Strip : Casting
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2011 dans la catégorie Plus on est
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Strip : Casting
Elles éclatent de rire à son approche. Ginee se demande s'il a oublié de fermer la braguette de son pantalon, si le col de sa chemise est partiellement relevé ou comporte un peu de rouge à lèvres à la suite de ce qui vient de se passer entre Nathalie et lui dans un angle de la boîte de nuit - aussi dicrètement qu'ils l'ont pu ... encore que Nathalie ne semblait pas véritablement chercher la discrétion - ou si tout simplement il les a surprises en pleine discussion "réservée aux femmes", autrement dit encore plus axée sur le sexe que les conversations entre hommes.
Il vérifie l'état des lieux, ce qui relance l'hilarité de ses copines. Sindy complète son contrôle entre les jambes en lui confirmant qu'il n'a rien oublié de fermer et Mélanie l'embrasse sur la joue en lui annonçant que seulement maintenant il y a du rouge à lèvres, mais pas sur le col de sa chemise.
- Très drôle, retorque Ginee en englobant la poitrine de sa copine de sa main ... du moins autant qu'il le peut car elle l'a très volumineuse. Tu n'as plus qu'à me lécher pour le l'enlever maintenant !
- Te lécher la joue ? Je ne suis pas un petit chien !
- Tu préfèrerais là où Sindy a mis ses mains ? Mais je ne crois pas qu'elle y ait mis de rouge à lèvres.
- Je préfèrerais, mon doudou, répond Mélanie, provocatrice.
- T'es mignon tout plein comme ça, intervient Fanny. Tu vas voir, ça va attirer les nanas.
- Ecoute mon lapin, on ne se moquait pas de toi, on parlait entre filles, explique Sindy ; mais maintenant que tu es là, on peut te le dire : on est en train de monter une affaire et il nous manque un homme.
Elle laisse un certain temps s'écouler avant d'ajouter :- Un vrai !
Silence radio.
- Tu ne dis rien, interroge Sindy ?
- Je devrais dire quelque chose, questionne Ginee ? Vous ne m'avez encore donné aucune information.
- Les autres mecs à qui on a dit ça on tous aussitôt répondu :"Je suis là" ou "Vous m'avez trouvé" ou " Ne cherchez plus", le plus souvent avec un roulemtn d'épaules ou en bombant le torse comme pour mettre leurs nichons en avant ...
Ginee éclate de rire.
- Qu'est-ce qui te faire marrer, demandent en choeur les trois filles ?
- D'abord je serais plutôt du genre "planche à pain", ensuite vous semblez déçues que je n'aie pas eu la même réaction, mais apparemment vous êtes toujours en recherche !
- On n'est pas déçues, répond Sindy, juste un peu surprises.
- Quoique pas tant que ça, intervient Mélanie. On sait bien que ce n'est pas ton genre de te vanter, ni de foncer sans savoir où tu vas. C'est pour ça que tu nous plais, mon doudou, mais on aimerait bien quand même que de temps en temps tu te livres un peu, que tu montres qu'on t'intéresse.
- Et on aime te charrier, ma puce, ajoute Fanny.
- Mais pour autant que j'aie pu vérifier tout-à-heure, intervient Sindy, tu as largement ce qu'il faut pour être considéré comme un homme. On dit qu'il vaut mieux une petite courageuse qu'une grosse feignante, mais justement pour ce qu'on recherche la grosse feignante nous conviendrait mieux.
Ses deux copines éclatent de rire une fois de plus. A tour de rôle elles plongent la main à l'endroit stratégique pour contrôler que Sindy n'a pas confondu une paire de gants ou on ne sait quel objet avec ce qu'elles recherchent.
- C'est bon, vous voulez pas que je vous la sorte non plus, demande Ginee mi agacé, mi amusé ?
- On n'osait pas trop te le demander, rétorque Sindy. Mais puisque tu le proposes si gentiment ...
Le voilà tombé dans le panneau ! Il aurait mieux fait de se taire ...
- Dites-moi d'abord de quoi il s'agit, répond Ginee. On verra ensuite. Sinon je vais inviter quelqu'un d'autre à danser plutôt que de me faire chahuter par trois fêtardes un peu émêchées.
- Trois super nanas sont peut-être en train de te mettre sur le coup de ta vie, rétorque Fanny, et Môssieur veut faire la fine bouche ! Et pour info, on n'est pas saoûles.
- Elle a une monstruosité, ta quéquête, demande Sindy, pour que tu ne veuilles pas nous la montrer ? Ou alors c'est tes roubignoles qui sont pas de la même taille ? Tes couilles, elles sont molles ? T'as vu, j'ai fait une rime ! T'en as une verte et une jaune ? Ou alors une troisième, toute rikiki ?
Mélanie et Fanny n'en peuvent plus de l'humour de leur copine. Cette dernière se sent presque incitée à en rajouter :- J'ai pas bien senti tout-à-l'heure, c'est surtout ta bite que j'ai touchée. Peut-être que t'en as qu'une.
Les trois furies se tiennent les côtes.
- Remarque, c'est pas grave, il paraît que c'est comme pour la thyroïde ou les reins. Une seule couille suffit.
Et c'est reparti pour un tour de rigolade. Beau joueur, Ginee supporte stoïquement ces moqueries féminines.
- Pour notre affaire, ce serait même un plus, renchérit Fanny ; c'est comme pour la femme à barbe : ça attire les foules.
Lorsque le calme est revenu, et avant qu'une nouvelle répartie replonge ces diablesses dans leur hystérie, Alain leur fait remarquer que les larmes font couler le rimmel de leurs yeux et qu'à leur place il s'abstiendrait de trop en rajouter. Puis il poursuit :- Quand vous aurez fini de vous amuser, mes cocottes, vous me ferez signe : je vais aller danser un peu.
Mélanie le retient en le prenant par le cou.
- Alors, mon doudou, on boude ? On prétend jouer les crâneurs ? On n'a pas le sens de l'humour ? On est trop prude pour montrer sa biroute comme ça aux copines ?
Ce faisant, elle entreprend d'ouvrir elle-même la porte que Ginee maintenait fermée jusqu'alors, tout en commençant à lui expliquer :- Tu as déjà entendu parler d'enterrements de vies de garçons, demande Mélanie ?
- Oui, bien sûr.
- Et d'enterrements de vies de jeunes filles, mon doudou ?
- Aussi.
- Sindy, notre super-commerciale, est en relation avec des personnes qui veulent organiser une fête pour ce genre d'occasion. Le problème c'est que justement ce qui est recherché c'est des hommes, et nous on n'a pas le profil.
- Toi Fanny, avec un bon déguisement ... commence Ginee- Très drôle. C'est vachement sympa de te foutre de ma petite poitrine, mais je te signale qu'il y a des hommes à qui elle plaît.
- Je n'ai pas voulu te blesser, je plaisantais, répond Ginee, en la lui caressant par dessus son chemisier. Je les trouve mignons, tes nichons.
Elle accepte d'autant plus volontiers l'excuse qu'il entreprend de déboutonner son chemisier pour y accéder directement car elle ne porte pas de soutien-gorge, ceci alors que Mélanie a déjà glissé une main dans la fente de son pantalon et trouvé son chemin sous le slip ; il dépose un baiser sur l'un des mamelons de Fanny, ce qui la fait sursauter de plaisir, puis sur l'autre ; les voilà réconciliés. Mélanie en profite pour estimer avec plus de précision les mensurations de Ginee grâce à ses doigts de fée.
- Tu es toujours avec nous, mon lapin, demande Sindy ?
- Tu ne vas nous dire que tu es jalouse, intervient Fanny.
- On l'est toutes les deux, retorque-t-elle sans prendre la peine d'interroger Mélanie qui a d'autres préoccupations.
Ginee déboutonne le chemisier de Sindy, extrait un sein de taille moyenne et de consistance plutôt ferme de son emplacement dans le soutien-gorge et l'embrasse sur le mamelon.
- Tu es plutôt chiche, lui reproche Sindy, comme il est sur le point de le remettre à sa place !
