Titre de l'histoire érotique : De Comtesse à fille de cuisine - 1
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : De Comtesse à fille de cuisine - 1
Constance se voyait déja ...
Brighton, le 11 septembre 1835
Je m’appelle Constance Elsworth et je suis née à Dorset, dans le sud-ouest de l’Angleterre. Mon prénom vient de ma grand-mère française.
Mon père est un homme d’affaires qui commerce avec la Compagnie des Indes. J’ai une soeur jumelle, elle s’appelle Jane. On se ressemble beaucoup physiquement : toutes les deux très séduisantes, cheveux châtains, seins en poires, longues jambes... Mais pour le reste, on est complètement différentes, hélas pour ma soeur. En effet, je suis aussi brillante intellectuellement qu’elle est stupide. Elle ne comprend pas grand-chose ! Ni les mathématiques, ni la littérature, ni l’histoire. Donc elle est très jalouse de moi et prétend que je suis vaniteuse, alors que je suis simplement lucide.
Une année plus tôt, nous venions d’avoir 18 ans et nous faisions notre entrée dans le monde. Voilà qui nous changeait très agréablement de l’institution religieuse où nous venions de faire nos études.
Nos parents voulaient que nous fassions un riche mariage. Je me suis vite rendu compte que j’avais l’embarras du choix : tous les hommes, ou presque, se jetaient à mes pieds... Évidemment, ceci rendait assez difficiles mes rap-ports avec les autres femmes, ma beauté et mon intelligence leur faisant de l’ombre. La jalousie des femmes est une rançon de la beauté.
Alors que plusieurs beaux partis me faisaient hésiter, je rencontrai Philip de Cheshire. Il était riche, noble, plutôt beau et très amoureux. Difficile de trouver mieux, à part Georges IV, notre souverain. Ce qui a achevé de me décider, c’est son château. Mon père avait une belle maison, certes, mais Philip était le propriétaire du château de Warforth, en Cornouailles. Une merveille. Il m’a fait une cour empressée et j’ai accepté de devenir Comtesse de Cheshire. Moi, la fille, d’un homme riche, mais roturier, j’allais devenir Comtesse. Mon père était ravi, d’autant plus que mon mari était prêt à mettre de l’argent dans ses affaires.
Ma soeur, elle, a épousé un homme d’affaires. Enfin, de vagues affaires...
*
Mon mariage fut somptueux. Plusieurs membres de la famille royale étaient présents, étant donné que les Comtes de Cheshire sont des cousins du Roi. Mon nouveau mari est en 4e position dans la succession du trône. Une bonne épidémie, dont nous réchappons, mon mari et moi, et me voilà Reine d’Angleterre ! Je serais devenue la plus belle et la plus puissante souveraine d’Europe, donc du monde. Le fait d’être Comtesse, de vivre dans un château, d’être invités par l’aristocratie, d’avoir des quantités de domestiques et même des paysans qui travaillent "nos" terres, tout ça, m’est un peu monté à la tête. Ma soeur était plus jalouse que jamais. C’est compréhensible : c’est très difficile d’avoir une soeur belle et intelligente, surtout s’il y a des chances qu’elle devienne la reine.
Ma soeur et son mari ont commencé à commercer avec la Compagnie des Indes, comme notre père. Hélas, elle n’est pas une lumière et son mari, carrément un imbécile. Leur commerce a périclité et ils se sont endettés de plus en plus. Elle est venue me supplier de les aider. Je l’ai laissée me supplier pendant une quinzaine de jours, avant d’accepter du bout des lèvres de faire quelque chose.
Ce fut finalement une aide financière, plus le gîte et le couvert dans notre château. Bien sûr, je n’allais pas les laisser fureter un peu partout, l’oisiveté est la mère de tous les vices. En échange de mon aide généreuse, je leur ai demandé de travailler. La prison pour dettes, ça existe. Ici, ils sont libres, même si l’oisiveté ne leur est pas permise.
