SURPRISE DU MARI– Dévergondages 16

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SURPRISE DU MARI– Dévergondages 16 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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SURPRISE DU MARI– Dévergondages 16
SURPRISE DU MARI– Dévergondages 16

Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.

« Plus les femmes sont pudibondes, plus elles se vautrent dans la luxure lorsqu’on sait la leur prodiguer ! »
Florence 27

Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud d’une taille supérieure dans l’anus. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles.

Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne… La journée se passe à faire l’amour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage. Lorsqu’elle retrouve Edmond trois jours après, il commence à la soumettre en la flagellant, puis, à sa grande confusion, elle est surprise par sa fille à la terrasse du restaurant où le couple se restaure. Le soir même, son mari et sa fille étant absents pour la nuit, elle rejoint Antoinette, sa jeune collègue de bureau et, elle ose prendre l’initiative de se gouiner avec elle. Deux semaines plus tard, Odile offre enfin son cul à Edmond qui en profite honteusement. Celui-ci l’entraine dans un cinéma X où elle se retrouve inopinément en présence de Gérard, l’ex petit ami Black de sa fille et qu’elle est prise pour la première fois dans ses deux orifices en même temps par les deux hommes.

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Dans la belle propriété de Lormont, Michel, le mari d’Odile est à son bureau, très occupé à visionner des vidéos sur son ordinateur. Étrangement, les images révèlent que les prises de vues ont été effectuées à l’intérieur du loft de la place Mitchell, où Odile est suspendue au-dessus du lit rond et se balance, les cuisses écartelées par une barre métallique offrant sa vulve aux yeux de son mari qui se branle d’une main. Comment ces images lui sont-elles parvenues ? Mystère !............

Odile a surmonté la honte qu’elle a éprouvée à se faire prendre en même temps par le jeune Noir et Edmond dans le cinéma porno de Bordeaux. Elle n’a qu’une peur, c’est qu’à l’université, Gérard raconte à sa fille l’ignominie à laquelle elle s’est prêtée en public et la déchéance qui est la sienne. Pour l’instant, elle se rassure en pensant que sa fille est en stage dans le cabinet d’avocats, car grâce à Edmond, Muriel a pu se faire embaucher pour trois mois à Bayonne.

Edmond est de nouveau en déplacement pour deux semaines, Odile reprend haleine, car elle se rend compte qu’il l’entraine à chaque fois plus loin dans une spirale sexuelle qui éprouve sa respectabilité. Surtout que cela va de mieux en mieux avec son mari. Comme celui-ci se montre beaucoup plus actif et qu’elle accepte, à présent qu’elle a été initié par Edmond à des pratiques qu’elle pensait « honteuse », la fellation, jusqu’à en avaler la semence et surtout la sodomie qu’elle s’était toujours refusée à seulement imaginer. Elle se prête à présent avec plaisir aussi bien à toutes les exigences du notaire qu’aux actions quelquefois maladroites de Michel.

Justement, ce dernier vient de lui proposer de l’emmener en Week End, sans lui dire la destination, voulant en garder la surprise. Elle se sent émoustillée et elle s’apprête particulièrement, faisant une toilette soignée, s’habillant sexy et utilisant pour la première fois avec son mari, les accessoires de lingerie qu’Edmond lui a achetés : une jolie guêpière grenat agrémentée de dentelle blanche, un shorty assorti ainsi que des bas fumés, une robe printanière en taffetas blanc agrémentée de fleurs, une paire de sandales blanches à talons, Michel pousse un « Ouah » de satisfaction lorsqu’il la voit ainsi, l’embrassant avec une sensualité telle, qu’Odile le repousse gentiment en lui disant qu’ils auront tout le temps pour en profiter durant les trois jours de vacances qu’ils s’octroient.

