suite de cocufiages
Récit érotique écrit par harrycovert [→ Accès à sa fiche auteur]
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suite de cocufiages
La semaine a été longue ; pendant les heures de conduite, ça allait, j’étais pris par le boulot, ça demande quand-même de l’attention ,la conduite d’un poids-lourd ;le pire c’était lorsque je me mettais dans la couchette pour dormir.
-Là les images de mon épouse toute nue écartant les cuisses pour recevoir la grosse bite de son amant, où sa jolie bouche qui avalait son gland, ou bien des séances de photos ; je la voyais même s’exhibant tout nue devant une foule excitée !j’imaginais des scénarios ignobles et tout cela me faisait bander ; j’aurais aimé avoir une photo d’elle nue ; mais je pense que Phil va se faire un plaisir de mes les montrer, ces fameuses photos .
-Et dire qu’un bidasse en a reçu dans son courrier ; le salaud a dû se régaler, et je suppose que Phil lui a donné des détails de ses relations avec ma femme !
-Bon, me voici de retour à la maison ; c’est vendredi début d’après-midi, j’espère que ma petite femme est seule que je puisse profiter un peu d’elle ;je somme et j’entre dans notre petit pavillon situé au fond d’un joli lotissement.
-Ma femme est un peu surprise ; oh chéri, c’est toi, je ne t’attendais pas avant ce soir, entre vite ;on s’enlace ;elle est encore en robe de chambre ;j’en profite pour glisser une main dessous ;elle ne porte rien ;je sens la chaleur de ses cuisses t ma main frôle ses petits poils ;humm nos langues se mêlent ;le bonheur ;je prends sa main et la place sur ma braguette pour lui faire sentir mon érection.
-J’ai envie de toi, ma chérie, j’ai envie de te la mettre !
-Tu ne t’es pas branlé assez chéri ?
-oh non seulement deux fois je me suis retenu pour toi !
-Tu n’aurais pas dû ; elle me sourit ; tu sais bien que Phil ne veut plus que tu me la mettes !
-Mais , il n’est pas là, il ne le saura pas !
-Non, je lui ai promis, que tu ne me la mettrais plus chéri ; une promesse est une promesse !
-Tu exagères quand même, tu es ma femme !
-On en a déjà parlé ; juste une petite branlette si tu veux ; il m’a dit que si tu insistais pour ça tu recevrais une bonne correction !
-Tu sais pour les punitions il a promis que tu serais traité sévèrement !
-il a dit que si tu insistais pour me la mettre ce serait une fessée nu, et en public !voilà ce qu’il m’a dit ;il pense que tu désires inconsciemment être humilié ;que tu prendras du plaisir à être soumis !
-Un frisson me saisit ; malgré le ressentiment du fait de ne pas plus pénétrer ma femme une curieuse excitation s’empare de moi ;s’il disait vrai ?..-Tu vois mon chéri, on va s’installer tranquillement sur le lit et je vais te faire une bonne branlette, tu es content ? allez déshabilles toi !j’obéis à ma petite femme, et tout nu je m’allonge sur notre lit ; le lit dans lequel elle s’est fait baiser toutes les nuits !
-Sa main s’empare de ma petite queue, et la voilà qui me fait des petits aller et retour : flic floc flic floc ;je ne mets pas longtemps à jouir, et comme elle en a pris l’habitude elle me fait lécher ses doigts, et déguster mon sperme.
-Il faut que tu t’y habitues m’a dit Phil ; je crois qu’il a l’intention de te faire sucer quelques bites ;
-Tu crois ?qui donc ?
-Oh déjà le copain qui va venir cette semaine peut-être ; on a rendez-vous ce soir dans un bar.
-Le sien ?
-Non, un autre où il a ses habitudes ; quand il veut se détendre il aime bien y aller ; le sien c’est pour le boulot !
-en plus il a ses deux boulangeries à gérer !
-Au fait, il m’a dit qu’il me ferait peut-être faire un peu le service dans son bar !
-Ah bon ?c’est vrai qu’une jolie femme ça attire les clients !
-C’est sa mère qui le tient ; elle a la quarantaine m’a –il dit.
