Titre de l'histoire érotique : Anniversaire sanglant, pas sans gland
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Anniversaire sanglant, pas sans gland
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis gay. J'aime le sexe subi, voire forcé. Pour mes 25 ans, mon homme m'a fait un sacré cadeau. J'ai reçu un carton d'invitation. Il était dans une enveloppe parfumée. Le parfum était bizarre et entêtant. Je connaissais cette odeur, le sperme. J'étais invité à une soirée d'anniversaire, le mien. Enfin, pas tout à fait.
Dans l'enveloppe, il y avait une adresse et un plan. Au dos du plan, il était écrit, en gras, venez seul.
Je me suis rendu à l'endroit. Une porte avec de gros barreaux en barrait l'entrée. Une sonnette encastrée dans une encoignure. Je la tirai, la porte s'ouvrit, mais personne. La porte se referma lentement et j'entendis le claquement de la serrure. Et si c'était un piège ?
De derrière moi, une porte s'ouvrit sans bruit. Un homme noir , a demi-nu, les bras croisés, me regardait en silence. Il était grand et costaud. Ses bras et ses cuisses étaient trois fois plus puissants que mes pauvres membres. Et pourtant, je faisais du sport. Il portait un foulard sur la tête, comme les adeptes du Klan. Dans sa main droite, un fouet aux lanières luisantes.
Il me fit un signe de tête, pour m'indiquer le chemin. Une nouvelle porte, invisible, celle-là, s'ouvrit dans le mur blanc. Au moment où j'entrai, des mains m'ont saisi et m'ont entraîné au milieu de la pièce. Un spot puissant m'éclairait, rendant impossible ma vision périphérique. La pièce était plongée dans l'obscurité. Tout en haut du mur, une banderole où était écrit, en grosses lettres, "BONNE FÊTE A TON CUL"
Deux hommes se sont approchés. Je ne les voyais pas,parce qu'ils étaient tout vêtus de noir. Sans ménagements, ils m'on arrachés mes vêtements. Ils ne m'ont laissé que le slip. Le colosse noir, refit son apparition dans le halo de lumière. Le fouet distendu, il m'en asséna un coup sur le dos.
- Enlèves-ça ! rugit-il
Sous la morsure de la lanière, je ne me suis pas fait prier. Un autre homme, tout aussi noir que le tortionnaire, mais lui, totalement nu, s'avança vers moi, la bite fièrement dressée. Il devait se branler depuis un moment. Le fouet claqua à nouveau.
- A genoux ! Hurla la voix. Et suces !
Je me laissai tomber en avant et posais mes mains sur les hanches de l'homme nu. Nouveau coup de fouet.
- Les mains dans le dos !
J 'ouvris la bouche, et l'homme noir, saisissant sa grosse pine, la glissa dans ma bouche. Mes lèvres glissèrent immédiatement vers son pubis. Quand elles touchèrent ses poils, le noir posa ses mains sur ma nuque, et ses reins se mirent à onduler. On avait mis des miroirs, tout autour de nous. Des lampes s'allumèrent. Je pouvais me voir, la grosse queue coulissant entre mes lèvres écartelées par le gros manche.
Pendant que je suçais, le gros noir me passa des menottes. Puis, une corde munie d'un anneau descendit du plafond. Il accrocha l'anneau à mes menottes, et je fus hissé assez haut afin que je tienne sur mes pieds. Le gros tortionnaire se présenta face à moi, déploya son fouet, puis passa derrière moi. J'attendis, tendu le premier coup. Il ne venait pas. Que se passait-il. Un moment, je crus qu'il était parti. C'est au moment où je me suis détendu, que la lanière a sifflé. Une brûlure bien connue cingla mes fesses.
Je savais ce qui allait m'arriver. Une autre grosse bite chercha son chemin entre mes lèvres. Son propriétaire saisit mes cheveux. La première, était toujours dans ma bouche. Le gros gland, poussé de force, força le passage entre mes dents, et, toutes deux essayaient de s'enfoncer dans ma gorge.
Une voix féminine s'éleva :
- Eh bien, et ça se dit un mec ? Même pas capable d'avaler deux bites !
Elle était plus grande que moi, coiffée comme Serena Williams. Sauf que, elle, était à poil, vêtue uniquement d'un énorme braquemart en plastique. Elle avait des bras et des cuisses qui faisaient deux fois les miens. Elle me saisit aux hanches, et la corde se détendit. Elle écarta mes fesses, et posa le gland factice sur mon petit trou. Le godemiché était recouvert de petites aspérités, comme du papier verre. Chaque fois qu'elle enfonçait son engin dans mon cul, elle m'arrachait un cri. Bientôt, le sang jaillit.
Pour jumeler les sensations, le bourreau, vêtu de noir, me décrocha du plafond, et me courba sur l'accoudoir d'un canapé, amené spécialement pour cet usage. Il me fouetta les fesses jusqu'au sang.
Déchiré de toutes parts, le gros noir me prit par la main et me releva. Il me dirigea vers un autre noir, allongé sur le dos, le sexe en érection. Je l'enjambai, et me laissai retomber, de manière à prendre la grosse bite dans le cul. Un second noir, me prit par les pieds, les tira en arrière, et plaqua mon torse, sur celui de mon enculeur. Il pointa sa grosse queue sur mon petit trou, et d'un puissant coup de reins, il envoya son gland, rejoindre son homologue, au fond de mon cul. Un troisième, puis un quatrième participants, se mirent à genoux autour de la tête de mon premier occupant anal, et me forcèrent à avaler les deux grosses pines.
Quand tout le monde eut fini de se soulager, ils m'ont jeté dehors, à poil, tout dégoulinant de sperme et de sang, avec juste mon slip.