Il le palpe, l'embrasse en divers endroits, s'empare de son autre sein pour éviter la remarque classique relative à la jalousie de ces parties du corps féminin, le palpe de même, l'embrasse à plusieurs endroits. Sindy semble se satisfaire de cette marque de gentillesse, du moins en ce lieu très fréquenté.
- C'est bon, je remballe.
Il se tourne vers Mélanie. Comme elle n'a pas lâché son joujou, il n'hésite pas et dégraphe carrément son soutien-gorge. Sa paire de seins lourds s'affaisse sensiblement sous l'effet de la pesanteur. Mélanie, un peu surprise, lui dit dans l'oreille qu'il exagère, mais se laisse faire avec délectation sous les yeux amusés et intéressés d'un certain nombre de clients de la boîte ; mais elle est fière d'exhiber en public sa poitrine, bien que pas très ferme, d'autant plus que c'est un homme qui s'en charge. Il y consacre plus de temps qu'avec ses deux autres copines, les explore de ses mains, les suce avant de les embrasser, les sent pour s'imprégner de leur odeur.
- Il ne te reste plus qu'à me remettre mon soutien-gorge, mon doudou.
Elle lâche ce qu'elle tenait dans sa main après l'avoir sorti de son emplacement et rendu visible à qui le souhaite, sous les yeux rieurs de ses deux copines. Puis elle enlève carrément son chemisier, se montrant torse nu en pleine boîte de nuit, repositionne sans se presser sur les seins que lui présente Ginee les bonnets destinés à les recevoir, et tourne le dos à Ginee pour qu'il attache son soutien-gorge, en lui précisant à quel cran il doit le faire au cas où il ne l'aurait pas remarqué. Puis elle remet tranquillement son chemisier.
L'opération, bien que courte, a attiré le regard de pas mal d'hommes et de femmes ... et c'est maintenant l'ensemble trois pièces de Ginee qui supporte l'attention de ces voyeurs, frustrés par la rapidité avec laquelle Mélanie s'est rhabillée avec désinvolture.
Ginee comprend le piège que lui a tendu sa copine. Quelle idée a-t-il eue aussi de dégrapher son soutien-gorge !
- Cette fille a du cran quand même, se dit-il ! En plus d'avoir une paire de nibards à attirer les regards de quantités d'hommes et de femmes en quelques instants. Et le voilà maintenant comme un con, la bite et les couilles à l'air !
Sindy s'empare de ses attributs, les explore sous tous les angles, avant de les passer à Fanny qui fait de même. Des photographies sont prises par quelques fêtards, des flashes fusent. Cela donne d'ailleurs des idées à Mélanie qui en profite pour immortaliser la scène.
Ginee commence à trouver le temps long. Fanny interroge Mélanie du regard ; celle-ci lui fait comprendre qu'elle veut aussi explorer les particularités de leur copain à la lumière artificielle, elles échangent appareil photo et costume trois pièces.
Sindy est plus vindicative, plus directe, plus agressive, Mélanie est plus enrobée dans son fonctionnement ; non seulement c'est elle qui a réussi à exhiber le sexe de Ginee, naturellement, sans le forcer, mais elle sait prendre son temps pour le triturer ... et le faire grossir et durcir malgré la situation. Bientôt ses futures associées sont émerveillées de ce qu'elles peuvent observer.
- C'est bien, mon doudou ! Comme ça, on aura vu ta queue au repos et quand tu bandes. Ah ! Tu vaux vraiment le coup d'œil ! D'ailleurs tu attires les foules. Regarde ils prennent même des vidéos ...
- C'est vrai que des comme ça, on n'en voit pas tous les jours, renchérit Sindy. Qu'en penses-tu, Fanny ?
- J'aimerais bien me venger de la plaisanterie de ce fumier, mais je dois avouer que c'est impossible. Je ne savais pas que ça existait, vraiment. Des trois fois plus petites, on en voit en pagaille, mais là ...
- Tu peux la ranger, interrompt Mélanie, sentant que le risque s'accroît qu'ils se fassent virer de l'établissement. Enfin ... mets-la à l'abri, tu la repositionneras quand elle aura repris sa taille normale.
Ginee ne se fait pas prier pendant que ses copines sont de nouveau reparties dans une crise de fou rire.
Lorsqu'elles ont enfin repris leur souffle, Sindy tire sa première conclusion :- Pour résumer il nous faut un mec comme toi, Ginee, qui soit pas trop regardant quand une fille veut un petit plaisir sans pour autant systématiquement chercher à se la faire ... et bien doté par ailleurs. Ses compétences au pieu, on s'en fout, en tous cas dans un premier temps.
Devant l'air hébété de leur copain, Sindy corrige son propos :- Non je plaisante. On ne sait pas si tu sais te servir de ce que tu as entre les cuisses, mais on n'a pas prévu de te le demander.
- Alors vous avez vérifié les mensurations de combien de mecs demande Ginee, amusé par l'attitude de ses copines maintenant qu'il est rassuré d'avoir pu se rhabiller à temps ?
- On n'a pas eu besoin, répond Fanny. Comme on dit par chez nous ...
- Ah oui, din ch'nord, grrrinds dizzeux, petits fezeux, la précède Ginee.
- Te crois pas obligé de caricaturer l'accent du Nord en parlant comme un plouc, rétorque Fanny, mais c'est ça. Ils se sont tous débinés quand ils ont su qu'il fallait se foutre à poil devant des femmes. A croire que ça n'aurait pas été à leur avantage !
Ginee se tient les côtes de rire.
- De toutes façons, poursuit Mélanie, on ne les a questionnés que pour la forme, pour s'entraîner, car ils ne répondent pas au profil. Y a que tirer leur coup qui les intéresse. Ils ne connaissent rien d'autre en matière de sensualtité, ils sont nuls à chier.
Les trois copines attendent que Ginee se soit calmé et en ait profité pour remettre ses attributs en place.
- Alors, qu'en penses-tu, interroge Sindy ?
- Vous pensez que moi, j'ai le profil ?
- Peut-être. Il y a encore des choses à vérifier, lui rétorque Fanny !
- Laisse-nous seules quelques instants qu'on puisse délibérer entre femmes, lui demande Sindy.
Au bout de quelques minutes, elle lui font signe de s'approcher.
Fanny se colle contre lui, pelotant ses fesses d'une main et l'obligeant de l'autre à appuyer sa poitrine contre la sienne pendant qu'elle ondule le haut de son corps.
- Tu as réussi avec succès les premiers tests. Mais il en reste d'autres.
Comme Ginee ne réagit pas, elle lui demande :- Tu ne veux pas savoir lesquels, ma puce, le questionne-t-elle tout en continuant à se déhancher ?
- Je me doute que vous allez finir par mes les dire.
- T'es pas curieux ! Pour un homme, sa queue, c'est primordial, et là-dessus rien à dire : 20/20. Le comportement vis-à-vis des femmes est aussi fondamental pour ce qu'il s'agit de faire, je crois qu'on peut te donner 17/20 ; j'ai insisté pour qu'on enlève trois points à cause de ta remarque déplaisante et sexiste à mon sujet. Mais il faut aussi que tu aies de belles fesses. On veut également voir si tu es à l'aise à poil au milieu de femmes habillées. Et enfin, c'est un rôle d'acteur, quand même ! Qu'en penses-tu ?
- Ça se tient.
- Tu râles pas pour les trois points ?
- Qu'est-ce que j'en ai à foutre de vos points ? Vous vous croyez à l'école, mes chéries ?
Fanny continue à l'exciter.
- Oh, mais tu bandes, ma puce ! Ma poitrine minuscule te ferait donc de l'effet ?
Elle ouvre la chemise de Ginee et son propre chemisier pour que leurs poitrines nues se touchent. Ginee emet des gémissements de plaisir qui transportent Fanny de joie. Elle l'embrasse à pleine bouche et il se laisse faire.
- Tu te la ferais bien, la Fanny qui pourrait passer pour un mec, hein, ma puce ? Avoue !
- Oui, je me la ferais bien, tu vas me retirer combien de points si je te dis pourquoi ? A quel jeu joues-tu ?
