Titre de l'histoire érotique : Cyber sexe
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 81 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Akileditu ont reçu un total de 434 659 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 695 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Cyber sexe
Peu de temps après mon aventure au jacuzzi ( « jacuzzi et plus si…), comme convenu entre nous, je parlais à Paulo, au téléphone, de mon aventure ? Comment prit-il cela ? Difficile à dire quand on n’est pas face à face….
Le lendemain, je reçois un SMS qui me demande de me brancher sur Skype vers…4 heures du mat. Je règle mon portable pour me réveiller en pleine nuit. A l’heure dite, on se connecte. Il apparaît à l’écran dans une suite d’hôtel assez chicos. Dans un large pano, il me montre la vue qu’il a depuis ses fenêtres : la skyline de New York ! Lucky man ! Puis il commence à se déshabiller pour ne garder que son mini slip orange, liseré bleu. Il s’assied dans un large fauteuil, face caméra, jambes écartées. Il commence à se toucher doucement. Je vois son slip qui gonfle légèrement. Il écrit quelque chose sur une feuille et la montre à la caméra. « You miss me ! I want you ! » ( Tu me manques ! J’ai envie de toi ! ). Il a plongé sa main dans son slip et se malaxe doucement la bite en me regardant droit dans les yeux.
« -Show me too ! » ( Montre moi aussi )
Je dégage le drap et lui livre ma nudité en un long travelling. Je me touche le gland déjà luisant, porte la cyprine à mes lèvres et lui envoie du bout de mes lèvres. Sa bite dressée dépasse largement du mini slip. Il se caresse voluptueusement. On dirait qu’il veut m’offrir ces caresses. Il fait glisser son slip à mi-cuisses et déplace sa cam pour me montrer sa bite sous différents angles. Il se met à se branler lentement et à se doigter en même temps. Tout ceci ne me laisse pas indifférent, bien entendu. Je laboure doucement le matelas comme si je ramonais quelqu’un –lui-. Il ferme les yeux, concentré sur ses sensations, la bouche légèrement entrouverte. Il augmente la cadence de sa main. Il s’arcboute légèrement, se décollant du fauteuil. Il s’est passé deux doigts. Je vois son gland décalotté, luisant de mouile. Il s’y mouille les doigts et les porte à son trou. Il a encore accentué la vitesse de son va et vient sur sa bite. Il ne doit pas être loin de jouir. Ce qui m’étonne de sa part, vu qu’il est plutôt endurant habituellement. Serait-il sous pression ? Je l’entends haleter. A voix haute, je l’encourage à prendre du plaisir, le maximum de plaisir. Moi-même, j’ai augmenté la vitesse de mes frottements sur le drap… Maintenant, il est carrément déchaîné sur sa bite. Il se branle à toute vitesse, des deux mains. Il rugit. Je vois nettement sa bite tressaillir et envoyer trois longs jet de sperme blanc sur son torse. Moi-même, je suis sur le point de juter. J’inonde le drap d’une belle flaque de foutre chaud. Je déplace aussitôt la cam pour lui montrer . Il a ralenti sa cadence mais continue encore à se branler de plus en plus lentement. Puis, il se met à étaler son sperme sur ses pecs, à le porter à sa bouche, à sucer voluptueusement ses doigts. Oui, on a joui tous les deux, presque en même temps, à 6000 kilomètres de distance ! On s’est vu jouir. Mais la technologie remplacera-t-elle jamais le contact, la chaleur des peaux, les odeurs, le toucher… ?
C’est alors que Paulo me fait signe qu’on frappe à sa porte. A peine surpris, il réenfile son slip, encore tout luisant de son foutre et va ouvrir ! C’est tout Paulo ça. A l’aise partout, en toutes circonstances. C’est sûrement son métier de top qui lui a appris ça. C’est le « room service ». Un jeune Latino- plein de gel, celui des cheveux-, qui amène deux grandes bouteilles d’eau. Il marque un temps d’arrêt en voyant - en admirant- Paulo en slip. D’autant plus que l’odeur de sperme a du lui sauter à la gorge… Je vois nettement les regards furtifs qu’il lance à Paulo. En posant les bouteilles sur la table basse, il voit forcément l’écran et moi dessus, totalement nu. Il marque un temps d’arrêt. Par jeu, je décide de le chauffer un peu. Je plonge mes deux mains sous mon ventre et me malaxe la bite doucement. Paulo a vu, a compris et réagit immédiatement en plongeant, nonchalamment, la sienne dans son slip ! Un sourire apparaît sur le visage du serveur. Il pose très lentement les deux bouteilles juste à côté de l’écran. Très pro, mais peut-être avec un gros effort, il demande à Paulo, dans un sourire éclatant :
« -Anything else, Sir ?
–No, por ahora, mi pequeno…May be…this night ? ( Pas pour le moment, mon petit. Peut être cette nuit ?)
-…No problem, Sir. I finish at six o’clock ! ( Je finis à six heures)
-OK, at six o’clock !! » ( D’accord, à six heures).
Alors là, plus gonflé, ça n’existe pas. Pas froid aux yeux le Latino ! Et très pro en plus ! Après son service !
