Titre de l'histoire érotique : Changement de régime - Partie 05 : Sylvie - histoire érotique

Le réveil est pénible, surtout pour Daniel. Nadine sait qu'elle va pouvoir se
recoucher après le départ de son mari et des enfants. Jean-Louis est à son compte et
n'a pas de rendez-vous, il continue à dormir ; de toutes façons il vaut mieux pour
l'instant qu'il ne se montre pas.

Nadine et Daniel se répartissent les tâches comme d'habitude pour préparer les
enfants. Nadine aurait pu lui faire gagner une demie heure de sommeil – ce qui aurait
accru son temps de sommeil en le faisant passer d'une heure à une heure et demie – en
s'occupant exceptionnellement seule des enfants puisqu'elle va pouvoir dormir après
leur départ, mais elle ne l'a pas proposé.
Daniel doit aussi se préparer pour aller travailler ; il n'a pas faim et se contente
du café.

Après avoir déposé Charlotte et Nicolas, il se rend sur le lieu de son travail. Il a
du mal à se concentrer, doit absorber des doses massives de café fort pour se
maintenir éveillé.

Il n'a pas envie de revivre la même chose avec chacun des trois autres amants de sa
femme les nuits qui vont suivre, ils n'y résisterait pas.
Il téléphone à Sylvie et lui propose de la retrouver le soir-même. Elle accepte sans
discuter.
- Enfin, se dit-elle !
Il a décidé de passer la nuit avec elle et de laisser Nadine se débrouiller seule avec
les enfants. Il verrait bien à son retour comment ça se passerait, mais dans
l'immédiat il lui faut récupérer. Le problème c'est que Sylvie va espérer autre chose.
Il va commencer par dormir pendant la pause du déjeuner, cela doublera son temps de
sommeil. Ensuite il tentera un compromis avec Sylvie : passer la nuit avec elle, mais
pour la première fois, rester sages.

Les collègues de Daniel ne manquent pas de remarquer la difficulté qu'il a à maintenir
son attention. Les plaisanteries fusent, surtout l'après-midi après avoir constaté le
besoin qu'il a eu de remplacer son repas par du repos.


Sylvie s'est mise sur son trente et un. Elle est heureuse que Daniel ait pris
l'initiative de l'appeler, et elle espère vivement que pour cette seconde fois, il ne
vas pas repartir pour la nuit. Elle a retardé l'heure du rendez-vous pour avoir le
temps de faire quelques courses ; ce n'est pas comme lorsqu'elle a absolument voulu
"se le faire", maintenant son objectif a changé : elle veut instaurer entre eux une
certaine régularité. Elle a donc préféré le voir une ou deux heures plus tard, le
temps pour elle de lui préparer quelque chose de spécial après avoir effectué
rapidement deux ou trois courses en ayant quitté son travail exceptionnellement un peu
plus tôt ; au contraire il sera bien obligé de rester plus tard et peut-être que ...
Cette demande de Sylvie arrange finalement Daniel, qui trouve un parking et y arrête
sa voiture pour y faire un somme de deux heures. Il se fait réveiller par une des
sonneries de son téléphone mobile. Ainsi quand il arrive chez Sylvie il se sent en
bien meilleure forme. Il a même pu trouver le moyen de lui acheter un bouquet de
fleurs.

Sylvie apprécie le geste. Est-il ou pas de bon augure, elle n'en sait encore rien.
Il l'embrasse tendrement, la complimente sur sa tenue, ne cherche pas à la déshabiller
ou la conduire trop rapidement à une partie de jambes en l'air.
- Plutôt bon signe, se dit Sylvie. Et il n'est pas non plus venu pour rompre, sinon il
n'aurait pas été aussi tendre.

Ils prennent le temps de prendre l'apéritif que Sylvie a préparé, assis l'un à côté de
l'autre, échangeant des gestes complices, des baisers, des caresses. Il éteint son
téléphone.
- Celui-là a besoin de câlins, se dit Sylvie, cela tombe bien, je vais lui donner ce
qu'il est venu chercher.
Elle le déshabille lentement en le chouchoutant, se laisse elle-même dévêtir en
douceur.
Il l'embrasse dans le cou, derrière les oreilles pendant qu'elle lui saisit les fesses
et frotte ses seins contre sa poitrine.
- Je t'ai préparé un bon petit dîner.
- Je vois ça ; tu as eu le temps ?
- Sachant que tu venais, j'ai fais ce que j'ai pu pour t'accueillir de mon mieux, mon
trésor.
- Tu es merveilleuse !
Sylvie glousse de plaisir. Elle ne veut pas risquer de perdre son avantage en lui
reprochant d'avoir mis du temps à s'en apercevoir.
- Si on faisait une petite pause pour manger et reprendre ensuite où nous en étions
...
Daniel a bien compris où Sylvie veut en venir ; cela tombe bien, il fera semblant
d'accepter ... ou il lui fera ce plaisir au dernier moment, il verra. De toutes façons
il n'est pas pressé ; et que Sylvie soit moins gourmande de sexe que la première fois
l'arrange ... sauf si elle tente de se rattraper au cours de la nuit !

