Titre de l'histoire érotique : Chéri, tu penses que je suis une salope ?

- Par l'auteur HDS Abadi -
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Chéri, tu penses que je suis une salope ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2013 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Chéri, tu penses que je suis une salope ?
"Chéri, tu penses que je suis une salope ?…" C’est en ces termes, qui correspondaient plus à l’expression d’une affirmation qu’à la traduction d’un doute, que s’exprima ma jolie maîtresse, alors qu’elle était alanguie sur le lit…
En ce début d’après-midi, nous venions de faire l’amour dans la chambre de l’hôtel habituel sur la zone commerciale à la sortie de Rennes.
Je m’étonnais de sa remarque :
- " Mais enfin chérie, qu’est-ce qui te fais dire ça ?!... "
-" Oh, rien de précis… C’est comme ça, lorsque je repense à des choses qui se sont passées il y a quelques années… " Dans la foulée, elle me fit le très joli récit suivant :

…" J’étais à l’époque avec mon premier mari, j’avais 27 – 28 ans. Nous venions d'emménager dans notre nouvelle maison avant que les travaux ne soient complètement terminés comme c’est souvent le cas. Et alors que nous occupions la maison, il y avait de temps en temps des ouvriers qui passaient pour venir faire les finitions de la maison.
Je me souviens, c'était l'été, un matin, Jojo mon mari était en voyage pour son travail ; il était commercial. Je m'apprêtais à aller jouer au tennis…. J’étais en train d’enfiler un léger polo directement sur la peau, sans soutien gorge pour être plus à l’aise, un mini slip blanc, et la jupette blanche de tennis, quand le téléphone sonna... Je décrochai du poste de la chambre.
J'eus l'agréable surprise d'entendre Jojo, qui ayant du temps devant lui, en profitait pour m'appeler. Très vite il me dit qu'il avait très envie que nous nous caressions ensemble, là maintenant, au téléphone... Je fus d’abord décontenancée, puis, plutôt très excitée par ses paroles… Dans le fond cela m’amusait et je me disais que je préférais qu'il se soulage ainsi avec moi plutôt qu'en me trompant avec une autre ! Aussi j’entrais bien vite dans le jeu. Je commençais à me caresser les seins à travers mon polo, puis assez rapidement, ma main libre se posa sur mon slip pour aller plus bas.
- " Déshabille-toi…, me dit-il. Mets-toi nue, chérie … Je veux te savoir à poil ; je t'imagine et c’est encore plus fort pour moi !"
Je fis ce qu'il me demandait et envoyai mon slip à l'autre bout de la pièce, puis me réinstallai sur le lit, allongée sur le dos, les jambes écartées, le combiné coincé sur mon épaule, les deux mains à hauteur de ma petite chatte, écartant les lèvres, titillant mon clito pour le faire saillir, je commençais à sérieusement m’échauffer quand soudain... La sonnette ! On sonne à la porte.
-" Qu'est ce que c'est ?" me demanda mon mari à l'autre bout du fil
-" Je ne sais pas, c'est à la porte, je vais voir..."
-" Oui, fais vite... Vas voir et reviens vite, chérie. J'attends..."
Sans prendre le temps de remettre mon slip, je descendis en catastrophe pour aller voir qui cela pouvait être, vêtue seulement de mon polo et de ma jupette blanche.
J’entrouvris la porte et passais la tête pour voir qui pouvait venir à cette heure de la matinée. Un homme de forte carrure s’encadrait dans la porte.
- " Bonjour madame, nous sommes venus prendre les dimensions de la pièce pour la moquette que nous devons venir vous poser en fin de semaine. C’est bien ici ? "
- " Ah oui, c’est vrai… je n'y pensais plus !... Oui, c’est ici, c’est la pièce là…, fis-je en leur montrant le salon. Je vous laisse, je suis occupée au premier… "
- " Ne vous en faites pas, nous allons nous débrouiller tout seuls… Ce sera vite fait… Et ne vous dérangez pas, en partant nous fermerons la porte derrière nous, ne vous inquiétez pas !..."
Bien évidemment, ça m'arrangeait... Très vite je remontais dans la chambre du premier pour rejoindre mon mari au téléphone.
- " C'était qui ? " me demanda-t-il
- " Les types pour la moquette, ils sont venus pour prendre les dimensions. J'avais complètement oublié qu'ils devaient venir aujourd'hui..."