Paulo me redonne RDV dans huit heures de cela, sur Skype. A la fin du service du room service. Depuis qu’on se connait, on a eu et on aura encore des aventures, chacun de notre côté. On a convenu de tout se dire. Mais, c’est quand même la première fois que Paulo me prévient AVANT…Maintenant, il me convie aussi à assister…par cam interposée…
Il va s’allonger sur son lit, nu, plaçant sa cam pour que je puisse voir tout le haut de son corps, jusqu’à sa bite. Il me souhaite de me rendormir un peu. Je lui souhaite une bonne nuit. Je ne replonge pas tout de suite dans le sommeil. Je préfère le regarder encore et encore, s’endormir tout doucement. Quel corps ! Quelle beauté ! C’est vrai qu’il en a fait son métier. Je caresse doucement l’écran…Je règle mon tel sur midi. Mais je me réveille bien avant midi. Vers midi, je me rebranche sur Skype. Il a laissé tourner et dort encore ? Vers 12heures 20, j’entends frapper à sa porte. Il n’émerge pas tout de suite. Finalement, il bondit du lit, nu comme un ver et va ouvrir la porte ! Cette scène là, je ne l’ai pas vue à l’écran mais je l’imagine très bien. Paulo à demi réveillé mais qui sait très bien à qui il va ouvrir. Il ouvre… Le Latino, stupéfait met quelques secondes à reprendre ses esprits mais n’arrive pas à détacher son regard de la bite complètement rasée et à moitié bandée de Paulo. Ils arrivent dans la pièce où est la cam. C’est trop drôle. Ils sont là, face à face, l’un complètement nu et l’autre complètement habillé, sans trop savoir quoi se dire. J’ai alors l’idée de prendre les choses en mains. Un peu à la manière d’un réalisateur de films. On peut déjà deviner quel genre de film ça risque d’être ! Je dis à Paulo de mettre à l’aise son invité. Le Latino a aussi compris qu’il allait être sous mon regard aussi. Paulo, très à l’aise, commence à le débarrasser de son bombers. Il y met même assez de sensualité, je trouve. L’e gars se laisse faire. Après tout, il est bien venu pour ça. Puis il lui retire son sweat à capuche, très lentement, par le haut. Ne reste plus que le tee shirt blanc immaculé qui laisse deviner un torse bien découplé. Paulo glisse ses mains sous le fin tissu, caresse ses tétons et le glisse doucement vers le haut…Ce que ça découvre est vraiment trop joli. Le torse bien taillé de quelqu’un qui fait sûrement de la gym, recouvert d’une jolie toison brune, rase mais fournie. Il lui demande même de se rapprocher un peu de la cam pour que je le voie mieux. Il me découvre alors, en shortcut bleu turquoise. J’indique à Paulo qu’il serait temps qu’ils fassent connaissance. Il s’appelle Rodrigo, il vient de Cuba. Paulo en profite pour me présenter aussi. La situation, inhabituelle, n’a pas l’air de lui déplaire, au contraire. Il faut continuer le strip. Il lui fait glisser chaussures et chaussettes basses et s’attaque au jean. Paulo est parfaitement dans son rôle et, en plus, comme je lui donne mon « consentement » en le dirigeant, tout va bien. Il dénoue la ceinture bien bien lentement et ouvre, un à un, les boutons de la braguette. On devine déjà, au renflement du jean que la surprise, risque d’être…de taille. De belle taille, la bite de Paulo l’est aussi, complètement bandée et dirigée vers Rodrigo. Il échancre un peu. Du tissu rouge apparaît. C’est le haut du slip. Continue, Paulo ! Continue ! il découvre encore un peu plus. Un beau sous vêtement, à la forme très slippée, se dessine. Rouge vif et bien déformé par la « bosse » qui est à l’intérieur. Il fait glisser le jean vers le bas en caressant l’intérieur de ses cuisses au passage. La « barre » cachée sous le slip brésilien s’allonge de plus en plus vers la hanche droite. Paulo va chercher la cam mobile et commence à la balader tout autour du « modèle ». Ca fait de belles images. Rodrigo regarde à l’écran sa propre bite gonfler, gonfler…Elle commence à écarter l’élastique du ventre. Paulo zoome sur l’ouverture. On y décèle une forêt de poils noirs. Rodrigo a l’air d’apprécier tout ce scénario de strip. Ca y est ! L gland s’est faufilé sous l’échancrure de l’aine et dépasse, luisant.
Paulo, ça vous dirait une petite douche à deux ? Il entraîne Rodrigo vers la salle de bain en le tirant gentiment par l’élastique de son slip. Il réinstalle le matos et laisse la porte de la douche ouverte, pour que je puisse voir. Paulo, à genoux, glisse ses mains sous le tissu par les deux côtés. Ce qu’il sent sous sa main doit le réjouir car il se retourne vers la cam et me fait un clin d’œil appuyé. Il dégage le haut et fait glisser tout doucement vers le bas… La bite, trop longtemps contenue, s’éjecte d’un seul coup du tissu et se dresse fièrement vers le haut, émergeant d’une énorme touffe de poils noirs. C’est encore mieux que ce qu’on avait osé imaginer. La taille est …impressionnante et encore elle est un peu cachée par la touffe de poils. Je suis sûr que Paulo est déjà entrain d’imaginer se faire labourer par un tel engin. Paulo bande comme un fou. Il renifle le slip avant de le mettre de côté. Je sais déjà ce qu’il va probablement proposer à Rodrigo. Ils sont maintenant nus tous les deux, face à face. Leurs bites se touchent par les glands. Le large sourire de Rodrigo dit tout. Il apprécie. Paulo enclenche le jet qui les inonde tous les deux. Paulo se colle lentement contre Rodrigo et cherche ses lèvres. Trop belle image. J’ai un petit pincement au ventre. Rodrigo lui rend son baiser en lui prenant la tête et en le tirant tout contre lui. Il faudrait peut être penser à se laver ? J’interviens un peu de la voix pour les « diriger » à nouveau. Ils coupent l’eau et commencent à s’enduire de gel de douche, l’un l’autre. Je dirais plutôt qu’ils se caressent mais bon il faut bien mettre du savon partout… D’ailleurs, Rodrigo se met à participer plus activement. Ca le branche bien, visiblement. Ils refont couler le jet pour se rincer. C’est alors que Paulo demande à Rodrigo si ça lui dirait une « coupe » comme la sienne, sur ses poils. Faut dire qu’il en a pas mal, des poils. Sa ligne de poils est fabuleuse et sa touffe noie complètement ses couilles et la base de sa bite. Mais, on ne se débarrasse pas ainsi d’une si belle toison. Ils discutent un peu et finissent par se mettre d’accord. Paulo attaque au ciseau et au peigne sur la toison. Il dégage complètement les couilles et désapaissit fortement la toison pour ne laisser qu’une ligne qui file du nombril à la bite, rase. Il dessine un arc sur le pubis, ras lui aussi.. la phase la plus délicate commence alors avec la finition, au rasoir mécanique, de la base de la bite et de la raie. Tout se passe bien. Paulo en a quand même profité pour tenir fermement la bite de Rodrigo. Pour ne pas qu’il se coupe, bien sûr. En fait, elle tenait très bien toute seule. Du coup, ainsi dégagée, sa bite paraît encore plus grande. A l’œil, je dirais dans les 20/21 cm ! Très très bien monté le Rodrigo et sûrement très fier de ce qu’il a entre les jambes. Y’a de quoi. Paulo en profite pour lui demander s’il peut fignoler sa raie à lui. La touffe de polis à terre est impressionnante. Poubelle !
« -Hi, guys ! Now, I think you need blowjobs, no ? » ( Hé, les gars. Maintenant, vous avez bien besoin d’une fellation, non ?)