- Tu vois que je suis une vraie femme et que je peux me taper quand je veux même un mec comme toi, hein ma puce !
Ginee attend la suite, continue à se laisser faire. Il est clair que ce jeu, elles l'ont décidé à trois, même si c'est Fanny qui a demandé à le jouer pour se venger de la remarque qu'il lui a faite. Après tout, il n'est pas si désagréable ...
- L'essentiel va devoir se vérifier dans un lieu plus tranquille.
Ginee souffle. Il a eu peur un moment qu'elles veuillent l'obliger à se foutre à poil en pleine boîte de nuit.
- Y a juste tes fesses qu'on veut voir tout de suite.
- Ben, vous les verrez quand je me foutrai à poil.
- Tu ignores à ce point la curiosité féminine, s'exclame-t-elle ! On va devoir baisser ta note comportementale ...
- Vous me bassinez avec vos notes, dit Ginee en se dégageant. Si je marche avec vous, j'ai pas envie d'être traité comme un gamin.
- On est curieuses toutes les trois, dit Fanny en reboutonnant son chemisier pendant que Ginee referme sa chemise de son côté, et on veut voir tes fesses main-te-nant.
- Au milieu de la boîte de nuit, demande Ginee ?
- Est-ce que ça t'a gêné de sortir nos seins de leurs emplacements tout-à-l'heure, rétorque Sindy ? Tu ne t'es pas posé tant de questions.
- Trois paires de seins contre un costume trois pièces. Avec une paire de fesses, tu nous seras encore redevable d'une démonstration en public, mon doudou, ajoute langoureusement Mélanie, qui s'est approchée et pose sa langue sur les lèvres de Ginee.
- Tu aimes les petites poitrines, lui glisse dans le creux de l'oreille Mélanie en constatant la bosse à l'avant de son pantalon ?
La justesse de la remarque de Sindy sidère Ginee. Il laisse Mélanie défaire son pantalon et le baisser, ainsi que son slip. Elles le font se courber, se redresser, tâtant à chaque fois la fermeté de ses fesses et la jugeant globalement insuffisante.
Fanny tient sa revanche.
- Alors, ma puce, heureusement que ça peut s'arranger par des exercices parce que ce n'est pas très brillant. Comme Mélanie me l'a fait remarquer, il y a bien pire, c'est sûr. Mais on ne recrute pas le pire.
- Il a quand même de très belles fesses, intervient Mélanie : petites, pas du tout flasques, assez rondes, régulières. Et quand on le fait se courber, elles deviennent parfaitement fermes. On en mangerait !
- Oui, mais on ne va pas le faire déhambuler comme un vieillard, insiste Fanny.
- Rhabille-toi, mon lapin, intervient Sindy en riant.
Ginee obéit sans tarder.
- Bon, alors, il faut vous mettre d'accord, les nanas. Mes fesses vous conviennent ou pas ?
- Ne te vexe pas, mon lapin, répond Sindy. Elles peuvent nous convenir, mais il va falloir que tu fasses des exercices pour les raffermir.
- Tout comme les femmes font des exercices pour raffermir leur seins, mon doudou, explique Mélanie en le regardant droit dans les yeux.
Comme elle vient de le défendre, il n'en profite pas pour lui balancer qu'elle en aurait autant besoin que lui, sinon plus.
- On les fera ensemble si tu veux : moi pour mes seins et toi pour tes fesses ; comme ça, ça nous stimulera.
Ginee se demande si Melanie n'est pas en train de chercher à le provoquer en vue d'avoir une partie de jambes en l'air avec lui. Sa poitrine, même manquant un peu de fermeté, lui fait vraiment envie et il a bien l'impression que sa queue, elle aimerait bien en faire son ordinaire.
Les quatre complices se retrouvent chez Sindy pour une autre vérification avant le casting proprement dit, qui aura lieu un autre jour.
A peine sont-ils arrivés que Ginee est prié de se dévêtir intégralement.
Sindy met de la musique en fond sonore. La seconde partie de la soirée commence naturellement ; ils s'installent, Sindy montre à Ginee où se trouve le bar et lui demande de servir tout le monde pendant qu'elle apporte fruits secs et biscuits apéritifs. Il s'assied entre deux filles, qui de temps en temps posent une main sur ses cuisses ou même tripotent mine de rien son sexe tout en discutant. Ginee se laisse faire et discute aussi naturellement que s'il était habillé.
Elles lui expliquent la répartition des rôles, selon les compétences de chacune : Sindy sera la commerciale du groupe, chargée de la promotion, des recherches de clientes, des relations avec les clientes et en général l'extérieur, et s'il le faut de l'animation des soirées. Mélanie sera la photographe car pour pouvoir faire une bonne promotion, il faut des photographies de qualité ; elle prendra aussi des clichés qui pourront ensuite être vendus aux participantes. Fanny sera la maquilleuse ; même si Ginee croit ne pas en avoir besoin, il faudra le maquiller, différemment selon les circonstances ; elle sera aussi son habilleuse, car il est hors de question que Ginee se présente en jean ; mais tout ceci sera discuté après la séance de casting.
Pour la rémunération, elles ont décidé d'être généreuses en laissant 40% des recettes nettes à Ginee pour se partager les 60 autres pourcents, à parts égales ; autrement dit, Ginee touchera deux fois plus qu'elles simplement parce qu'en plus de sa prestation, ses copines tiennent compte de ce qui sera exigé de lui, à savoir qu'il s'exhibe nu et qu'il obéisse en général à ses trois copines. Par recettes nettes, elles entendent les sommes qui restent après avoir déduit les frais, qu'ils soient de costumes, de maquillages, de transports, de communications (téléphone, etc.), ... et quand l'affaire fonctionnera bien d'impôts et de gestion (comptabilité, création d'un site Web, etc.).
Ginee comprend qu'elles ont étudié leur affaire, qu'il ne s'agit pas d'un simple jeu pour émoustiller leur libido. Au cours de la dernière partie de cette conversation, ses camarades peuvent constater qu'il oublie très facilement sa nudité, ce qui les satisfait.
Lorsqu'il semble qu'ils aient fait le tour des questions à aborder, Mélanie suggère qu'on se mette à danser un peu. Les filles tombent d'accord pour changer de style toutes les 2 ou 3 danses ; et pendant que Ginee alterne ses partenaires, toujours dans la même tenue, celles qui restent assises en profitent pour faire le point de la situation et pour tester ses réactions en cas de surprises, telles que par exemple lorsqu'elles passent à une danse des canards, l'embrassent inopinément, le masturbent, se collent contre lui au cours d'un slow.
Bien entendu, pour des danses dans lesquelles ce n'est pas par le bras que le cavalier doit guider sa partenaire mais par le mouvement de son corps, et donc nécessitant que les deux corps se touchent, telles que le tango, les valses anglaise ou viennoise, le quick step, la bachata, le zouk ou le merengué, les filles observent particulièrement le comportement de leur camarade pour voir comment il s'en sort. Par moments, elles voient son phallus se dresser sans qu'il semble le moins du monde gêné.
De temps en temps, la danseuse profite de certains mouvements pour lui triturer le sexe ; il se laisse bien volontiers faire sans jamais chercher à faire les premiers pas en vue d'avoir avec l'une d'elle une véritable relation sexuelle.
Elles font une pause pour discuter de nouveau, de choses et d'autres.
Mélanie, le plus joueuse des trois, s'amuse même à glisser des aliments dans son corsage pour demander à Ginee de venir les chercher sans les mains, puis entre des orteils, ce qui l'oblige à s'agenouiller ; lorsqu'il a fini, elle fourre ostensiblement une olive à l'intérieur de sa vulve par dessous sa jupe, la ressort et la lui tend entre ses doigts placés au niveau de ses genoux.
- C'est bon, mon doudou, lui demande-t-elle ?
Il ne répond pas, mais cela inspire Fanny, qui a du coup l'idée d'enfourner un long biscuit à moitié dans son anus sans pour autant enlever son slip et de demander à Ginee de venir le lui retirer sans s'aider des mains pour le manger en entier. Il satisfait tous les caprices de ses complices.