-ça te plait ?j’espère que sa mère ne laissera pas les clients te mettre la main aux fesses !
-Oh tu crois ?
-Bon, tu verras, ce sera à toi de montrer que tu n’es pas une fille facile !(je soupire) !enfin, si on veut !
-Il rentre à quelle heure ? je ferais bien de me rhabiller .
-De toutes façons, rappelles -toi ce qu’il a dit, il va te foutre à poils !
-Pfff. Oui, c’est vrai ; il est dur !
-Et il va t’essayer ta tenue de petite bonne !
-J’espère que son copain ne me verra pas comme ça !La honte !
-mais chéri, tu sais bien que tu aimes ça avoir honte !hihi !
-Oui, entre nous mais pas devant d’autres personnes !
-Je crois qu’il va falloir te faire à cette idée ; il a l’intention de recevoir ; et il m’a confié qu’il aurait besoin d’une petite serveuse !rires !
-Je rougis à l’idée de servir des étrangers habillé en fille !
-Tu crois qu’ il me ferait ça ?On est copains quand- même !
-ça ne l’a pas empêché de te piquer ta femme !
-C’est vrai !
-Elle rit ; allons ne t’en faits pas, même dans la situation la plus humiliante, j’ai l’impression que ça te fera toujours bander ; j’ai raison ?
-Pensif et un peu vexé, je me rends compte qu’elle dit la vérité .
-Mais, qu’est-ce-que je suis en train de devenir ?...
-J’entends une voiture ; c’est lui lance Thérèse toute contente ;bien sûr son amant revient !
-Il entre, tiens tiens, fait-il en me voyant, le petit cocu est de retour ; déjà là ?
-Tu t’ennuyais de ta femme où de moi ?il rit.
-Bon, on commence par quoi ? Une petite turlute ça te dit ?devant ta femme !
-Je rougis, ne sachant que répondre ;sauf :euh euh… !
-Bon, on a dit à poils, pour commencer ; déshabille toi entièrement ; au fait Thérèse, ouvre ce colis ; il désigne une boite en carton ;dedans il y a une caméra vidéo , c’est tout nouveau ,ça filme, je vais te montrer, c’est très simple à utiliser ;effectivement, après quelques explications, Thérèse prend la caméra en main ;je fais quoi, demande-
- t-elle un peu bêtement.
-Et bien tu filmes ton cocu pendant qu’il me suce ; mais déjà filme son strip-tease ; il rit !
-tête basse je me déshabille ; j’enlève tout ? même mon slip je demande d’une voix pleurnicharde !
-Il rit, bien entendu, petit couillon ; surtout ton slip je veux voir ta zigounette redresser quand tu auras ma bite en bouche !
-ça y est, je suis tout nu ; il me tend un coussin qu’il vient de prélever de sur le sofa, le jette devant moi ; met-toi à genoux, ouvre ma braguette et sort le morceau !
-Thérèse filme bien, cadre bien sa bouche quand il va prendre ma bite en bouche.
-J’obéis ;je suis à genoux devant lui, devant l’amant de ma femme que je vais devoir sucer en présence de ma chérie, qui me filme, un petit sourire attendri sur ses lèvres.
-Fébrilement, j’ouvre sa braguette, fouille pour extraire sa grosse queue, déjà presque raide.
-Sort les couilles aussi, me lance-t-il tu me les goberas aussi !il rit !
-Allez suce , salope me lance-t-il !
-Je ne peux y échapper, j’ouvre la bouche et engloutit le morceau ;gloup, gloup slurp gloup… humm hupfff slurp gloup ;je suce, je pompe suce, je pompe ;la queue a grossi dans ma bouche ;elle me touche le fond du gosier, me faisant hoqueter !
-Vas-y mon chéri suce bien mon amant m’encourage Thérèse, ça va venir !!!
-Soudain, au bout d’un long moment, je sens un jet qui m’arrive dans la bouche ; il vient de m’éjaculer en bouche .
-N’avale pas tout de suite me lance-t-il ; Thérèse fait un gros plan de mon foutre dans sa bouche !
-Ma femme s’approche pour le gros plan ; j’ouvre le bec ; vas-y, filme !
