Ta meilleure amie 8 - histoire érotique

Ta meilleure amie 8

Mon écrit est long, mais ne saute pas une ligne, s‘il te plaît. Ne t’inquiète pas, je vais rassurer tes amis, leur dire qu’après un peu de repos, tu retourneras près d’eux. Tu reprendras éventuellement l’action interrompue, là où vous en étiez avant mon coup de sonnette, si tu décides d’être la reine de la fête. Rappelle-toi, Léon allait te posséder enfin, et tu t’ouvrais bien grand pour l’accueillir avec l‘aide de Ton amie: oui, je l’ai vu ! Mais la lecture de ce texte t’ouvrira-t-elle les yeux ? Car en adulte libre c’est toi qui décideras de la tournure de l’événement et de ses conséquences probables. Quant au viagra, c’est moi qui déciderai de sa prise, après avis de mon médecin.

- C’est ça le problème ? J’avais dit à Angèle que cela te fâcherait. Très bien, je ne t’en administrerai plus. J’espérais rallumer ta libido. Voilà, il suffisait d’en parler; c’est réglé. Bon, on peut retourner au salon maintenant ?

- Non, tu fais erreur .Le viagra est un détail de dernière minute qui ne figure pas dans mon texte. Je t’ai isolée pour tout autre chose. Lis, réfléchis avant de rejoindre tes amis. Prends tout le temps nécessaire. Est-il nécessaire de le préciser : mon intervention a été volontairement dirigée contre un acte qui me révolte ? En rien, malgré mon hostilité aux combines d’Angèle, je n’utiliserai la force pour empêcher ce que tu as accepté de subir si mon texte ne te convainc pas d’y renoncer. J’ai voulu une suspension de l’orgie pour vous permettre de la transporter ailleurs, chez Angèle, pourquoi pas ? Chez nous c’est peu convenable, à mon avis.

- Ah ! Ta prose veut me dissuader d’accomplir ici ce qui te déplaît. D’accord, mais tu pourrais résumer, cela nous ferait gagner du temps.

- Non, il te faut du calme pour bien peser tout le contenu. Pendant ce temps, je préfère faire patienter Angèle et Léon. D’ailleurs, j’attends moi aussi des visiteurs qui donneront plus d’éclat à la manifestation car, comme on dit, plus on est de fous, plus on rit. Si tu le désires, mes invités te feront participer à la petite fête que j’ai préparée à votre intention. La mise en scène de tes complices te paraîtra bien fade à côté de la mienne. Une orgie à trois, c’est petit, mesquin. Tu espérais du cul, je t’en promets et du meilleur. Ne fais pas l’étonnée. Lis ! Je viendrai te chercher pour te permettre d’exercer tes talents avec tes amis et les miens.

Mireille est assise immobile, tétanisée sur le lit quand je quitte la chambre. La menace sous jacente ne lui a pas échappé. Aller continuer ailleurs, alors que j’ai vu les préliminaires et que je suis informé des buts poursuivis est autrement lourd de conséquences que le plan cul organisé par ses deux complices. Angèle a quitté son observatoire d’espionne derrière la porte de notre chambre un peu tard, j’ai le temps d’apercevoir le roulement des ses fesses pendant son repli . Je respire profondément à plusieurs reprises pour retrouver mon calme et je me présente avec le sourire dans le salon. Je rassure ces très chers amis : le malaise de ma femme devrait passer rapidement et elle les prie de bien vouloir attendre un retour qui ne devrait pas tarder. Elle leur annoncera une décision qui devrait les réjouir.

Libre à eux d’interpréter favorablement cette annonce, je suis décidé à les garder en attendant l’arrivée des trois personnes qui les enchanteront. Léon a fait un sort à la bouteille de champagne. Mon intervention au plus mauvais moment pour l‘accomplissement de son projet, lui a asséché la gorge. A-t-on idée de sonner avec insistance au moment précis où vous allez enfiler une femme consentante ? Mireille s’offrait, vulve écartée, vagin rose bavant d’impatience, étiré en losange nacré par les doigts manucurés d’Angèle. Le gland plein de sang effleurait les chairs humides, d’un coup de rein vigoureux, il allait défoncer la crevasse, secouer le ventre en chaleur… et pan ! La sonnerie a bloqué le gland à l’entrée du vagin. Léon a dû s’arrêter aux portes du paradis, remballer couilles et bite, retrouver habits, calme et dignité,
- Vous prendrez bien une boisson pour patienter. Mireille m’a recommandé de vous traiter amicalement. Je pense qu’elle tient à vous prouver sa reconnaissance pour toutes vos marques d’amitié. Que ferait-elle sans vous et sans votre affection si vigilante ?

- Précisément, je crois que ta femme a besoin d’une présence amicale quand elle souffre. Je souhaite aller la réconforter.
Angèle sent que derrière mes propos aimables je prépare un coup. J’écarte sa proposition. Je mens avec assurance. N’ont-ils pas essayé de me tenir hors jeu ?

- Merci pour ta sollicitude, mais Mireille m’a recommandé d’empêcher qu’on trouble son repos. Elle tient absolument à être en forme pour continuer avec vous.