Tous les matins, après avoir pris mon petit déjeuner, je fais venir notre gouvernante afin de parler de ce qu’ils vont devoir faire. Ensuite, je les fais appeler et je leur donne du travail pour la journée, ainsi que pour la matinée du lendemain. Travaillant pour nous, il ne m’est pas possible de les accueillir à notre table, avec nos hôtes de marque. Donc ils mangent à la cuisine avec le reste du personnel. C’est un peu humiliant, je le reconnais, mais grâce à moi, ils évitent la prison pour dettes.
Je me suis aussi occupée des conditions de vie des domestiques. J’ai interdit qu’on fouette les servantes paresseuses ou maladroites. En effet, le fouet est éventuellement destiné aux chevaux ou aux chiens, mais pas aux humains. À la place, j’ai décidé que ce serait le strap... Il s’agit d’un instrument en cuir rigide de 50 cm de long, 5 cm de large, assez épais. Le strap ne blesse pas comme le fouet... Il laisse quelques bleus, ça va de soi, mais jamais de blessures. Bien sûr, le strap fait mal quand il est appliqué sur la peau nue, mais à quoi servirait une punition qui ne ferait pas mal ?
Pour m’occuper de mes domestiques, j’ai découvert la perle rare : Madame Steel, une ancienne maîtresse d’école chassée de l’enseignement, dit-on, mais s’il fallait écouter les ragots... Quoi qu’il en soit, elle me convient parfaitement. Tous les domestiques en ont peur. Certaines domestiques 7
vont jusqu’à trembler devant elle, c’est amusant.
J’ai voulu assister aux punitions infligées aux servantes et je dois avouer que j’ai pris goût à les voir crier et pleurer sous le strap. Il suffit d’ailleurs de les en menacer pour les voir supplier d’y échapper. Il y en a même qui se mettent à genoux et embrassent mes chaussures et mes chevilles. Ces filles n’ont aucune dignité !
Si une servante me supplie avec assez de conviction, il m’arrive d’infliger sa punition à une autre. Ce n’est pas très juste, mais les servantes ont besoin d’être régulièrement punies.
La faillite de Jane et de son mari.
Jane :
Je me suis rendu compte que mon nouveau mari était très loin d’avoir les qualités requises pour faire du commerce. Mais bon, il peut arriver à tout le monde d’être escroqué par des gens malhonnêtes. Ma soeur et moi, nous avons hérité d’une belle somme d’argent de notre grand-père. Je l’ai investie dans notre affaire d’importation de noix de muscade provenant de l’archipel des Moluques. Nous étions associés à un homme d’affaires. En confiance, nous avons accepté que tout soit à nos noms. Grave erreur ! Non seulement tout mon héritage a disparu, mais cet homme aussi, en ne nous laissant que des dettes.
Je savais que ma soeur aurait pu nous aider, mais elle était la dernière personne à qui j’aurais pensé demander cela... Sauf que mon mari m’a dit que nous risquions la prison.
Donc j’ai demandé à ma soeur et à son mari d’intercéder en notre faveur. Deux jours plus tard, elle m’a dit que nous allions être arrêtés. Impossible d’étouffer une affaire d’une telle ampleur. Quelle horreur ! Ayant dépensé jusqu’à notre dernier penny, nous n’avions même plus de quoi payer un avocat.
La mort dans l’âme, j’ai supplié ma soeur d’au moins nous héberger, afin d’échapper plus facilement à la prison pour dettes. J’ai dû l’implorer pendant des jours et des jours. Je lui disais par exemple :
— Je t’en prie Constance, je suis ta soeur !
— Oui, mais tu as toujours été jalouse de moi.
Morte de honte, je lui ai répondu :
— C’est parce que tu es plus belle et plus intelligente que moi. Je te demande pardon, mais je t’en supplie, évite-moi la prison.
Si vous avez déjà visité une geôle anglaise du 19e siècle, vous comprenez sans doute que je m’abaisse à ce point-là.
De son côté, elle était ravie de cette situation. Après des jours et des jours de supplications, elle m’a dit :
— D’accord, je vais t’aider, mais à une condition.
— Merci, mille fois, merci, Constance !
— Attends. Je veux que ton mari et toi, vous travailliez pour nous.