Je suis sûr qu’ils attendaient tous les deux cette scène là. Paulo remet le jet et glisse lentement vers le bas afin d’avoir en bouche cette bite d’anthologie. Il s’y prend doucement, sensuellement. Il me fait bander comme un fou, tant j’aimerais être à la place de Rodrigo. Il commence par lui lécher les couilles. La sensation est nouvelle pour Rodrigo qui a l’air d’apprécier un max… Puis Paulo lui mordille doucement la base de sa bite en remontant vers le gland. Arrivé au gland, il le gobe d’un coup. Rodrigo sursaute, attrape ses cheveux et le plaque fortement contre son ventre… Paulo se délecte d’un tel morceau. Ses mains s’affolent sur les fesses de Rodrigo. C’est sûr que pour la gorge profonde, ça va être coton. Paulo a l’air aux anges, complètement affairé à sa pipe. Rodrigo ondule du bassin. Paulo branle lentement la bite de Rodrigo de ses deux mains superposées, le reste est dans sa bouche Je suis captivé par le spectacle, une main dans mon slip à me caresser. J’oriente ma cam pour bien leur montrer mon état et les exciter encore plus si besoin était. Au bout d’un bon moment, ils décident d’inverser les rôles. Paulo se redresse et Rodrigo s’agenouille. D’emblée, il prend Paulo en bouche, bien énergiquement. A le voir s’activer, on devine tout de suite que ce n’est pas la première bite qu’il suce. Contrairement à Paulo, il y va carrément et énergiquement. Mais, il ne veut pas le faire jouir ainsi, en tous cas, pas tout de suite. Il veut que ça dure. C’est meilleur ! Du bout de ses doigts, il caresse déjà la raie de Paulo, cherchant à lui exciter la rondelle. Paulo écarte les jambes, bien volontiers. J’entends Paulo qui râle de plaisir ; il est temps de les faire passer à la séquence suivante. Je leur demande de se sécher. Ce qu’ils font mutuellement en se caressant et en s’embrassant de plus en plus souvent…
« -Now guys, asession of rimming ! » ( Maintenant les gars, vous vous léchez la raie, OK ?)
Pas besoin d’explications. Ils savent très bien tous les deux de quoi il s’agit. Ils s’allongent sur le lit, Paulo dispose sa cam à portée de main et Rodrigo propose sa raie à la bouche de Paulo. Il s’est mis en levrette, la tête dans l’oreiller. Paulo a sûrement décidé de lui montrer l’étendue de sa palette car il y va très progressivement. Il lui fait écarter les jambes et glisse sa tête sous son bas ventre. Il commence par lui lécher les couilles, puis le périnée. Il approche sa bouche de son trou et lui souffle de l’air chaud. Maintenant, il lui lèche complètement la raie à grands coups de langue, de bas en haut. Rodrigo écarte ses globes de ses deux mains du mieux qu’il peut. Puis, il se concentre sur sa rondelle. Des petits coups de langue pointée, des grands coups de lèche, un peu de doigt. Rodrigo glousse d’aise. Puis Paulo accentue la pénétration de sa langue, en de rapides va et viens. Rodrigo exulte. Le cul de Rodrigo est fabuleux, lui aussi. Une super cambrure de reins et deux magnifiques globes rebondis.
Rodrigo propose alors à Paulo une nouvelle position, le 69. Comme ça, chacun pourra se rendre la pareille. Ils font bien attention de se mettre dans la meilleure position par rapport à la cam. Des pros, je vous dis ! Merci les gars ! Je suis sûr que ça doit les exciter encore plus de se savoir observés. Rodrigo doit lécher super bien car Paulo en soupire d’aise. Peut être en fait-il un peu aussi pour la cam ? Pas sûr, il a l’air vraiment dedans. Mais le fait de savoir que je le vois doit rajouter à son plaisir. Et ça ondule du bassin, et ça halète, et ça glousse de plaisir ; ils se donnent un max de plaisir tous les deux. Mais bien sur, tout ceci ne sont que des préliminaires. Il faut entrer dans le vif du sujet, comme on dit….
« -And now, the fucking session guys ! Each one ! With condoms guys, with condoms ! » ( Et maintenant vous vous baisez les gars. Chacun son tour. Avec présevatifs les mecs)
Paulo a l’air un peu surpris par ma demande mais ils déroulent chacun leur préservatif et demandent à l’autre de leur enfiler. Au passage Paulo regarde l’emballage de celui de Rodrigo : XXL . Il montre le sien : XL. Paulo aurait-il enfin trouvé son maître ? ils en rigolent tous les deux. S’ensuit une bonne séance d’enduisage de gel-le vrai- sur la bite de Rodrigo et sur le trou de Paulo car il lui a demandé de commencer…Depuis le temps que Paulo doit rêver de se faire défoncer par cet engin et depuis le temps que Rodrigo doit fantasmer sur le cul de Paulo. Donc, tout va bien. Paulo se met en levrette, prêt à se faire doigter et dilater. Rodrigo y va avec beaucoup de douceur et ???de savoir faire. Un doigt, puis deux. Il attrape un gode qui trône sur la table de chevet et qui accompagne Paulo partout où il va. Il commence ses poussées sur la fleur de Paulo qui s’ouvre petit à petit. Il sait que, vu son gabarit, il a intérêt à soigner sa préparation s’il ne veut pas faire souffrir Paulo. Ce qu’il n’a surement pas l’intention de faire. Il fait tourner le gode, l’enfonce lentement et le retire. Le coulissage se fait maintenant de plus en plus facilement. Il peut maintenant présenter son gland et commencer sa poussée. Ca ne rentre pas tout de suite. Il reprend le gode et le fait tourner de plus belle. Il réessaie. Un petit cri de Paulo. Ca y est, il a passé son gland. Il ne bouge plus. Depuis le temps que Paulo rêvait de sentir cette bite là…Il attend que la douleur se dissipe puis commence sa progression très très très lentement. Finalement, il peut être aussi très doux, Rodrigo. A chaque fois, qu’il se recule, il s’enfonce davantage après. Est-ce la première fois que Paulo en reçoit une aussi grosse et aussi longue ? Au fur et à mesure, son limage devient de plus en plus aisé. Faut dire qu’il y est allé très progressivement. Paulo couine de plaisir. J’aimerais tant être à côté de lui dans ce moment là. Maintenant Rodrigo laboure Paulo puissamment et régulièrement. Rodrigo se retire et vient s’allonger sur le dos. Paulo a compris. Il vient s’empaler doucement sur cette fabuleuse tige. Paulo se tortille de plaisir en coulissant sur sa barre. Parfois, c’est Rodrigo qui remonte son bassin pour venir embrocher Paulo par le dessous. Encore un changement de position. Paulo, à l’équerre, appuyé contre le mur vient coulisser sur la tige de Rodrigo qui ne bouge plus. De bien belles images. A l’aise tous les deux, le pistonnage peut continuer de plus belle. Rodrigo remet Paulo en levrette sur le lit et commence à le trombonner sérieusement, puissamment. Il augmente la cadence/ Paulo couine sans discontinuer. Il se met à dodeliner de la tête. Encore plus vite. Paulo a l’air de partir en live. Rodrigo a l’air d’en avoir encore sous le pied. Il accélère encore. Paulo se met à taper du poing, la tête enfouie dans l’oreiller.