--ça y est ?bon allez cocu avale moi ça et n’oublie pas de dire : miam
miam, c’est bon devant la caméra !
-Miam miam, c’est bon je fais d’une voix caverneuse, en avalant le foutre !
-C’est très bien les amis, nous allons faire une petite visite à ma mère ;je vais lui présenter ma petite Thérèse et son cocu ;je lui en ai déjà parlé ;ça l’intéresse de faire votre connaissance.
-Nous partons dans la Traction de Phil, c’est moi qui conduit ;Thérèse à l’arrière dans les bras de Phil qui lui caresse négligemment les genoux, un bras passé autour de ses épaule comme un signe de sa propriété ; ce qu’elle est d’ailleurs :sa propriété ; j’ai l’impression qu’il la considère plus comme un objet, voir un jouet à son entière disposition. Il en de même pour moi quoique peut-être à un degré moindre ; cette pensée me fait frissonner de honte…Et bander ;ma femme son jouet !brrrr !!!
-Et comme il est du genre à prêter ses jouets… !
Nous arrivons à son café, situé sur une petite place, le » café des amis »
-Grande vitrine, cinq petite tables, un grand bar, avec les habituelles bouteilles ; pastis, whisky , cognac, calva, rhum, ect..Et la tireuse à bière et à limonade ; pas de client !
-Phil embrasse sa mère, une grande blonde aux yeux bleus, les cheveux coupés très court, vêtue d’un pull et d’un jean serré qui lui moule un cul rebondi ; je remarque que son bisou a frôlé les lèvres de sa mère qui n’a pas réagi ;(curieux) !
-C’est calme fait Phil , pas un client !
-Oh j’ai eu du monde ce matin ; j’ai fait pas-mal de café !
-Ce ne sont pas les cafés qui font le chiffre, c’est plutôt en baisse en ce moment et je vais vous dire pourquoi ma chère mère ; c’est que les clients ne veulent pas être servis par une femme en pantalon !
-Sa mère accuse le coup en faisant grise mine.
-On s’était pourtant mis d’accord !pas de jean !
-Allez va m’enlever ça , file !
-Un peu surpris quand même , on ne moufte pas ;cinq minutes plus tard sa mère réapparaît vêtue d’une jolie robe qui lui arrive aux genoux.
-Tiens, la voilà fringuée en grand-mère maintenant ; tu remontes te changer, et tu mets plus court ; c’est ce que veulent les clients ;une femme habillée court !
La femme fait une drôle de tête ; quand même, devant tes amis murmure-t-elle.
-Ce ne sont pas mes amis rétorque Phil ; Thérèse est une salope et son mari un cocu !alors tu n’as pas a être gênée devant eux !
La femme repart et revient quelques instants plus tard une jolie petite jupe noire sur le cul !
-Voilà , c’est mieux ma chère Françoise ;il appelle sa mère par son prénom ;et voyons ce que tu portes dessous !
-La femme rougit ; tu ne veux quand-même pas que je.. que je…
-Mais si , trousse toi je veux voir ce que tu portes en-dessous, et si jamais tu as mis ce foutu collant je te le fais enlever devant mes invités ;il rit !
-La femme hésite, regarde son fils, puis se tourne vers nous, le visage tendu.
-Clac, la gifle est arrivée, bien plus forte que celles qu’il me donne Thérèse et moi avons même sursauté ; on se regarde ; il va faire trousser sa mère devant nous ;par chance(pour elle )il n’y a que nous.
Le visage rougissant , les yeux baissés, la femme s’exécute ; apparemment ce ne doit pas être la première tarte qu’elle prend de la part de son fils !
Des deux mains, elle soulève la petite jupe : des collants ; garde ta jupe soulevée ;cocu enlève lui ses collants !
6
-Je le regarde, stupéfait .
-Tu en veux une aussi ?
-Non, non ; je le connais !
-Les mains un peu tremblantes je glisse mes mains sous l’élastique du collant et le baisse doucement, découvrant une jolie petite culotte rose qui laisse deviner une forte touffe de poils !
-Le cocu adore les déculottages , lance-t-il ; mais d’habitude c’est sa femme qui se fait déculotter !