Michel est un sportif : ce cinquantenaire, cadre supérieur dans la société vinicole de Blaye est un bel homme d’un mètre soixante-quinze environ, solidement charpenté et qui pratique régulièrement le vélo, la voile et la nage, qu’il partage avec sa fille Muriel, déjà plusieurs fois championne universitaire. Il sort du garage, attenant à leur propriété de Lormont, une Volkswagen, c’est une « Passat » gris métallisé d’un confort exceptionnel. Odile prend place à côté de son mari, se demandant bien où va se passer ce long WE. Michel prend la rocade est de Bordeaux, puis à la hauteur de Villenave d’Ornon, il rejoint l’autoroute des « deux mers », sort à l’échangeur de Langon pour se diriger vers l’autre rive en passant sur le pont routier qui supporte aussi le chemin de fer. Remontant la Garonne vers Saint-Macaire. Odile a d’un seul coup un moment d’angoisse, en se remémorant ce parcours effectué il y a quelques mois. Son pressentiment s’accroît, lorsque son mari dirige le véhicule vers le centre de Saint Macaire, puis, s’arrête devant l’hôtel « Les Feuilles d’Acanthe » qu’elle reconnaît instantanément.

Odile est toute chancelante, lorsque son mari la prend par le bras. Ils pénètrent tous les deux à la réception. Le directeur de l’hôtel leur souhaite la bienvenue dans ce petit hôtel de charme qui ne comporte que douze chambres. Il ne fait aucune allusion, ne semblant pas reconnaître Odile, avec laquelle il a pourtant bavardé longuement lors de son séjour avec Edmond, vantant son hôtel qui allie selon lui l'harmonie du passé et du présent, dans ce fief du vignoble bordelais, où ses hôtes peuvent profiter d’authentiques chambres girondines, dans une ambiance chaleureuse de vieilles pierres, de sols en terre cuite et des meubles en chêne vieilli. Odile respire enfin librement, soulagée de l’extrême discrétion de l’hôtelier.

Elle a de nouveau un coup au cœur, lorsque son mari, muni de la clé dont elle n’a pas remarqué le numéro, entre dans la chambre qui a été la sienne durant ces jours fous, dans cette suite de plus de soixante mètres carrés, qui comprend le grand lit à baldaquin avec moustiquaire, un coin salon avec un canapé en L et une table ronde avec trois chaises, une commode, un dressing séparé, etc. La bourgeoise éplorée, se remémore le chantage odieux dont elle a été l’objet, sa peur panique de la divulgation possible des photographies dont elle a été menacée et ce qu’elle a dû accepter pour éviter le scandale. Sa réputation en aurait été irrémédiablement salie, aussi bien dans son couple et sa famille, que dans son entourage voire même dans son emploi.

Il lui avait fallut accorder ses faveurs à cet homme vieillissant de plus de soixante ans. C’est vrai qu’elle avait été attirée par lui, mais en ami, en amant. Pourtant il lui avait révélé une sexualité inconnue, mais oh combien débordante. Elle s’en rend compte, car malgré ses angoisses, qui la rendent toute languissante, son slip est imprégné de la mouille produite pas son délire fébrile. Son mari, justement, profite du trouble qu’il devine dans l’attitude de son épouse, pour la trousser debout au milieu du salon. Ses mains s’activent sous l’ampleur de la robe et découvrent la moiteur de la culotte alors qu’Odile pousse un gémissement en essayant d’échapper aux doigts diaboliques de son mari qui se sont infiltrés sous l’élastique, plongeant dans les chairs détrempés du vagin. Devant sa tentative d’échappatoire, Michel l’apostrophe.

- Eh bien ma petite chérie, tu mouilles comme une vraie salope. Ouvre tes cuisses que je puisse savourer la fente de ma petite femme. Allons, enlève ta culotte je vais te bouffer la chatte !

Odile est abasourdie, c’est la première fois que son homme ose s’adresser à elle de cette façon triviale. Elle n’a jamais accepté qu’il lui fasse un cunnilingus, trouvant inconvenant d’offrir son intimité à une langue, serait-ce celle de son époux. Se pourrait-il qu’il soit au courant de ses turpitudes avec le vieux notaire et que l’avoir amené dans cet hôtel, ne soit pas une coïncidence ? Elle retire prestement son shorty et sa robe, se retrouvant en guêpière et en bas sur ses hauts talons.