- " Pourquoi "Ils" ?.... Ils sont plusieurs ?..."
- " Oui, ils sont trois... "
- " Hein ?!, continua-t-il surpris. Trois pour prendre des mesures ! Ca va pas ?! "
- " Oui, chérie, et ils viendront à dix pour la poser ", dis-je en plaisant.
- " Tu avais remis ton slip ? " me demanda t-il.
- " Euh… Euh…, non, fis-je surprise moi-même de ne l’avoir pas fait. Je n'ai pas eu le temps "
- " Quoi ?!... Ne me dis pas que tu es allé leur ouvrir le cul nu ?... "
- " Oui, mais… C’est que… Je ne pouvais pas faire autrement..."
- " Et ca t'excite d'être allée ouvrir à ces hommes, la chatte à l'air ?... Je vois ça !...", me dit-il. Sans doute très excité par cette situation imprévue…
- " Et ils ont vu que tu avais le cul à l'air ?..."
- " Non, tu penses ! Ils ne pouvaient pas le voir,... mais..." J’hésitais un instant.
- " Quoi ?... Qu’est-ce qu’il y a ?..." demanda t-il d'une voix impatiente.
- " Je ne sais pas trop mon chéri… je me rends compte maintenant que le plus vieux des trois regardait fixement ma poitrine, il a du voir que je n'avais pas de soutien gorge sous mon polo."
- " Ah bon, fit-il avec une légère inquiétude dans la voix… Et quand tu as monté l’escalier, tu ne crois pas qu'ils en ont profité pour essayer de regarder tes jambes et voir sous ta jupette ? "
- " Non, répondis-je, ils étaient certainement déjà entrés dans le salon quand j'ai commencé à monter l'escalier…"
- " Mais tu n'en es pas sûre ! " me dit-il. Je le savais aussi inquiet qu’excité. Il insista :
- " Ils ont certainement vu tes fesses, tu sais que ta jupe de tennis est très courte !..."
- " Non, tu exagères ; je ne crois pas !" lui dis-je, faussement indignée, mais je dois reconnaître qu’en moi-même, d'imaginer que ce qu'il me disait ait pu avoir lieu, m'excitait évidemment beaucoup. Il reprit :
- " Tu te caresses en ce moment, chérie ? "
- " Oui, bien sûr, mon amour… J'ai mis le haut parleur pour mieux t'entendre. J'aimes quand tu me parles et que je me caresse..." pour avoir les mains libres, j’avais posé le combiné sur l’oreiller à côté de ma tête.
- " La porte de la chambre est fermée ?... Mets-toi toute nue, chérie… Complètement !... Et maintenant tu te mets à plat ventre sur le lit, relève bien tes fesses, et imagine-toi que je suis derrière toi et que je te regarde… Là comme ça, ma chérie… Caresse-toi, les mains entre tes fesses… Branle-toi bien la chatte."
- " Oh oui, chéri… J'aime, tu te branles aussi, mon amour ?..."
- " Oh oui, oh lala, je bande pour toi..." dit-il d'une voix fiévreuse. Maintenant imagine, chérie, s’ils montaient et te voyaient dans cette tenue, fesses écartées, chatte béante en train de te caresser... Cela t’excite chérie ?... "
- " Oh, oui !!... Mais ils me viendront pas !" lui dis-je. Cependant cette idée extravagante m’excitait beaucoup… Et lui aussi sans doute ! Et pour l'exciter plus encore, j'entrai un peu plus dans le jeu et je lui dis :
- " Chéri, ils sont là… Tu veux que je te les décrive ?... Ils sont trois. Il y en a un vieux, un beau mec bien baraqué et un autre qui m'a plutôt l'air d'un beau gigolo qu'un poseur de moquette."
- " Fermes les yeux, et imagine qu'ils sont là, ils te regardent en train de te caresser... Maintenant, entre tes doigts dans ta chatte… Montre-leur comme tu es large et bien ouverte… Fais-leur voir que tu aimes sentir un gros morceau se frayer un passage dans ta chatte de salope !... Hein, chérie, c’est super, tu t'imagines leur tête ? "
- " Oh oui, chéri… Ils sont là… Ils me regardent me branler..." répondis-je, terriblement excitée.
Et là, je me lâchais. A quatre pattes , presque à plat vente, je me caressais la chatte de plus en plus fortement pour me faire jouir. Et j’insistais pour aller plus vite, me doutant que ce moment ne serait pas éternel et que mon mari ne pourrait rester éternellement au téléphone.