Satisfaites, elles décident de mettre fin à cette expérience, et rendez-vous est pris pour le casting proprement dit, c'est-à-dire une première simulation de strip-tease.
A son arrivée pour cet essai, elles lui demandent de troquer en leur présence ses habits pour une tenue complète qu'elles lui ont préparée sans l'en avertir au préalable. Elle comporte un boxer, une chemise noire, une cravate, une paire de chaussettes, des chaussures de ville, un pantalon de ville dont la braguette se ferme au moyen de boutons, une ceinture, un gilet, un chapeau et une baguette ou sorte de canne pour dandy des années 1900. Ginee est admiratif envers Fanny qui est supposée avoir été la costumière - même si elle a peut-être été aidée par ses deux camarades ; en effet ses habits lui vont plutôt bien alors qu'il ne se souvient pas qu'elle ait pris la moindre mesure de lui ... à part peut-être de son intimité à l'aide de sa main qu'elle a déplacée, donc très approximativement, ainsi qu'en constatant qu'elle ne pouvait entourer sa verge avec ses doigts. Mais pour le reste, elle doit vraiment avoir l'œil très exercé, pense-t-il.
Après qu'il ait revêtu sa nouvelle tenue, elles lui demandent d'improviser un strip-tease sur un air de musique qu'elles passent sans attendre. Il dispose du temps qu'il veut, au besoin la musique sera re-jouée ou une autre dans le même style ou un autre la continuera. Il ne doit donc surtout pas faire en sorte d'avoir fini à la fin du morceau. Ginee comprend que, s'agissant de la prestation essentielle sur laquelle ses copines comptent s'appuyer, il doit au moins tenir 15 à 20 minutes, voire 30, ce qui est très long.
La musique est une valse lente. Il fait face au public, se promène de long en large en dansant suivant une chorégraphie de danse country en ligne pour valse lente sans partenaire ; il essaie d'être élégant, d'avoir des mouvements amples.
Il a lu sur internet entre sa rencontre avec ses copines et ce casting que terminer un strip-tease par les chaussettes, "ça ne le faisait pas". Il hésite donc entre la canne, le chapeau et les chaussures ; il n'a pas beaucoup de temps pour se décider car il lui faut quand même enlever des habits. Il calcule mentalement que cela doit lui faire 12 accessoires, dont il doit se défaire ; s'il réussit à en enlever environ un toutes les deux minutes, il pourra ainsi tenir presque 25 minutes.
Il commence par délasser une chaussure avec bien du mal car il manque de tomber ; heureusement qu'il s'agit d'une valse lente, il a bien fait de choisir ce type de morceau pour cet "exploit". Au moment où il doit tourner sur son 3ème temps pour changer de sens, il envoie valdinguer sa chaussure droite en direction des filles qui, surprises, sont obligées de s'écarter pour ne pas la prendre sur la figure ; heureusement elles ont fait place nette dans la pièce pour éviter tout accident, ce qui fait que rien ne risque d'être cassé. Il recommence avec sa seconde chaussure lors d'un autre changement de direction. Rien dans la pièce ne lui permet d'évaluer le temps ; ses copines ont dû faire exprès de retirer tout moyen pour lui de s'en faire une idée, ce qui montre l'importance qu'elles accordent à la façon dont il saura ne pas trop se presser.
Effectivement, elles sont époustouflées de constater qu'au bout de 5 minutes, il n'a toujours enlevé que ses deux chaussures sans que la tension ait pour autant diminué, sans perte d'intérêt pour la prestation qu'il est en train d'accomplir. Sa façon de se tenir est élégante, d'autant plus surprenante qu'elles l'ont pris de court. Elles décident de continuer avec ce type de musique.
Les chaussettes volent moins loin que les chaussures, bien que Ginee ait eu l'idée d'utiliser sa baguette pour finir de les enlever et pour les envoyer en direction du public. Il a réussi à faire durer la portion de séquence presque aussi longtemps, pense-t-il, que celle consacrée aux chaussures.
Il passe ensuite au déboutonnage de son gilet, en mimant un excès de chaleur, ce qui fait sourire ses copines. Pour l'enlever tout en dansant il s'avère finalement moins habile que pour ses chaussettes ; et c'est surtout pour l'envoyer à l'aide de sa canne qu'il rate complètement son coup, ce qui cause l'hilarité de ses camarades. Au lieu de se reprendre, il laisse le gilet là où il est tombé et continue sa prestation. Il estime avoir duré pour l'ensemble à peu près trois fois le temps utilisé pour les chaussures.
De leur côté ses "manageresses-recruteuses" sont heureuses de constater que loin de se précipiter il a su à la fois prendre son temps, faire durer le plaisir, imaginer intelligemment, faire preuve d'humour, s'adapter en cas d'échec. Environ 15 minutes se sont écoulées, avec un tel gars, leur équipe n'aura pas à craindre la concurrence, d'autant plus qu'elles savent qu'il acceptera de rester le temps qu'il faudra après le strip-tease proprement dit, à la différence de ce qui se passe lorsque l'on fait appel à des entreprises composées de professionnels, lesquels partent dès leur effeuillage réalisé.
Pour éviter de lasser le public, elles décident de changer de musique, qui se tranforme en un rock saccadé. Ginee sait que sur toute musique il y a deux façons de la danser : le rythme le plus fort (le plus bruyant) - en général le plus rapide - et le rythme de basse - qui nécessite plus de concentration pour l'entendre car beaucoup moins fort - souvent deux fois plus lent ; c'est ce dernier qu'il adopte pour poursuivre sa prestation ; il peut ainsi éviter de se précipiter, et donc continuer à se concentrer sur son auto-déshabillage.
Il commence par enlever la ceinture de son pantalon, la faire tournoyer comme un lasso, avant de la lancer également. Puis il regarde attentivement ses copines cmmme pour tenter de captiver leur attention tout en défaisant un à un chaque bouton de sa braguette. Il choisit un changement de rythme du morceau pour ouvrir le bouton qui maintient encore son pantalon et le laisser tomber en mimant un air stupide. Avec sa baguette il s'en débarrasse, pied après pied , ... et pour ne pas risquer le même ridicule qu'avec son gilet, il l'envoie en l'air d'un coup de pied.
Le boxer moule parfaitement la forme de son penis, ce qui satisfait ses camarades. La présence de la chemise rend cette vision épisodique ; il la déboutonne lentement en commençant par le bas avec des mouvements de sourcils complices, destinés à susciter des cris d'hystérie dans une salle comportant des femmes ne l'ayant pas encore vu nu ; il se trouve que ce n'est pas le cas ... Les boutons des manches doivent aussi être déboutonnés. Ginee fait semblant d'avoir oublié qu'il porte une cravate et de s'en apercevoir seulement à ce moment. Il la défait à partir du col avec quelques simagrées, l'étire comme pour effacer toute trace du noeud, semble ne pas savoir qu'en faire, la roule finalement en boule avant de l'envoyer à la main en direction du public. Il enlève alors sa chemise, la fait tournoyer autour de l'un de ses doigts, considérant qu'il y est plus habile qu'en utilisant la baguette, pour l'envoyer dans la même direction.
Ses copines constatent alors que cela fait pas loin de 30 minutes qu'il a démarré son strip-tease.
Il hésite entre se débarrasser des accessoires avant ou après le boxer, et opte pour les conserver jusqu'à la fin.
Il tourne le dos au public, baisse son boxer afin de faire apparaître ses fesses, continue quelques pas de danse avant de le mettre à mi-cuisse. Puis il se retourne en prenant son chapeau de sa main libre pour le positionner devant ses parties génitales. A l'aide de sa baguette il fait descendre son boxer, puis tomber sur le sol, le ramasse sans se baisser, le soulève et essaie de le faire tournoyer très légèrement malgré son inexpérience au bout de sa baguette pour l'envoyer en direction de ses copines.
A la fin du morceau, il salue, en écartant son chapeau, dévoilant ainsi toute son anatomie. Ses copines l'applaudissent. Il se redresse alors et leur envoie élégamment son chapeau ; quant à la baguette, ne sachant pas encore la faire jouer entre ses doigts, et ne voulant pas risquer de blesser quelqu'un, il se contente de la laisser tomber par terre.