Angèle n’a pas pu entendre le contenu de ma conversation avec ma femme. Ses traits se relâchent. Elle espère que ma femme m’a converti à l’échangisme. Elle essaie au moins de glaner l’un ou l’autre détail intéressant.

- Paul, le hasard de notre rencontre avec Mimi, le léger mieux observé ici, nous laissaient espérer de passer un agréable après-midi. Nous nous réjouissons de partager des moments agréables avec toi aussi.

- Merci, je ne voudrais pour rien au monde manquer de partager vos plaisirs. Je saurai vous surprendre agréablement. Vous vous souviendrez longtemps de cet après-midi de fête débridée. A ma manière je compte accroître votre plaisir, le multiplier par dix.

Angèle rayonne, Léon se décontracte, tous deux tendent leur verre. Je verse généreusement le rouge de table. Fini le champagne, on ne donne pas des perles à des cochons.

- Chers amis, j’ai pour vous une grande surprise à vous annoncer. En premier, sachez que je sais parfaitement le but de cette réunion. Vous vous employez à divertir ma femme, à lui ouvrir des horizons nouveaux en matière de vie sexuelle.

- Comment, Mireille, cette cachottière t’a mis au courant de nos intentions. La bavarde n’a pas su garder notre petit secret ! Elle aura droit à quelques claques à cul nu. Elle aurait pu me prévenir Cependant elle a finalement atteint son but, c’est parfait.

Je ne relève pas. Surtout je ne contredis pas Angèle. Elle suppose à tort une indiscrétion de ma femme. Je poursuis mon discours :
- Donc toi, Angèle tu comptes raffermir votre liaison amoureuse entre femmes commencée avant nos mariages. Mais très généreusement tu veux offrir ma femme à Léon et plus tard à d’autres hommes. C’est bien ça, n’est-ce pas ?

Angèle est ravie : Mireille a su faire passer et accepter le message. Ma présence qui dérangeait ses plans, devient une promesse de succès pour des relations futures heureuses.

- La coquine, elle voit loin. Enfin tu constates, cher Paul, que, grâce à nous, ta chérie souhaite s’épanouir pleinement. Tu as raison : aujourd’hui Mireille va franchir une barrière en petit comité avant de se lancer dans des expériences multiples. Je me réjouis d’apprendre que tu es au courant de la démarche et de ses suites probables. Je craignais que tu ne t’y opposes or tu me sembles partant. Pourrons-nous compter sur ta participation ? Mireille m’a parlé de certaines difficultés que tu éprouverais depuis quelques semaines et j’avais cru bon d’envisager un élargissement du cercle de nos relations. Alors, avec toi, nous serions quatre et cela pourrait suffire pour d’excellents échanges : Mireille et Léon, toi et moi…. Avant de possibles élargissements.

- Pourquoi, tout à coup, se limiter à si peu de participants ? Depuis que j’ai connaissance de vos projets, je me suis dit qu’il fallait voir grand, dès le début, frapper un grand coup pour éblouir et ouvrir toutes les vannes. Une fois plongée dans le grand bain, ma femme ne connaîtra plus d’hésitation et deviendra une meneuse, je n’en doute pas. A condition de vaincre ses dernières réticences.

- C’est bien, mais ne faut-il pas plutôt progresser prudemment ?

- Ce serait remettre tout en cause à chaque degré. Non, il faut la jeter dans le grand bain, la faire passer de Léon à un autre puis à un troisième etcetera.

- Pour aujourd’hui ce sera difficile. Où trouver les autres hommes ?

- Faites moi confiance, j’ai tout prévu. J’ai devancé votre accord et j’ai lancé des invitations. J’attends trois personnes qui ne sauraient tarder. En cas de succès de l’opération nous pourrons monter des réunions plus peuplées.

- Pourrons-nous convoquer certaines de nos connaissances? Tu sais, Léon et moi connaissons du beau monde. Je suis ravie de te savoir aussi enthousiaste et j’attends avec impatience l’arrivée de tes convives et le retour de ta chère femme..

Avez-vous entendu : on a sonné. Nos renforts arrivent. Igor, Ahmed et Gaby ont fait un effort vestimentaire. Je peux les présenter
- Voici mes invités Ahmed, Igor et Gaby. Mireille aimera faire leur connaissance, je la ramène dans quelques minutes. Veuillez faire plus ample connaissance pendant ma courte absence.

- Fais vite, Mireille sait-elle?

- Non, je lui ai réservé la surprise. Celle-ci pourrait être meilleure. Imaginez sa joie lorsqu’elle vous découvrira tous en tenue d’Adam et d’Eve . Angèle, tu connais la maison : aide nos amis à se dévêtir et à ranger leurs affaires. Ensuite arrangez-vous pour exhiber des organes bien raides, durs et appétissant aux yeux de l’arrivante. Renforcez son envie par le spectacle de virilités développées. Gaby pourrait s’occuper de Léon et toi, très chère coquine fourbis les armes d’Igor et d’Ahmed.. Merci de créer une ambiance festive. La migraine de Mireille s’envolera au premier regard sur vos bonnes dispositions clairement affichées. dans un « Présentez Armes » impeccable