— Merci Constance, je suis tout à fait d’accord.
Enfin... on est soeurs après tout !
Elle a accepté de nous accueillir au château et de régler progressivement nos dettes, nous évitant l’ignominie de l’emprisonnement. Nous nous sommes installés dans une petite chambre, dans une partie du château réservée aux servantes. C’est toujours mieux qu’une cellule.
*
Au petit matin de notre première nuit au château, une servante vient me secouer en répétant :
— Allez, réveillez-vous.
— Quoi ? J’ai sommeil !
— Excusez-moi, mais Madame veut vous voir dans la salle à manger. Immédiatement !
Mon mari ne s’est pas réveillé, lui. Je me lève, je m’habille et je suis la servante. Constance termine son petit déjeuner. Je lui dis :
— Bonjour Constance, comment...
Elle me coupe :
— Bonjour Jane. On va avoir quelques petites choses à mettre au point.
— Oui ?
Je déplace une chaise pour m’asseoir.
— Voilà, puisque tu vas travailler ici, tu dois me dire Madame et me vouvoyer.
— Tu es vraiment sérieuse ?
— J’ai l’air de plaisanter ?
— Non...
— Déjà, tu dois répondre poliment « Non Madame » et je préfère que tu restes debout.
Elle est folle, je vais l’envoyer.... mais l’idée de la prison m’arrête. Je me lève et reste debout devant elle, comme les deux servantes qui attendent les ordres de leur Maîtresse, les mains croisées devant le pubis, les yeux baissés. Rester debout, dire Madame ou la prison ? Je réponds :
— Bien, Madame.
Ce que je ne savais pas encore, c’est que cette humiliation ne serait que la première d’une longue série... Elle ajoute :
— N’y vois rien de personnel, Janet.
Janet n’est même pas le diminutif de Jane et elle sait que je déteste qu’on m’appelle Janet... Elle continue :
— Vous faites partie du personnel du château ton mari et toi, c’est normal que vous soyez traités comme tels. D’ailleurs, vous mangerez avec les domestiques, dans la cuisine.
A suivre.
Pour tous renseignements : mia.michael@hotmail.fr
Brighton, le 11 septembre 1835
Je m’appelle Constance Elsworth et je suis née à Dorset, dans le sud-ouest de l’Angleterre. Mon prénom vient de ma grand-mère française.
Mon père est un homme d’affaires qui commerce avec la Compagnie des Indes. J’ai une soeur jumelle, elle s’appelle Jane. On se ressemble beaucoup physiquement : toutes les deux très séduisantes, cheveux châtains, seins en poires, longues jambes... Mais pour le reste, on est complètement différentes, hélas pour ma soeur. En effet, je suis aussi brillante intellectuellement qu’elle est stupide. Elle ne comprend pas grand-chose ! Ni les mathématiques, ni la littérature, ni l’histoire. Donc elle est très jalouse de moi et prétend que je suis vaniteuse, alors que je suis simplement lucide.
Une année plus tôt, nous venions d’avoir 18 ans et nous faisions notre entrée dans le monde. Voilà qui nous changeait très agréablement de l’institution religieuse où nous venions de faire nos études.
Nos parents voulaient que nous fassions un riche mariage. Je me suis vite rendu compte que j’avais l’embarras du choix : tous les hommes, ou presque, se jetaient à mes pieds... Évidemment, ceci rendait assez difficiles mes rap-ports avec les autres femmes, ma beauté et mon intelligence leur faisant de l’ombre. La jalousie des femmes est une rançon de la beauté.
Alors que plusieurs beaux partis me faisaient hésiter, je rencontrai Philip de Cheshire. Il était riche, noble, plutôt beau et très amoureux. Difficile de trouver mieux, à part Georges IV, notre souverain. Ce qui a achevé de me décider, c’est son château. Mon père avait une belle maison, certes, mais Philip était le propriétaire du château de Warforth, en Cornouailles. Une merveille. Il m’a fait une cour empressée et j’ai accepté de devenir Comtesse de Cheshire. Moi, la fille, d’un homme riche, mais roturier, j’allais devenir Comtesse. Mon père était ravi, d’autant plus que mon mari était prêt à mettre de l’argent dans ses affaires.