« -It’s OK ? »
Pour toute réponse, Paulo a attrapé les fesses de Rodrigo et les a tirées violemment vers lui. Il en redemande. Il est entrain de prendre un pied d’enfer.
« -Come on, Rodrigo, come on ! Fuck me ! Fuck me !! »
Rodrigo a l’air un peu surpris de le mettre dans un tel état et, en même temps, ravi et flatté. Moi, j’ai une boule au ventre. Je crois bien que je n’ai jamais réussi dans cet état là. Paulo a toujours été « sonore », mais là…Du coup, Rodrigo maintint la cadence. C’est qu’il a de la ressource, de la jeunesse et de la fougue. Paulo se met à hurler de plus en plus fort. Il crie des mots incompréhensibles, se tire les cheveux comme s’il voulait se les arracher….Impressionnant ! C’est sur, Rodrigo doit lui chauffer à blanc la prostate. Paulo ondule de tout son corps, par vagues et pousse un grand cri. Il a joui du cul. Terrible… C’est pas encore le cas pour Rodrigo mais ça vient. Il est totalement en sueur. Une dernière crispation et il se vide dans son préservatif. Il continue à le limer en ralentissant considérablement puis s’écroule sur le dos de Paulo, à bout de souffle. Son visage est radieux. Il a eu ce qu’il voulait. Paulo le laisse récupérer, enfoncé en lui. Au bout d’un bon moment, il se retire lentement. Paulo lui en lève le préservatif, le répand sur sa toison et commence à l’enduire avec. C’est son truc, ça, étaler le sperme. Rodrigo a l’air intrigué mais, amusé, il laisse faire. Paulo étale bien le tout puis il fait sucer ses doigts, un à un par Rodrigo, amusé par l’idée. Ils restent ainsi un bon moment, enlacés tous les deux. Ils ont autant besoin de récupérer l’un que l’autre. Paulo n’a pas déchargé mais il a joui autrement, et comment. Rodrigo attend que l’envie lui vienne. Lui aussi a envie de se faire défoncer par Paulo. De sa main, il entretient la forme de Paulo qui n’a pas vraiment besoin de ça.
Ca y est. Paulo a l’air à nouveau d’attaque. Rodrigo en profite pour l’enduire copîeusement de gel –celui pour les bites-. Il dirige la main de Paulo vers son trou pour se faire doigter. Un doigt passe tout de suite. Du coup, Paulo attrape le gode. Gel et poussée. Ca passe. Rodrigo souffle et sourit, ravi. Le gode est entré complètement. Rodrigo doit avoir, lui aussi, l’habitude d’accueillir des bites. Paulo va pouvoir le remplacer. Paulo force le passage en douceur. Il est en lui. Dan son ventre chaud, dans son fourreau d’amour. Il en rêvait. Il y est. Ils restent immobiles tous les deux, savourant l(instant délicieux. Paulo se met à le limer doucement. Il lui vient une idée. Il se retire complètement, farfouille dans le tiroir du chevet, trouve son anneau vibrant, se l’enfile et le met en marche. Puis il redresse Rodrigo sur ses genoux, lui fait écarter les jambes et le pénètre par en dessous, d’un seul coup. Il reste collé à lui, sans bouger. Rodrigo va ressentir la vibration de l’anneau sur sa rondelle t ça le questionne. Avec sa main, il tâte et cherche à comprendre.
« -Love technology ! » lui souffle Paulo, à l’oreille. Il n’a rien contre. Au contraire, il recherche le contact prolongé avec l’anneau magique.. Paulo, collé à son do, en profite pour lui agacer les tétons, les pecs, tirer sur sa ligne de poils, lui branler légèrement la bite. Rodrigo adore. Il a pris la main de Paulo et la maintient sur son sexe à lui. Paulo continue à le pistonner par en dessous. Puis il le retourne à plat dos, écarte au maximum ses jambes et embroche Rodrigo d’un seul coup d’un seul. Il a remarqué que Rodrigo adorait ça. Du coup, il lui en donne. A plusieurs reprises il ressort complètement et le défonce d’un seul coup. Puis il prend les jambes de Rodrigo et les pose sur ses épaules. Là, le cul et le trou de Rodrigo sont offerts, on ne peut mieux à ses coups de bite. Je sens que ça va être un festival, jusqu’à l’explosion finale. Je veux accompagner Paulo dans sa jouissance. Je lui signale que je commence à me branler, calqué sur son rythme à lui ; bien devant ma caméra. Paulo va le pilonner ainsi un long moment. Rodrigo monte en pression sous ses coups de boutoir. Sa bite a déjà repris un beau volume. Il se branle. Parfois c’est Paulo qui, collé à lui, ventre à ventre continue à le branler par son va et vient. Rodrigo souffle et couine, aux anges. Bien que fatigué, Paulo n’en continue pas moins ses coups de reins. Il adore ça la bite, Paulo. Il accélère. Il a soulevé Rodrigo en le tirant vers lui le plus possible. Rodrigo ondule en cadence, parfaitement synchrone. Enfin, il peut admirer Paulo en plein effort, le visage extasié, un beau sourire illuminant son beau visage. Cela fait maintenant plus d’une heure qu’il na pas débandé. Et en plus, il a joui du cul. Trop bien. Increvable Paulo. Il le pîlonne de plus en plus violemment. Je le connais, je sais qu’il vient. Moi aussi, je voudrais jouir en même temps que lui. Je m’active sur ma queue de toutes mes forces. Je viens avant lui. Est-ce cela qui a déclenché son orgasme à lui ? Je ne sais pas. Il décharge encore et encore, secoué de spasmes. Rodrigo a senti la chaleur du foutre dans le préservatif. Il a beaucoup beaucoup aimé mais n’est pas allé jusqu’au total délire comme Paulo…
Ce sera pour une autre fois ?