Je suis gay. J'aime le sexe subi, voire forcé. Pour mes 25 ans, mon homme m'a fait un sacré cadeau. J'ai reçu un carton d'invitation. Il était dans une enveloppe parfumée. Le parfum était bizarre et entêtant. Je connaissais cette odeur, le sperme. J'étais invité à une soirée d'anniversaire, le mien. Enfin, pas tout à fait.
Dans l'enveloppe, il y avait une adresse et un plan. Au dos du plan, il était écrit, en gras, venez seul.
Je me suis rendu à l'endroit. Une porte avec de gros barreaux en barrait l'entrée. Une sonnette encastrée dans une encoignure. Je la tirai, la porte s'ouvrit, mais personne. La porte se referma lentement et j'entendis le claquement de la serrure. Et si c'était un piège ?
De derrière moi, une porte s'ouvrit sans bruit. Un homme noir , a demi-nu, les bras croisés, me regardait en silence. Il était grand et costaud. Ses bras et ses cuisses étaient trois fois plus puissants que mes pauvres membres. Et pourtant, je faisais du sport. Il portait un foulard sur la tête, comme les adeptes du Klan. Dans sa main droite, un fouet aux lanières luisantes.
Il me fit un signe de tête, pour m'indiquer le chemin. Une nouvelle porte, invisible, celle-là, s'ouvrit dans le mur blanc. Au moment où j'entrai, des mains m'ont saisi et m'ont entraîné au milieu de la pièce. Un spot puissant m'éclairait, rendant impossible ma vision périphérique. La pièce était plongée dans l'obscurité. Tout en haut du mur, une banderole où était écrit, en grosses lettres, "BONNE FÊTE A TON CUL"
Deux hommes se sont approchés. Je ne les voyais pas,parce qu'ils étaient tout vêtus de noir. Sans ménagements, ils m'on arrachés mes vêtements. Ils ne m'ont laissé que le slip. Le colosse noir, refit son apparition dans le halo de lumière. Le fouet distendu, il m'en asséna un coup sur le dos.
- Enlèves-ça ! rugit-il
Sous la morsure de la lanière, je ne me suis pas fait prier. Un autre homme, tout aussi noir que le tortionnaire, mais lui, totalement nu, s'avança vers moi, la bite fièrement dressée. Il devait se branler depuis un moment. Le fouet claqua à nouveau.
- A genoux ! Hurla la voix. Et suces !
Je me laissai tomber en avant et posais mes mains sur les hanches de l'homme nu. Nouveau coup de fouet.
- Les mains dans le dos !
J 'ouvris la bouche, et l'homme noir, saisissant sa grosse pine, la glissa dans ma bouche. Mes lèvres glissèrent immédiatement vers son pubis. Quand elles touchèrent ses poils, le noir posa ses mains sur ma nuque, et ses reins se mirent à onduler. On avait mis des miroirs, tout autour de nous. Des lampes s'allumèrent. Je pouvais me voir, la grosse queue coulissant entre mes lèvres écartelées par le gros manche.
Pendant que je suçais, le gros noir me passa des menottes. Puis, une corde munie d'un anneau descendit du plafond. Il accrocha l'anneau à mes menottes, et je fus hissé assez haut afin que je tienne sur mes pieds. Le gros tortionnaire se présenta face à moi, déploya son fouet, puis passa derrière moi. J'attendis, tendu le premier coup. Il ne venait pas. Que se passait-il. Un moment, je crus qu'il était parti. C'est au moment où je me suis détendu, que la lanière a sifflé. Une brûlure bien connue cingla mes fesses.
Je savais ce qui allait m'arriver. Une autre grosse bite chercha son chemin entre mes lèvres. Son propriétaire saisit mes cheveux. La première, était toujours dans ma bouche. Le gros gland, poussé de force, força le passage entre mes dents, et, toutes deux essayaient de s'enfoncer dans ma gorge.
Une voix féminine s'éleva :
- Eh bien, et ça se dit un mec ? Même pas capable d'avaler deux bites !
Elle était plus grande que moi, coiffée comme Serena Williams. Sauf que, elle, était à poil, vêtue uniquement d'un énorme braquemart en plastique. Elle avait des bras et des cuisses qui faisaient deux fois les miens. Elle me saisit aux hanches, et la corde se détendit. Elle écarta mes fesses, et posa le gland factice sur mon petit trou. Le godemiché était recouvert de petites aspérités, comme du papier verre. Chaque fois qu'elle enfonçait son engin dans mon cul, elle m'arrachait un cri. Bientôt, le sang jaillit.
Pour jumeler les sensations, le bourreau, vêtu de noir, me décrocha du plafond, et me courba sur l'accoudoir d'un canapé, amené spécialement pour cet usage. Il me fouetta les fesses jusqu'au sang.
Déchiré de toutes parts, le gros noir me prit par la main et me releva. Il me dirigea vers un autre noir, allongé sur le dos, le sexe en érection. Je l'enjambai, et me laissai retomber, de manière à prendre la grosse bite dans le cul. Un second noir, me prit par les pieds, les tira en arrière, et plaqua mon torse, sur celui de mon enculeur. Il pointa sa grosse queue sur mon petit trou, et d'un puissant coup de reins, il envoya son gland, rejoindre son homologue, au fond de mon cul. Un troisième, puis un quatrième participants, se mirent à genoux autour de la tête de mon premier occupant anal, et me forcèrent à avaler les deux grosses pines.
Quand tout le monde eut fini de se soulager, ils m'ont jeté dehors, à poil, tout dégoulinant de sperme et de sang, avec juste mon slip.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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quelles conneries !