-J’ai baissé le collants aux chevilles , j e luis fais levers les pieds, enlève ses escarpins pour lui ôter complètement ;voilà, je rabats la jupe ;je suis aussi rouge qu’elle et je bande !
-Bien, tu vois Françoise pour cette fois je ne te fais pas déculotter , mais garde à l’esprit ceci :pour les clients, une femme vêtue court ça attire !
-Je vais peut-être te prêter Thérèse pour servir, n va voir ça tu la prendras à l’essai, elle pourra dormir avec toi ; il sourit ;enfin ici ce sera plus pratique ;une petite semaine ;je viendrai la voir de temps en temps pour m’assurer que tout va bien et pour la baiser !
-Par contre, Thérèse pourrait porter des bas à résilles et un porte-jarretelle, qu’elle laisserait entrevoir à l’occasion ;ça ça ferait remonter le chiffre d’affaire ; qu’en penses -tu chère mère ?
-je veux bien !
-Tu veux voir comment elle est faîte ?
(ça m’aurait étonné) !
-Pourquoi pas !
-Et bien déshabille –la !
-Je crois voir une petite lueur de satisfaction dans le regard de la femme ; satisfaction et concupiscence, bien sûr !
-Elle aime les femmes et son fils le sait, il vient de lui offrir ma femme en cadeau !
-Elle s’approche de Thérèse qui ne bronche pas ;ses mains sur le chemisier, qui est déboutonné, puis ôté ;elle porte un petit soutien-_gorge pigeonnant qui laisse voir la naissance de ses petits seins ; l’agrafe est vite défaite, les bretelles glissent sur les «épaules de ma femme qui retrouve poitrine nue ;la femme ne peut s’empêcher de lui pincer un téton qui durcit aussitôt ; elle se passe la langue sur les lèvres !
-je regarde vers la porte d’entrée guettant l’apparition soudaine d’un client potentiel ; heureusement personne –Phil a vu mes regard ,il s’amuse ;dommage, pas le moindre client !
-C’est con ça aurait fait de la pub !
-C’est maintenant au tour de sa jupe d’être enlevée, elle est déposée sur le bar avec le corsage et le sous-tif ; Thérèse ne porte plus que sa petite culotte blanche ;la femme n’hésite pas elle passe les mains sous l’élastique et la descend à ses pieds, qu’elle soulève l’ un après l’autre, ma femme est nue !
-Une fois de plus je viens d’assister au déshabillage de ma petite femme chérie, et une fois de plus j’ai la trique, ce qui n’échappe pas à phil !
-Regarde chère mère, le résultat sur notre cocu, et s’approchant de moi il baisse mon jean et mon slip, cul nu, bite à l’air bien dressée !
-Voilà la réaction d’un mari cocu quand il assiste à la mise à poils de son épouse légitime !
-Le meilleur , c’est quoi, cocu ?Répond, vite ;il lève la main.
-Je bafouille ; le.. le déculottage !
-Quand –même surprise la femme me reluque d’un œil égrillard :
-Si tu veux, chère mère après l’épouse je te confierai le mari ; je veux dire le cocu ;je vais le fringuer en petite bonne , on pourrait voir ce que ça donne en public !
-Et toi souviens-toi :jupe courte et comme Thérèse, bas résille, porte-jarretelle ;je viendrais faire un tour ;et si tu veux Thérèse tu pourras la faire servir sans culotte ;ce serait interessant de lâcher une allusion discrète à voix basse, du genre :alors tu n’ as rien dessous aujourdh’ui ?à voix basse mais quand même intelligible, juste pour voir !
-Bon je te la laisse ;prend la en main pour ce soir ,je viendrai la récupèrer demain, ‘j’attends un copain à qui je veux la présenter !
-Bye, et il embrasse sa mère, mais , je n’ai pas rêvé, cette fois-ci juste sur la bouche !
-Cocu, rhabille toi et embrasse ta femme , on y va !-je prends ma petite Thérèse toute nue dans mes bras, lui roule une petite pelle , nos langues se mêlent rapidement(j’ai encore le droit)et nous partons ;j’ai le temps de voir Françoise prendre ma femme nue par les bras et l’entraîner derrière le bar !