Le lendemain, je reçois un SMS qui me demande de me brancher sur Skype vers…4 heures du mat. Je règle mon portable pour me réveiller en pleine nuit. A l’heure dite, on se connecte. Il apparaît à l’écran dans une suite d’hôtel assez chicos. Dans un large pano, il me montre la vue qu’il a depuis ses fenêtres : la skyline de New York ! Lucky man ! Puis il commence à se déshabiller pour ne garder que son mini slip orange, liseré bleu. Il s’assied dans un large fauteuil, face caméra, jambes écartées. Il commence à se toucher doucement. Je vois son slip qui gonfle légèrement. Il écrit quelque chose sur une feuille et la montre à la caméra. « You miss me ! I want you ! » ( Tu me manques ! J’ai envie de toi ! ). Il a plongé sa main dans son slip et se malaxe doucement la bite en me regardant droit dans les yeux.
« -Show me too ! » ( Montre moi aussi )
Je dégage le drap et lui livre ma nudité en un long travelling. Je me touche le gland déjà luisant, porte la cyprine à mes lèvres et lui envoie du bout de mes lèvres. Sa bite dressée dépasse largement du mini slip. Il se caresse voluptueusement. On dirait qu’il veut m’offrir ces caresses. Il fait glisser son slip à mi-cuisses et déplace sa cam pour me montrer sa bite sous différents angles. Il se met à se branler lentement et à se doigter en même temps. Tout ceci ne me laisse pas indifférent, bien entendu. Je laboure doucement le matelas comme si je ramonais quelqu’un –lui-. Il ferme les yeux, concentré sur ses sensations, la bouche légèrement entrouverte. Il augmente la cadence de sa main. Il s’arcboute légèrement, se décollant du fauteuil. Il s’est passé deux doigts. Je vois son gland décalotté, luisant de mouile. Il s’y mouille les doigts et les porte à son trou. Il a encore accentué la vitesse de son va et vient sur sa bite. Il ne doit pas être loin de jouir. Ce qui m’étonne de sa part, vu qu’il est plutôt endurant habituellement. Serait-il sous pression ? Je l’entends haleter. A voix haute, je l’encourage à prendre du plaisir, le maximum de plaisir. Moi-même, j’ai augmenté la vitesse de mes frottements sur le drap… Maintenant, il est carrément déchaîné sur sa bite. Il se branle à toute vitesse, des deux mains. Il rugit. Je vois nettement sa bite tressaillir et envoyer trois longs jet de sperme blanc sur son torse. Moi-même, je suis sur le point de juter. J’inonde le drap d’une belle flaque de foutre chaud. Je déplace aussitôt la cam pour lui montrer . Il a ralenti sa cadence mais continue encore à se branler de plus en plus lentement. Puis, il se met à étaler son sperme sur ses pecs, à le porter à sa bouche, à sucer voluptueusement ses doigts. Oui, on a joui tous les deux, presque en même temps, à 6000 kilomètres de distance ! On s’est vu jouir. Mais la technologie remplacera-t-elle jamais le contact, la chaleur des peaux, les odeurs, le toucher… ?
C’est alors que Paulo me fait signe qu’on frappe à sa porte. A peine surpris, il réenfile son slip, encore tout luisant de son foutre et va ouvrir ! C’est tout Paulo ça. A l’aise partout, en toutes circonstances. C’est sûrement son métier de top qui lui a appris ça. C’est le « room service ». Un jeune Latino- plein de gel, celui des cheveux-, qui amène deux grandes bouteilles d’eau. Il marque un temps d’arrêt en voyant - en admirant- Paulo en slip. D’autant plus que l’odeur de sperme a du lui sauter à la gorge… Je vois nettement les regards furtifs qu’il lance à Paulo. En posant les bouteilles sur la table basse, il voit forcément l’écran et moi dessus, totalement nu. Il marque un temps d’arrêt. Par jeu, je décide de le chauffer un peu. Je plonge mes deux mains sous mon ventre et me malaxe la bite doucement. Paulo a vu, a compris et réagit immédiatement en plongeant, nonchalamment, la sienne dans son slip ! Un sourire apparaît sur le visage du serveur. Il pose très lentement les deux bouteilles juste à côté de l’écran. Très pro, mais peut-être avec un gros effort, il demande à Paulo, dans un sourire éclatant :
« -Anything else, Sir ?
–No, por ahora, mi pequeno…May be…this night ? ( Pas pour le moment, mon petit. Peut être cette nuit ?)
-…No problem, Sir. I finish at six o’clock ! ( Je finis à six heures)
-OK, at six o’clock !! » ( D’accord, à six heures).
Alors là, plus gonflé, ça n’existe pas. Pas froid aux yeux le Latino ! Et très pro en plus ! Après son service !