Il s'est écoulé près de trois quarts d'heure. Ses copines le félicitent chaudement ... avant de préciser que bien entendu il va falloir travailler tout ça pour améliorer la prestation. Mais que pour une première à l'improviste, c'est parfait.
Il vérifie l'état des lieux, ce qui relance l'hilarité de ses copines. Sindy complète son contrôle entre les jambes en lui confirmant qu'il n'a rien oublié de fermer et Mélanie l'embrasse sur la joue en lui annonçant que seulement maintenant il y a du rouge à lèvres, mais pas sur le col de sa chemise.
- Très drôle, retorque Ginee en englobant la poitrine de sa copine de sa main ... du moins autant qu'il le peut car elle l'a très volumineuse. Tu n'as plus qu'à me lécher pour le l'enlever maintenant !
- Te lécher la joue ? Je ne suis pas un petit chien !
- Tu préfèrerais là où Sindy a mis ses mains ? Mais je ne crois pas qu'elle y ait mis de rouge à lèvres.
- Je préfèrerais, mon doudou, répond Mélanie, provocatrice.
- T'es mignon tout plein comme ça, intervient Fanny. Tu vas voir, ça va attirer les nanas.
- Ecoute mon lapin, on ne se moquait pas de toi, on parlait entre filles, explique Sindy ; mais maintenant que tu es là, on peut te le dire : on est en train de monter une affaire et il nous manque un homme.
Elle laisse un certain temps s'écouler avant d'ajouter :- Un vrai !
Silence radio.
- Tu ne dis rien, interroge Sindy ?
- Je devrais dire quelque chose, questionne Ginee ? Vous ne m'avez encore donné aucune information.
- Les autres mecs à qui on a dit ça on tous aussitôt répondu :"Je suis là" ou "Vous m'avez trouvé" ou " Ne cherchez plus", le plus souvent avec un roulemtn d'épaules ou en bombant le torse comme pour mettre leurs nichons en avant ...
Ginee éclate de rire.
- Qu'est-ce qui te faire marrer, demandent en choeur les trois filles ?
- D'abord je serais plutôt du genre "planche à pain", ensuite vous semblez déçues que je n'aie pas eu la même réaction, mais apparemment vous êtes toujours en recherche !
- On n'est pas déçues, répond Sindy, juste un peu surprises.
- Quoique pas tant que ça, intervient Mélanie. On sait bien que ce n'est pas ton genre de te vanter, ni de foncer sans savoir où tu vas. C'est pour ça que tu nous plais, mon doudou, mais on aimerait bien quand même que de temps en temps tu te livres un peu, que tu montres qu'on t'intéresse.
- Et on aime te charrier, ma puce, ajoute Fanny.
- Mais pour autant que j'aie pu vérifier tout-à-heure, intervient Sindy, tu as largement ce qu'il faut pour être considéré comme un homme. On dit qu'il vaut mieux une petite courageuse qu'une grosse feignante, mais justement pour ce qu'on recherche la grosse feignante nous conviendrait mieux.
Ses deux copines éclatent de rire une fois de plus. A tour de rôle elles plongent la main à l'endroit stratégique pour contrôler que Sindy n'a pas confondu une paire de gants ou on ne sait quel objet avec ce qu'elles recherchent.
- C'est bon, vous voulez pas que je vous la sorte non plus, demande Ginee mi agacé, mi amusé ?
- On n'osait pas trop te le demander, rétorque Sindy. Mais puisque tu le proposes si gentiment ...
Le voilà tombé dans le panneau ! Il aurait mieux fait de se taire ...
- Dites-moi d'abord de quoi il s'agit, répond Ginee. On verra ensuite. Sinon je vais inviter quelqu'un d'autre à danser plutôt que de me faire chahuter par trois fêtardes un peu émêchées.
- Trois super nanas sont peut-être en train de te mettre sur le coup de ta vie, rétorque Fanny, et Môssieur veut faire la fine bouche ! Et pour info, on n'est pas saoûles.
- Elle a une monstruosité, ta quéquête, demande Sindy, pour que tu ne veuilles pas nous la montrer ? Ou alors c'est tes roubignoles qui sont pas de la même taille ? Tes couilles, elles sont molles ? T'as vu, j'ai fait une rime ! T'en as une verte et une jaune ? Ou alors une troisième, toute rikiki ?
Mélanie et Fanny n'en peuvent plus de l'humour de leur copine. Cette dernière se sent presque incitée à en rajouter :- J'ai pas bien senti tout-à-l'heure, c'est surtout ta bite que j'ai touchée. Peut-être que t'en as qu'une.
Les trois furies se tiennent les côtes.
- Remarque, c'est pas grave, il paraît que c'est comme pour la thyroïde ou les reins. Une seule couille suffit.
Et c'est reparti pour un tour de rigolade. Beau joueur, Ginee supporte stoïquement ces moqueries féminines.
- Pour notre affaire, ce serait même un plus, renchérit Fanny ; c'est comme pour la femme à barbe : ça attire les foules.
Lorsque le calme est revenu, et avant qu'une nouvelle répartie replonge ces diablesses dans leur hystérie, Alain leur fait remarquer que les larmes font couler le rimmel de leurs yeux et qu'à leur place il s'abstiendrait de trop en rajouter. Puis il poursuit :- Quand vous aurez fini de vous amuser, mes cocottes, vous me ferez signe : je vais aller danser un peu.
Mélanie le retient en le prenant par le cou.
- Alors, mon doudou, on boude ? On prétend jouer les crâneurs ? On n'a pas le sens de l'humour ? On est trop prude pour montrer sa biroute comme ça aux copines ?
Ce faisant, elle entreprend d'ouvrir elle-même la porte que Ginee maintenait fermée jusqu'alors, tout en commençant à lui expliquer :- Tu as déjà entendu parler d'enterrements de vies de garçons, demande Mélanie ?
- Oui, bien sûr.
- Et d'enterrements de vies de jeunes filles, mon doudou ?
- Aussi.
- Sindy, notre super-commerciale, est en relation avec des personnes qui veulent organiser une fête pour ce genre d'occasion. Le problème c'est que justement ce qui est recherché c'est des hommes, et nous on n'a pas le profil.
- Toi Fanny, avec un bon déguisement ... commence Ginee- Très drôle. C'est vachement sympa de te foutre de ma petite poitrine, mais je te signale qu'il y a des hommes à qui elle plaît.
- Je n'ai pas voulu te blesser, je plaisantais, répond Ginee, en la lui caressant par dessus son chemisier. Je les trouve mignons, tes nichons.
Elle accepte d'autant plus volontiers l'excuse qu'il entreprend de déboutonner son chemisier pour y accéder directement car elle ne porte pas de soutien-gorge, ceci alors que Mélanie a déjà glissé une main dans la fente de son pantalon et trouvé son chemin sous le slip ; il dépose un baiser sur l'un des mamelons de Fanny, ce qui la fait sursauter de plaisir, puis sur l'autre ; les voilà réconciliés. Mélanie en profite pour estimer avec plus de précision les mensurations de Ginee grâce à ses doigts de fée.
- Tu es toujours avec nous, mon lapin, demande Sindy ?
- Tu ne vas nous dire que tu es jalouse, intervient Fanny.
- On l'est toutes les deux, retorque-t-elle sans prendre la peine d'interroger Mélanie qui a d'autres préoccupations.
Ginee déboutonne le chemisier de Sindy, extrait un sein de taille moyenne et de consistance plutôt ferme de son emplacement dans le soutien-gorge et l'embrasse sur le mamelon.
- Tu es plutôt chiche, lui reproche Sindy, comme il est sur le point de le remettre à sa place !
Il le palpe, l'embrasse en divers endroits, s'empare de son autre sein pour éviter la remarque classique relative à la jalousie de ces parties du corps féminin, le palpe de même, l'embrasse à plusieurs endroits. Sindy semble se satisfaire de cette marque de gentillesse, du moins en ce lieu très fréquenté.
- C'est bon, je remballe.