Ma soeur, elle, a épousé un homme d’affaires. Enfin, de vagues affaires...
*
Mon mariage fut somptueux. Plusieurs membres de la famille royale étaient présents, étant donné que les Comtes de Cheshire sont des cousins du Roi. Mon nouveau mari est en 4e position dans la succession du trône. Une bonne épidémie, dont nous réchappons, mon mari et moi, et me voilà Reine d’Angleterre ! Je serais devenue la plus belle et la plus puissante souveraine d’Europe, donc du monde. Le fait d’être Comtesse, de vivre dans un château, d’être invités par l’aristocratie, d’avoir des quantités de domestiques et même des paysans qui travaillent "nos" terres, tout ça, m’est un peu monté à la tête. Ma soeur était plus jalouse que jamais. C’est compréhensible : c’est très difficile d’avoir une soeur belle et intelligente, surtout s’il y a des chances qu’elle devienne la reine.
Ma soeur et son mari ont commencé à commercer avec la Compagnie des Indes, comme notre père. Hélas, elle n’est pas une lumière et son mari, carrément un imbécile. Leur commerce a périclité et ils se sont endettés de plus en plus. Elle est venue me supplier de les aider. Je l’ai laissée me supplier pendant une quinzaine de jours, avant d’accepter du bout des lèvres de faire quelque chose.
Ce fut finalement une aide financière, plus le gîte et le couvert dans notre château. Bien sûr, je n’allais pas les laisser fureter un peu partout, l’oisiveté est la mère de tous les vices. En échange de mon aide généreuse, je leur ai demandé de travailler. La prison pour dettes, ça existe. Ici, ils sont libres, même si l’oisiveté ne leur est pas permise.
Tous les matins, après avoir pris mon petit déjeuner, je fais venir notre gouvernante afin de parler de ce qu’ils vont devoir faire. Ensuite, je les fais appeler et je leur donne du travail pour la journée, ainsi que pour la matinée du lendemain. Travaillant pour nous, il ne m’est pas possible de les accueillir à notre table, avec nos hôtes de marque. Donc ils mangent à la cuisine avec le reste du personnel. C’est un peu humiliant, je le reconnais, mais grâce à moi, ils évitent la prison pour dettes.
Je me suis aussi occupée des conditions de vie des domestiques. J’ai interdit qu’on fouette les servantes paresseuses ou maladroites. En effet, le fouet est éventuellement destiné aux chevaux ou aux chiens, mais pas aux humains. À la place, j’ai décidé que ce serait le strap... Il s’agit d’un instrument en cuir rigide de 50 cm de long, 5 cm de large, assez épais. Le strap ne blesse pas comme le fouet... Il laisse quelques bleus, ça va de soi, mais jamais de blessures. Bien sûr, le strap fait mal quand il est appliqué sur la peau nue, mais à quoi servirait une punition qui ne ferait pas mal ?
Pour m’occuper de mes domestiques, j’ai découvert la perle rare : Madame Steel, une ancienne maîtresse d’école chassée de l’enseignement, dit-on, mais s’il fallait écouter les ragots... Quoi qu’il en soit, elle me convient parfaitement. Tous les domestiques en ont peur. Certaines domestiques 7
vont jusqu’à trembler devant elle, c’est amusant.
J’ai voulu assister aux punitions infligées aux servantes et je dois avouer que j’ai pris goût à les voir crier et pleurer sous le strap. Il suffit d’ailleurs de les en menacer pour les voir supplier d’y échapper. Il y en a même qui se mettent à genoux et embrassent mes chaussures et mes chevilles. Ces filles n’ont aucune dignité !
Si une servante me supplie avec assez de conviction, il m’arrive d’infliger sa punition à une autre. Ce n’est pas très juste, mais les servantes ont besoin d’être régulièrement punies.
La faillite de Jane et de son mari.