Paulo me redonne RDV dans huit heures de cela, sur Skype. A la fin du service du room service. Depuis qu’on se connait, on a eu et on aura encore des aventures, chacun de notre côté. On a convenu de tout se dire. Mais, c’est quand même la première fois que Paulo me prévient AVANT…Maintenant, il me convie aussi à assister…par cam interposée…
Il va s’allonger sur son lit, nu, plaçant sa cam pour que je puisse voir tout le haut de son corps, jusqu’à sa bite. Il me souhaite de me rendormir un peu. Je lui souhaite une bonne nuit. Je ne replonge pas tout de suite dans le sommeil. Je préfère le regarder encore et encore, s’endormir tout doucement. Quel corps ! Quelle beauté ! C’est vrai qu’il en a fait son métier. Je caresse doucement l’écran…Je règle mon tel sur midi. Mais je me réveille bien avant midi. Vers midi, je me rebranche sur Skype. Il a laissé tourner et dort encore ? Vers 12heures 20, j’entends frapper à sa porte. Il n’émerge pas tout de suite. Finalement, il bondit du lit, nu comme un ver et va ouvrir la porte ! Cette scène là, je ne l’ai pas vue à l’écran mais je l’imagine très bien. Paulo à demi réveillé mais qui sait très bien à qui il va ouvrir. Il ouvre… Le Latino, stupéfait met quelques secondes à reprendre ses esprits mais n’arrive pas à détacher son regard de la bite complètement rasée et à moitié bandée de Paulo. Ils arrivent dans la pièce où est la cam. C’est trop drôle. Ils sont là, face à face, l’un complètement nu et l’autre complètement habillé, sans trop savoir quoi se dire. J’ai alors l’idée de prendre les choses en mains. Un peu à la manière d’un réalisateur de films. On peut déjà deviner quel genre de film ça risque d’être ! Je dis à Paulo de mettre à l’aise son invité. Le Latino a aussi compris qu’il allait être sous mon regard aussi. Paulo, très à l’aise, commence à le débarrasser de son bombers. Il y met même assez de sensualité, je trouve. L’e gars se laisse faire. Après tout, il est bien venu pour ça. Puis il lui retire son sweat à capuche, très lentement, par le haut. Ne reste plus que le tee shirt blanc immaculé qui laisse deviner un torse bien découplé. Paulo glisse ses mains sous le fin tissu, caresse ses tétons et le glisse doucement vers le haut…Ce que ça découvre est vraiment trop joli. Le torse bien taillé de quelqu’un qui fait sûrement de la gym, recouvert d’une jolie toison brune, rase mais fournie. Il lui demande même de se rapprocher un peu de la cam pour que je le voie mieux. Il me découvre alors, en shortcut bleu turquoise. J’indique à Paulo qu’il serait temps qu’ils fassent connaissance. Il s’appelle Rodrigo, il vient de Cuba. Paulo en profite pour me présenter aussi. La situation, inhabituelle, n’a pas l’air de lui déplaire, au contraire. Il faut continuer le strip. Il lui fait glisser chaussures et chaussettes basses et s’attaque au jean. Paulo est parfaitement dans son rôle et, en plus, comme je lui donne mon « consentement » en le dirigeant, tout va bien. Il dénoue la ceinture bien bien lentement et ouvre, un à un, les boutons de la braguette. On devine déjà, au renflement du jean que la surprise, risque d’être…de taille. De belle taille, la bite de Paulo l’est aussi, complètement bandée et dirigée vers Rodrigo. Il échancre un peu. Du tissu rouge apparaît. C’est le haut du slip. Continue, Paulo ! Continue ! il découvre encore un peu plus. Un beau sous vêtement, à la forme très slippée, se dessine. Rouge vif et bien déformé par la « bosse » qui est à l’intérieur. Il fait glisser le jean vers le bas en caressant l’intérieur de ses cuisses au passage. La « barre » cachée sous le slip brésilien s’allonge de plus en plus vers la hanche droite. Paulo va chercher la cam mobile et commence à la balader tout autour du « modèle ». Ca fait de belles images. Rodrigo regarde à l’écran sa propre bite gonfler, gonfler…Elle commence à écarter l’élastique du ventre. Paulo zoome sur l’ouverture. On y décèle une forêt de poils noirs. Rodrigo a l’air d’apprécier tout ce scénario de strip. Ca y est ! L gland s’est faufilé sous l’échancrure de l’aine et dépasse, luisant.
Paulo, ça vous dirait une petite douche à deux ? Il entraîne Rodrigo vers la salle de bain en le tirant gentiment par l’élastique de son slip. Il réinstalle le matos et laisse la porte de la douche ouverte, pour que je puisse voir. Paulo, à genoux, glisse ses mains sous le tissu par les deux côtés. Ce qu’il sent sous sa main doit le réjouir car il se retourne vers la cam et me fait un clin d’œil appuyé. Il dégage le haut et fait glisser tout doucement vers le bas… La bite, trop longtemps contenue, s’éjecte d’un seul coup du tissu et se dresse fièrement vers le haut, émergeant d’une énorme touffe de poils noirs. C’est encore mieux que ce qu’on avait osé imaginer. La taille est …impressionnante et encore elle est un peu cachée par la touffe de poils. Je suis sûr que Paulo est déjà entrain d’imaginer se faire labourer par un tel engin. Paulo bande comme un fou. Il renifle le slip avant de le mettre de côté. Je sais déjà ce qu’il va probablement proposer à Rodrigo. Ils sont maintenant nus tous les deux, face à face. Leurs bites se touchent par les glands. Le large sourire de Rodrigo dit tout. Il apprécie. Paulo enclenche le jet qui les inonde tous les deux. Paulo se colle lentement contre Rodrigo et cherche ses lèvres. Trop belle image. J’ai un petit pincement au ventre. Rodrigo lui rend son baiser en lui prenant la tête et en le tirant tout contre lui. Il faudrait peut être penser à se laver ? J’interviens un peu de la voix pour les « diriger » à nouveau. Ils coupent l’eau et commencent à s’enduire de gel de douche, l’un l’autre. Je dirais plutôt qu’ils se caressent mais bon il faut bien mettre du savon partout… D’ailleurs, Rodrigo se met à participer plus activement. Ca le branche bien, visiblement. Ils refont couler le jet pour se rincer. C’est alors que Paulo demande à Rodrigo si ça lui dirait une « coupe » comme la sienne, sur ses poils. Faut dire qu’il en a pas mal, des poils. Sa ligne de poils est fabuleuse et sa touffe noie complètement ses couilles et la base de sa bite. Mais, on ne se débarrasse pas ainsi d’une si belle toison. Ils discutent un peu et finissent par se mettre d’accord. Paulo attaque au ciseau et au peigne sur la toison. Il dégage complètement les couilles et désapaissit fortement la toison pour ne laisser qu’une ligne qui file du nombril à la bite, rase. Il dessine un arc sur le pubis, ras lui aussi.. la phase la plus délicate commence alors avec la finition, au rasoir mécanique, de la base de la bite et de la raie. Tout se passe bien. Paulo en a quand même profité pour tenir fermement la bite de Rodrigo. Pour ne pas qu’il se coupe, bien sûr. En fait, elle tenait très bien toute seule. Du coup, ainsi dégagée, sa bite paraît encore plus grande. A l’œil, je dirais dans les 20/21 cm ! Très très bien monté le Rodrigo et sûrement très fier de ce qu’il a entre les jambes. Y’a de quoi. Paulo en profite pour lui demander s’il peut fignoler sa raie à lui. La touffe de polis à terre est impressionnante. Poubelle !
« -Hi, guys ! Now, I think you need blowjobs, no ? » ( Hé, les gars. Maintenant, vous avez bien besoin d’une fellation, non ?)