Il se tourne vers Mélanie. Comme elle n'a pas lâché son joujou, il n'hésite pas et dégraphe carrément son soutien-gorge. Sa paire de seins lourds s'affaisse sensiblement sous l'effet de la pesanteur. Mélanie, un peu surprise, lui dit dans l'oreille qu'il exagère, mais se laisse faire avec délectation sous les yeux amusés et intéressés d'un certain nombre de clients de la boîte ; mais elle est fière d'exhiber en public sa poitrine, bien que pas très ferme, d'autant plus que c'est un homme qui s'en charge. Il y consacre plus de temps qu'avec ses deux autres copines, les explore de ses mains, les suce avant de les embrasser, les sent pour s'imprégner de leur odeur.
- Il ne te reste plus qu'à me remettre mon soutien-gorge, mon doudou.
Elle lâche ce qu'elle tenait dans sa main après l'avoir sorti de son emplacement et rendu visible à qui le souhaite, sous les yeux rieurs de ses deux copines. Puis elle enlève carrément son chemisier, se montrant torse nu en pleine boîte de nuit, repositionne sans se presser sur les seins que lui présente Ginee les bonnets destinés à les recevoir, et tourne le dos à Ginee pour qu'il attache son soutien-gorge, en lui précisant à quel cran il doit le faire au cas où il ne l'aurait pas remarqué. Puis elle remet tranquillement son chemisier.
L'opération, bien que courte, a attiré le regard de pas mal d'hommes et de femmes ... et c'est maintenant l'ensemble trois pièces de Ginee qui supporte l'attention de ces voyeurs, frustrés par la rapidité avec laquelle Mélanie s'est rhabillée avec désinvolture.
Ginee comprend le piège que lui a tendu sa copine. Quelle idée a-t-il eue aussi de dégrapher son soutien-gorge !
- Cette fille a du cran quand même, se dit-il ! En plus d'avoir une paire de nibards à attirer les regards de quantités d'hommes et de femmes en quelques instants. Et le voilà maintenant comme un con, la bite et les couilles à l'air !
Sindy s'empare de ses attributs, les explore sous tous les angles, avant de les passer à Fanny qui fait de même. Des photographies sont prises par quelques fêtards, des flashes fusent. Cela donne d'ailleurs des idées à Mélanie qui en profite pour immortaliser la scène.
Ginee commence à trouver le temps long. Fanny interroge Mélanie du regard ; celle-ci lui fait comprendre qu'elle veut aussi explorer les particularités de leur copain à la lumière artificielle, elles échangent appareil photo et costume trois pièces.
Sindy est plus vindicative, plus directe, plus agressive, Mélanie est plus enrobée dans son fonctionnement ; non seulement c'est elle qui a réussi à exhiber le sexe de Ginee, naturellement, sans le forcer, mais elle sait prendre son temps pour le triturer ... et le faire grossir et durcir malgré la situation. Bientôt ses futures associées sont émerveillées de ce qu'elles peuvent observer.
- C'est bien, mon doudou ! Comme ça, on aura vu ta queue au repos et quand tu bandes. Ah ! Tu vaux vraiment le coup d'œil ! D'ailleurs tu attires les foules. Regarde ils prennent même des vidéos ...
- C'est vrai que des comme ça, on n'en voit pas tous les jours, renchérit Sindy. Qu'en penses-tu, Fanny ?
- J'aimerais bien me venger de la plaisanterie de ce fumier, mais je dois avouer que c'est impossible. Je ne savais pas que ça existait, vraiment. Des trois fois plus petites, on en voit en pagaille, mais là ...
- Tu peux la ranger, interrompt Mélanie, sentant que le risque s'accroît qu'ils se fassent virer de l'établissement. Enfin ... mets-la à l'abri, tu la repositionneras quand elle aura repris sa taille normale.
Ginee ne se fait pas prier pendant que ses copines sont de nouveau reparties dans une crise de fou rire.
Lorsqu'elles ont enfin repris leur souffle, Sindy tire sa première conclusion :- Pour résumer il nous faut un mec comme toi, Ginee, qui soit pas trop regardant quand une fille veut un petit plaisir sans pour autant systématiquement chercher à se la faire ... et bien doté par ailleurs. Ses compétences au pieu, on s'en fout, en tous cas dans un premier temps.
Devant l'air hébété de leur copain, Sindy corrige son propos :- Non je plaisante. On ne sait pas si tu sais te servir de ce que tu as entre les cuisses, mais on n'a pas prévu de te le demander.
- Alors vous avez vérifié les mensurations de combien de mecs demande Ginee, amusé par l'attitude de ses copines maintenant qu'il est rassuré d'avoir pu se rhabiller à temps ?
- On n'a pas eu besoin, répond Fanny. Comme on dit par chez nous ...
- Ah oui, din ch'nord, grrrinds dizzeux, petits fezeux, la précède Ginee.
- Te crois pas obligé de caricaturer l'accent du Nord en parlant comme un plouc, rétorque Fanny, mais c'est ça. Ils se sont tous débinés quand ils ont su qu'il fallait se foutre à poil devant des femmes. A croire que ça n'aurait pas été à leur avantage !
Ginee se tient les côtes de rire.
- De toutes façons, poursuit Mélanie, on ne les a questionnés que pour la forme, pour s'entraîner, car ils ne répondent pas au profil. Y a que tirer leur coup qui les intéresse. Ils ne connaissent rien d'autre en matière de sensualtité, ils sont nuls à chier.
Les trois copines attendent que Ginee se soit calmé et en ait profité pour remettre ses attributs en place.
- Alors, qu'en penses-tu, interroge Sindy ?
- Vous pensez que moi, j'ai le profil ?
- Peut-être. Il y a encore des choses à vérifier, lui rétorque Fanny !
- Laisse-nous seules quelques instants qu'on puisse délibérer entre femmes, lui demande Sindy.
Au bout de quelques minutes, elle lui font signe de s'approcher.
Fanny se colle contre lui, pelotant ses fesses d'une main et l'obligeant de l'autre à appuyer sa poitrine contre la sienne pendant qu'elle ondule le haut de son corps.
- Tu as réussi avec succès les premiers tests. Mais il en reste d'autres.
Comme Ginee ne réagit pas, elle lui demande :- Tu ne veux pas savoir lesquels, ma puce, le questionne-t-elle tout en continuant à se déhancher ?
- Je me doute que vous allez finir par mes les dire.
- T'es pas curieux ! Pour un homme, sa queue, c'est primordial, et là-dessus rien à dire : 20/20. Le comportement vis-à-vis des femmes est aussi fondamental pour ce qu'il s'agit de faire, je crois qu'on peut te donner 17/20 ; j'ai insisté pour qu'on enlève trois points à cause de ta remarque déplaisante et sexiste à mon sujet. Mais il faut aussi que tu aies de belles fesses. On veut également voir si tu es à l'aise à poil au milieu de femmes habillées. Et enfin, c'est un rôle d'acteur, quand même ! Qu'en penses-tu ?
- Ça se tient.
- Tu râles pas pour les trois points ?
- Qu'est-ce que j'en ai à foutre de vos points ? Vous vous croyez à l'école, mes chéries ?
Fanny continue à l'exciter.
- Oh, mais tu bandes, ma puce ! Ma poitrine minuscule te ferait donc de l'effet ?
Elle ouvre la chemise de Ginee et son propre chemisier pour que leurs poitrines nues se touchent. Ginee emet des gémissements de plaisir qui transportent Fanny de joie. Elle l'embrasse à pleine bouche et il se laisse faire.
- Tu te la ferais bien, la Fanny qui pourrait passer pour un mec, hein, ma puce ? Avoue !
- Oui, je me la ferais bien, tu vas me retirer combien de points si je te dis pourquoi ? A quel jeu joues-tu ?
- Tu vois que je suis une vraie femme et que je peux me taper quand je veux même un mec comme toi, hein ma puce !
Ginee attend la suite, continue à se laisser faire. Il est clair que ce jeu, elles l'ont décidé à trois, même si c'est Fanny qui a demandé à le jouer pour se venger de la remarque qu'il lui a faite. Après tout, il n'est pas si désagréable ...
