Ta meilleure amie 9 - histoire érotique

Pourquoi ai-je le cœur serré en pénétrant dans ma chambre ? Je me demande comment ma femme a reçu le message écrit. Mireille est debout devant la fenêtre et me tourne le dos. Son corps est secoué de frissons, elle renifle fort, se mouche bruyamment. Elle m’a entendu, n’ose pas se retourner, demande :
- Tout ce que tu as écrit là est-il vrai ? C’est Angèle qui t’a dépucelé ? …
- Oui.

- Tu pourrais être le père d’Odile ? …
- C’est à vérifier par l’ADN, mais ce n’est pas impossible et c’est la raison de mon opposition au mariage qui pourrait se révéler incestueux d’un frère et d’une demi sœur.

- Angèle a voulu coucher avec toi après son retour ?…
Elle enchaîne sèchement les questions. Mes réponses fusent
- Ne te l’a-t-elle pas dit ? Après mon refus elle s’est tournée vers toi, avec plus de succès apparemment. Elle a décidé de laver l’affront.

- Elle veut nous séparer, crois-tu ? C’est faux, elle veut juste faire l’amour avec toi et en contrepartie elle me prêterait Léon.

- Donc elle s’acharne. Quelle différence vois-tu ? Est-ce un comportement normal d’époux fidèles de changer de partenaires ? En dehors du piège où elle m’a fait tomber jadis et depuis notre mariage je n’ai connu qu’une femme, toi. Et toi, as-tu connu d’autres hommes en dehors de moi et de Léon. Je vous ai arrêtés il y a quelques minutes au bord de la pénétration.

- Mais je n’ai pas couché avec Léon !

- Pas encore, parce que j’ai sonné à notre porte à la seconde où sa verge se familiarisait avec ta case au trésor rasée soigneusement sur recommandation de ton amie diabolique. Tu avais préparé le terrain, supprimé les poils pour faciliter l’accès à ta grotte volontairement L’intention existait, j’ai dû créer un accident pour préserver matériellement une vertu déjà perdue au fond de ton cœur. Le compagnon d’Angèle se promettait de faire briller ton argenterie. Qui sait, il pourrait célébrer ta quarantaine libérée en t’engrossant et ainsi agrandir le nombre de demi frères ou sœurs. L’horloge de la fécondité tourne, peut-être luttes-tu contre le temps qui passe?

- Pardon d’avoir failli. .Mais tout le reste de ton texte n‘est-il pas le fruit de ton imagination? Tu as deviné qu’Angèle me faisait l’amour quand nous étions jeunes filles ?

- Il suffit de vous observer. Comment expliquer vos messes basses à chaque occasion, certains gestes ambigus lorsque vous estimiez ne pas être vues et surtout l’ascendant exercé sur toi par Angèle à chaque visite, comme cette façon éhontée de t’exhiber devant son mari, de soulever ta jupe avec l‘espoir que tu aurais oublier de cacher ton minou dans une culotte? Une amie convenable soulève-t-elle la jupe de l’autre ou insiste-t-elle sur ses formes de façon aussi indécente pour exciter la convoitise de son mari et ce en présence de l’autre époux. Et l’autre salopard bavait en devinant la forme de ta chatte à travers le tissu. Tu laissais faire, comme étrangère à ces audaces obscènes. On ne peut plus parler de familiarités mais d’indécence. Et tu ne nieras pas ce spectacle de lesbiennes, tout récent au lit que j’ai aperçu depuis le couloir.

-Tu nous a surprises au lit l’autre jour ? Oh ! Mais pourquoi n’as-tu rien dit ?

- Au départ, je ne savais pas comment la situation évoluerait. J’espérais un revirement de ta part au dernier moment. Hélas, je me trompais, car tu étais en train de me tromper avec ta copine avant de passer du bon temps avec Léon comme il y a quelques minutes Pourquoi lui es-tu soumise à ce point?

