Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile 5 soupçons désobligeants

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile 5  soupçons désobligeants Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile 5 soupçons désobligeants
Nous buvons au bistrot. Joseph, cocu qui s’ignore, m’en raconte une bien bonne. Un représentant en lingerie féminine a eu un malaise dans son salon. Il prétend avoir été assommé pendant que Liliane faisait la vaisselle à la cuisine après une réunion pourtant fructueuse.

- Pour peu, ma femme, Liliane, me soupçonnerait d‘avoir brusqué notre ami. Heureusement, j’étais sur le chantier, j’ai des témoins. On ne lui a rien volé. C’est incompréhensible… Qui a pu faire ça, chez moi ?

- En effet, c’est terrible. On n’est plus en sécurité nulle part. Dans ton salon ? Un malaise…

Il s’est passé des choses étonnantes après mon départ de la chambre à coucher de Joseph et de ma belle sœur. Comme c’est étrange. Comment, de la chambre, le vendeur assommé a-t-il pu atterrir au salon ? Liliane est forte, l’a-t-elle transporté seule?

- Qui aurait pu ? Dans notre maison ? Tu te rends compte, mon Jean ?

Je fais l’étonné. Joseph et Liliane ont reconduit l’assommé chez lui, encore groggy, le pauvre. ! Si Joseph savait, la bière lui resterait en travers de la gorge.

- Mais si, tu le connais, c’est Gérard, il joue au foot avec nous. Je me demande si ce type ne profite pas de son boulot pour draguer les nanas. Heureusement Liliane est sérieuse, je ne crains rien. Mais elle m’a dit qu’il a flashé sur Marion. Tu devrais te méfier et la surveiller : on ne sait jamais.

Il a la magnifique confiance du cocu , veut me protéger alors que le feu est davantage dans sa maison que dans la mienne.

Je revis cette soirée.

Liliane tente de se disculper. Après avoir servi sa sœur sur un plateau à son amant, Gérard, elle calme Marion sous la douche. Sa voix domine les pleurs de ma femme bouleversée par l‘assaut sournois de Gérard. Elle l’a échappé belle, le glaive de Gérard se taillait un passage à l’entrée de son vagin et sans l’intervention de Liliane à la dernière seconde, l’homme lui plantait son dard jusqu’au col de l’utérus.


La réunion est finie, seul demeure dans la chambre à coucher ce salopard de Gérard. Il a échoué dans sa tentative de viol. L’oeuf vibrant porté au plus haut de ses vibrations a tordu Marion en deux, l’a mise en transes. Il a jugé l’occasion trop bonne, il a sorti sa verge en érection, a fait basculer la femme en plein délire orgasmique sur le lit, lui a arraché sa culotte, a écarté les jambes.

Quand Marion a senti contre son sexe en folie la poussée brutale de celui de l’homme tout raide et pressé de l’embrocher, elle a trouvé assez de ressources pour le repousser violemment et pour hurler, hurler encore. Elle se débattait furieusement. éventait son vagin avec rage. Liliane n’a pas pu faire autrement, elle est arrivée à temps afin d’ empêcher son amant d’user de sa force pour parvenir à ses fins. Car elle savait sa sœur assez courageuse pour porter plainte contre un violeur. Du dressing où je me suis caché, j’ai bien entendu la phrase qui ne laisse aucun doute sur la connivence des deux amants :

- Je te l’avais dit : Elle ne veut pas. Laisse-la. Cesse. Lâche-la.

Il faut que je sorte de mon refuge avant que les deux sœurs ne quittent la salle de bain, avant le retour prochain de Joseph, le mari cocu de Liliane. Je ne tiens pas à assister depuis le dressing au coucher de ce couple voué à l’échec. Je veux ne pas devenir la risée de la famille, du club de foot où j’ai côtoyé Gérard. Je ne passerai pas pour le mari maquereau et proxénète de sa femme, assez vicieux pour assister à son viol ou pire, capable de l’offrir à ses équipiers pour jouer au voyeur. Parce que, si Liliane me trouve au milieu de ses vêtements, elle ne manquera pas de m’accuser des pires turpitudes. Je l’imagine et l’entends par avance déclarer avec assurance:

- Jean m’a chargée de prostituer Marion, en commençant par la soumettre à son ami Gérard.

La gentille sœur m’accablerait. Gérard se dirait victime d’un piège infâme. Et je serais bien puni. Je pourrais même me reprocher de ne pas être intervenu, me reprocher d’avoir voulu voir si ma femme n’était pas de mèche avec sa sœur pour obtenir de Gérard des plaisirs, des orgasmes sans commune mesure avec la routine des accouplements conjugaux. Maintenant je l’ai vue résister à une tentation diabolique et j’ai honte d’avoir douté de sa vertu.

Je dois me conduire en homme enfin. Gérard range ses affaires dans ses valisettes. Il ne mérite ni pitié, ni provocation à un duel, ce serait faire trop d‘honneur à un violeur. C’est un salaud, je l’assomme par surprise et, sur ma patte folle, je quitte les lieux. Personne sur mon chemin, je regagne ma voiture. Puis j’occupe une place libérée devant la maison des parents de Joseph, j’attends. Gentil petit mari attend patiemment la sortie de sa petite femme chérie à la fin d’une réunion.

