la réception, le type mignon de ses fantasmes, Marc, qui continuait de s’approcher. Ses yeux ne quittaient pas les siens, comme s’il essayait de la piéger dans son regard.
Il se rapprocha encore et, quand ils passèrent le premier étage, il l’embrassa. Un baiser passionné, égal à ses fantasmes, sa langue s’infiltra dans sa bouche sans qu’elle ait vraiment l’occasion de refuser. Marc la plaqua contre le mur de l’ascenseur, elle accrocha ses mains à son cou pour prolonger le baiser, mais il se dégagea vite.
Au deuxième étage, il enlevait le premier bouton de sa chemise et il ne s’arrêta que quand il en fut à la moitié, quand il put prendre ses seins dans ses mains. Il ne la regarda quasiment pas, laissant simplement ses mains faire le travail. Elle l’embrassait dans le cou, le mordait quelquefois. Ses mains caressèrent son dos, musclé comme elle les aimait et allèrent jusqu’à agripper ses fesses.
Quand ils passèrent le troisième étage, les mains de Marc descendirent de ses seins pour passer sous sa mini-jupe et descendre sa culotte. Elle se trémoussa pour la descendre et la sentit tomber sur ses chevilles. Marc se révéla un expert avec sa main, caressant où il devait caresser sans trop y penser. C’était assez excitant mais il n’avait pas l’air… présent, se dit-elle en poussant de petits gémissements rauques.
A chaque étage, elle se disait que l’ascenseur allait s’ouvrir et que des gens allaient vouloir rentrer, qu’ils allaient la voir à moitié nue, la culotte baissée sur les chevilles, la chemise à moitié ouverte et les seins sortants. Elle se savait belle, mais la situation était un peu ridicule et… Oui, elle n’aurait pas aimé se faire pincer.
Pourquoi être la seule à avoir des vêtements en moins, se dit-elle en défaisant le nœud du short de son partenaire. Elle baissa tout d’un coup, le caleçon aussi, laissant un sexe à moitié en érection prendre l’air. Elle le branla doucement pendant qu’elle s’accrochait à son cou de son autre main.
Elle l’embrassait dans le cou et, quand elle essaya de lui mordre le lobe de l’oreille, il la tourna sans douceur pour qu’elle soit contre le mur. Quand ils passèrent le cinquième étage, il appuya sur le bouton d’arrêt de l’ascenseur, histoire de leur donner quelques minutes de répit supplémentaires.
Il la prit par les hanches et entra facilement son sexe dans un vagin lubrifié grâce au traitement de ses doigts et de l’endroit incongru où elle se trouvait pour faire ça. Collée au miroir, elle pouvait se voir, écrasée comme ça et ça l’excitait encore plus que l’endroit. Elle pouvait voir les portes, de l’autre côté de l’ascenseur. Il lui prit les seins pendant qu’il lui mettait des coups de hanches assez sauvages, lui arrachant de petits cris de plaisir. Elle l’entendait derrière pousser des gémissements rauques. Elle cria plus fort quand il se fit plus sauvage encore, allant presque jusqu’à l’écraser contre le mur.
Elle ne le vit pas remettre l’ascenseur en marche pendant qu’elle était prise contre le mur, mais elle le sentit bouger à nouveau et cela l’excita encore plus. Il jouit en elle au moment où l’ascenseur ralentissait et, dès que les portes s’ouvrirent il sortit de l’ascenseur en se rhabillant, la laissant un peu sonnée devant les portes qui se refermaient.
Un peu tremblante et le cœur palpitant, elle essayait de remettre de l’ordre dans sa tenue et dans ses pensées, rattachant les boutons de sa chemise et remettant sa jupe en place. Au sixième étage, elle sortit de l’ascenseur, quelque peu titubante.
Cinq minutes après que ça ait commencé, il ne restait que sa culotte, abandonnée dans un coin de l’ascenseur.