Son mari siffle d’admiration.

Bravo ma chérie, tu as tout d’une putain de haut rang. Tu pourrais postuler chez Madame Claude, je te prédis un franc succès car tu es magnifique. Allons, viens me pomper le dard !

Odile éclate en sanglots, son mari n’a plus aucun respect pour elle pense-t-elle. Pourtant les mots vulgaires fouettent son imaginaire, car Edmond ne se gène pas pour la traiter de la sorte. Elle sent la cyprine dégouliner entre ses cuisses et, se mettant à genoux, elle dégrafe la braguette du pantalon de son mari. Sortant le pénis qui est d’une rigidité étonnante, elle le prend en bouche et s’applique le mieux qu’elle le peut. Virevoltant avec sa langue autour de la tige, léchant les bourses et le périnée, poursuivant la caresse linguale dans la raie culière jusqu’à l’œillet anal. Michel dont le gland laisse perler quelques gouttes de liquide pré séminal gémit, contrôlant avec peine la montée du sperme dans l’urètre. Il murmure.

- Prends-moi entre tes lèvres, chérie je t’en supplie – vite !

Odile ressent une satisfaction surprenante à ce vit qui réclame sa bouche. Elle sent le pouvoir de la femelle sur le mâle qui réclame une fellation aboutie. Elle sait à ce moment qu’il est à sa merci et elle enfourne le bâton qui laisse s’échapper le liquide pré éjaculatoire, recevant tout à coup, un flot de foutre jusqu’au fond de la gorge. Michel se libère en poussant de petits gémissements, comme un bébé qui réclame sa mère. Le trop plein de sperme s’échappe par la commissure des lèvres d’Odile. Celle-ci, la bouche fermée et collée sur la verge de son mari, déglutit le jus poisseux qui coule dans sa gorge, éprouvant un sentiment de victoire sur le mâle qu’elle sent à sa merci.

Michel, se penchant, l’embrasse tout en la prenant dans ses bras, il lui caresse le visage et lui dit qu’il l’aime. Odile n’ose pas le regarder, ayant encore un peu honte de s’être laisser aller, mais elle gémit lorsque son mari sort les deux mamelles du haut de sa guêpière. Il prend les deux tétons turgescents entre ses doigts et le étirent le plus possible tout en les pinçant de plus en plus forts. Sous la douleur lancinante, Odile se laisse aller à geindre tout en ressentant une certaine jouissance de la souffrance qu’elle éprouve. Alors que le supplice devient intense, elle a un bref orgasme qui la laisse pantelante. Michel lui masse délicatement les mamelons et prenant alternativement les tétins entre ses lèvres, il les suce occasionnant des spasmes de bonheur à sa femme enfin réceptive à ses sens.

Reconnaissante, elle reprend la queue dans une main, la caressant avec douceur, tandis que Michel, écartant les cuisses de son épouse, vient enfin tenir sa promesse en léchant la vulve délicatement. La langue effleure pour la première fois son entrecuisse, écarte les grandes lèvres et s’enfonce le plus loin possible dans les chairs vaginales, faisant des circonvolutions autour du clitoris qui pointe outrageusement hors de son capuchon. Il lèche et bave sur la raie culière, infiltrant même sa langue dans l’œillet en le léchant profondément. Il lui enfonce son index dans le trou du cul, faisant tressaillir Odile qui se laisse aller, appréciant le doigt qui va et vient dans son anus, se doutant que son mari va la baiser et la sodomiser sous peu.