-Je crois que ta femme va faire remonter le chiffre d’affaire fait Phil en rigolant !
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-Là les images de mon épouse toute nue écartant les cuisses pour recevoir la grosse bite de son amant, où sa jolie bouche qui avalait son gland, ou bien des séances de photos ; je la voyais même s’exhibant tout nue devant une foule excitée !j’imaginais des scénarios ignobles et tout cela me faisait bander ; j’aurais aimé avoir une photo d’elle nue ; mais je pense que Phil va se faire un plaisir de mes les montrer, ces fameuses photos .
-Et dire qu’un bidasse en a reçu dans son courrier ; le salaud a dû se régaler, et je suppose que Phil lui a donné des détails de ses relations avec ma femme !
-Bon, me voici de retour à la maison ; c’est vendredi début d’après-midi, j’espère que ma petite femme est seule que je puisse profiter un peu d’elle ;je somme et j’entre dans notre petit pavillon situé au fond d’un joli lotissement.
-Ma femme est un peu surprise ; oh chéri, c’est toi, je ne t’attendais pas avant ce soir, entre vite ;on s’enlace ;elle est encore en robe de chambre ;j’en profite pour glisser une main dessous ;elle ne porte rien ;je sens la chaleur de ses cuisses t ma main frôle ses petits poils ;humm nos langues se mêlent ;le bonheur ;je prends sa main et la place sur ma braguette pour lui faire sentir mon érection.
-J’ai envie de toi, ma chérie, j’ai envie de te la mettre !
-Tu ne t’es pas branlé assez chéri ?
-oh non seulement deux fois je me suis retenu pour toi !
-Tu n’aurais pas dû ; elle me sourit ; tu sais bien que Phil ne veut plus que tu me la mettes !
-Mais , il n’est pas là, il ne le saura pas !
-Non, je lui ai promis, que tu ne me la mettrais plus chéri ; une promesse est une promesse !
-Tu exagères quand même, tu es ma femme !
-On en a déjà parlé ; juste une petite branlette si tu veux ; il m’a dit que si tu insistais pour ça tu recevrais une bonne correction !
-Tu sais pour les punitions il a promis que tu serais traité sévèrement !
-il a dit que si tu insistais pour me la mettre ce serait une fessée nu, et en public !voilà ce qu’il m’a dit ;il pense que tu désires inconsciemment être humilié ;que tu prendras du plaisir à être soumis !
-Un frisson me saisit ; malgré le ressentiment du fait de ne pas plus pénétrer ma femme une curieuse excitation s’empare de moi ;s’il disait vrai ?..-Tu vois mon chéri, on va s’installer tranquillement sur le lit et je vais te faire une bonne branlette, tu es content ? allez déshabilles toi !j’obéis à ma petite femme, et tout nu je m’allonge sur notre lit ; le lit dans lequel elle s’est fait baiser toutes les nuits !
-Sa main s’empare de ma petite queue, et la voilà qui me fait des petits aller et retour : flic floc flic floc ;je ne mets pas longtemps à jouir, et comme elle en a pris l’habitude elle me fait lécher ses doigts, et déguster mon sperme.
-Il faut que tu t’y habitues m’a dit Phil ; je crois qu’il a l’intention de te faire sucer quelques bites ;
-Tu crois ?qui donc ?
-Oh déjà le copain qui va venir cette semaine peut-être ; on a rendez-vous ce soir dans un bar.
-Le sien ?
-Non, un autre où il a ses habitudes ; quand il veut se détendre il aime bien y aller ; le sien c’est pour le boulot !
-en plus il a ses deux boulangeries à gérer !
-Au fait, il m’a dit qu’il me ferait peut-être faire un peu le service dans son bar !
-Ah bon ?c’est vrai qu’une jolie femme ça attire les clients !
-C’est sa mère qui le tient ; elle a la quarantaine m’a –il dit.
-ça te plait ?j’espère que sa mère ne laissera pas les clients te mettre la main aux fesses !
-Oh tu crois ?
