Une touriste delaissée
Récit érotique écrit par Agraffe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une touriste delaissée
Par cette belle et chaude journée de juillet, je décidai d'aller chercher un peu de fraîcheur au bord d'une rivière près de chez moi. De quoi pique-niquer et quelques livres pour passer l'après-midi, arrivé sur le parking, je remarquai un camping-car. L'endroit était connu pour son côté sauvage, tranquille et retiré de la route. Après une dizaine de minutes de marche, je m'installai à mon endroit favori, au bord de l'eau. Je vis un couple à quelques mètres de là, sûrement les propriétaires du camping-car. Sur le moment, je n'y accordai pas d'attention et décidai de me baigner. Sorti de l'eau, je mangeai un peu, puis fis une petite sieste à l'ombre des arbres. Le couple d’à côté ne se parlait pas. De temps en temps, ils regardaient dans ma direction, surtout la femme. Elle avait la cinquantaine, brune aux cheveux très longs, mince avec une superbe poitrine. Le bruit de l'eau, des oiseaux et des cigales avait quelque chose d'envoûtant. Pour bronzer nu, je me cachai un peu du couple en me mettant à l'abri d'un buisson.
Soudain une dispute ternit l'ambiance. La femme reprocha à son mari de la laisser, pour aller pécher. Je me redressai sur les coudes et j'aperçus effectivement l'homme s'éloigner avec son matériel et abandonner sa femme sans la regarder. Il faisait chaud. L'eau fraîche de la rivière m'appelait. Peut importait qu'il y ait quelqu'un à côté, je partis à nouveau me baigner, nu cette fois-ci. Je fis quelques longueurs dans le bassin naturel de la rivière.
La femme assise sur un rocher, maudissait toujours encore son homme. En nageant, je passai près d'elle et lui dis :
- Faut voir le bon côté des choses. Il va vous ramener le dîner de ce soir !
- Même pas ! Il part tout le temps et me laisse seule.
Et quand il revient, il n'a rien attrapé !
Je me demande bien ce qu'il fait tout ce temps !
J'eus un flash, un vieux fantasme. Et si c'était là, l'occasion de le réaliser ?
La rivière, une femme seule, son mari absent...
- Profitez de cet endroit merveilleux ! Venez vous baigner, l'eau est bonne, l’invitai-je.
- Oui, vous avez raison.
Elle vint me rejoindre dans l'eau, où nous fîmes connaissance en barbotant.
- Vous vous baignez souvent nu devant des femmes que vous ne connaissez pas ? me demanda-t-elle.
- Non, c'est la première fois, lui avouai-je, ajoutant,
Enfin, devant une inconnue. Sinon, me baigner nu, cela m'arrive de temps en temps.
Ça vous gêne que je sois nu ?
En sortant de l'eau, elle me répondit :
- Pas du tout, j'aime regarder un homme nu. Surtout depuis que mon mari ne me touche plus.
Elle enleva son maillot de bain, debout sur un rocher et entièrement nue elle aussi, me demanda :
- Est ce que je suis moche, au point de ne plus me désirer ?
- Non, non ! Bien au contraire ! Vous êtes ravissante !
L'eau ruisselait encore sur son corps. Une goutte perlait sur le bas de chacun de ses seins, ses tétons pointaient durcis par l'eau fraîche. Ses hanches, son bassin bien dessiné, son sexe entièrement rasé, me donnèrent des envies de sexe. Elle commença à se caresser doucement les seins en me regardant. Ses mains descendirent sur son ventre, ses fesses. Elle s'assit devant moi, jambes écartées, ses doigts effleurant son sexe.
- Baise-moi ! m'ordonna-t-elle. Ça fait trop longtemps que je n’ai pas fait l'amour.
M'approchant d'elle, je l'embrassai fougueusement, puis descendis vers son sexe ouvert. Ses lèvres ressorties, elle se laissa faire, n'attendant que ma langue. J'adore le cunnilingus. Je la fis jouir une première fois.
- Prends-moi, j'ai envie de toi ! me dit-elle.
Elle se retourna et à quatre pattes, prête pour une levrette, me tendit ses fesses et son sexe. Elle gémit sous mes coups de boutoir. Nous changeâmes plusieurs fois de position, passant sur le dos, sur le côté, dessus, dessous...
Cette femme était réellement en manque de sexe. Ça se sentait. Elle aimait mon sexe dur dans son vagin et se masturbait pendant que je la pénétrais. N'y tenant plus, je sortis d'elle et me masturbai debout, face à son visage. La bouche grande ouverte, elle sortit sa langue, prête à recevoir mon sperme. J'éjaculai sur son visage. Elle était radieuse.
Quelques minutes plus tard, nus tous les deux, nous retournâmes nous baigner pour nous laver de nos exploits.
Tout à coup, elle repensa à son mari et m'annonça qu'il ne tarderait pas à revenir.