Pourquoi Marion est-elle aussi agitée ? On la croirait en fuite. Sur le trottoir elle jette un coup d’œil à droite, un autre à gauche, ne voit pas ma voiture juste sous son nez et part d’un pas pressé vers…? En direction de notre domicile. Elle marche vite, se retourne souvent comme si elle redoutait le retour d’un poursuivant . J’arrive à sa hauteur, baisse la vitre du côté passager et je l’appelle.

- Oh, mon chéri, tu es là ! Quel bonheur.

- Monte. Tu es bien agitée, tu es passée sans me voir. Que t’arrive-t-il ?

- Liliane a un problème. Je ne sais pas lequel, mais elle ne peut pas me reconduire. Heureusement que tu es venu. Il y a longtemps que tu m’attends ?

- Assez longtemps. J’ai vu sortir huit ou dix bonnes femmes, il y a environ une demi-heure. Tu as tardé. Ta sœur t’aura retenue?

- Oui. C’est ma sœur, tu la connais, elle n’aime pas être seule.

- Alors, cette longue réunion, c’était bien, rentable pour Liliane et pour le représentant ?

- Oui… mais qui t’a dit que c’était un homme ?

- Pour attirer autant de minettes il est judicieux d’utiliser un beau matou. Je me trompe ?

- Là, tu es fort ! Je ne voulais pas t’alarmer inutilement. Oui, le présentateur est un homme

- Quand j’ai vu avec quelle précipitation tu m’as laissé sur le trottoir, j’ai compris immédiatement. Il fallait un bel appât pour te mettre dans un état d’excitation tel que tu en oubliais de m’embrasser. Donc il y avait un vendeur plein de charme à rencontrer, un superbe mâle qui ferait rêver ces dames et dont les appas feraient bourses délier. La psychologie du commerce est pleine d’astuces. Faire chavirer les cœurs fait perdre la raison au détriment du compte en banque est l’une de ses devises.

- Quelle imagination, mon chéri ! La psychologie de comptoir de bar rencontre parfois la réalité, je l’admets. Effectivement, la vente était dirigée par un homme. Un homme « normal », un type qui se prend pour un Don Juan, mais pas si irrésistible que ça. Un vendeur se croit obligé de charmer. Le spectacle est amusant. J’y prends beaucoup de plaisir

- C’est la raison de ton engouement pour ce genre de réunions ? Je parierais qu’une fois de plus tu t’es contentée de le regarder langoureusement, avec envie, mais que tu n’as rien acheté comme les autres fois. Tu as trop rêvé et tu n’as pas compris que tu devais commander pour lui permettre de vivre de son travail. Au fait, que vendait ce bel homme normal ? J’espère que tu n’as pas trop utilisé ton charme pour qu’il te distingue.

-Mais je te l’ai dit : de la lingerie féminine. Tu es trop sûr de toi : aujourd’hui j’ai passé commande contrairement à ce que tu prédis.. D’ailleurs l’autre fois aussi. Mais ce que j’ai acheté te plaira davantage que l’article précédent. Cette fois cela ne finira pas immédiatement à la poubelle.

- Tu montres ?
- A la maison. tu verras. J’espère que ça te plaira cette fois.


*
* *
Je suis assis dans mon fauteuil. Assez curieux de savoir si Marion osera me montrer l’œuf . Marion s’approche avec le sourire.

-Ton achat tient dans ton sac à main ?

- Il le pourrait en effet. Mais j’ai passé commande, la livraison aura lieu samedi après-midi à domicile.

- Gérard effectue les livraisons lui-même, à domicile ? Il doit joindre l’agréable à l’utile. Que va-t-il essayer sur ton corps, quels gestes déplacés ce cher Gérard osera-t-il sur ton corps pour t’émouvoir. Dans le club de foot, nous le connaissons tous comme chaud lapin.

- Mais tu sais qui est-ce vendeur ? Tu m’intrigues. Comment fais-tu ? Il n’a pas encore quitté Liliane, était là avant moi, donc avant toi. Tu n’as pas pu le voir. On t’a parlé de lui et de sa réunion ?

- C’est très simple. En arrivant je me suis garé derrière une BMW. C’était la dernière voiture de la file. Gérard a la même, me suis-je dit. J’ai lu la plaque minéralogique, Gérard est chez Liliane, ai-je pensé.

- Il aurait pu se trouver dans une maison du voisinage aussi bien. Tu as conclu juste mais par hasard.

- Combien aurait-il de maîtresses dans la même rue en plus de ta soeur ?