-Bon, tu verras, ce sera à toi de montrer que tu n’es pas une fille facile !(je soupire) !enfin, si on veut !
-Il rentre à quelle heure ? je ferais bien de me rhabiller .
-De toutes façons, rappelles -toi ce qu’il a dit, il va te foutre à poils !
-Pfff. Oui, c’est vrai ; il est dur !
-Et il va t’essayer ta tenue de petite bonne !
-J’espère que son copain ne me verra pas comme ça !La honte !
-mais chéri, tu sais bien que tu aimes ça avoir honte !hihi !
-Oui, entre nous mais pas devant d’autres personnes !
-Je crois qu’il va falloir te faire à cette idée ; il a l’intention de recevoir ; et il m’a confié qu’il aurait besoin d’une petite serveuse !rires !
-Je rougis à l’idée de servir des étrangers habillé en fille !
-Tu crois qu’ il me ferait ça ?On est copains quand- même !
-ça ne l’a pas empêché de te piquer ta femme !
-C’est vrai !
-Elle rit ; allons ne t’en faits pas, même dans la situation la plus humiliante, j’ai l’impression que ça te fera toujours bander ; j’ai raison ?
-Pensif et un peu vexé, je me rends compte qu’elle dit la vérité .
-Mais, qu’est-ce-que je suis en train de devenir ?...
-J’entends une voiture ; c’est lui lance Thérèse toute contente ;bien sûr son amant revient !
-Il entre, tiens tiens, fait-il en me voyant, le petit cocu est de retour ; déjà là ?
-Tu t’ennuyais de ta femme où de moi ?il rit.
-Bon, on commence par quoi ? Une petite turlute ça te dit ?devant ta femme !
-Je rougis, ne sachant que répondre ;sauf :euh euh… !
-Bon, on a dit à poils, pour commencer ; déshabille toi entièrement ; au fait Thérèse, ouvre ce colis ; il désigne une boite en carton ;dedans il y a une caméra vidéo , c’est tout nouveau ,ça filme, je vais te montrer, c’est très simple à utiliser ;effectivement, après quelques explications, Thérèse prend la caméra en main ;je fais quoi, demande-
- t-elle un peu bêtement.
-Et bien tu filmes ton cocu pendant qu’il me suce ; mais déjà filme son strip-tease ; il rit !
-tête basse je me déshabille ; j’enlève tout ? même mon slip je demande d’une voix pleurnicharde !
-Il rit, bien entendu, petit couillon ; surtout ton slip je veux voir ta zigounette redresser quand tu auras ma bite en bouche !
-ça y est, je suis tout nu ; il me tend un coussin qu’il vient de prélever de sur le sofa, le jette devant moi ; met-toi à genoux, ouvre ma braguette et sort le morceau !
-Thérèse filme bien, cadre bien sa bouche quand il va prendre ma bite en bouche.
-J’obéis ;je suis à genoux devant lui, devant l’amant de ma femme que je vais devoir sucer en présence de ma chérie, qui me filme, un petit sourire attendri sur ses lèvres.
-Fébrilement, j’ouvre sa braguette, fouille pour extraire sa grosse queue, déjà presque raide.
-Sort les couilles aussi, me lance-t-il tu me les goberas aussi !il rit !
-Allez suce , salope me lance-t-il !
-Je ne peux y échapper, j’ouvre la bouche et engloutit le morceau ;gloup, gloup slurp gloup… humm hupfff slurp gloup ;je suce, je pompe suce, je pompe ;la queue a grossi dans ma bouche ;elle me touche le fond du gosier, me faisant hoqueter !
-Vas-y mon chéri suce bien mon amant m’encourage Thérèse, ça va venir !!!
-Soudain, au bout d’un long moment, je sens un jet qui m’arrive dans la bouche ; il vient de m’éjaculer en bouche .
-N’avale pas tout de suite me lance-t-il ; Thérèse fait un gros plan de mon foutre dans sa bouche !
-Ma femme s’approche pour le gros plan ; j’ouvre le bec ; vas-y, filme !
--ça y est ?bon allez cocu avale moi ça et n’oublie pas de dire : miam
miam, c’est bon devant la caméra !
