Super remerciement - histoire érotique

A cette époque j'habitais une petite ville de province, dans un petit immeuble de trois étages. Dans cet immeuble le rez-de-chaussée était occupé par une boutique de vêtement pour enfants, moi au premier étage, le second était vide et le troisième étage par Annie. Une femme célibataire avec qui j'avais partagé quelques discussions et rigolades, elle du haut de son balcon et moi sur ma terrasse deux étages plus bas.
Un samedi, en fin d'après midi, Annie vint sonner à ma porte en me disant qu'elle s'était acheté un armoire pour mettre sur son balcon, n'étant pas bricoleuse elle me demandait si je pouvais l'aider à monter l'armoire le lendemain. J'acceptais, ce genre de placard en plastique va vite à monter. Le dimanche matin, réveillé de bonne heure j'enfilais un short pour ne pas sortir nu dehors et je prenais mon café, fumant une cigarette et regardant le paysage. J'avais la chance qu'il y ai un verger juste derrière la maison, puis des champs et au loin des collines. J'entendis la porte du balcon de ma voisine s'ouvrir. Elle aussi appréciait ces moments de calme. Avec la douceur matinale, Annie portait un grand tee-shirt qui s'arrêtait à mis cuisses. Je la saluais. Je pu admirer également ces jolies jambes interminables, vu de deux étages plus bas. Les cheveux rebelles, elle se levait tout juste un mug de café à la main. Doucement la conversation démarra sur le belle journée qui commençait. En me parlant, elle s'était accoudée à la rambarde de son balcon. Ces seins dessinaient deux grosses boules aux travers de son tee-shirt. Quelques minutes plus tard elle leva un pied et le posa sur la rambarde, me laissant voir par dessous son sexe rasé. Je ne su jamais si elle l'avait fait exprès ?
- Pourquoi ne viens tu pas tout de suite pour monter l'armoire ? Me demanda t elle.
- Attends, lui dis je, on se lève tout les deux, on est pas habillé, j'ai juste ce vieux short sur les fesses !!!
- C'est pas grave, viens comme ça !
Ne pouvant refuser une telle invitation si soudaine, je lui répondais :
- Ok mais laisse moi deux ou trois minutes, stp ?
- Tu as raison, viens dans dix minutes, j'en profite pour ranger un peu. A toute à l'heure !
Les intensions de bricolage étaient douteuses ! C'était loin de me déplaire, je passais à la salle de bain, rasage de partout, une douche, je passais un short propre très pratique pour ce qui s'annonçait. Ce short s'arrêtait au dessus du genou, très large et très léger.
Je montais chez Annie. Arrivé devant sa porte, celle ci était ouverte, je sonnais.
- Entre, dit Annie, j'arrive tout de suite !
J'entrais, elle était dans sa salle de bain la porte entre ouverte, le miroir devant le lavabo reflétait une vue magnifique. Entièrement nue face à la glace, elle se faisait un chignon les bras relevés. Me voyant dans le reflet, elle fit semblant d'être gêner et poussant la porte elle me dit de la retrouver sur le balcon, pour l'armoire. C'était une armoire classique en plastique, je déballais les pièces, elle arriva, superbe, un chignon retenait ces cheveux brun et elle portait un petit kimono qui s'arrêtait à mis cuisses, en satin noir avec une petit bordure bleu, c'était très joli.
- C'est pas vraiment une tenue pour bricoler tu sais ? Lui dis je.
- C'est rien, je te passe les panneaux et je te regarde ! Répondit elle.
Évidemment une fois accroupis son kimono ne cachait plus grand chose, dur de ce concentrer sur le montage de cette armoire. Pour la tester, je profitais qu'elle était à genou face à moi qui étais debout. Je levais une jambe sur une chaise, dans cette position elle pouvait voir mon sexe sous mon short, en effet son regard ce fixa entre mes jambes, elle sourit et ce mordilla doucement la lèvre. Quinze minutes plus tard, l'armoire était montée, en finissant de ranger le balcon les 22° à 8h30 du matin m'avaient donné chaud, je demandais à Annie d'aller dans sa salle de bain pour me laver les mains et me rafraichir. Elle m'accompagna, me donna un gant et une serviette de toilette puis me laissant seul dans la pièce tira la porte sans la fermer. Je voyais sa silhouette se refléter dans le miroir, j'en profitais pour baisser mon short afin de lui montrer mes fesses. Je me rafraichissais, m'essuyais et me rhabillais. Annie était rester derrière la porte à me mater tout le temps que j'étais nu.
Je la retrouvais sur le balcon, elle me proposa un café, elle sortit deux chaises pour s'assoir au soleil. Elle était visiblement contente de son nouveau rangement, elle voulait me remercier mais ne savait pas comment. Dans l'euphorie, elle avait desserré les jambes, les pans de son kimono pendant sur ses cuisses découvraient son sexe. Il fallait ce concentrer pour ne pas fixer du regard cette merveille. Le nœud de sa ceinture s'était relâché et laissait parfois entrevoir un sein au gré des mouvements d'Annie. D'un coup elle s'excusa deux minutes, entra dans l'appartement, je l'attendais debout regardant le paysage et me demandant comment aller plus loin avec elle ? Je n'eus pas à chercher longtemps. Elle m'appela de sa chambre. Je la retrouvais et fut surpris par ce que je voyais... D'abord, son kimono était jeter par terre à l'entrée de sa chambre... Ensuite, en entrant et levant les yeux, elle était allongée sur son lit, nue, cinq ou six sex-toys étalés près d'elle.