Je l'embrassai une dernière fois et la laissai, en lui promettant de revenir les jours suivant, pour lui tenir compagnie pendant les pêches de son mari.
Le cocu réapparu une dizaine de minutes plus tard, bredouille !
La coquine m'adressa des regards furtifs. Je lui répondis par des sourires.
Une heure après, ils rangèrent leurs affaires. En passant près de moi, profitant d'être derrière son mari, elle me lança sa culotte et releva sa jupe, pour bien me faire voir qu'elle était nue en dessous. Sans bruit, j'articulai « À demain ». Elle me fit « oui » de la tête.
Soudain une dispute ternit l'ambiance. La femme reprocha à son mari de la laisser, pour aller pécher. Je me redressai sur les coudes et j'aperçus effectivement l'homme s'éloigner avec son matériel et abandonner sa femme sans la regarder. Il faisait chaud. L'eau fraîche de la rivière m'appelait. Peut importait qu'il y ait quelqu'un à côté, je partis à nouveau me baigner, nu cette fois-ci. Je fis quelques longueurs dans le bassin naturel de la rivière.
La femme assise sur un rocher, maudissait toujours encore son homme. En nageant, je passai près d'elle et lui dis :
- Faut voir le bon côté des choses. Il va vous ramener le dîner de ce soir !
- Même pas ! Il part tout le temps et me laisse seule.
Et quand il revient, il n'a rien attrapé !
Je me demande bien ce qu'il fait tout ce temps !
J'eus un flash, un vieux fantasme. Et si c'était là, l'occasion de le réaliser ?
La rivière, une femme seule, son mari absent...
- Profitez de cet endroit merveilleux ! Venez vous baigner, l'eau est bonne, l’invitai-je.
- Oui, vous avez raison.
Elle vint me rejoindre dans l'eau, où nous fîmes connaissance en barbotant.
- Vous vous baignez souvent nu devant des femmes que vous ne connaissez pas ? me demanda-t-elle.
- Non, c'est la première fois, lui avouai-je, ajoutant,
Enfin, devant une inconnue. Sinon, me baigner nu, cela m'arrive de temps en temps.
Ça vous gêne que je sois nu ?
En sortant de l'eau, elle me répondit :
- Pas du tout, j'aime regarder un homme nu. Surtout depuis que mon mari ne me touche plus.
Elle enleva son maillot de bain, debout sur un rocher et entièrement nue elle aussi, me demanda :
- Est ce que je suis moche, au point de ne plus me désirer ?
- Non, non ! Bien au contraire ! Vous êtes ravissante !
L'eau ruisselait encore sur son corps. Une goutte perlait sur le bas de chacun de ses seins, ses tétons pointaient durcis par l'eau fraîche. Ses hanches, son bassin bien dessiné, son sexe entièrement rasé, me donnèrent des envies de sexe. Elle commença à se caresser doucement les seins en me regardant. Ses mains descendirent sur son ventre, ses fesses. Elle s'assit devant moi, jambes écartées, ses doigts effleurant son sexe.
- Baise-moi ! m'ordonna-t-elle. Ça fait trop longtemps que je n’ai pas fait l'amour.
M'approchant d'elle, je l'embrassai fougueusement, puis descendis vers son sexe ouvert. Ses lèvres ressorties, elle se laissa faire, n'attendant que ma langue. J'adore le cunnilingus. Je la fis jouir une première fois.
- Prends-moi, j'ai envie de toi ! me dit-elle.
Elle se retourna et à quatre pattes, prête pour une levrette, me tendit ses fesses et son sexe. Elle gémit sous mes coups de boutoir. Nous changeâmes plusieurs fois de position, passant sur le dos, sur le côté, dessus, dessous...
Cette femme était réellement en manque de sexe. Ça se sentait. Elle aimait mon sexe dur dans son vagin et se masturbait pendant que je la pénétrais. N'y tenant plus, je sortis d'elle et me masturbai debout, face à son visage. La bouche grande ouverte, elle sortit sa langue, prête à recevoir mon sperme. J'éjaculai sur son visage. Elle était radieuse.
Quelques minutes plus tard, nus tous les deux, nous retournâmes nous baigner pour nous laver de nos exploits.
Tout à coup, elle repensa à son mari et m'annonça qu'il ne tarderait pas à revenir.
Je l'embrassai une dernière fois et la laissai, en lui promettant de revenir les jours suivant, pour lui tenir compagnie pendant les pêches de son mari.
Le cocu réapparu une dizaine de minutes plus tard, bredouille !
La coquine m'adressa des regards furtifs. Je lui répondis par des sourires.
Une heure après, ils rangèrent leurs affaires. En passant près de moi, profitant d'être derrière son mari, elle me lança sa culotte et releva sa jupe, pour bien me faire voir qu'elle était nue en dessous. Sans bruit, j'articulai « À demain ». Elle me fit « oui » de la tête.
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