-Miam miam, c’est bon je fais d’une voix caverneuse, en avalant le foutre !
-C’est très bien les amis, nous allons faire une petite visite à ma mère ;je vais lui présenter ma petite Thérèse et son cocu ;je lui en ai déjà parlé ;ça l’intéresse de faire votre connaissance.
-Nous partons dans la Traction de Phil, c’est moi qui conduit ;Thérèse à l’arrière dans les bras de Phil qui lui caresse négligemment les genoux, un bras passé autour de ses épaule comme un signe de sa propriété ; ce qu’elle est d’ailleurs :sa propriété ; j’ai l’impression qu’il la considère plus comme un objet, voir un jouet à son entière disposition. Il en de même pour moi quoique peut-être à un degré moindre ; cette pensée me fait frissonner de honte…Et bander ;ma femme son jouet !brrrr !!!
-Et comme il est du genre à prêter ses jouets… !
Nous arrivons à son café, situé sur une petite place, le » café des amis »
-Grande vitrine, cinq petite tables, un grand bar, avec les habituelles bouteilles ; pastis, whisky , cognac, calva, rhum, ect..Et la tireuse à bière et à limonade ; pas de client !
-Phil embrasse sa mère, une grande blonde aux yeux bleus, les cheveux coupés très court, vêtue d’un pull et d’un jean serré qui lui moule un cul rebondi ; je remarque que son bisou a frôlé les lèvres de sa mère qui n’a pas réagi ;(curieux) !
-C’est calme fait Phil , pas un client !
-Oh j’ai eu du monde ce matin ; j’ai fait pas-mal de café !
-Ce ne sont pas les cafés qui font le chiffre, c’est plutôt en baisse en ce moment et je vais vous dire pourquoi ma chère mère ; c’est que les clients ne veulent pas être servis par une femme en pantalon !
-Sa mère accuse le coup en faisant grise mine.
-On s’était pourtant mis d’accord !pas de jean !
-Allez va m’enlever ça , file !
-Un peu surpris quand même , on ne moufte pas ;cinq minutes plus tard sa mère réapparaît vêtue d’une jolie robe qui lui arrive aux genoux.
-Tiens, la voilà fringuée en grand-mère maintenant ; tu remontes te changer, et tu mets plus court ; c’est ce que veulent les clients ;une femme habillée court !
La femme fait une drôle de tête ; quand même, devant tes amis murmure-t-elle.
-Ce ne sont pas mes amis rétorque Phil ; Thérèse est une salope et son mari un cocu !alors tu n’as pas a être gênée devant eux !
La femme repart et revient quelques instants plus tard une jolie petite jupe noire sur le cul !
-Voilà , c’est mieux ma chère Françoise ;il appelle sa mère par son prénom ;et voyons ce que tu portes dessous !
-La femme rougit ; tu ne veux quand-même pas que je.. que je…
-Mais si , trousse toi je veux voir ce que tu portes en-dessous, et si jamais tu as mis ce foutu collant je te le fais enlever devant mes invités ;il rit !
-La femme hésite, regarde son fils, puis se tourne vers nous, le visage tendu.
-Clac, la gifle est arrivée, bien plus forte que celles qu’il me donne Thérèse et moi avons même sursauté ; on se regarde ; il va faire trousser sa mère devant nous ;par chance(pour elle )il n’y a que nous.
Le visage rougissant , les yeux baissés, la femme s’exécute ; apparemment ce ne doit pas être la première tarte qu’elle prend de la part de son fils !
Des deux mains, elle soulève la petite jupe : des collants ; garde ta jupe soulevée ;cocu enlève lui ses collants !
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-Je le regarde, stupéfait .
-Tu en veux une aussi ?
-Non, non ; je le connais !
-Les mains un peu tremblantes je glisse mes mains sous l’élastique du collant et le baisse doucement, découvrant une jolie petite culotte rose qui laisse deviner une forte touffe de poils !
-Le cocu adore les déculottages , lance-t-il ; mais d’habitude c’est sa femme qui se fait déculotter !
-J’ai baissé le collants aux chevilles , j e luis fais levers les pieds, enlève ses escarpins pour lui ôter complètement ;voilà, je rabats la jupe ;je suis aussi rouge qu’elle et je bande !