Je suis sûr qu’ils attendaient tous les deux cette scène là. Paulo remet le jet et glisse lentement vers le bas afin d’avoir en bouche cette bite d’anthologie. Il s’y prend doucement, sensuellement. Il me fait bander comme un fou, tant j’aimerais être à la place de Rodrigo. Il commence par lui lécher les couilles. La sensation est nouvelle pour Rodrigo qui a l’air d’apprécier un max… Puis Paulo lui mordille doucement la base de sa bite en remontant vers le gland. Arrivé au gland, il le gobe d’un coup. Rodrigo sursaute, attrape ses cheveux et le plaque fortement contre son ventre… Paulo se délecte d’un tel morceau. Ses mains s’affolent sur les fesses de Rodrigo. C’est sûr que pour la gorge profonde, ça va être coton. Paulo a l’air aux anges, complètement affairé à sa pipe. Rodrigo ondule du bassin. Paulo branle lentement la bite de Rodrigo de ses deux mains superposées, le reste est dans sa bouche Je suis captivé par le spectacle, une main dans mon slip à me caresser. J’oriente ma cam pour bien leur montrer mon état et les exciter encore plus si besoin était. Au bout d’un bon moment, ils décident d’inverser les rôles. Paulo se redresse et Rodrigo s’agenouille. D’emblée, il prend Paulo en bouche, bien énergiquement. A le voir s’activer, on devine tout de suite que ce n’est pas la première bite qu’il suce. Contrairement à Paulo, il y va carrément et énergiquement. Mais, il ne veut pas le faire jouir ainsi, en tous cas, pas tout de suite. Il veut que ça dure. C’est meilleur ! Du bout de ses doigts, il caresse déjà la raie de Paulo, cherchant à lui exciter la rondelle. Paulo écarte les jambes, bien volontiers. J’entends Paulo qui râle de plaisir ; il est temps de les faire passer à la séquence suivante. Je leur demande de se sécher. Ce qu’ils font mutuellement en se caressant et en s’embrassant de plus en plus souvent…
« -Now guys, asession of rimming ! » ( Maintenant les gars, vous vous léchez la raie, OK ?)
Pas besoin d’explications. Ils savent très bien tous les deux de quoi il s’agit. Ils s’allongent sur le lit, Paulo dispose sa cam à portée de main et Rodrigo propose sa raie à la bouche de Paulo. Il s’est mis en levrette, la tête dans l’oreiller. Paulo a sûrement décidé de lui montrer l’étendue de sa palette car il y va très progressivement. Il lui fait écarter les jambes et glisse sa tête sous son bas ventre. Il commence par lui lécher les couilles, puis le périnée. Il approche sa bouche de son trou et lui souffle de l’air chaud. Maintenant, il lui lèche complètement la raie à grands coups de langue, de bas en haut. Rodrigo écarte ses globes de ses deux mains du mieux qu’il peut. Puis, il se concentre sur sa rondelle. Des petits coups de langue pointée, des grands coups de lèche, un peu de doigt. Rodrigo glousse d’aise. Puis Paulo accentue la pénétration de sa langue, en de rapides va et viens. Rodrigo exulte. Le cul de Rodrigo est fabuleux, lui aussi. Une super cambrure de reins et deux magnifiques globes rebondis.
Rodrigo propose alors à Paulo une nouvelle position, le 69. Comme ça, chacun pourra se rendre la pareille. Ils font bien attention de se mettre dans la meilleure position par rapport à la cam. Des pros, je vous dis ! Merci les gars ! Je suis sûr que ça doit les exciter encore plus de se savoir observés. Rodrigo doit lécher super bien car Paulo en soupire d’aise. Peut être en fait-il un peu aussi pour la cam ? Pas sûr, il a l’air vraiment dedans. Mais le fait de savoir que je le vois doit rajouter à son plaisir. Et ça ondule du bassin, et ça halète, et ça glousse de plaisir ; ils se donnent un max de plaisir tous les deux. Mais bien sur, tout ceci ne sont que des préliminaires. Il faut entrer dans le vif du sujet, comme on dit….
« -And now, the fucking session guys ! Each one ! With condoms guys, with condoms ! » ( Et maintenant vous vous baisez les gars. Chacun son tour. Avec présevatifs les mecs)
Paulo a l’air un peu surpris par ma demande mais ils déroulent chacun leur préservatif et demandent à l’autre de leur enfiler. Au passage Paulo regarde l’emballage de celui de Rodrigo : XXL . Il montre le sien : XL. Paulo aurait-il enfin trouvé son maître ? ils en rigolent tous les deux. S’ensuit une bonne séance d’enduisage de gel-le vrai- sur la bite de Rodrigo et sur le trou de Paulo car il lui a demandé de commencer…Depuis le temps que Paulo doit rêver de se faire défoncer par cet engin et depuis le temps que Rodrigo doit fantasmer sur le cul de Paulo. Donc, tout va bien. Paulo se met en levrette, prêt à se faire doigter et dilater. Rodrigo y va avec beaucoup de douceur et ???de savoir faire. Un doigt, puis deux. Il attrape un gode qui trône sur la table de chevet et qui accompagne Paulo partout où il va. Il commence ses poussées sur la fleur de Paulo qui s’ouvre petit à petit. Il sait que, vu son gabarit, il a intérêt à soigner sa préparation s’il ne veut pas faire souffrir Paulo. Ce qu’il n’a surement pas l’intention de faire. Il fait tourner le gode, l’enfonce lentement et le retire. Le coulissage se fait maintenant de plus en plus facilement. Il peut maintenant présenter son gland et commencer sa poussée. Ca ne rentre pas tout de suite. Il reprend le gode et le fait tourner de plus belle. Il réessaie. Un petit cri de Paulo. Ca y est, il a passé son gland. Il ne bouge plus. Depuis le temps que Paulo rêvait de sentir cette bite là…Il attend que la douleur se dissipe puis commence sa progression très très très lentement. Finalement, il peut être aussi très doux, Rodrigo. A chaque fois, qu’il se recule, il s’enfonce davantage après. Est-ce la première fois que Paulo en reçoit une aussi grosse et aussi longue ? Au fur et à mesure, son limage devient de plus en plus aisé. Faut dire qu’il y est allé très progressivement. Paulo couine de plaisir. J’aimerais tant être à côté de lui dans ce moment là. Maintenant Rodrigo laboure Paulo puissamment et régulièrement. Rodrigo se retire et vient s’allonger sur le dos. Paulo a compris. Il vient s’empaler doucement sur cette fabuleuse tige. Paulo se tortille de plaisir en coulissant sur sa barre. Parfois, c’est Rodrigo qui remonte son bassin pour venir embrocher Paulo par le dessous. Encore un changement de position. Paulo, à l’équerre, appuyé contre le mur vient coulisser sur la tige de Rodrigo qui ne bouge plus. De bien belles images. A l’aise tous les deux, le pistonnage peut continuer de plus belle. Rodrigo remet Paulo en levrette sur le lit et commence à le trombonner sérieusement, puissamment. Il augmente la cadence/ Paulo couine sans discontinuer. Il se met à dodeliner de la tête. Encore plus vite. Paulo a l’air de partir en live. Rodrigo a l’air d’en avoir encore sous le pied. Il accélère encore. Paulo se met à taper du poing, la tête enfouie dans l’oreiller.