Elle ne peut s’empêcher de penser que c’est tout de même grâce à ce qu'elle a connu avec Edmond qui l'a décoincée dans cette même chambre, qu’elle peut offrir son corps nu à son mari sans éprouver la honte qui était la sienne auparavant. Elle en vient même à regretter de ne pas avoir permis plus tôt à son mari ce qu’il est en train de lui faire à présent. La bouche et la langue de Michel s’activent furieusement sur sa chatte et son bourgeon d’amour, le doigt qui lui perfore la rosette s’enfonce inexorablement dans le conduit rectal lui provoquant des sensations inouïes. Odile jouit de ses deux orifices, ne pouvant s’empêcher de hurler lorsqu’un orgasme fulgurant la saisit, s’évanouissant presque sous le bonheur éprouvé. Michel vient s’allonger sur elle et l’embrasse sur les lèvres, d’abord avec une grande délicatesse puis de plus en plus fougueusement. Elle reprend ses esprits sous les baisers conjugaux et réalise que le bâton rigide qui ballote entre ses cuisses se trouve être la verge de son époux.

Michel écarte les cuisses pleines de son épouse, puis, tenant sa verge en main, il caresse avec le gland le clitoris et les replis de la vulve. Odile qui reprend peu à peu ses esprits, se complait dans les caresses de cette bite sur son intimité. Le gland qui glisse sur sa chair est incommensurablement agréable, aussi, elle se meut en même temps, levant son bassin face au sexe qui bat entre ses cuisses, allant impudemment au-devant de la queue, venant s’empaler inexorablement, alors que la pine s’enfonce, lentement, jusqu’au fond de la matrice offerte. Odile, lance ses jambes autour de la taille de son homme, les nouant ensemble avec ses pieds, venant coller son pubis au bas-ventre de son mari, répondant coup pour coup à la verge qui pilonne son vagin.

Michel pourtant en veut plus, il se dégage du vagin de sa femme qui proteste, voulant qu’il reste en elle. Mais il prend sa queue dans la main et sans hésiter, la présentant devant l’œillet qu’il convoite, il entre d’un seul coup dans le conduit rectal, faisant pousser un hurlement à Odile qui se surprend à adorer cette sensation d’être forcée ainsi. Heureusement, son cul a été tellement bien préparé par Edmond. Son mari l’a déjà enculé à plusieurs reprises et le notaire lui a agrandi outrageusement son trou de balle. Ainsi, elle n’a même pas eu de douleur à l’intromission brutale de la verge qui laboure à présent ses entrailles. Elle n’a plus qu’une envie, jouir de sa chair malmenée, prenant un plaisir inouï à la queue qui l’encule proprement. De brefs orgasmes se succèdent jusqu’à ce qu’un autre plus puissant la fasse rugir d’allégresse.

Odile et Michel se font servir un repas dans la suite, sablant au Champagne ce début de Week End qui commence sous de bons augures. Odile se fait chatte auprès de son mari, l’enlaçant et l’embrassant comme elle ne l’a jamais fait en plus de vingt ans de mariage.

À suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Le mari profite du travail réalisé par Edmond, attention à la lecture de ce récit, beaucoup de maris pourraient souhaiter que leur femme prenne un amant!!
En tout cas, encore un excellent récit de Vieulou, avec toujours beaucoup de détail, que du plaisir!.

P

Il faut tout le talent de Vieulou pour me faire prendre plaisir à des récits "dominant/dominé. Ce dernier est un pur régal !!!

Toujours aussi bandant tes histoire Vieulou tu as mérité tes quatre coeurs.
Pas comme mes textes sur la mante religieuse massacré par un membre premnium sans aucune explication.

Outre la maitrise du récit érotique, Vieulou nous régale aussi par ses connaissances géographiques. Visiblement, la Gironde l'inspire...

Histoire Erotique
La merveilleuse "Plume" de VieuLou nous offre ce proverbe chinois :

" A qui sait attendre le temps ouvre ses portes "

Notre Odile accueille avec délice ses interdits à son Mari depuis son mariage dans la plus grande légèreté pour le plus grand bonheur de Michel ...

Une fois de plus mes Félicitations VieuLou

B.

Au plaisir de vous lire prochainement



Texte coquin : SURPRISE DU MARI– Dévergondages 16
Histoire sexe : Une rose rouge
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