-Bien, tu vois Françoise pour cette fois je ne te fais pas déculotter , mais garde à l’esprit ceci :pour les clients, une femme vêtue court ça attire !
-Je vais peut-être te prêter Thérèse pour servir, n va voir ça tu la prendras à l’essai, elle pourra dormir avec toi ; il sourit ;enfin ici ce sera plus pratique ;une petite semaine ;je viendrai la voir de temps en temps pour m’assurer que tout va bien et pour la baiser !
-Par contre, Thérèse pourrait porter des bas à résilles et un porte-jarretelle, qu’elle laisserait entrevoir à l’occasion ;ça ça ferait remonter le chiffre d’affaire ; qu’en penses -tu chère mère ?
-je veux bien !
-Tu veux voir comment elle est faîte ?
(ça m’aurait étonné) !
-Pourquoi pas !
-Et bien déshabille –la !
-Je crois voir une petite lueur de satisfaction dans le regard de la femme ; satisfaction et concupiscence, bien sûr !
-Elle aime les femmes et son fils le sait, il vient de lui offrir ma femme en cadeau !
-Elle s’approche de Thérèse qui ne bronche pas ;ses mains sur le chemisier, qui est déboutonné, puis ôté ;elle porte un petit soutien-_gorge pigeonnant qui laisse voir la naissance de ses petits seins ; l’agrafe est vite défaite, les bretelles glissent sur les «épaules de ma femme qui retrouve poitrine nue ;la femme ne peut s’empêcher de lui pincer un téton qui durcit aussitôt ; elle se passe la langue sur les lèvres !
-je regarde vers la porte d’entrée guettant l’apparition soudaine d’un client potentiel ; heureusement personne –Phil a vu mes regard ,il s’amuse ;dommage, pas le moindre client !
-C’est con ça aurait fait de la pub !
-C’est maintenant au tour de sa jupe d’être enlevée, elle est déposée sur le bar avec le corsage et le sous-tif ; Thérèse ne porte plus que sa petite culotte blanche ;la femme n’hésite pas elle passe les mains sous l’élastique et la descend à ses pieds, qu’elle soulève l’ un après l’autre, ma femme est nue !
-Une fois de plus je viens d’assister au déshabillage de ma petite femme chérie, et une fois de plus j’ai la trique, ce qui n’échappe pas à phil !
-Regarde chère mère, le résultat sur notre cocu, et s’approchant de moi il baisse mon jean et mon slip, cul nu, bite à l’air bien dressée !
-Voilà la réaction d’un mari cocu quand il assiste à la mise à poils de son épouse légitime !
-Le meilleur , c’est quoi, cocu ?Répond, vite ;il lève la main.
-Je bafouille ; le.. le déculottage !
-Quand –même surprise la femme me reluque d’un œil égrillard :
-Si tu veux, chère mère après l’épouse je te confierai le mari ; je veux dire le cocu ;je vais le fringuer en petite bonne , on pourrait voir ce que ça donne en public !
-Et toi souviens-toi :jupe courte et comme Thérèse, bas résille, porte-jarretelle ;je viendrais faire un tour ;et si tu veux Thérèse tu pourras la faire servir sans culotte ;ce serait interessant de lâcher une allusion discrète à voix basse, du genre :alors tu n’ as rien dessous aujourdh’ui ?à voix basse mais quand même intelligible, juste pour voir !
-Bon je te la laisse ;prend la en main pour ce soir ,je viendrai la récupèrer demain, ‘j’attends un copain à qui je veux la présenter !
-Bye, et il embrasse sa mère, mais , je n’ai pas rêvé, cette fois-ci juste sur la bouche !
-Cocu, rhabille toi et embrasse ta femme , on y va !-je prends ma petite Thérèse toute nue dans mes bras, lui roule une petite pelle , nos langues se mêlent rapidement(j’ai encore le droit)et nous partons ;j’ai le temps de voir Françoise prendre ma femme nue par les bras et l’entraîner derrière le bar !
-Je crois que ta femme va faire remonter le chiffre d’affaire fait Phil en rigolant !
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