Et puis il trouve l'idée de manger nus excitante.

Ils en profitent pour se faire des papouilles, pour manger salement et se lécher un
peu partout. Sylvie est aux anges quant à la tournure que prennent les événements. Au
lieu de saucer son assiette, Daniel y fait plonger un sein de Sylvie puis le lèche.
Arrivés à la salade, elle s'en enfonce une feuille dans son antre et Daniel s'en
empare de ses lèvres. Aucun des deux ne boit directement dans son verre, mais chacun
passe par l'intermédiaire de la bouche de l'autre.
Au dessert, Sylvie apporte une crème glacée ; elle demande à Daniel de se lever,
approche le plat de son pubis de son amant, y trempe le pénis qui en sort et le suce
avec délectation. Puis coquine elle lui annonce qu'elle a des hémorroïdes qui
gagneraient à être traitées par le froid, s'enfonçant dans la foulée un morceau de
glace dans l'anus puis le ressortant pour le tendre à Daniel qui l'engloutit avec
délectation.

Ils rient comme deux gamins, batifolent allègrement.

À la fin du repas, très excités ils se ruent l'un sur l'autre. Sylvie bouscule Daniel
sur le sofa et fait bringuebaler ses seins au-dessus du visage de son amant ; il la
tête tout en pelotant ses fesses. Elle s'amuse à lui enlever son jouet pour le lui
rendre aussitôt ; compte tenu de son état de fatigue, Daniel n'est pas en mesure de
prendre le dessus, et ce jeu pervers dure un bon moment. Elle comprend qu'elle est en
état de maîtriser la situation et en tire parti tant qu'elle peut.
Elle change de position pour se placer tête-bêche par rapport à lui . Elle commence
alors à attraper son pénis avec sa bouche incitant son partenaire à accepter de
pratiquer un 69, au cours duquel elle n'hésite pas à enfoncer un, puis deux doigts
dans l'anus de Daniel. Celui-ci de son côté  complète le mouvement de sa langue –
alternativement sur les lèvres et le clitoris, puis l'intérieur du vagin – par celui
de ses doigts.

Sylvie émet des bruits de plus en plus graves, entrecoupés par des cris aigus.
Brusquement au moment où la langue de Daniel est en train de chatouiller aussi
profondément que possible le vagin de sa partenaire, il reçoit une décharge de cyprine
qui le cloue quelques instants. Sylvie ne l'entend pas de cette oreille.
- Allez, feignant, ce n'est pas le moment de t'arrêter. Encore ! Encore !

Daniel se reprend et procure à sa compagne ce qu'elle attend de lui. Il l'entend râler
de plus belle et reçoit de nouvelles giclées de jus.

Avant même qu'il n'ait eu le temps de réagir, il se retrouve à l'intérieur d'elle ;
elle s'est retournée en deux temps, trois mouvements et le chevauche comme si elle
était sur le point de remporter la compétition spéciale d'équitation de sa vie.

- Qu'elle est belle en sauvageonne, mais qu'elle est belle, se dit-il !
Il lui agrippe les hanches et elle le redresse de force pour le contraindre à lui
sucer les mamelons tout en se faisant baiser par elle.
Lorsqu'elle sent le liquide chaud se répandre en elle, avant que son partenaire ne
s'effondre étant donné son état apparent de fatigue, elle s'écarte de lui et colle
l'entrée de son vagin contre la bouche de Daniel pour le lui faire nettoyer, tout en
maintenant son pénis en l'air afin d'éviter des pertes par-ci par-là.
Puis elle lui replie les jambes pour lui faire approcher le phallus de la bouche de
façon à lui faire pratiquer une auto-fellation. Comme il n'est plus en état, c'est
assez difficile à obtenir, mais elle y parvient cependant en étirant son engin ... du
moins en atteint-il l'extrémité, le gland, il le lèche, le nettoie lui-même comme un
chat ferait sa toilette.

Après quoi, sentant à quel point il est fatigué, elle le laisse s'assoupir pendant
qu'elle débarrasse la table.

Puis elle revient lui faire partiellement reprendre conscience pour le traîner dans un
demi-sommeil dans sa chambre. Elle lui brosse elle-même les dents de peur de le
réveiller complètement et qu'il décide de repartir. Usant de toute son énergie, elle
réussit à le mettre dans son lit et se love contre lui.


Quelques heures plus tard, il se réveille, pris par un besoin pressant.
- C'est l'heure de vérité, pense Sylvie. Mais de toutes façons, il est bien tard pour
qu'il rentre chez lui. Ou bien tôt !
Elle le guide, il revient.
Dans le lit, il la caresse de nouveau. Elle ne va pas refuser cela au milieu de la
nuit !