Jane :
Je me suis rendu compte que mon nouveau mari était très loin d’avoir les qualités requises pour faire du commerce. Mais bon, il peut arriver à tout le monde d’être escroqué par des gens malhonnêtes. Ma soeur et moi, nous avons hérité d’une belle somme d’argent de notre grand-père. Je l’ai investie dans notre affaire d’importation de noix de muscade provenant de l’archipel des Moluques. Nous étions associés à un homme d’affaires. En confiance, nous avons accepté que tout soit à nos noms. Grave erreur ! Non seulement tout mon héritage a disparu, mais cet homme aussi, en ne nous laissant que des dettes.
Je savais que ma soeur aurait pu nous aider, mais elle était la dernière personne à qui j’aurais pensé demander cela... Sauf que mon mari m’a dit que nous risquions la prison.
Donc j’ai demandé à ma soeur et à son mari d’intercéder en notre faveur. Deux jours plus tard, elle m’a dit que nous allions être arrêtés. Impossible d’étouffer une affaire d’une telle ampleur. Quelle horreur ! Ayant dépensé jusqu’à notre dernier penny, nous n’avions même plus de quoi payer un avocat.
La mort dans l’âme, j’ai supplié ma soeur d’au moins nous héberger, afin d’échapper plus facilement à la prison pour dettes. J’ai dû l’implorer pendant des jours et des jours. Je lui disais par exemple :
— Je t’en prie Constance, je suis ta soeur !
— Oui, mais tu as toujours été jalouse de moi.
Morte de honte, je lui ai répondu :
— C’est parce que tu es plus belle et plus intelligente que moi. Je te demande pardon, mais je t’en supplie, évite-moi la prison.
Si vous avez déjà visité une geôle anglaise du 19e siècle, vous comprenez sans doute que je m’abaisse à ce point-là.
De son côté, elle était ravie de cette situation. Après des jours et des jours de supplications, elle m’a dit :
— D’accord, je vais t’aider, mais à une condition.
— Merci, mille fois, merci, Constance !
— Attends. Je veux que ton mari et toi, vous travailliez pour nous.
— Merci Constance, je suis tout à fait d’accord.
Enfin... on est soeurs après tout !
Elle a accepté de nous accueillir au château et de régler progressivement nos dettes, nous évitant l’ignominie de l’emprisonnement. Nous nous sommes installés dans une petite chambre, dans une partie du château réservée aux servantes. C’est toujours mieux qu’une cellule.
*
Au petit matin de notre première nuit au château, une servante vient me secouer en répétant :
— Allez, réveillez-vous.
— Quoi ? J’ai sommeil !
— Excusez-moi, mais Madame veut vous voir dans la salle à manger. Immédiatement !
Mon mari ne s’est pas réveillé, lui. Je me lève, je m’habille et je suis la servante. Constance termine son petit déjeuner. Je lui dis :
— Bonjour Constance, comment...
Elle me coupe :
— Bonjour Jane. On va avoir quelques petites choses à mettre au point.
— Oui ?
Je déplace une chaise pour m’asseoir.
— Voilà, puisque tu vas travailler ici, tu dois me dire Madame et me vouvoyer.
— Tu es vraiment sérieuse ?
— J’ai l’air de plaisanter ?
— Non...
— Déjà, tu dois répondre poliment « Non Madame » et je préfère que tu restes debout.
Elle est folle, je vais l’envoyer.... mais l’idée de la prison m’arrête. Je me lève et reste debout devant elle, comme les deux servantes qui attendent les ordres de leur Maîtresse, les mains croisées devant le pubis, les yeux baissés. Rester debout, dire Madame ou la prison ? Je réponds :
— Bien, Madame.
Ce que je ne savais pas encore, c’est que cette humiliation ne serait que la première d’une longue série... Elle ajoute :
— N’y vois rien de personnel, Janet.
Janet n’est même pas le diminutif de Jane et elle sait que je déteste qu’on m’appelle Janet... Elle continue :
— Vous faites partie du personnel du château ton mari et toi, c’est normal que vous soyez traités comme tels. D’ailleurs, vous mangerez avec les domestiques, dans la cuisine.
A suivre.
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