-" Tu aimes hein, ca t'excite... Ils se rapprochent de toi… Ils t'entourent… Relève le buste pour leur montrer tes seins de salope."
Je fis ce qu'il me disait, et là, relevant la tête, et ouvrant les yeux je vis, horrifiée, les trois hommes autour de moi, silencieux et avec un sourire vicieux aux lèvres...
Une main s'appliqua sur ma bouche pour m'empêcher de crier. Le plus vieux me fit immédiatement signe de relever le buste. D’abord interdite et morte de peur, je me rendis vite compte qu’ils ne voulaient pas de mal. Bien au contraire !... Juste à côté de ma tête j’entendis le zip d’une fermeture éclair. Mon regard glissa vers le bruit. L’un des hommes ouvrait sa braguette à 5 cm de mon visage... Le vieux me prenant sous les hanches me retourna sur le lit. J’étais livrée dans ma nudité à leurs regards concupiscents. J’étais à la fois effrayée et très excitée.
- " Que ce passe t-il ? " demanda mon mari à l'autre bout du fil, tu es toujours là ? Tu es déjà entrain de jouir ma salope… Allo !... Allo ? ".
Il me fallait répondre… L’homme qui me bâillonnait retira lentement sa main de ma bouche et me signe de me taire sur ce qui se passait là…
- " Allo !... Allo ? ". entendait-on dans le haut-parleur. Je m'entendis dire :
- " Oui, ils sont là chéri, ils m'entourent… Ils veulent voir mes seins."
- " Super ma chérie, je vois que cela t’excite aussi… Fais ce qu’ils souhaitent !... " Tout se passait désormais par gestes… Le vieux me fit signe d’écarter les cuisses pour qu’ils me voient bien. J’avais la chatte trempée… mon mari reprit :
- " Mets toi à quatre pattes, ouvre la bouche, et imagine-toi dans quel état ils sont, ils vont se déshabiller, et te caresser partout, tu vas avoir six mains pour ton joli corps de petite salope..."
Comme j’avais mis le haut parleur du téléphone, ils entendaient tout, et ainsi ils me faisaient faire à la lettre ce que disait mon mari... Très vite je sentis les caresses avides des hommes qui se précisaient sous les directives de mon mari. Lui, ne se doutait de rien et croyait jouer seul avec moi.
- " Oh non, pas tous ensemble, non !... Arrêtez, je vous en prie… pas le doigt là… Pas dedans !... Noooon !!... ", m'exclamais-je avec une certaine roublardise.
- " Tu aimes hein, petite pute, hein ! Ils sont partout, ils t'ouvrent les lèvres, ils te caressent la chatte."
- " Oh, ils m'écartent les fesses, ils me… Ils me caressent l'anus… Oh, j'ai honte, chéri, je ne veux pas, noooonnn... Pas là, pas dans le trou… Noooonn !!... Pitié !!..."
- " Oui, continue, dis-moi ce qu'ils te font, branle-toi bien ton petit chat."
- " Ils sont en train de se déshabiller, oh non, non, je ne veux pas, dis leur de partir !... Oh les salauds !!... Ils sont nus… Et ils sont monstrueux, ils ont de ces bites !... Des bites énormes, chéri !!... Noooon ! " Il est vrai que l’un d’eux le plus jeune, enfin le beau gigolo, était monté comme un âne ! Le plus vieux avait des couilles énormes et pendantes. Je ne pouvais en détacher mon regard tant j’étais impressionnée…
- " Oui chérie, j'aime quand tu parles comme cela… Continue ma salope ! Elles sont très grosses leurs bites ?... Tu voudrais qu’elles te baisent, hein ma cochonne ?!... Ca t'excite ? Ca te plaît hein, petite pute !... Tu vas les branler, maintenant… Dis, ils sont autour de toi ?... Oui ? Alors branle-les, leurs grosses bites ?"
- " Oui, ils sont là, ils veulent que je les prenne en main, ils se caressent sur mon visage !"