- L'essentiel va devoir se vérifier dans un lieu plus tranquille.
Ginee souffle. Il a eu peur un moment qu'elles veuillent l'obliger à se foutre à poil en pleine boîte de nuit.
- Y a juste tes fesses qu'on veut voir tout de suite.
- Ben, vous les verrez quand je me foutrai à poil.
- Tu ignores à ce point la curiosité féminine, s'exclame-t-elle ! On va devoir baisser ta note comportementale ...
- Vous me bassinez avec vos notes, dit Ginee en se dégageant. Si je marche avec vous, j'ai pas envie d'être traité comme un gamin.
- On est curieuses toutes les trois, dit Fanny en reboutonnant son chemisier pendant que Ginee referme sa chemise de son côté, et on veut voir tes fesses main-te-nant.
- Au milieu de la boîte de nuit, demande Ginee ?
- Est-ce que ça t'a gêné de sortir nos seins de leurs emplacements tout-à-l'heure, rétorque Sindy ? Tu ne t'es pas posé tant de questions.
- Trois paires de seins contre un costume trois pièces. Avec une paire de fesses, tu nous seras encore redevable d'une démonstration en public, mon doudou, ajoute langoureusement Mélanie, qui s'est approchée et pose sa langue sur les lèvres de Ginee.
- Tu aimes les petites poitrines, lui glisse dans le creux de l'oreille Mélanie en constatant la bosse à l'avant de son pantalon ?
La justesse de la remarque de Sindy sidère Ginee. Il laisse Mélanie défaire son pantalon et le baisser, ainsi que son slip. Elles le font se courber, se redresser, tâtant à chaque fois la fermeté de ses fesses et la jugeant globalement insuffisante.
Fanny tient sa revanche.
- Alors, ma puce, heureusement que ça peut s'arranger par des exercices parce que ce n'est pas très brillant. Comme Mélanie me l'a fait remarquer, il y a bien pire, c'est sûr. Mais on ne recrute pas le pire.
- Il a quand même de très belles fesses, intervient Mélanie : petites, pas du tout flasques, assez rondes, régulières. Et quand on le fait se courber, elles deviennent parfaitement fermes. On en mangerait !
- Oui, mais on ne va pas le faire déhambuler comme un vieillard, insiste Fanny.
- Rhabille-toi, mon lapin, intervient Sindy en riant.
Ginee obéit sans tarder.
- Bon, alors, il faut vous mettre d'accord, les nanas. Mes fesses vous conviennent ou pas ?
- Ne te vexe pas, mon lapin, répond Sindy. Elles peuvent nous convenir, mais il va falloir que tu fasses des exercices pour les raffermir.
- Tout comme les femmes font des exercices pour raffermir leur seins, mon doudou, explique Mélanie en le regardant droit dans les yeux.
Comme elle vient de le défendre, il n'en profite pas pour lui balancer qu'elle en aurait autant besoin que lui, sinon plus.
- On les fera ensemble si tu veux : moi pour mes seins et toi pour tes fesses ; comme ça, ça nous stimulera.
Ginee se demande si Melanie n'est pas en train de chercher à le provoquer en vue d'avoir une partie de jambes en l'air avec lui. Sa poitrine, même manquant un peu de fermeté, lui fait vraiment envie et il a bien l'impression que sa queue, elle aimerait bien en faire son ordinaire.
Les quatre complices se retrouvent chez Sindy pour une autre vérification avant le casting proprement dit, qui aura lieu un autre jour.
A peine sont-ils arrivés que Ginee est prié de se dévêtir intégralement.
Sindy met de la musique en fond sonore. La seconde partie de la soirée commence naturellement ; ils s'installent, Sindy montre à Ginee où se trouve le bar et lui demande de servir tout le monde pendant qu'elle apporte fruits secs et biscuits apéritifs. Il s'assied entre deux filles, qui de temps en temps posent une main sur ses cuisses ou même tripotent mine de rien son sexe tout en discutant. Ginee se laisse faire et discute aussi naturellement que s'il était habillé.
Elles lui expliquent la répartition des rôles, selon les compétences de chacune : Sindy sera la commerciale du groupe, chargée de la promotion, des recherches de clientes, des relations avec les clientes et en général l'extérieur, et s'il le faut de l'animation des soirées. Mélanie sera la photographe car pour pouvoir faire une bonne promotion, il faut des photographies de qualité ; elle prendra aussi des clichés qui pourront ensuite être vendus aux participantes. Fanny sera la maquilleuse ; même si Ginee croit ne pas en avoir besoin, il faudra le maquiller, différemment selon les circonstances ; elle sera aussi son habilleuse, car il est hors de question que Ginee se présente en jean ; mais tout ceci sera discuté après la séance de casting.
Pour la rémunération, elles ont décidé d'être généreuses en laissant 40% des recettes nettes à Ginee pour se partager les 60 autres pourcents, à parts égales ; autrement dit, Ginee touchera deux fois plus qu'elles simplement parce qu'en plus de sa prestation, ses copines tiennent compte de ce qui sera exigé de lui, à savoir qu'il s'exhibe nu et qu'il obéisse en général à ses trois copines. Par recettes nettes, elles entendent les sommes qui restent après avoir déduit les frais, qu'ils soient de costumes, de maquillages, de transports, de communications (téléphone, etc.), ... et quand l'affaire fonctionnera bien d'impôts et de gestion (comptabilité, création d'un site Web, etc.).
Ginee comprend qu'elles ont étudié leur affaire, qu'il ne s'agit pas d'un simple jeu pour émoustiller leur libido. Au cours de la dernière partie de cette conversation, ses camarades peuvent constater qu'il oublie très facilement sa nudité, ce qui les satisfait.
Lorsqu'il semble qu'ils aient fait le tour des questions à aborder, Mélanie suggère qu'on se mette à danser un peu. Les filles tombent d'accord pour changer de style toutes les 2 ou 3 danses ; et pendant que Ginee alterne ses partenaires, toujours dans la même tenue, celles qui restent assises en profitent pour faire le point de la situation et pour tester ses réactions en cas de surprises, telles que par exemple lorsqu'elles passent à une danse des canards, l'embrassent inopinément, le masturbent, se collent contre lui au cours d'un slow.
Bien entendu, pour des danses dans lesquelles ce n'est pas par le bras que le cavalier doit guider sa partenaire mais par le mouvement de son corps, et donc nécessitant que les deux corps se touchent, telles que le tango, les valses anglaise ou viennoise, le quick step, la bachata, le zouk ou le merengué, les filles observent particulièrement le comportement de leur camarade pour voir comment il s'en sort. Par moments, elles voient son phallus se dresser sans qu'il semble le moins du monde gêné.
De temps en temps, la danseuse profite de certains mouvements pour lui triturer le sexe ; il se laisse bien volontiers faire sans jamais chercher à faire les premiers pas en vue d'avoir avec l'une d'elle une véritable relation sexuelle.
Elles font une pause pour discuter de nouveau, de choses et d'autres.
Mélanie, le plus joueuse des trois, s'amuse même à glisser des aliments dans son corsage pour demander à Ginee de venir les chercher sans les mains, puis entre des orteils, ce qui l'oblige à s'agenouiller ; lorsqu'il a fini, elle fourre ostensiblement une olive à l'intérieur de sa vulve par dessous sa jupe, la ressort et la lui tend entre ses doigts placés au niveau de ses genoux.
- C'est bon, mon doudou, lui demande-t-elle ?
Il ne répond pas, mais cela inspire Fanny, qui a du coup l'idée d'enfourner un long biscuit à moitié dans son anus sans pour autant enlever son slip et de demander à Ginee de venir le lui retirer sans s'aider des mains pour le manger en entier. Il satisfait tous les caprices de ses complices.
Satisfaites, elles décident de mettre fin à cette expérience, et rendez-vous est pris pour le casting proprement dit, c'est-à-dire une première simulation de strip-tease.