- J'aurais encore besoin de toi ? Me demanda t elle, écartant les jambes et ce caressant le sexe.
- Je pense avoir deviné ce que tu veux ! J'entrais en enlevant mon short, me plaçant à côté d'elle. Ces jouets, étaient de toutes formes et toutes tailles. J'en choisis un moyen recourbé au bout et orné d'un dauphin pour exciter le clitoris. Je me rapprochais d'elle à genoux, mes doigts caressaient ses lèvres détendues et commençais à passer ma langue sur son sexe ouvert pour faire glisser son jouet. La coquine était déjà trempé, elle se laissait faire en ce pinçant les tétons et gémissant. Je poussais sur le gode pour la pénétrer doucement, elle balançait ses hanches de droite à gauche. Elle me suppliait du regard de continuer.
- Vas y continu, Me dit elle, tu peux mettre plus gros, même !
Je regardais ses jouets à côté, j'en pris un de bonne taille. Imitant un sexe, il faisait 25, 30 cm et 5 à 6 cm de diamètre. Celui la ne vibrait pas, mais compensait par sa taille. Il rentra tout aussi facilement que le précédent. Je n'avais pas besoin de mettre du lubrifiant, la belle coulait telle une source. La voir s'offrir de cette façon m'excitait follement, je lui prenais sa main et l'invitait à me branler, cela eu pour but de rajouter un peu plus de pression dans ma bite. Elle aimait ça, mon gland gonflé de sang était devenu violet. Elle en voulait encore plus, son dernier sex toy étaient en forme de poing fermé. Je lui proposais de la fister moi même.
- Oh oui vas-y, j'adore ça me faire dilater, met du gel et pénètre moi doucement ! me dit elle
- Ne t'inquiètes pas, je vais être délicat. Lui répondis je.
J'enduisais ma main de gel et la pénétra avec quatre doigts pour commencer, j'ajoutais le pouce et forçais doucement pour faire entrée la largeur de la main. Elle poussa un cri de soulagement quand le plus dur était passé, à l'intérieur je refermais le poing et commençais des vas et vient. Annie me révélait son côté coquine sans limite, elle en voulait encore. L'essentiel pour elle était qu'on s'occupe d'elle en la faisant jouir, peu importait la façon, elle voulait sentir quelques chose entre ses cuisses. Prise de spasmes, elle râlait de plaisir, de temps en temps lâchant un petit jet de cyprine. Son lit était trempé. Je sortais un poing délicatement, son sexe dilaté restait ouvert, sa respiration bruillante et rapide. Je la laissait respirer et reprendre ses esprits pendant que je m'essuyais la main et le bras. Toujours à genou près de son corps je me penchais vers son sexe pour la sucer doucement du bout de la langue, tout son sexe était sensible. Elle rampa pour glisser sous moi, sa tête entre mes jambes, un 69 se préparait, elle commença par des petits bisous sur mon membre dressé. Quelle sensation, je me vengeais en passant ma langue sur le tour de ses lèvres. Me redressant je voyais ses jouets sur le lit, j'attrapais le premier venu, des boules de geisha. Elle entrèrent toutes seules, pas besoin de forcer, elle appréciait. Annie avala mon sexe d'un seul coup, je me penchais à nouveau sur son sexe, prenant au passage son vibro-masseur que je lui passait à l'entrée du vagin et lui suçant son clitoris. A ce rythme, je ne pourrais pas me retenir longtemps, une vraie gloutonne qui savait jouer avec sa langue. Je sortais de ce 69 et lui présentais mon sexe en me masturbant, elle se plaça en dessous la bouche grande ouverte en tirant la langue, prête à me recevoir. Elle me regardait et ce masturbait également. J'éjaculais au dessus de son visage visant sa bouche, elle avala immédiatement mon sexe pour récolter tout mon sperme, suçant, aspirant, avalant tout ce qu'elle pouvait récupérer. Elle me rendit mon sexe aussi propre qu'au départ, elle avait tout avaler, un large sourire illuminait son visage. Annie se caressait, les seins, le sexe, se léchait les doigts. Je la pris dans mes bras et l'embrassais tendrement, quelques secondes qui parurent une éternité.
Nous allions tout les deux prendre une douche, debout dans sa baignoire pour commencer. Nos mains pleines de savon sur le corps de l'autre... Puis glissant vers le sexe de l'autre, on se retrouvait rapidement à genoux face à face masturbant l'autre. Elle m'avait tellement excité la première fois que je me sentais capable d'éjaculer une nouvelle fois. Quelques minutes plus tard, je venais le premier, comme c'était elle qui me tenait je n'ai pas su ou ça partait, elle sentait mon sperme sur sa main. Elle insistait pour que je n'arrête pas de la doigter, je glissais un troisième doigt dans son vagin. Elle venait à son tour quelques instants plus tard. Une nouvelle douche s'imposait.
Après ce début de matinée, on décidait de passer la journée ensemble, comme il faisait beau et chaud, nous sommes resté un long moment nu chez elle, s'effleurant et ce caressant mutuellement dès que l'occasion ce présentait. Nous sommes sorti en milieu d'après-midi, la ville était calme ce dimanche et la soirée ensemble également. Nous n'étions pas un vrai couple, elle ne voulait rien changer à sa vie, mais cela n'empêchait pas de passer de temps en temps des moments autrement qu'entre copains ou entre simple voisins. Une chose est sure, c'était vraiment un super remerciement.