- " Mets toi sur le dos, tu en branleras un de chaque coté de ton visage, et le troisième vas se branler entre tes nichons ! Je sais que aimes ça, ma jolie coquine…"
Docilement, je me mis sur le dos, la tête au bord du lit. Les trois salauds, sans bruits se mirent aussitôt comme l’avait dit Jojo : un monta sur moi à califourchon et mit sa grosse queue bien au chaud entre mes seins ; les deux autres de chaque coté de ma tête, avec leur bite bien raide au-dessus de mon visage. Vicieusement, j'empoignai ces deux beaux membres qui m’étaient offert et je me mis à les lécher et les branler en cadence pendant que le troisième empoignant à pleine mains mes nichons, y faisait aller et venir sa pine au milieu de ma poitrine...
-" Fais bien tout comme s’ils étaient là ma chérie, hein !... J'aimerais t'entendre les sucer."
Ce ne me fut pas difficile de le satisfaire. Je les suçais, à fond, avec une avidité qui m'étonnait moi-même. Jojo aurait eu du mal de ne pas entendre !... J'y prenais un malin plaisir, les avalant puis les branlant, essayant à tout prix de les faire gémir, mais ceux-ci pris au jeu, faisaient des efforts pour ne rien dire, pour ne pas gémir et pour ne pas trahir leur présence auprès de mon mari qui assistait ainsi à son propre cocufiage sans même s'en douter !...
- " Oui, me disait-il, je sais que tu aimes ça hein, les sucer bien à fond… Et l’autre que fait-il ? Il se branle entre tes seins ?... N’est-ce pas que tu amies ça, coquine ?! "...
- " Oh, oui chéri ! ", je lui répondais la bouche pleine
- " Maintenant, ma petite salope, ils vont te prendre par tous tes trous."
- " Non, je ne veux pas, chéri !... Ils sont trop gros, ils vont me déchirer. Ils ont de si grosses bites ! Oh chéri, si tu les voyais !..."
- " Ah oui, si seulement je les voyais …, soupira t-il. Mais non, allez, installe-toi sur le premier, prends sa bite, enfonce-là toi bien à fond dans ta chatte… Tu aimes hein, te faire pénétrer par une grosse queue bien raide !..."
Usant de mille précautions pour ne pas trahir leur présence, le premier s'installa sur le lit, la verge dressée, et me fit signe de l'enjamber. Il me regarda m'enfoncer sur son gros pieu dressé. Il avait les yeux fixés sur ma chatte humide et chaude, heureux de pouvoir baiser une bourgeoise et de voir sa grosse bite dressée s'enfoncer dans le con d'une femme "bien", d'une femme mariée plutôt jolie, et jeune, la femme d'un patron, d'un "riche", quoi !...
Le plus vieux s'approcha alors de ma bouche pour se faire sucer... Il avait une bite massive, courte et épaisse, difforme aussi avec le gland énorme et tout cabossé. Il sentait fort le vieux mâle et l’urine… Le sucer ne m'enchantait pas vraiment, mais je préférais ça, plutôt que de me faire enculer par ce vieux dégoûtant... Je l'avalais donc, sinon avec gourmandise, du moins avec résignation. Je n’avais pas trop le choix, au vu des circonstances. Cependant, je dois avouer, malgré mon amour propre, qu'après quelques va-et-vient de sa bite dans ma bouche, je me mis à le sucer avec la même avidité que les autres...
L’autre type sous mes cuisses écartées, me baisait de la plus belle façon. Putain que c’était bon ! Cela me changeait de mon Jojo… Il avait une bite bien longue et bien grosse qui s’enfonçait loin dans ma matrice, butant et tamponnant au fond à chaque fois que je m’enfilais dessus… Je sentais que ma mouille coulait abondamment de mon con ouvert et forcé. Je pouvais apercevoir entre mes jambes mon jus couler sur la racine de sa bite et sur ses couilles.
Bientôt le vieux sortit son gros sexe d'entre mes lèvres et me contourna pour venir se placer derrière moi. Mon intuition ne m'avait pas trompée. Sans ménagement, prenant appuis sur mes reins, il s'accroupit derrière moi tout en me faisant basculer en avant et je sentis son gros gland difforme venir appuyer doucement mais fermement sur ma rosette.
- " Non, je ne veux pas, il est trop gros, il va me faire mal ! Chéri, dis-lui de ne pas me forcer le petit trou comme ça !..."
- " Si, si, ma chérie, continue !, me suppliait mon mari qui de toute évidence était en train de s'astiquer énergiquement. J'aime t'entendre… Je me branle en imaginant un gros gland en train de s’enfoncer ton joli petit cul !... Là, oh, c’est extra !... Je m'imagine que tu te fais enculer devant moi."