A son arrivée pour cet essai, elles lui demandent de troquer en leur présence ses habits pour une tenue complète qu'elles lui ont préparée sans l'en avertir au préalable. Elle comporte un boxer, une chemise noire, une cravate, une paire de chaussettes, des chaussures de ville, un pantalon de ville dont la braguette se ferme au moyen de boutons, une ceinture, un gilet, un chapeau et une baguette ou sorte de canne pour dandy des années 1900. Ginee est admiratif envers Fanny qui est supposée avoir été la costumière - même si elle a peut-être été aidée par ses deux camarades ; en effet ses habits lui vont plutôt bien alors qu'il ne se souvient pas qu'elle ait pris la moindre mesure de lui ... à part peut-être de son intimité à l'aide de sa main qu'elle a déplacée, donc très approximativement, ainsi qu'en constatant qu'elle ne pouvait entourer sa verge avec ses doigts. Mais pour le reste, elle doit vraiment avoir l'œil très exercé, pense-t-il.
Après qu'il ait revêtu sa nouvelle tenue, elles lui demandent d'improviser un strip-tease sur un air de musique qu'elles passent sans attendre. Il dispose du temps qu'il veut, au besoin la musique sera re-jouée ou une autre dans le même style ou un autre la continuera. Il ne doit donc surtout pas faire en sorte d'avoir fini à la fin du morceau. Ginee comprend que, s'agissant de la prestation essentielle sur laquelle ses copines comptent s'appuyer, il doit au moins tenir 15 à 20 minutes, voire 30, ce qui est très long.
La musique est une valse lente. Il fait face au public, se promène de long en large en dansant suivant une chorégraphie de danse country en ligne pour valse lente sans partenaire ; il essaie d'être élégant, d'avoir des mouvements amples.
Il a lu sur internet entre sa rencontre avec ses copines et ce casting que terminer un strip-tease par les chaussettes, "ça ne le faisait pas". Il hésite donc entre la canne, le chapeau et les chaussures ; il n'a pas beaucoup de temps pour se décider car il lui faut quand même enlever des habits. Il calcule mentalement que cela doit lui faire 12 accessoires, dont il doit se défaire ; s'il réussit à en enlever environ un toutes les deux minutes, il pourra ainsi tenir presque 25 minutes.
Il commence par délasser une chaussure avec bien du mal car il manque de tomber ; heureusement qu'il s'agit d'une valse lente, il a bien fait de choisir ce type de morceau pour cet "exploit". Au moment où il doit tourner sur son 3ème temps pour changer de sens, il envoie valdinguer sa chaussure droite en direction des filles qui, surprises, sont obligées de s'écarter pour ne pas la prendre sur la figure ; heureusement elles ont fait place nette dans la pièce pour éviter tout accident, ce qui fait que rien ne risque d'être cassé. Il recommence avec sa seconde chaussure lors d'un autre changement de direction. Rien dans la pièce ne lui permet d'évaluer le temps ; ses copines ont dû faire exprès de retirer tout moyen pour lui de s'en faire une idée, ce qui montre l'importance qu'elles accordent à la façon dont il saura ne pas trop se presser.
Effectivement, elles sont époustouflées de constater qu'au bout de 5 minutes, il n'a toujours enlevé que ses deux chaussures sans que la tension ait pour autant diminué, sans perte d'intérêt pour la prestation qu'il est en train d'accomplir. Sa façon de se tenir est élégante, d'autant plus surprenante qu'elles l'ont pris de court. Elles décident de continuer avec ce type de musique.
Les chaussettes volent moins loin que les chaussures, bien que Ginee ait eu l'idée d'utiliser sa baguette pour finir de les enlever et pour les envoyer en direction du public. Il a réussi à faire durer la portion de séquence presque aussi longtemps, pense-t-il, que celle consacrée aux chaussures.
Il passe ensuite au déboutonnage de son gilet, en mimant un excès de chaleur, ce qui fait sourire ses copines. Pour l'enlever tout en dansant il s'avère finalement moins habile que pour ses chaussettes ; et c'est surtout pour l'envoyer à l'aide de sa canne qu'il rate complètement son coup, ce qui cause l'hilarité de ses camarades. Au lieu de se reprendre, il laisse le gilet là où il est tombé et continue sa prestation. Il estime avoir duré pour l'ensemble à peu près trois fois le temps utilisé pour les chaussures.
De leur côté ses "manageresses-recruteuses" sont heureuses de constater que loin de se précipiter il a su à la fois prendre son temps, faire durer le plaisir, imaginer intelligemment, faire preuve d'humour, s'adapter en cas d'échec. Environ 15 minutes se sont écoulées, avec un tel gars, leur équipe n'aura pas à craindre la concurrence, d'autant plus qu'elles savent qu'il acceptera de rester le temps qu'il faudra après le strip-tease proprement dit, à la différence de ce qui se passe lorsque l'on fait appel à des entreprises composées de professionnels, lesquels partent dès leur effeuillage réalisé.
Pour éviter de lasser le public, elles décident de changer de musique, qui se tranforme en un rock saccadé. Ginee sait que sur toute musique il y a deux façons de la danser : le rythme le plus fort (le plus bruyant) - en général le plus rapide - et le rythme de basse - qui nécessite plus de concentration pour l'entendre car beaucoup moins fort - souvent deux fois plus lent ; c'est ce dernier qu'il adopte pour poursuivre sa prestation ; il peut ainsi éviter de se précipiter, et donc continuer à se concentrer sur son auto-déshabillage.
Il commence par enlever la ceinture de son pantalon, la faire tournoyer comme un lasso, avant de la lancer également. Puis il regarde attentivement ses copines cmmme pour tenter de captiver leur attention tout en défaisant un à un chaque bouton de sa braguette. Il choisit un changement de rythme du morceau pour ouvrir le bouton qui maintient encore son pantalon et le laisser tomber en mimant un air stupide. Avec sa baguette il s'en débarrasse, pied après pied , ... et pour ne pas risquer le même ridicule qu'avec son gilet, il l'envoie en l'air d'un coup de pied.
Le boxer moule parfaitement la forme de son penis, ce qui satisfait ses camarades. La présence de la chemise rend cette vision épisodique ; il la déboutonne lentement en commençant par le bas avec des mouvements de sourcils complices, destinés à susciter des cris d'hystérie dans une salle comportant des femmes ne l'ayant pas encore vu nu ; il se trouve que ce n'est pas le cas ... Les boutons des manches doivent aussi être déboutonnés. Ginee fait semblant d'avoir oublié qu'il porte une cravate et de s'en apercevoir seulement à ce moment. Il la défait à partir du col avec quelques simagrées, l'étire comme pour effacer toute trace du noeud, semble ne pas savoir qu'en faire, la roule finalement en boule avant de l'envoyer à la main en direction du public. Il enlève alors sa chemise, la fait tournoyer autour de l'un de ses doigts, considérant qu'il y est plus habile qu'en utilisant la baguette, pour l'envoyer dans la même direction.
Ses copines constatent alors que cela fait pas loin de 30 minutes qu'il a démarré son strip-tease.
Il hésite entre se débarrasser des accessoires avant ou après le boxer, et opte pour les conserver jusqu'à la fin.
Il tourne le dos au public, baisse son boxer afin de faire apparaître ses fesses, continue quelques pas de danse avant de le mettre à mi-cuisse. Puis il se retourne en prenant son chapeau de sa main libre pour le positionner devant ses parties génitales. A l'aide de sa baguette il fait descendre son boxer, puis tomber sur le sol, le ramasse sans se baisser, le soulève et essaie de le faire tournoyer très légèrement malgré son inexpérience au bout de sa baguette pour l'envoyer en direction de ses copines.
A la fin du morceau, il salue, en écartant son chapeau, dévoilant ainsi toute son anatomie. Ses copines l'applaudissent. Il se redresse alors et leur envoie élégamment son chapeau ; quant à la baguette, ne sachant pas encore la faire jouer entre ses doigts, et ne voulant pas risquer de blesser quelqu'un, il se contente de la laisser tomber par terre.
Il s'est écoulé près de trois quarts d'heure. Ses copines le félicitent chaudement ... avant de préciser que bien entendu il va falloir travailler tout ça pour améliorer la prestation. Mais que pour une première à l'improviste, c'est parfait.
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