- Elle a joué sur ma honte, m’a juré le silence si je cédais à ses envies. Après les baisers surprises, elle m’a fait comparer nos silhouettes déformées par la prise de volume et de poids liée à l‘âge et aux traces de maternité. Nous nous sommes consolées, ses lèvres ont pris les miennes, nous nous sommes serrées l’une contre l’autre comme autrefois. A partir de cette étreinte elle m’en a imposé d’autres et il m’a été impossible de ne plus me soumettre : Je m’enfonçais au fur et à mesure de nos étreintes, j’en avais conscience, mais chaque geste pesait davantage et contribuait à me faire perdre pied. Elle a menacé de tout te raconter, et notre relation d’avant mariage et le retour de flamme depuis nos retrouvailles, pour briser notre couple.
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- Or tu viens d’en douter, je te cite « - Elle veut nous séparer ? C’est faux, elle veut juste faire l’amour avec toi et en contrepartie elle me prêterait Léon. ». Offre-toi à Léon si tu en brûles de désir, cela ne me fera pas baiser l’autre salope
L’emploi de ce mot vulgaire est volontaire, je veux montrer le dégoût que m’inspire cette pratique d’échangisme et sa partenaire. Mireille est choquée :
- Voilà l’état de confusion où je me débats depuis des semaines. Angèle me manipule et j’ai tellement peur de te perdre. C’est un terrible dilemme.

- Oh ! Ne m’as-tu pas traité d’  « eunuque » . C’est très méprisant. Comment croire que tu tiens à un homme humilié devant Angèle et sans doute en présence de Léon ? Où est le dilemme pour une femme qui aime son mari ? Ne prétexte pas l’embarras quand il te suffit de deux mots pour briser tes chaînes et te délivrer d’Angèle. Ces deux mots tu ne les as pas prononcés. Selon moi, tu te complaisais dans cette ambiance malsaine. Pour l’instant tu t’y complais encore
- Le mot eunuque est d’elle. J’ai eu le tort d’évoquer tes défaillances, non pour m’en moquer ou m’en plaindre, mais pour te tenir à l’écart de ses envies de te séduire. Mais ne m’accable pas. Non cette situation ne me plaît plus. Tu connais la vérité et cela me retire un grand poids, me donne de l’énergie pour me soustraire aux exigences d’Angèle.

- Tu as lu mon texte en entier ? As-tu compris pourquoi je suis devenu incapable de te faire l’amour ?

- Oui, cela augmente ma honte et mes remords. Que dois-je faire ?

- Quelle question ! Agis selon ta conscience et ton cœur. Tu connais l’origine, les racines et les acteurs de ta situation actuelle. Je t’ai prévenue des conséquences de votre réunion. Tu ne pourras plus me reprocher mon silence, tu es éclairée, tu assumeras tes agissements. Je pourrai oublier le passé, cependant la persévérance dans l’erreur ne sera pas pardonnée. Il t’appartient de mettre dans les plateaux de la balance les avantages et les inconvénients d’une vie avec moi ou d’une complicité sexuelle et sentimentale avec Angèle et Léon.

- J’ai compris. Mais j’ai entendu arriver tes invités. Que dois-je en faire ?

- Ils sont invités pour s’unir à qui voudra d’eux : Léon aura droit aux attentions expertes d’une putain rémunérée, chargée de l’user jusqu’à la corde par tous les moyens, elle s’appelle Gaby. On peut lui accorder des pauses afin de te permettre de réaliser le fantasme d’Angèle de te faire tringler par son homme : il te suffira de pousser Gaby et de la remplacer. Tu le branleras, tu le prendras en bouche pour raffermir sa queue, tu te planteras sur son braquemart, tu le chevaucheras, tu trairas son sperme à satiété aussi longtemps et aussi souvent que tu le souhaiteras et qu’il le supportera. Je vous accorderai la nuit pour vous rassasier l’un de l’autre et pour vous donner le goût de remettre le couvert jusqu’à ce que la mort vous sépare.