- Que me chantes-tu là ? De quoi oses-tu accuser ma sœur ? D’être une débauchée ? Je suis désolée: Si je suis partie si vite à ton retour du boulot, est-ce une raison suffisante pour répandre des ragots ? Gérard, moi aussi je l’ai rencontré au foot, je connais Odette sa femme. Liliane et Joseph habitent chez les parents de Joseph. Et toi, pour te venger de la rapidité de mon départ tantôt, tu oses affirmer que ma sœur est sa maîtresse et pousse l’audace jusqu’à accueillir son amant chez elle devant une dizaine de femmes. Tu es devenu extra sensible, un rien te bouleverse, ton imagination débridée s’emballe, tub te joues un film dégoûtant. C’est incroyable. Tu me déçois.

- Soit, là n’est pas la question. Tout simplement, tous commentaires désobligeants mis à part, Gérard menait-il la réunion chez ta sœur, oui ou non ?

- Quand cela serait, cela prouverait-il que ces deux là ont une liaison amoureuse ? Comme j’étais au même endroit, en conclurais-tu que Gérard et moi entretenons aussi des relations intimes ?

- Tu avance l’hypothèse la plus méchante. Eh! Bien tu vas au devant des soupçons qui me turlupinent depuis quelque temps.

- Mais ce n’est pas vrai. Ah ! Si j’avais su…

- Des regrets ? Quand tu es sortie de la maison de ta sœur, la voiture de Gérard stationnait encore au même emplacement. Que faisiez-vous, lui le séducteur et vous les deux sœurs ? Une partie à trois ? Vous tâtez ses muscles, vous calculez le volume de son corps caverneux; vous mesurez les dimensions phénoménales de son matériel de reproduction ou vous essayez et vérifiez les vertus des jouets sexuels nouveaux de ses collections?

- Arrête tes bêtises. Rien de particulier. Il devait ranger son matériel. Moi, j’ai pris une douche avec Liliane.

- Est-ce possible ? D’habitude tu te douches à la maison avant d’aller en visite. Ah ! C’est habituel, en mari attentif je l’ai remarqué depuis toujours, tu te douches aussi après l’amour. J’aimerais savoir ce qui s’est passé dans cet appartement, pour que tu te croies obligée de te doucher encore.

- Tu m’énerves. C’est humiliant. Tu mériterais que je prenne un amant : tu aurais de bonnes raisons de me soupçonner et de me cuisiner comme un flic

- Approche, embrasse-moi et faisons la paix.

Marion se calme, se penche sur moi pour ce baiser de paix. Ma main quitte l’accoudoir du fauteuil, passe sous sa jupe, remonte lentement sur la cuisse, retient la jambe qui se dégageait, aboutit dans la fourche, s’applique fermement sur le sexe de Marion. Pas de culotte, elle a tous ses poils, une fente bien chaude s’offre à mes caresses, j’aime ce contact et le tressaillement habituel du ventre au contact de mes phalanges.

- Mais tu es un maniaque, que fais-tu ? Ça te plaît, hein de me passer la main. Que cherches-tu. C’est quoi cette enquête agrémentée d’une fouille au corps?

- Ne me dis pas que tu as eu une fuite et que tu as posé ta culotte dans le panier à linge, tu es venue ici, au salon,directement avec moi. Tu es partie à une réunion sans culotte ?

- Mais…non.

- Desserre tes cuisses s’il te plaît. Ta vulve est normalement humide. Le vagin est propre. Je te fais mal ?

- Oui. J’ai pris froid, j’ai peut-être une cystite.

- C’est logique : pour te rendre à une réunion de lingerie féminine par temps chaud tu ne portes pas de culotte. Je ne peux pas l'interdire, mais cela me stupéfie. Au retour, à la tombée de la nuit, tu marches très vite, tu prends froid, tu attrapes une cystite qui est par définition une inflammation de la vessie et non du vagin. Je reverrai mes notions d'anatomie ! Lorsque je te glisse deux doigts dans le vagin tu sursautes de douleur. Comment expliquer cette réaction, comment la trouver "normale"? Dans cinq minutes tu me diras que tu n’es pas en état de faire l’amour avec moi. La boucle sera bouclée et j'aurai l'air du roi des cons.

De mon côté, je dois, si je te comprends bien, trouver normal que tu te sois attardée avec ta sœur et son amant et que tu aies pris ta troisième ou quatrième douche de la journée. tu rigoles ou tu te fous de moi? Pourquoi se doucher après la douche si on n'a rien fait de sale?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
salut accent excuse pour les faute d'orthographe dans mon com. Je ne voulais pas te contrarier avec mes desiderata mais comme j'aimes bien te lire je trouvais que ce récit méritait une fin et excuse encore pour mon orthographe désastreux

Histoire Libertine
Pourquoi pas de culotte? Le port de culotte est obligatoire?
Pourquoi cette hâte et ce retard?
Pourquoi la douche chez la soeur?

Histoire Libertine
Je participe à ce genre de séances mais exclusivement entre filles pas question de me faire toucher par un représentant du genre malotru comme Gérard

tu avance"s"

Histoire Erotique
Ce mari a-t-il tort de se montrer suspicieux. Marion accumule les situations scabreuses qui excitent la curiosité et poussent à se poser des questions.



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Histoire sexe : Une rose rouge
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