- " Aaahhh !...Nnoonnn ! Non, il est trop gros, il va me défoncer… Me déchirer le cul ! Oohh!!!...... Oh, jamais je n'aurais cru cela possible… Il est entré…, il est en moi, chéri… Je le sens dans mon cul, il se frotte contre l'autre devant... Ooohhh !, comme il est gros le salaud ! Huuummm... C'est bon !..."
- " Tu vois ! Tu aimes hein ?!... Tu te fais prendre par deux bites, c'est meilleur que ma bite et ton gode, non ?... Dis, chérie ?"
Les trois comparses s'étaient regardés, étonnés de cette révélation : ainsi la salope que j'étais, avait un gode !... Pour pouvoir répondre à mon mari, je repoussais doucement la bite du troisième gars qui debout sur le lit en face de moi, s’était enfoncé d’autorité dans ma bouche :
- " Oh, oui, chéri… Ils sont plus gros, je les sens bien ... Oh lala ! "
- " Maintenant tu vas sucer le troisième, j'aimerais t'entendre l'avaler et le sucer bien à fond. On va jouir ensemble, tu veux !?"
- " Oui, il est là, devant ma bouche…, mmumm, mmuunnn !..."
- " Oui, j'aime t'entendre... Tu sais y faire, salope !... On dirait que tu le suces vraiment !"
La suite ne fut plus qu'une succession de gémissements et de succions, les trois gars s'en donnaient à cœur joie (si toutefois le cœur à quelque chose à voir là dedans...). Sentant la jouissance proche, je sortis la verge de ma bouche pour me laisser aller à mes gémissements de plaisirs. Ma main continuait à le branler, dirigeant sa verge vers ma bouche ouverte
- " Ooouuiii , c'est bon, je vais jouiiiirrrr !!
- " Oh oui, j'adore t'entendre jouir… Moi aussi je vais jouir, ça viens, Ah salope, je jouiiis !!!"
- " Oui, chéri viens, je veux ton sperme dans ma bouche, je sors ma langue…" Joignant le geste à la parole, je me mis à branler la bite du type comme une forcenée pour la faire jouir sur moi, sur ma langue sortie et sur mon visage...
- " Oui, oui, viens, je te veux !..."
Le type déchargea sur moi, m’inondant de son foutre chaud. J’en avais partout : la bouche, le visage, le cou, les seins… Devant un tel déluge, je partis moi aussi en vrille et je déchargeais sur les bites de mes deux fouteurs.
- " Oh oui, je jouis !.... Ooouuiii !!!... Oh c'est bon, et toi, tu jouis, chéri ?..."
- " Oui... Oh, c'était extra... formidable !..."
Le premier à lâcher sa purée dans l’instant qui suivi, fut le vieux qui me déchargea sa liqueur brûlante dans les entrailles. L’autre en dessous suivit de près et m’inonda le con avec plusieurs jets de sperme qui me mirent l’intérieur en surpression… Puis les trois bites sortirent lentement de tous mes trous en se ramollissant doucement. J’étais remplie, comblée et rompue… J’entendis de nouveau Jojo qui se manifestait au téléphone :
- " Chérie ?... Chérie ?... Au fait, les ouvriers, sont-ils partis ?...
- " Oui, mon amour, ils sont partis…", lui avouai-je, éreintée.
- " Tu es sûre ?... Parce que tu as joui si fort, qu'ils auraient tout entendu... Ca hurlait si fort dans le téléphone !..."
- " Non, chéri, sois tranquille. J’ai entendu la porte se refermer derrière eux… Ils ont dit qu'ils reviendraient mercredi prochain pour poser la moquette… "
Je l'embrassai, par téléphone interposé, et raccrochai le combiné.
Pendant ce temps, les trois types se rhabillaient devant moi... "

Après ce récit, j’étais dans un tel état et elle m’avait tellement excité par son histoire que je l’ai sucée et baisée à fond pendant le reste de l’après-midi, en me disant :
" Alors oui, pour faire un truc comme ça, il faut vraiment être une salope ! "
Et c’est sûr, elle l’était !…
Mais quoi, je n’allais pas m’en plaindre, non ?!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Excellent, belle imagination, continuez à écrire.

Histoire Erotique
Très très bien écrit
Voici un récit original, bravo

Augustin



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Chéri, tu penses que je suis une salope ?
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