- Tu me pousses à la faute. Faut-il que je t’aie fâché et dégoûté de moi. Pourquoi m’avoir écrit tout ça, ne m’aimes-tu plus du tout? Ne me désespère pas, je suis déjà si malheureuse de t’avoir fait tant souffrir.

Ce n’est pas le moment de céder à la pitié, de témoigner d’un soupçon de faiblesse. Je suis en train de la récupérer, je veux lui faire regretter son association avec Angèle. Je veux ancrer profondément son repentir. Trop dur je risque de la jeter dans les pinces de la furie et de son mari, trop faible je peux lui laisser un espoir de recommencer . Ce soir la situation aura le mérite d’être claire. Je martèle encore :
- Pour Angèle et pour toi, si tu le souhaites, j’ai recruté Ahmed et Igor, deux belles plumes capables de vous écrire les plus belles pages d’un livret de pornographie. Tu pourras compenser tes manques imputés à mon impuissance en utilisant leurs dons sexuels garantis de très bonne qualité. Enfin pourquoi ne pas te soumettre à Angèle pour un gougnotage somptueux. Je vous ai observées dans des conditions difficiles, ce soir une reprise publique me permettrait de comprendre mieux votre passion pour les léchouilles, le doigtage profond des orifices, la fièvre qui vous pousse à frotter vos puits d’amour jusqu’à l’extase.

- Mais tout ça c’est fini. Je te jure que Léon et Angèle vont sortir de mes fréquentations et de ma vie. Tiens, je ne vois pas pourquoi je retournerais au salon près d’eux.

- Pardon, ils sont là parce que tu les as fait venir. Tu les as amenés, pas moi. Alors tu assumes. Tu es responsable de ce qui se déroule dans notre salon actuellement. Tu veux te séparer d’eux ? Tu dois leur signifier leur congé, ils ne croiraient pas une annonce venant de ma bouche. Que comptes-tu faire ?

- Je vais assumer et les mettre à la porte sur le champ. Ça te va ?

- Je n’en attendais pas moins de toi. Pourtant cette solution est trop expéditive. Je veux bien te croire sincère. Il me faut une preuve de la solidité de tes résolutions.

- Ah ! Demande-moi n’importe quoi, sauf de les toucher, je le ferai. Je hais Angèle.

Est-elle sincère ou ne surréagit-elle pas à cause du choc brutal mal encaissé à la suite de mes révélations écrites et orales ? Ses bonnes résolutions rapides feraient penser à un feu de paille. La meilleure façon de s’assurer de la force de ses convictions serait de la placer dans l’ambiance de luxure établie au salon, dans notre salon. Quand Mireille verra les cinq protagonistes engagés dans des ébats effrénés, résistera-t-elle à l’appel des sens. Sa haine d’Angèle et de ses plans foireux survivra-t-elle aux exhortations de l’amie. N’aura-t-elle pas envie de savourer des queues, de comparer les attributs de Léon, d’Igor ou d’Ahmed. Une bouffée de désir violent pourrait balayer comme fétu de paille les décisions prises à l’abri du spectacle de débauche. Admettons que Mireille se laisse entraîner, je devrai la chasser. Seule une résistance à toute épreuve pourra imposer une réconciliation. C’est pourquoi je déclare. J’estime être en droit de mesurer la force de ses sentiments. Je ne supporterai plus le doute :
- Toi et moi devons nous présenter au salon et assister à la débauche de nos invités. Pour ma part je ne participerai pas, je serai spectateur.

-Je serai aussi forte que toi. Merci mon chéri de m’avoir arrachée à la déchéance projetéeée par Angèle. Laisse-moi entrer en tête, je veux te prouver ma détermination et mon amour. Pardonne ma sottise. Accorde-moi le temps de m'habiller convenablement.
À suivre.