« -It’s OK ? »
Pour toute réponse, Paulo a attrapé les fesses de Rodrigo et les a tirées violemment vers lui. Il en redemande. Il est entrain de prendre un pied d’enfer.
« -Come on, Rodrigo, come on ! Fuck me ! Fuck me !! »
Rodrigo a l’air un peu surpris de le mettre dans un tel état et, en même temps, ravi et flatté. Moi, j’ai une boule au ventre. Je crois bien que je n’ai jamais réussi dans cet état là. Paulo a toujours été « sonore », mais là…Du coup, Rodrigo maintint la cadence. C’est qu’il a de la ressource, de la jeunesse et de la fougue. Paulo se met à hurler de plus en plus fort. Il crie des mots incompréhensibles, se tire les cheveux comme s’il voulait se les arracher….Impressionnant ! C’est sur, Rodrigo doit lui chauffer à blanc la prostate. Paulo ondule de tout son corps, par vagues et pousse un grand cri. Il a joui du cul. Terrible… C’est pas encore le cas pour Rodrigo mais ça vient. Il est totalement en sueur. Une dernière crispation et il se vide dans son préservatif. Il continue à le limer en ralentissant considérablement puis s’écroule sur le dos de Paulo, à bout de souffle. Son visage est radieux. Il a eu ce qu’il voulait. Paulo le laisse récupérer, enfoncé en lui. Au bout d’un bon moment, il se retire lentement. Paulo lui en lève le préservatif, le répand sur sa toison et commence à l’enduire avec. C’est son truc, ça, étaler le sperme. Rodrigo a l’air intrigué mais, amusé, il laisse faire. Paulo étale bien le tout puis il fait sucer ses doigts, un à un par Rodrigo, amusé par l’idée. Ils restent ainsi un bon moment, enlacés tous les deux. Ils ont autant besoin de récupérer l’un que l’autre. Paulo n’a pas déchargé mais il a joui autrement, et comment. Rodrigo attend que l’envie lui vienne. Lui aussi a envie de se faire défoncer par Paulo. De sa main, il entretient la forme de Paulo qui n’a pas vraiment besoin de ça.
Ca y est. Paulo a l’air à nouveau d’attaque. Rodrigo en profite pour l’enduire copîeusement de gel –celui pour les bites-. Il dirige la main de Paulo vers son trou pour se faire doigter. Un doigt passe tout de suite. Du coup, Paulo attrape le gode. Gel et poussée. Ca passe. Rodrigo souffle et sourit, ravi. Le gode est entré complètement. Rodrigo doit avoir, lui aussi, l’habitude d’accueillir des bites. Paulo va pouvoir le remplacer. Paulo force le passage en douceur. Il est en lui. Dan son ventre chaud, dans son fourreau d’amour. Il en rêvait. Il y est. Ils restent immobiles tous les deux, savourant l(instant délicieux. Paulo se met à le limer doucement. Il lui vient une idée. Il se retire complètement, farfouille dans le tiroir du chevet, trouve son anneau vibrant, se l’enfile et le met en marche. Puis il redresse Rodrigo sur ses genoux, lui fait écarter les jambes et le pénètre par en dessous, d’un seul coup. Il reste collé à lui, sans bouger. Rodrigo va ressentir la vibration de l’anneau sur sa rondelle t ça le questionne. Avec sa main, il tâte et cherche à comprendre.
« -Love technology ! » lui souffle Paulo, à l’oreille. Il n’a rien contre. Au contraire, il recherche le contact prolongé avec l’anneau magique.. Paulo, collé à son do, en profite pour lui agacer les tétons, les pecs, tirer sur sa ligne de poils, lui branler légèrement la bite. Rodrigo adore. Il a pris la main de Paulo et la maintient sur son sexe à lui. Paulo continue à le pistonner par en dessous. Puis il le retourne à plat dos, écarte au maximum ses jambes et embroche Rodrigo d’un seul coup d’un seul. Il a remarqué que Rodrigo adorait ça. Du coup, il lui en donne. A plusieurs reprises il ressort complètement et le défonce d’un seul coup. Puis il prend les jambes de Rodrigo et les pose sur ses épaules. Là, le cul et le trou de Rodrigo sont offerts, on ne peut mieux à ses coups de bite. Je sens que ça va être un festival, jusqu’à l’explosion finale. Je veux accompagner Paulo dans sa jouissance. Je lui signale que je commence à me branler, calqué sur son rythme à lui ; bien devant ma caméra. Paulo va le pilonner ainsi un long moment. Rodrigo monte en pression sous ses coups de boutoir. Sa bite a déjà repris un beau volume. Il se branle. Parfois c’est Paulo qui, collé à lui, ventre à ventre continue à le branler par son va et vient. Rodrigo souffle et couine, aux anges. Bien que fatigué, Paulo n’en continue pas moins ses coups de reins. Il adore ça la bite, Paulo. Il accélère. Il a soulevé Rodrigo en le tirant vers lui le plus possible. Rodrigo ondule en cadence, parfaitement synchrone. Enfin, il peut admirer Paulo en plein effort, le visage extasié, un beau sourire illuminant son beau visage. Cela fait maintenant plus d’une heure qu’il na pas débandé. Et en plus, il a joui du cul. Trop bien. Increvable Paulo. Il le pîlonne de plus en plus violemment. Je le connais, je sais qu’il vient. Moi aussi, je voudrais jouir en même temps que lui. Je m’active sur ma queue de toutes mes forces. Je viens avant lui. Est-ce cela qui a déclenché son orgasme à lui ? Je ne sais pas. Il décharge encore et encore, secoué de spasmes. Rodrigo a senti la chaleur du foutre dans le préservatif. Il a beaucoup beaucoup aimé mais n’est pas allé jusqu’au total délire comme Paulo…
Ce sera pour une autre fois ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Akileditu
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...