suite de l'aventure en forêt - histoire érotique

J’ai une meilleure idée, lance le blond ; on va les inviter au resto, on leur doit bien ça, ensuite on ira tranquillement chez eux, je viens de voir les papiers de la caisse dans le porte-feuilles du mari, ils n’habitent pas très loin, à peine une vingtaine de bornes, dans un petit lotissement, je connais le coin ;on va bouffer, ensuite on va chez eux.
-On pourra baiser la petite dame dans son lit ce sera plus confortable, on pourra même coucher avec elle, et son cocu sera plis à l’aise pour mater !
-ouais, bonne idée font les comparses !
-mais avant on va se présenter ; moi c’est Alain, fait le bond, puis voici Marc et Louis , et vous donc :Thérèse et son cocu !ils rient !
-Bon on va chez Jean-Paul, c’est un copain ; j ’espère qu’il n’y aura pas trop de monde !
-En semaine ça va fait Marc !
-Bon le mari prend sa voiture ; ils ont regonflé les pneus, et il nous suit, nous on embarque sa femme, on pourra nous amuser un peu avec pendant le trajet !
-On les rhabille ?
-Ben ,ils ne vont pas aller au restau à poils ;on n’a qu’à remettre sa jupe et son corsage à Thérèse, pas la peine de lui remettre son slip, puisqu’on va la baiser !et le mari on lui remet son froc, sa chemise, mais pas le slip, il sera plus à l’aise pour bander, et puis il n’ y a pas de raison, si sa femme ne porte pas de slip, le mari non plus ;rires !égalité des sexes !rires !
-Le trajet fût assez court, mais je ne pouvais m’empêcher de penser à ma petite femme assise à l’arrière, entourée des deux gaillards qui venaient de la monter : j’imaginais facilement leurs mains posées sur elle , voir en elle !
-c’était exactement ce qui se passait ;Thérèse, jupe relevée, cuisses écartées, livrée aux attouchements les plus osés, ses petits seins sucés, son sexe visité par des doigts qui lui caressaient son clitoris, entraient et coulissaient dans son vagin trempé de mouille et où subsistaient des restes de sperme ;mais ça ne dura que le temps d’arriver au petite restaurant routier tenu par le copain de nos « amis »on fait une entrée remarquée, Thérèse, le visage rouge, encadrée par Louis et Marc qui la serrent de près !
Hello !salut à vous, les gars et à madame ;
- On peut manger ? JP ?
- -pas de problème, je vous apporte la carte !
Pas la peine fait nous un truc rapide, on est pressé !rires
-je vois !vous ne voulez pas faire attendre la petite dame !
-Il a vite pigé, qu’ils avaient ma femme à s’occuper ; sûrement, que sa jupe mal ajustée et son visage rougissant l’ont mis sur la voie !
-il mate ma femme avec insistance ; elle est bien jolie votre copine !un steak frites, ça vous va ?
Parfait ;il nous sert, nous mangeons, j’ai un peu de mal à avaler ;enfin, nous terminons ;pendant le repas j’ai bien vu quelques mains s’égarer sous la jupe de Thérèse ;celle-ci n’a pas bronché !
-avant de partir demande Alain, tu n’aurais pas un appareil photo, on n’a pas pris les nôtres, et nos amis n’ont pas de pellicule , j’ai demandé à Thérèse !
-Si, j’ai toujours ça de prévu, des fois qu’il y aurait un truc sympa ç prendre répond JP en rigolant ;tu sais ici on a parfois des situations marrantes !
Et vous vous voulez prendre quoi ? si ce n’est pas indiscret,
Alain se met à rire ; tiens je vais te montrer ce qu’on voudrait garder en souvenir ; lève –toi mas petite Thérèse !
-Ma femme obéit, un peu surprise, gênée ; je redoute le pire .
-Debout face au tenancier, elle attend ; Alain saisit l’ourlet de sa jupe et le remonte tout doucement.
-Ma femme a un début de réaction pour empêcher son geste, mais Alain lui met une petite tape sur sa main , alors ma femme le laisse faire…
-Et ce qu’il fait ? simplement e relever lentement le bas de sa jupe, très lentement ;JP a compris, alors il braque l’appareil photo sur ma femme qui est devenue toute rouge ;elle sent l’air qui envahit son entre-cuisses !clic ;une photo ; Thérèse est devant lui sa jolie petite chatte à l’air.
-Tiens ta jupe toi-même Thérèse, reste bien troussée comme ça !
-Ma femme prend l’ourlet de sa jupe et le maintient relevé ; plus haut ma chérie, on ne voit pas bien tes poils !
Rires !
Ma femme relève plus haut sa jupe ;ça y- est je bande ;je voudrais bien m’en empêcher, mais c’est plus fort que moi ; et je sens que ce vice ça conditionné nos relations mari et femme pour l’avenir ;voilà :quand on s’amuse avec ma femme, ça m’excite !triste constatation ;il faudra que je m’n explique avec mon épouse qui ne doit pas comprendre mon attitude passive ;elle doit mettre cela sur le compte de ma lâcheté !!!
La patron du resto est sous le charme ;hummm belle petite craquette !
-tourne-toi Thérèse,je pense que notre ami a envie de voir le recto !
-Ma femme se tourne, et nos regards se croisent ; je suis aussi rouge qu’elle et je vois ses yeux qui visent ma braguette tendue ;la honte ;clic une photo de son gros cul tout blanc !
-attend tu n’as pas tout vu lance Alain, je vais te montrer autre chose de cocasse, et il vient vers moi ; frissons !
-déculotte –toi me fait-il !
-quoi ?comment ?pourquoi ? ma voix est rauque.
-je viens de te donner un ordre ;faut-il que je me fâche ?son regard me fixe.
-lâchement je cède, défait la ceinture, baisse la fermeture éclair, et je descends mon froc ;pas de slip ;hop me voici bite à l’air, et elle est toute raide !
-Ohoh, mais c’est mignon, ça !
-c’est le petit mari, je suppose ?
-exact, on devrait dire le petit cocu, avec sa petite bite de cocu, vas-y fait une photo !rires !clic !
-comme ça on a le petit couple !
-vous allez où maintenant, les gars ?
-on va chez eux, en remettre quelques coups à la petite en se faisant sucer préalablement par son cocu !
-Tout un programme ; bon tu peux avoir mon appareil photo, et prend aussi cette pellicule, mais en échange j’aimerais bien avoir quelques clichés !
-tu auras tout, je te filerai les négatifs, tu pourras en refaire !
-C’est tout ? j’aimerais bien profiter un peu aussi de .. euh.. tu comprends ?
On va arranger ça ; on pourra revenir bouffer et je te la laisserai un peu pour t’amuser !Entre-nous ? on a bien vue qu’elle aime ça, pas vrai, Thérèse ?tu as quand –même bien joui, non ?ce n’est pas avec son petit zigouigoui qu’il te donne du plaisir, vrai où non ?
-Thérèse, tête basse murmure :oui, c’est vrai !!!




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